Cela fait 15 jours que nous avons planifié notre rendez-vous, aujourd’hui comme tous les jeudis tu fais de l’équitation , nous avons rendez-vous après au bar du village.
Mais cela fait déjà 14 jours que je me dis que je ne peux attendre. C’est pour cela que ce matin je suis venu au centre d’équitation et non pas au bar.
Lorsque j’arrive, je remarque que le parking est quasiment désert, il faut être motivé pour monter par des jours de froid pareil.
Je t’aperçois au loin, en train de sauter d’obstacle en obstacle tel une amazone sur son destrier.
Je m’approche et m’appuie sur la barrière, je suis béat devant cette vision sortie d’un film qui s’offre à moi. Cette magnifique femme fière et concentrée, galopant sur son cheval au milieu d’un halo de brume dégagé par les efforts de sa monture. Enfin nos regards se croisent, je vois ton visage s’illuminer de se sourire que j’aime tant. Tu arrêtes ta monture devant moi, tes grands yeux marrons me transpercent, quel doux supplice… Tu me dis de te suivre, tu vas vite rentrer ta monture afin que nous puissions aller boire ce verre initialement prévu.
Lorsque tu descends de ton cheval, je ne peux qu’admirer la courbe de tes fesses mises en valeur par ton pantalon d’équitation.
A peine ta monture accrochée dans son box, je viens te saisir par la taille, et viens déposé mes lèvres dans ton cou. Je te sens frémir sous mes baisers.
Ce sont nos lèvres qui maintenant se rencontrent, dés le contact se réalise, nos langues se joignent l’une à l’autre dans une valse fougueuse.
Mon cerveau est en ébullition, je saisi à pleine main des fesses. Je te serre contre moi tellement fort que tu dois sentir l’érection qui se forme dans mon pantalon. Tu grognes tout en glissant tes mains fraiches dans mon pantalon. Tu griffes mes fesses alors que tu coinces ma lèvre inférieure entre tes dents. Je glisse à mon tour mes mains gelées sous ton pull, au contact de ton corps le long de ton dos. Ce contact à pour effet de relâcher l’étreinte de tes dents.
J’en profite alors pour te retourner et plaquer contre la paroi de l’écurie.
J’admire ce magnifique cul galbé par ce pantalon, je viens y collé mon bassin marqué par cette furieuse érection que tu provoques.
Mes mains remontent le long de tes cuisses, passant par l’intérieur de celle-ci, survolant ton pubis sans y faire plus attention. Je continue sur ton ventre, mes mains sont toujours fraiches et tu trésailles lorsque qu’elles entourent ton nombril.
J’arrive au contact de ton soutien-gorge. Je prends ta poitrine à pleines mains, je te dis des mots doux, je t’embrasse dans le cou et je sens tes fesses se frotter à la bosse qui déforme mon pantalon.
Mes doigts jouent à la lisière du tissus de ton soutien gorge et glissent sur la peau douce de tes seins.
Je me jette dans ton dos pour défaire ce dessous qui m’empêche d’avoir le contact plein et entier avec ta poitrine.
Enfin elle est libre, mes mains se place en dessous, je les prends avec délicatesse, je les cajole, les caresse, les malaxe…
Tes tétons sont durs mais est ce le froid, l’excitation ou les deux ? Peut importe, je joue avec eux, ils roulent entre mes doigts, je les pinces tout en te mordillant l’oreille.
Tes fesses se pressent contre mon corps…
Mes mains abandonnent ta douce poitrine, et viennent délicatement défaire les boutons de ton pantalon…
Je peux alors enfin glisser un doigt sous l’élastique de ton short y, et là quelle surprise, je ne rencontre aucun poil… alors que dans mes souvenirs ne remontant qu’à deux jours, lors de notre dernier petit jeu par sms, une légère toison m’était apparu.
Tout comme moi tu n’avais certainement pas l’intension de ne faire que boire un verre en cette froide matinée.
Mes doigts s’aventure au delà de cette zone imberbe pour enfin sentir la naissance de tes lèvres. Là sans aucune surprise, je les trouve humide de désir.
Je n’ai besoin que d’un doigt pour te faire frémir. Il se place le plus bas possible au fond de ton shorty et remonte délicatement le long de tes lèvres humides. De doux va et vient, le long de celles ci sans jamais trop appuyer dessus…
Mon autre bras t’enserre, et tiens l’un de tes seins fermement. Plus j’accélère mes voyages sur tes lèvres et plus tes fesses dansent contre ma verge toujours enfermée dans mon pantalon.
A chaque passage mon doigt s’insinue un peu plus entre tes lèvres, à chaque passage mon doigt s’attarde un peu plus sur ton bouton gorgée de désir.
Ton souffle s’accélère, ton corps se cambre comme une invitation, que d’ailleurs je ne refuse pas. J’introduis en toi mon doigt que je retire immédiatement afin de le porter à ma bouche pour connaitre le goût de ton nectar.
Tu râles, alors il revient en toi pour commencer de long va et viens tout en prenant soins de caresser les parois de ton antre.
Mon pouce s’occupant de ton clito, ma main gauche jouant avec l’un de tes tétons, ma main droite s’active de plus en plus rapidement sur ton sexe.
Tu te frottes de plus en plus à moi, ce n’est plus un simple soupir mais c’est un souffle de jouissance qui est en train de monter en toi.
Je sens ton corps se contracter, tu serres tes cuisses si fort que je ne bouger ma main qui se retrouve prisonnière dans ta culotte. C’est un râle profond de bonheur qui sort de ta gorge. Tu trembles là dans mes bras. Je dépose un baiser dans ton cou.
Tu retires ma main de ton shorty, et portes mes doigts humides de ta jouissance à ta bouche.
Tu te retournes pour pouvoir m’embrasser à pleine bouche et partagée ce doux nectar .
Maintenant je m’occupe de toi me dis tu .
D’une main experte, tu défais ma ceinture. La pression sanguine monte dans ma tête.
Ta langue joue dans ma bouche alors que tu déboutonnes mon jean, ce coup-ci tu as eu besoin de tes deux mains…
Tu fais glisser mon pantalon, passant difficilement la bosse de mon érection. A peine se retrouve t’il sous cet obstacle, mon sexe, se sentant libéré de cette emprise qui devenait presque douloureuse, se redresse à la verticale.
Je me retrouve le gland gonflé de désir dépassant de l’élastique de mon boxer. Quittant ma bouche pour descendre mon jean jusqu’à mes chevilles, tu aperçois, rouge et turgescent, mon gland qui n’attends que toi.
Tu y déposes un baiser, puis ta langue parcourt son frein, mon cerveau bout de désir.
Je pose ma main sur ta tête, j’ai envie de te pousser à prendre mon sexe en bouche car je ne tiens plus… mais je te laisse faire avec ton tempo.
D’ailleurs tu ne tardes pas à le libérer complètement en baissant mon boxer sur mes chevilles. Mon sexe est là, raide et digne devant toi, pointé vers le ciel et enfin totalement libre.
Et toi, tu es là, à genoux, dans une position presque obscène de soumission. Mais ce n’est qu’une scène de désir partagé.
Tu prends en main ma verge pour l’orienter vers ta bouche. Ta langue fait le tour de mon gland. Lorsqu’elle passe sur le dessus, de micro-décharges électriques me traverse le cerveau.
Ta langue parcourt mon sexe de mes testicules jusqu’à son sommet, je frémis à chaque fois. Tu souffles sur mon gland, tu y déposes un baiser puis petit à petit tu l’enfonce dans ta bouche.
Cette bouche chaude et humide est merveilleuse. Tu commences de doux va et vient, parfois tu fais passer tes dents sur mon gland, provoquant une contraction de tout mon corps, histoire de me rappeler que c’est toi qui à le contrôle des choses.
Je ne pensais pas que ma verge pouvait encore se gonfler de désir et pourtant je la sens encore prendre du volume plus tu la suces, aspire et lèche.
Je sens que je vais bientôt jouir, je te le signale pour éviter de finir si vite, mais tu n’en as que faire.
Ta main me branle et ta bouche entoure mon gland… je commence à râler de plaisir tu sens que c’est proche mais tu ne te dérobes pas.
D’un coup mais jambes faiblissent lorsque une énorme giclée part dans ta bouche. 3 autres saccades suivent, ce qui remplie ta bouche de mon jus chaud. J’ai du mal à rester debout tellement cette jouissance fut violente, mon cerveau est en off…
Je te regarde là devant moi, à mes pieds, en train de te lécher les lèvres. Je te redresse et t’embrasse à pleine bouche. Nous avons partagé le gout de ta jouissance, je veux également partager la mienne…
Je suis tellement bien avec toi et je sens que cette journée ensemble n’est vraiment pas finie !