Concours d'écriture

Un petit concours d’écriture cela vous tente alors suivez moi c’est ici que cela se passe :grin:

Ce concours sera Réalisé 1 fois par mois , un thème différent sera proposée à chaque fois par le gagnant . Le texte qui remportera le plus de j’aime gagnera.

Vous aurez 15 jours pour pour écrire votre récit . Il devra comporter au minimum 350 mots .

Puisque je lance le concours je vous donne le premier thème.

Le thème est dîner entre collègues

Vous aurez jusqu’à 24 février 21h pour poster vos textes

A vos plumes éveillez nos sens , donnez nous envie .

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Nous sommes vendredi ce soir, c’est enfin le week-end. Cette semaine a été dingue et j’ai vraiment besoin de décompresser. Pour cela, je décide d’organiser un p’tit dîner avec deux ou trois collègues.
Il est à peine neuf heures, Samuel, Delphine, Raphaël et moi, nous retrouvons en salle de pause pour un café avant d’entamer la journée. Je leur propose mon idée d’un dîner chez moi ce soir, sans hésiter, il accepte tous.
La journée est finie, je cours chez le traiteur chinois en bas de chez moi et achète tout ce dont j’ai besoin. Je passe aussi par l’épicerie pour l’alcool, deux bouteilles de rhum devraient faire l’affaire.

21 h les deux garçons sont là. Samuel et Raphaël se sont mis sur leurs 31 et ils sont à croquer, j’avoue que j’ai un faible pour eux. Delphine m’appelle, elle a imprévu, elle ne peut pas venir. Je me retrouve donc la seule femme avec deux beaux gosses.
J’annonce aux garçons que finalement, nous ne serons que trois, il se regarde et je vois une étincelle lubrique passée dans leurs yeux. La soirée avance tranquillement, l’alcool commence à chauffer, je suis installé entre Samuel et Raphaël sur le canapé. L’ambiance est détendue, on rit jusqu’au moment où je ne sais pourquoi tout change. Samuel pose la main sur ma cuisse, il me caresse du bout des doigts, je me tourne vers lui. Il attrape mes cheveux dans son poing penche ma tête et m’embrasse sauvagement. Je suis totalement à sa merci et il me fait un effet de ouf, mon tanga est déjà trempé.

J’en ai même oublié Raphaël, mais très vite, il rentre dans le jeu. Pendant que Samuel m’embrasse, Raphaël se colle dans mon dos et empoigne mes seins. Je ne contrôle plus rien, mais j’adore cela, très vite, je me retrouve nue sous leurs mains. Je n’ai jamais vécu cela. En plus de leurs mains, leurs bouches entrent en action, un dévore mes tétons, les lèche, les mordille pendant que l’autre est entre mes cuisses, il titille mon clitoris, je ne suis plus que plaisir. Je ne pense plus qu’à une chose, c’est qu’il me possède.

Samuel abandonne ma poitrine, se lève et quitte la pièce. Raphaël lui continue de butiner mon sexe, il y joint un doigt puis un deuxième. Sous son traitement, j’explose de jouissance. Samuel réapparaît avec une boîte de préservatifs, je vois que Mr avait déjà prévu que la soirée déraperait.

Il en enfile un, s’assoit et m’invite à m’empaler sur sa queue dressée dos à lui. Je m’empale sur lui et commence à onduler du bassin mon Dieu que c’est bon. Raphaël quant à lui vient se placer debout face à moi, il me présente sa queue pour que je la suce, je ne me fais pas prier et l’engloutis entre mes lèvres. Samuel mes fesses entre ces mains me fait coulisser sur sa queue de plus en plus vite, je gémis de plaisir sur la queue de Raphaël. Samuel est le premier à lâcher prise et jouit au fond de moi, je le suis dans un cri et Raphaël fini en jouissant dans ma bouche.

Je pense que l’on en a fini, mais non Raphaël veut aussi me prendre. Il me fait me mettre à quatre pattes et vient me pilonner sans retenue. Samuel ne reste pas sans rien faire, il se glisse sous moi et place sa bouche sur mon clitoris. Wahouu ils vont me rendre folle, Samuel se masturbe en même temps. Encore une fois, il ne faut pas longtemps pour que nous jouissions à quelques minutes d’intervalle. Cette fois, on est rassasié. Nous restons blotties tous les trois sur le canapé le temps de reprendre nos esprits. Au petit matin, les garçons partent, ils me disent qu’ils ont déjà hâte au prochain dîner. J’avoue que moi aussi. Nous n’avons même pas mangé au final tellement nous étions partis dans un autre monde .

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115 mots de trop ça passe quand même ?

Oui 350 mots c’est le minimum tu peux en mettre autant que tu veux

Un sujet à relancer ou pas ?

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On relance un défi ? Rhooô ouiii…une petite écriture à thème ? :pray:

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Cela serait sympa en effet de le relancer :smiling_face:

On crée un sujet. On propose des thèmes et on organise un sondage pour définir le thème élu?

Super idée

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Alors go go go !

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Et si on relançait un petit jeux sur l’écriture d un récit .

Le thème des 7 péchés capitaux vous plairait il ?

Ah oui ça me plaît !
Un petit rappel des consignes ?

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Alors les consignes

  • 350 mots minimum
  • choisir un des 7 péchés capitaux
  • 10 jours pour participer
  • celui qui a le plus de j’aime gagnera ( quoi je ne sais pas :rofl:)
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Gagne un strip tease privé du membre de son choix :stuck_out_tongue_winking_eye:

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Bonne idée :wink:

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Gourmandise

Je suis vendeuse en pâtisserie depuis plusieurs années et aujourd’hui un nouveau pâtissier rejoint le magasin. Lorsqu’il arrive a 6 h pour sa première journée, il n’y a que moi pour l’ accueillir, il est plutôt charmant, il est châtain avec des yeux d’un vert ou il serait facile de se perdre. Je lui fait montrer le laboratoire où il va travailler et le laisse prendre ses marques.

Pour ma part je repars au magasin tout mettre en place, en milieu de matinée, je retourne voir Raphaël, il est en pleine préparation, je lui demande si tout va bien, il me répond que oui avec un magnifique sourire. Oh mon dieu ce sourire, il me fait totalement chavirer mais non je ne dois pas penser à autre chose qu’au boulot.

Mais bordel, je ferais bien des choses interdites au moins de 18 ans avec lui sur le plan de travail. La journée se termine, je ferme la boutique, je file au vestiaire me changer pensant que je suis seule, je retire mes habits quand soudain la porte s’ouvre. Je suis en sous-vêtements et devant moi se tient Raphaël, il est hypnotisé par mon corps. Rapidement j’attrape ce que j’ai sous la main pour me couvrir, Raphaël revient à lui et se retourne et me présente ses excuses. J’enfile un jeans et un pull et lui dit que c’est bon je suis présentable, il est encore tout rouge de m’avoir vu à moitié nue.

Je lui fait comprendre que cela n’est pas bien grave. Je dois avouer au fond de moi même que j’ai aimé sentir son regard d’envie sur moi.

Nous nous disons au revoir et quittons notre lieu de travail.

La semaine arrive à sa fin . Lorsque je ferme la boutique,je vois que Raphaël est encore au laboratoire, je passe le voir et lui dit qu’ il est temps de partir, il est en train de battre une chantilly. Je m’ approche et trempé mon doigt dans la préparation avant de l’amener délicatement à mes lèvres. Je lèche mes doigts tout en le regardant puis ma langue caresse les lèvres pour ne pas laisser une trace de cette gourmandise, j’avoue qu’ en même temps j’allume un peu l’homme qui me regarde avec envie.

Apparemment son envie prend le dessus car il s’approche de moi, son pouce glisse sur mes lèvres pour retirer la chantilly qu’il reste , il le glisse ensuite entre mes lèvres et je m’empresse de le sucer. N’y tenant plus je m’approche encore plus et l’embrasse fougueusement, il ne me repousse pas bien au contraire, nos langues se cherchent et se trouvent , nos mains découvrent nos corps à travers nos vêtements. Mais au bout de quelques minutes cela ne nous suffit pas, on en veut beaucoup plus, la chaleur entre nous est montée d’ un cran. Raphaël me prend par les hanches et m’assois sur le marbre qui est derrière moi, il me retire mon tee shirt et sa bouche glisse vers mes seins encore couverts de dentelle. Très vite, il fait glisser une bretelle puis le deuxième, mes seins pointent , il en attrape un entre ses lèvres et le suce. Un gémissement s’échappe de ma bouche tellement c’est bon, il ne s’ arrête pas là, sa bouche descend sur mon ventre, il dégrafe mon pantalon avant de le faire glisser sur mes cuisses. Sa bouche se retrouve sur ma culotte qui est trempée de désir, je ne sens même pas le froid du marbre ou je suis assise tellement je suis bouillante.

Ma culotte prends le même chemin que mon jeans, Raphaël me fait m’allonger, il passe mes cuisses sur ses épaules et avant de me déguster il passe le doigt dans le saladier a côté de lui, il pose sur mon sexe de la chantilly et enfin il me déguste. Sa langue me lèche de haut en bas, mes gémissements emplissent le laboratoire. Je lui dit que j’ai très envie de lui, qu’il va me faire jouir ainsi, il me regarde puis continue, je n’arrive plus à contrôler la chaleur qui m’envahit et sur un dernier coup de langue je jouit sur ses lèvres. Lentement je redescends de mon nuage mais hors de question de s’arrêter là, je me redresse, et dit a Raphaël que je le veux en moi maintenant mais qu’ avant je veux le goûter.

Sans attendre, je descends de là où je suis assise, je le déshabille en un clin d’œil, il est là dressée en face de moi et tout comme lui je me saisi de chantilly avant de le déguster. Ma langue joue sur sa longueur, sur son gland et au vu de ses grognements il apprécie beaucoup. D’un seul coup, il me relève me penche en avant sur le plan de travail, il enfile un préservatif et se place derrière moi. Lentement il me pénètre, il me met au supplice, puis d’ un coup de reins il me pénètre totalement, il commence de long va et vient doux puis de plus en plus rapide. Le plaisir monte pour tous les deux, il glisse ses doigts sur mon clitoris tout en continuant de me prendre fort. Très vite, je ne tiens plus et me laisse une nouvelle fois aller à la jouissance, Raphaël me rejoint très vite. Suite à ce moment charnel totalement inattendu nous nous enlaçons et nous échangeons un baiser doux et tendre.

Après cette première fois torride, nous avons recommencé à plusieurs reprises en changeant de gourmandise a chaque fois :wink:

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Colère

Tu es chez moi depuis à peine 1heure et pourtant le ton est monté très vite. Mon regard noir te transperce de ma rage, comment peux-tu me mettre dans un tel état ?
Dès le premier jour, à l’instant où mes yeux se sont plongés dans les tiens j’ai senti que nous deux c’était différent. C’était électrique, même autour de nous les gens l’ont perçu. Si j’avais pu t’arracher les vêtements sur la terrasse de café je l’aurais fait !
Et encore à l’instant, alors que j’ai envie de te crier que je te hais, tu m’attires, ce paradoxe attise un peu plus ma rage, pourquoi mon corps me fait-il ressentir cela. N’est il pas en phase avec mon esprit ?
Je me rapproche de toi et je te balance une réplique bien sanglante, je sais parfaitement appuyer là où ça fait mal. J’aperçois tes zygomatiques se crisper et tu me saisis le bras … contact … merde ! Tu sais l’effet qu’un contact procure. Alors je t’embrasse et je te mords la lèvre, un petit goût de sang se fait ressentir et tu forces le passage pour posséder ma langue. C’est un peu trop fougueux. Tu me pousses vers le canapé, je n’ai pas le temps de réagir que tu es sur moi, tu relèves ma jupe et tu arraches presque mon tanga.
Tu bandes et t’enfonces en moi sans aucun ménagement mais qu’importe je suis humide et tu t’en doutes bien. Tes va et vient ne tardent pas. On ne se parle pas. Notre rage est encore présente comme un venin qui se propage et qu’il faut laisser s’exprimer. Tu me retournes et me fesses d’une force qu un ohhh s’échappe de mes lèvres. Tu me prends mais je ne reste pas immobile, je bouge mon bassin. On s’adonne à une partie de jambes en l’air qui claque et qui transpire notre colère. Tu me tires un téton et un peu de douleur se mêle à mon plaisir, une autre fessée dessine un peu de toi sur ma peau. Et alors tu ralentis, merde tu vas m’avoir, salop, je me retire et me retourne, mais tu ne me laisses pas venir sur toi , tu me repousses, tu veux dominer, tu veux gagner … tu t’enfonces encore et encore en ralentissant bien ton rythme, je succombe non pas sans te griffer le dos au passage. Moi aussi je peux laisser ma marque !
Tu accélères et très vite,ta colère se déverse en moi.
Ton regard se plonge dans le mien et c’est bien de la tendresse qu’on peut alors lire.

(423 mots de colère )

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Ce week-end je m’attaque à la paresse :wink:

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Rolalala voilà que tout à coup j’ai très envie d’être pâtissier !

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C’est fou, j’ai littéralement le film de ton texte devant le yeux, comme si tu avais fait un storyboard ! J’adore !

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