Aider à réviser? Pas si sûr

Il s’agit d’une petite aventure qui m’est arrivé en juin 2017. Je finissais une mission intérim de longue durée et allais me retrouver en congé forcé.

Un ami de la fac, qui continue contrairement à moi, m’a demandé si j’étais disponible pour aider l’étudiante en seconde année de licence, qu’il parraine, dans ses révisions des matières en biologie.

Comme je me suis mis à travailler dans ce domaine, j’ai surement plus de facilités pour lui expliquer les cours, me dit-il.

J’ai donc accepté et ai demandé à pouvoir prendre contact avec elle, afin de savoir si elle était d’accord que ce soit moi qui l’aide et également convenir du lieu et moment où je l’aiderai dans ses révisions.

Le rendez-vous est pris pour le lendemain dans un bar, il sera présent pour faire les présentations.

Le lendemain, je me retrouve devant le bar à attendre mon ami et celle qu’il parraine. A côté de moi, une jeune femme brune avec une queue de cheval et des petites lunettes qui, je trouve, lui vont très bien. On échange un sourire, à par rament elle attend elle aussi son rendez-vous.

« Tu pourrais lui dire bonjour quand même. »

Derrière moi, mon ami qui se retient de rire sur la situation. Oui c’est à cette jeune femme que je dois aider à réviser. On s’assoit, faisons connaissance, échangeons nos numéros afin de communiquer sans intermédiaire.

Mon ami nous quitte pour d’autres occupations et me laisse avec Sophie qui m’explique ses difficultés dans certaines matières. Je suis assez confiant, ce sont des matières que je maîtrise et dont j’ai facilité à expliquer de différentes manières.

Pendant notre discussion, son pied rencontre le mien. Je pense alors que ce n’est qu’accidentel et ne relève pas la chose tout continuant de discuter.

Nous nous quittons après avoir pris rendez-vous chez elle le lundi suivant en début d’après-midi.

Le jour j, j’arrive vêtu d’un jean et d’une chemise dont j’ai relevé les manches, ainsi qu’un classeur avec mes vieux cours et propres notes. Sophie m’ouvre la porte, elle est splendide. Une jolie jupe beige qui s’arrête au-dessus des genoux et un pull fin.

« Je vois que tu aimes ma tenue » me dit-elle avec un joli sourire.

Elle me fait rentrer et me fais une bise appuyer, puis me conduit au salon ou elle a préparé du thé glacé et ses propres cours. On s’installe sur le canapé pour commencer à travailler.

On regarde rapidement ses cours et on identifie ses difficultés. Je commence alors à lui expliquer un principe en essayant de le banaliser afin qu’elle saisisse ce chapitre. Pour d’autre choses, je l’informe que pour un autre malheureusement c’est du par cœur.

Après une bonne heure de bourrage de crâne, je lui propose une petite pause avant de voir quelques exercices. Je remarque alors que nous somme plus proche qu’au départ malgré le grand canapé

Pendant la pause, alors que je choisis l’exercice et que je prépare mes notes pour l’aider, elle va chercher une autre carafe de thé glacé et se colle à moi lorsqu’elle s’installe à nouveau. Nous échangeons un sourire.

Durant l’exercice, ses mains viennent frôler les miennes lorsque je lui montre quelle partie des cours il faut utiliser. Un moment, sa tête se pose sur mon épaule alors que je lui explique comment se déroule une réaction qu’elle n’arrive pas à visualiser. Son pied se colle au miens et je sens son souffle dans mon cou.

Elle ne me laisse vraiment pas indifférent mais je fais mine de rien, continuant mon explication et lui fais un sourire de temps en temps, en la regardant dans les yeux. Ce petit jeu dure toute l’après-midi et pourtant elle arrive à assimiler les cours et à retenir certaine de mes astuces pour retenir certains points.

A la fin de l’après-midi, on a bouclé deux gros chapitres et on prévoit de se revoir le mercredi suivant. En se disant au revoir sa main s’égare vers la mienne et sa bise dérape légèrement vers mon cou. Je ne peux m’empêcher de sourire.

En rentrant chez moi, je prends immédiatement une douche fraîche afin de me calmer. En sortant de la douche, un message de Sophie : « Pourrais-tu venir dès le matin, car la prochaine matière j’ai vraiment du mal » Je réponds rapidement qu’il n’y a pas de souci et que je me présenterai à 10h chez elle.

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Un début très agréable à lire ! Le confinement a aussi du bon pour le lecteur que je suis ! Vivement la suite :hugs:.

Le mercredi arrive, j’ai eu le temps de retrouver un sujet d’examen pour l’aider à réviser.

Elle m’ouvre et là je suis un peu surpris. Elle est en tailleur, jupe noire, chemisier bleu et veste. Elle est coiffée en chignon séré. Son allure est sérieuse et presque froide. Je pense alors que j’ai loupé le coche.

Bien qu’elle m’offre un joli sourire en me faisant rentrer et m’offre une bise appuyée, j’ai l’impression qu’il n’y aura pas de jeu aujourd’hui. Les rattrapages arrivants, je me dis qu’elle doit commencer à stresser et qu’elle s’est résignée à ne faire que réviser. Cette idée augmente alors que je vois ses cours sur la grande table du salon, pas de canapé cette fois, on va bosser ce matin.

On s’installe côte à côte et commençons à travailler. Durant toute la matinée, elle est studieuse, à l’écoute et m’offre toujours son joli sourire à chaque fois qu’elle réussit à comprendre mes explications.

Vers midi, nous faisons une pause bien méritée. Elle part à la cuisine et reviens avec un plateau repas pour nous deux. Elle a tout préparé en avance. Je pense toujours que ça restera sérieux aujourd’hui. Elle m’invite sur le canapé pour que l’on mange. C’est alors que je remarque que le chemisier qui avait été fermé jusqu’en haut toute la matinée, est maintenant ouvert de deux boutons. Je fais mine de rien encore une fois.

Nous mangeons en discutant de tout et de rien, parfois de cours et des profs. Je lui propose alors de faire deux exercices du sujet examen en autonomie et que je ne l’aiderai que lorsqu’elle sera vraiment en difficulté. Elle accepte à condition que si elle réussit sans mon aide je lui masse le dos. J’accepte sans hésiter, si ça peut la motiver encore plus pourquoi pas.

Je l’aide à ranger le plateau repas à la cuisine, elle fait tomber « malencontreusement » un des couverts. En se baissant pour les ramasser, sa jupe remonte sur ses cuisses et laisse apparaître ce que je pensais être un collant, qui se révèle être des bas.

Je fais comme si je n’avais rien vu et vois du coin de l’œil qu’elle a l’air dessus que j’ai loupé la scène.

Nous retournons au salon et elle s’installe à la table. Je lui donne les exercices à faire et me pose de l’autre côté de la table pour regarder s’il nous reste beaucoup à réviser. Je jette de temps en temps un coup d’œil vers elle, Sophie est concentrée sur ses exercices mais montre des signes de longues réflexions. Je lui demande si elle a besoin d’aide, mais elle décline mon aide et me lance un regard plein de douceur. Je replonge dans mes fiches, puis après quelques minutes elle demande mon aide.

Je viens à côté d’elle juste un peu derrière et me penche par-dessus son épaule. Et là, j’ai une vue magnifique sur elle.

Elle a profité que je sois de l’autre côté de la table pour remonter sa jupe et déboutonner un peu plus son chemisier. J’ai une magnifique vue sur ses bas et un joli soutien-gorge qui couvre de jolis seins. Je me sens soudain séré dans mon boxer et je suis surement entrain de rougir.

Je me concentre sur son problème et lui explique en essayant de rester sérieux. C’est là qu’elle se redresse et s’appuie sur moi, au niveau de la bosse de mon pantalon qui est toujours présente. Elle se tourne vers moi et me lance un regard qui me fait fondre.

« Je n’ai pas réussi à avoir mon massage » Elle me dit ça avant d’éclater de rire.

Je pose alors mes mains sur ses épaules et vient lui chuchoter à l’oreille qu’elle a bien mérité un petit massage, après tout ce temps à être sérieuse. Je commence alors un doux massage, mes mains parcours ses épaules et sa nuque. Elle laisse échapper un soupir de plaisir et ferme les yeux pour profiter de ce petit massage.

J’en profite pour dénuder ses épaules en entraînant les bretelles de son soutien-gorge. Un sourire se dessine sur son visage à ce moment et sa main vient caresser la bosse de mon jean.

Je masse ses épaules et sa nuque, j’y mêle des caresses et ose poser mes lèvres dans son cou. J’entends son souffle accélérer petit à petite et j’abandonne le massage pour lui prodigue de douces caresses accompagnées de petits baisers sur sa nuque et ses épaules.

Je fais alors descendre mes mains vers sa poitrine et les arrête à la limite du tissu. Elle garde les yeux fermés et se mordille parfois les lèvres.

Ses mains viennent se blottir dans mes cheveux pendant je lui embrasse le cou. C’est alors qu’elle décide de défaire son chignon et laisse ses cheveux recouvrir sa nuque.

« C’est trop facile pour toi si je les garde attachés » On explose de rire.

J’arrête mes caresses et la fais se lever. Je vois dans son regard une légère déception, qui disparait aussitôt qu’elle comprend ce que je compte faire. Je la pousse contre la table et l’aide à s’assoir dessus. Je reprends mes caresses et mes baisers sur le haut de son corps, m’approchant petit à petit de ses lèvres mais ne lui offrant pas mes lèvres aux siennes. Elle prend mon visage entre ses mains et m’embrasse, un doux baiser plein de désir et de sensualité.

Mes mains continuent de parcourir son corps en de douces caresses. Son chemisier se retrouve à terre suivit rapidement du soutien-gorge. Je pars alors à l’assaut de ses seins qui pointent déjà. Je me régale à lui sucer les tétons, les lécher les mordiller. Elle me laisse faire et savoure ce moment, ses mains dans mes cheveux.

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Un moment, je sens une légère pression m’instant à descendre, je la regarde et nous échangeons un sourire complice, nous savons tous les deux ce qu’elle aimerait que je fasse. Je saisi ses mains et lui plaque contre la table, je l’embrasse avec douceur et lui chuchote à l’oreille de ne pas bouger les mains si elle ne veut pas que j’arrête. Je lui retire sa jupe et découvre une jolie culotte assortit au haut, je tir la chaise et m’assois, la tête entre ses jambes. On se fixe les yeux dans les yeux alors que mes lèvres approchent du tissu.

Au dernier moment j’évite le tissu et vais embrasser ses cuisses, je fais le tour de son intimité sans jamais la toucher et prend plaisir à voir son désir augmenter dans ses yeux. Avec mes mains j’ai saisi sa culotte de chaque côté. Elle n’attend qu’une chose mais je veux la faire languir. Je lui rappelle alors que ses mains doivent restées sur la table si elle veut que je continu. Je vois l’humidité imprégner le tissu, et je décide alors d’y poser enfin les lèvres lui faisant échapper un petit cri de satisfaction.

Je remonte vers son visage et l’embrasse langoureusement. Un long baiser gourmand durant lequel je lui retire la dernière barrière entre son intimité et mes lèvres. Les miennes descendent doucement en déposant de petits baisers sur tout le haut de son corps, j’en profite pour lui titiller une nouvelle fois les seins, puis je me retrouve à nouveau entre ses jambes. Je peux alors admirer un joli mont de vénus rasé et luisant par le plaisir. Je la regarde à nouveau et lui souris.

Je vois ses mains se crisper sur la table juste avant de plonger la tête entre ses jambes. J’embrasse ses grandes lèvres avant de laisser ma langue explorer son intimité. Avec celle-ci je parcours son antre, je sens son miel qui coule déjà. Je trouve son bouton et ne peux m’empêcher d’avoir un rictus à l’idée de ce que je vais lui faire subir.

Au moment où je me mets à sucer son clito, elle laisse un gémissement s’échapper. Elle se penche en arrière pour que nos regards se croise et je vois dans ses yeux, une lueur de contentement. Je martyrise son bouton en le suçant, le léchant et le mordillant. Un moment, elle lève une de ses mains mais la repose immédiatement, se rappelant de ce que je lui ai dit.

Je la fais se coucher sur la table et prend sa main pour la glisser dans mes cheveux, elle gémit de satisfaction à ce moment. Je reprends mes assauts sur son mont de vénus avec ma langue, j’en profite pour caresser ses seins avec mes mains. Les siennes sont dans mes cheveux, m’indiquant que je lui donne du plaisir. Une de mes mains quitte ses seins pour rejoindre ma langue, j’introduis alors l’index dans sa grotte. L’endroit et chaud et très humide. Au moment

Au moment où je me décide d’ajouter un autre doigt, ses doigts se crispent sur ma tête, son corps commence à être parcouru de tremblements, sa respiration commence à s’accélérer et à devenir plus bruyante accompagnée de gémissement.

Je me régale de son miel, je lui dévore l’entre jambe alors que son corps commence à se crisper. Elle inonde ma bouche alors qu’elle se cambre de plaisir, dans un long gémissement. Ses mains me maintiennent la tête entre ses cuisses tout au long de son orgasme. Mais, bien qu’elle soit en plein orgasme, je n’arrête pas de lui sucer son bouton et de la fouiller de mes doigts.

Elle m’arrête en saisissant le col de ma chemise et me tir vers son visage afin de dévorer mes lèvres encore recouvertes de son miel. Après un long baiser, elle me dit que je suis un vilain gourmand, mais que je suis tout aussi doué pour la faire réviser que pour la dévorer.

Je l’embrasse à nouveau et l’aide à se relever, avant de l’amener sur le canapé. Alors qu’elle se remet de ses émotions, elle défait ma chemise, qui finit de l’autre côté du salon, et commence à embrasser mon torse.

On échange à nouveau de long baisers, alors qu’elle défait mon pantalon. Elle pense que s’est à son tour de me faire plaisir, mais je nous fais tourner et me retrouve au-dessus d’elle. Je luis fais un grand sourire et un clin d’œil, puis je replonge entre ses jambes pour martyriser une nouvelle fois son bouton d’amour. Elle ne me laisse pas jouer longtemps.

Elle saisit ma tête et me fait remonter. Elle a besoin que je laisse se reposer son mont de vénus et elle me fait comprendre qu’elle veut s’amuser elle aussi.

Je la laisse repasser sur moi puis l’aide à m’enlever ce qui reste de vêtement. Sans attendre, elle saisit mon sexe, qui est raide depuis un moment, de sa main et commence une douce masturbation accompagnée de sa langue. Elle joue avec mon gland turgescent et sa langue. Je ne peux retenir un long soupir au moment où elle me gobe en me regardant dans les yeux, elle commence à me sucer avec gourmandise, alternant entre coup de langue et prise en bouche. Elle n’oublie aucun endroit de mon sexe avec sa langue. Je glisse ma main dans ses cheveux pour en faire une queue de cheval, mais ne lui impose aucun rythme, je la laisse faire à son envie et à l’air d’apprécier que je la laisse maîtriser la situation.

Alors que je lâche ses cheveux et que je ferme les yeux pour profiter de cette divine fellation, elle s’arrête et se relève devant moi. Elle laisse échapper un petit rire, me voyant un peu déçu que se plaisir s’arrête. Elle vient m’embrasser et me glisse à l’oreille qu’elle revient de suite.

Elle revient avec un petit sac plastique d’où elle sort de quoi se protéger mutuellement et affiche un grand sourire en voyant que je suis toujours au garde à vous.

« Tu tiens la forme dis-moi »

Je me lève et l’embrasse avant de la pousser dans le canapé. Je me mets à genoux et lui écarte les jambes.

« Il s’est assez reposé je pense »

Je replonge ma tête et recommence à lui lécher et sucer la chatte et le clito, j’alterne entre son antre et son bouton, entre coups de langue et sussions et lui fais reprendre ses gémissements.

Après m’être délecter de son miel, je me redresse et présente mon sexe au sien, elle fait bouger ses hanches pour m’inviter à entrer, alors que je caresse son bouton avec mon gland. Je lui fais lâcher un cri de satisfaction lorsque je réponds à son invitation et entre en elle.

Je commence de petits allers retours, juste avec mon gland. Puis sans prévenir je m’introduis de tout mon long et lui fais échapper un cri de surprise. Je recommence alors mes mouvements en alternant entre amplitude et vitesse.

Sophie se mort les lèvres et s’offre complètement à moi, ses mains cherchent à saisir ma tête. Je la laisse faire afin qu’elle m’offre ses lèvres dans un nouveau baiser passionné. J’ai commencé à être plus vigoureux dans mes mouvements et elle a l’air d’apprécier ce changement. Lorsqu’on ne s’embrasse pas, elle a soit les yeux fermés soit elle soutient mon regard. Ses gémissements se font plus forts, elle a refermé ses jambes sur moi. Je lui glisse à l’oreille si elle veut que j’aille plus ou moins fort et elle me répond que je suis libre de choisir avant de me faire un petit clin d’œil.

Je décide alors de lui administrer quelques coups de butoir et lui arrache un « Oui !! » de plaisir. Sa tête et partie en arrière, j’en profite pour déposer quelques baisers dans son cou.

Nous changeons de position, elle vient sur moi et je lui laisse le contrôle, elle s’empale sans attendre et commence à me chevaucher. Elle aussi alterne entre vigueur et douceur jusqu’à s’arrêter et se crisper sur moi. Elle m’offre un baiser gourmand pour étouffer son cri de plaisir, elle s’est fait jouir une nouvelle fois.

Elle se retire alors et se mets à 4 pattes la tête sur le dossier du canapé. Je me présente derrière elle, mais alors que je m’apprête à prendre de nouveau son antre d’assaut, elle saisit mon sexe et le dirige vers son petit trou et m’invite à la pénétrer lentement.

Je me penche alors vers elle et l’informe que je ne suis pas très expert avec cette pratique et qu’elle doit me diriger. Elle se retourne, me sourit et m’embrasse avant de se remettre en position et de prendre mon sexe. Elle me guide dans la manière de fendre sa rosette et m’indique le rythme à adopter. Je m’y prends avec douceur en ne commençant que par le gland et faire de petits allers retours, m’introduisant un peu plus à chaque fois jusqu’à la pénétrer entièrement.

Je pratique de doux mouvement et attend son approbation pour accélérer, elle me guide, me fait comprendre comment lui donner du plaisir. J’accélère petit à petit, elle commence à nouveau à gémir. Je fini par lui limer son petit trou encourager par ses cris et ses demandes de ne pas m’arrêter, je lui tiens les cheveux et continue de lui prendre son petit trou jusqu’à m’écrouler après un puissant orgasme.

Je me mets à côté d’elle et là, elle me retire le préservatif et me prend en bouche. Après quelque coup de langue et avoir fait disparaître toute trace sur mon sexe, elle vient se blottir contre moi et m’embrasse.

On a passé la soirée ensemble en petite tenue, en regardant quelques cours blottis l’un contre l’autre.

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Merci pour ton texte qui éveille les sens @Game25!! J’adore ta façon de nous conter cette aventure et le plaisir que tu y a pris :blush:

Merci du Compliment, je fais de mon mieux pour vous transcrire ce qui s’est passé

Il y a d’ailleurs une suite à cette petite aventure :innocent:

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Après les rattrapages, j’ai repris contact avec Sophie pour savoir si tout s’était bien passé. Elle me répond par une invitation chez elle le lendemain pour aller en soirée ensemble.

Le lendemain, je me présente à l’heure convenue et me retrouve face à elle, vêtue d’une simple serviette de bain. Elle s’excuse de pas être prête, m’embrasse au bord des lèvre et repars dans sa chambre en laissant tomber sa serviette. La jolie vue qu’elle m’offre alors me donne une belle érection que je dois calmer. Et oui on sort ce soir et nous sommes attendus. Elle réapparaît dans une magnifique robe de soirée qui la met en valeur.

Nous partons à pied vers la soirée, elle accrochée à mon bras. Je profite du trajet pour lui dire qu’elle est splendide et que si elle me tient comme ça toute la soirée, je vais faire des jaloux. Elle me sourit et m’offre un doux baiser. J’apprends qu’elle a validé son année et qu’elle estime que c’est grâce à moi.

Nous arrivons à la soirée, elle me présente comme celui qui l’a aidé à valider son année mais aussi comme son cavalier exclusif pour la soirée. Elle glisse à une de ses amies que je suis en chasse gardée, elles éclatent de rire.

Je comprends au cours de la soirée, que je joue aussi le rôle de celui qui maintien à distance quelques prétendants un peu trop insistant, à chaque fois que l’un d’entre eux s’approche, elle m’embrasse sur la joue ou me prend par la main.

Je croise l’ami qui nous a présenté, on discute un temps alors que ma cavalière profite de ses amies. Alors qu’on discute, un prétendant s’incruste et me demande comment je m’y suis pris pour aider Sophie. Sans me dégonfler, je lui dis que je l’ai fait bosser pendant une semaine complète, en prenant le temps de lui expliquer de différentes façons. J’évite bien sûr toutes allusion à nos petits jeux et au fait qu’elle s’est offerte à moi. Je sens qu’il veut savoir si je suis en couple avec elle, pas étonnant vu le petit jeu qu’elle joue pour les éviter.

C’est alors qu’elle vient me sauver, car la conversation devient oppressante, en venant m’enlacer et me demander de venir avec elle. Je me lève sans attendre et l’accompagne jusqu’à ses amies. Durant le trajet, je la remercie de m’avoir sortie de cette situation et que je comprenais son petit jeu. On discute un peu avec les autres filles, elle est assise sur mes genoux et tient mes bras de manière à ce que je l’enlace. Tout au long de la conversation, elle s’amuse à bouger légèrement ses hanches. Bien entendu, son petit jeu fait son effet et elle me souris quand elle sans la bosse dans mon pantalon.

La soirée avance bien, et vient le moment des danses et des fameux jeux d’étudiants. Elle profite de ce moment pour nous isoler dans une pièce où elle me demande de la prendre dans mes bras. Je m’exécute et elle profite de ce petit moment de tendresse pour poser ses lèvres sur mon cou et m’embrasser. Une de ses mains glisse vers mon pantalon et caresse cette bosse qui commence à devenir permanente. Il faut dire que son petit jeu m’excite au plus haut point et le fait de s’isoler me donne des idées. Mais je vois qu’elle aussi à une idée derrière la tête, elle s’agenouille et défait mon pantalon, elle libère mon sexe tendu et souris, satisfaite de savoir qu’elle m’excite beaucoup.

Je la regarde me masturber lentement, elle sort sa langue et commence des allers retours le long de mon sexe.

J’entends les autres rire, ils n’ont pas l’air de s’être rendu compte de notre absence. Ma vigilance est mise à mal au moment où ses lèvres se saisissent de mon sexe et commence enfoncer mon sexe de toute sa taille. Elle commence une fellation délicieuse me regardant dans les yeux. Cette situation nous excite au plus haut point, mais nous obligés de nous arrêter car une de ses amies nous appelle. Je l’aide à se relever et la prend dans mes bras alors que la porte s’ouvre. Elle se colle à moi pour cacher l’ouverture de mon pantalon, c’est un de ses prétendant qui se tient au seuil de la porte. C’est notre hôtesse qui nous en débarrasse en le sermonnant, qu’il doit foutre la paix à Sophie et qu’on s’était isolé car elle est trop pudique pour un câlin en public.

De nouveau tous les deux, elle range mon sexe et referme mon pantalon. Elle en profite pour me dire que ce n’est qu’un avant-gout du reste de la soirée.

Nous continuons la soirée avec les autres, elle assise sur mes genoux. Je remarque alors qu’elle ne porte pas de soutien-gorge ce soir. Sentant le regarde insistant de celui qui a failli nous surprendre, je glisse à l’oreille de Sophie, que c’est elle qui décide si elle veut partir, car je vois bien qu’elle est agacée.

Nous quittons donc la soirée et je la ramène chez elle. Durant le trajet, je me demande si je ne fais que la raccompagner ou si je reste un peu avec elle. Je n’ai pas le temps de décider, elle l’a fait pour moi.

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Arrivé en bas de chez elle, Sophie saisit ma tête entre ses mains et m’offre un baiser chaud et gourmand, elle me dévore les lèvres, sa langue cherche la mienne qui ne tarde pas à lui répondre. Je n’ai pas les temps de reprendre totalement mes esprits qu’elle me prend par la main et m’emmène chez elle. A peine passé la porte de son appartement et celle-ci verrouillée, je la plaque contre le mur de l’entrée pour lui rendre se baiser passionné. Mes mains parcourent ses épaules et confirment ce que j’avais vu pendant la soirée, en haut, il n’y a que sa robe.

Alors que je pense l’entrainer sur le canapé, elle me retient puis m’entraine dans sa chambre et me fait tomber sur le lit. Elle se penche sur moi pour m’embrasser. Je lance mes mains à l’assaut de son corps pour la caresser, mais elle s’en saisit et les positionnes au-dessus de ma tête, je me laisse faire, elle prend le contrôle de la situation et veux jouer avec moi. Elle me déshabille lentement accompagner de petits baisers sur chaque partie qu’elle dénude.

Je me retrouve nu, couché devant elle qui affiche un grand sourire à la vue de l’effet qu’elle produit sur moi. Elle se saisit délicatement de mon sexe au garde à vous et commence une lente et douce masturbation. Elle m’offre une nouvelle fois ses lèvres dans un baiser suave, avant de descendre lentement et de refermer celles-ci sur mon gland. Commence alors une délicieuse fellation qui alterne sucions, coups de langue et disparition complète entre ses lèvres gourmande.

Je suis à la limite de jouir, mais je ne veux pas défaillir maintenant, je la préviens que si elle continue comme ça je ne vais pas tenir. Elle relâche alors mon sexe et se redresse. Elle fait glisser sa robe, et je découvre que la misse a passé la soirée nue sous sa robe. Cette idée me donne l’impression que mon sexe se raidi encore plus alors qu’il est déjà bien dressé. Je me lève d’un coup (j’avoue quand y repensant je ne sais pas comment j’ai fait), la prend dans mes bras et l’embrasse.

Cette fois c’est moi qui la pousse sur le lit, je me penche sur elle et commence de longues caresses accompagnées de mes lèvres et de ma langue. Je parcours sont corps, m’attardant sur ses seins, son ventre et l’intérieur de ses cuisses. J’évite soigneusement son trésor qui est déjà luisant, je m’y approche mais m’en éloigne juste avant de le toucher.

- Vilain, tu me fais languir

- Pudique

On éclate de rire et je viens l’embrasser. J’en profite pour lui dire de ne pas oublier de remercier son amie. Avant qu’elle ne réponde, je redescends rapidement et plonge entre ses jambes. Je commence à lécher ses grandes lèvres, les suces, puis je remonte doucement vers sont bouton. Elle écarte les jambes pour s’offrir encore plus à ma gourmandise. Je prends d’assaut sont clito, ma langue s’amuse à le titiller, le lécher. Je croise son regard au moment où je commence à lui sucer, sa tête part en arrière et ses mains se glissent dans mes cheveux. Je la dévore, me régale de son miel, je sens le bas de son ventre trembler légèrement.

Mes mains partent à l’assaut de ses seins, je lui caresse, lui titille et pince les tétons. Elle laisse échapper un cri de plaisir suivit de gémissements. Elle ne cache pas son plaisir et je me régale de continuer mes assauts. Ma main droite quitte ses seins pour aider ma langue. Elle prend ma main gauche et commence à sucer mes doigts. Je commence à introduire deux doigts dans son antre alors que j’intensifie les assauts de mes lèvres et ma langue sur son bouton d’amour. Sa main se crispe dans mes cheveux, son corps tremble, elle laisse échapper un long gémissement et je sens son antre se contracter sur mes doigts. Son corps se cambre au moment de son orgasme, sa main m’impose de rester entre ses jambes.

Je la laisse reprendre un peu ses esprits avant de repartir à l’assaut de son mont de vénus. Je réintroduis deux doigts et décide de les courber légèrement, je recommence également de lui sucer le clito.

« Hummmm, gourmand. Ne t’arrête pas »

Elle me laisse faire, elle est offerte à ma gourmandise.

Je continue de jouer avec ma langue entre ses jambes jusqu’à ce que son corps recommence à trembler. C’est à ce moment qu’elle m’arrête et me demande un baiser.

Elle se place à califourchon sur moi, s’empale lentement et me fait la pénétrer jusqu’à la garde avant de commencer de lents mouvements. Elle me regarde dans les yeux en accélérant petit à petit le mouvement de ses hanches. Mes mains en profitent pour lui caresser les seins, dont les tétons sont toujours dressés.

Alors qu’elle se penche pour prendre mes lèvres, je nous fais rouler pour me retrouver à nouveau sur elle, puis je prends le contrôle de la situation. Je commence de lents allers retours, en prenant le temps de la pénétrer au maximum et de retirer mon sexe à chaque fois. Je la vois fermer les yeux et se mordre les lèvres sous mes coups de rein. J’accélère progressivement et commence à lui arracher quelques gémissements.

Je décide de mettre ses jambes sur mes épaules avant d’accélérer mon mouvement, je vois alors un sourire se dessiner sur son visage. Mes coups de rein s’intensifient, mais je me permets de varier le rythme de temps en temps. Ses gémissements se font plus bruyants et ses mains se glisse dans mes cheveux.

Mes assauts ont raison d’elle et je sens mon sexe être contacté par les parois de son antre, elle agrippe mes cheveux et m’impose un long baiser pour étouffer son râle.

Je me retire et la fais mettre en position de levrette. Son intimité est inondée et j’avoue que la sensation est très agréable. Je réalise quelques assauts puis me retire, je me penche vers son oreille et lui demande si elle veut voir si j’ai bien retenu la leçon qu’elle m’a donné. Je n’ai en réponse qu’un gémissement et le mouvement de ses hanches qui m’invitent à m’occuper de son petit trou.

Je commence par une douce pénétration et enfonce petit à petit et très lentement mon sexe entre ses fesses. Je peux voir ses mains se crisper sur la couette de son lit, et l’entend me dire de ne surtout pas m’arrêter. Je continue de m’occuper de son petit trou jusqu’à sentir que je vais exploser, mais là elle me repousse. Je suis surpris et un peu frustré, mais cela ne dure pas longtemps.

Elle se retourne et se saisit de mon sexe entre ses lèvres, elle emprisonne mon gland entre ses lèvres jusqu’à sentir mon sexe exploser sur sa langue. Elle continue de me sucer un petit peu. Lorsqu’elle me libère, je la redresse pour l’embrasser, c’est là que je me rends compte qu’elle a tout avalé.

On s’effondre côte à côte et on s’endort enlacés. Le lendemain, je l’ai refait jouir sur ma langue pour la remercier de la nuit qu’elle m’avait fait passer.

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