Au camping

Une aventure qui s’est déroulé début juin 2009

Cette nuit, nos voisins de camping font un raffut du diable vers 3 h du mat, cela fait 2h que nous sommes couchés et les bras de Morphée nous avaient accueillis

Alors que le bruit extérieur me réveille je découvre ta main sur mon corps !
Tes doigts enserrent mon sexe, qui lui, avait remarqué ta présence bien avant moi étant donné cette légère érection naissante.
Je te dis des mots doux mais rien n’y fait, tu ne réagis pas, tu es bien endormi tenant en main ma verge qui maintenant se gonfle de plus en plus rapidement de désir.
Je suis ennuyé, car sachant qu’avec le bruit de nos voisins, tu risques de ne pas réussir à te rendormir, je préfère me libérer de ton emprise sans te réveiller.

Mais je compte bien garder une trace de ce délit nocturne !
Dans la pénombre je trouve enfin mon téléphone et prends une photo de cette main baladeuse.
Malheureusement cette preuve ne sera jamais jugée recevable devant le tribunal des bonnes mœurs, car le manque de lumière ne donne qu’une photo noire.
J’aurai du y penser, mais je crois que le sang ne montait déjà plus vers mon cerveau à ce moment là et rester au niveau de la ceinture.

Je décide donc de me libérer de cette douce tenaille… Non rien n’y fait, j’essaye de m’éloigner (chose ardu dans une tente), ta main suit le mouvement et ne me libère pas.
Je fais quelques mouvements de bassin pour me sortir de ce piége, mais le mouvement de tes doigts sur ma verge ne font qu’augmenter mon désir, et si je parviens à desserrer légèrement ton étreinte, mon sexe rempli rapidement ce nouvel espace libre.

Finalement je craque, je décide de m’occuper de ton cas et tant pis pour ton sommeil ( de toute façon, c’est toi qui a commencé…)
Je dépose un léger baiser sur tes lèvres, je te susurre des mots d’amour, ma main se pose sur ton duvet… mince c’est vrai on est au camping, moi je crève de chaud je suis nu sur mon duvet et toi ma belle tu avais froid alors tu es emmitouflée au fond du tiens avec un tee-shirt et un caleçon. Je ne suis pas sorti de l’auberge !

Tout en recouvrant ton cou de baiser je parviens à trouver l’ouverture pour accéder à ta poitrine. Mais je n’y accède pour l’instant qu’à travers ton tee-shirt, ce qui ne m’empêche pas de jouer délicatement avec tes tétons, qui semblent tout comme toi endormis.
Je pose à nouveau un baiser sur tes lèvres, mais aucune réaction, alors ma langue glisse sur celles-ci sans pour autant chercher à rentrer à la recherche de ta langue. Le goût de tes lèvres m’électrise le corps et ma main trouve à glisser sous ton haut afin de caresser ces mamelons que j’aime tant.

Bien que tu dormes, je ne cesse de te dire que je t’aime.
Ma langue à nouveau parcourt ta bouche et ma main décide de ce frayer un chemin jusqu’à ta fleur. Difficilement j’arrive à glisser un doigt pour sentir ton mon de vénus, et atteindre cette zone si convoitée.
Mon doigt tant bien que mal parcourt délicatement ta fleur alors que mes lèvres se font plus insistantes sur ta bouche. Je ressors mon doigt de ton caleçon pour le glisser dans ma bouche et retrouver ce goût de délice.
Alors que ma main se pose à nouveau sur tes seins, il me semble remarquer une légère différence. Oui je le sens sous mes doigts, tes tétons sont en phase de réveil.
Ma main repart vers l’intérieur de tes cuisses mais cette fois ci, elle ne prend pas la peine de glisser sous ton caleçon.
Je frotte à travers le tissu ton sexe, avec de plus en plus d’insistance, lorsque j’entends un petit râle. Ce n’est pas un râle de désapprobation malgré l’heure tardive mais bien un râle de plaisir.
Je sens tes cuisses s’ouvrir, et ma langue rencontre enfin la tienne pour un ballet nocturne.
Tu prends ma main et la plaque encore plus fort sur ton sexe, (au fait cela fait déjà quelques minutes que tu as lâché mon sexe, mais je n’y prêtais plus guère attention tellement c’était ton corps qui comptait à présent)
Nos jambes s’emmêlent, au même rythme que nos langues, ma main toujours sur ta fleur à travers le tissu ; Mais tu l’emmène sous l’élastique de ton bas pour y découvrir tes lèvres humides de plaisir. Petit à petit mon doigt s’aventure en toi, je te sens vibrer sous son exploration. Tu es chaude et ton jus coule sur mes doigts.
Je ressors mon doigt de ta caverne, pour venir le glisser entre nos de bouche. Nous partageons ton nectar.
D’un mouvement rapide tu éjecte ton duvet et ton caleçon suit dans le mouvement .
Ma bouche se jette entre tes cuisses, et ma langue trouve immédiatement ton clitoris pour jouer avec.
Mes dents le mordille, mes lèvres le suçote, ma langue s’insinue en toi et après quelques instants, tes mains agrippent ma tête pour la bloquer sur ta fleur. Ton corps se cambre, je sens ta jouissance venir traverser ma bouche.
Tu te retiens de crier, et m’enserre d’autant plus la tête.

Ton corps se repose au sol, ta respiration saccadée à du mal à retrouver son rythme.
Je ne vois pas tes yeux dans la pénombre mais je sais qu’ils doivent briller de bonheur.

Je me couche à tes coté et te dis encore et encore et encore combien je t’aime.

Je ne le savais pas encore mais c’était la dernière fois que nous faisions l’amour

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C’est super beau … merci pour ton partage

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Toujours un plaisir à lire…tes mots sont très doux et tu décris ce moment avec tellement de tendresse qu’on ressent qu’il est gravé en toi.

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