Douceur parisienne

Voilà un an que j’entretiens une relation avec Coline. Nous nous sommes rencontré il y a presque deux ans et sommes devenus bon pote, puis amis, puis amants. Notre rapport au sexe se voulait libre et sans engagement. Nous avons eu notre premier rapport une nuit de vacance où je l’avais rejoint. Nous sommes offert l’un à l’autre puis à plusieurs, avec des autostoppeurs et ce moment que je n’oublierais jamais où je l’ai vu se faire prendre par ce jeune homme pendant qu’elle me suçait. Et c’est la dernière fois que je l’ai partagé ainsi avec un autre. Cela faisait quarante-huit heure que je l’avais baisé pour le première fois et nous vivions le moment le plus sexuellement déluré de notre relation.

Depuis, elle devenue ma maitresse. Nous faisons le même métier dans le spectacle, sur les tournages où dans les salles de concert, intermittents tous les deux, nomade professionnellement parlant. Et dans ce domaine, vos confrères ne sont pas vos collègues. Des semaines pouvaient passer sans que l’on puisse se voir et la plupart du temps nous nous manquions réciproquement. Et puis une jour j’ai cessé d’aller voir ailleurs. Je suis resté dans l’attente de la retrouver, exclusive, n’ayant plus envie que d’elle. Ce n’était pas son cas, elle continuait ce qu’elle avait toujours fait : papillonner.

Cette attente a fini par me blesser et dès que l’occasion s’est présenté, j’ai couché avec une autre femme de cinquante-trois ans et entretenu une relation qui devenait sérieuse. Coline et moi nous retrouvions tard la nuit souvent et parfois après avoir mis dehors ma maitresse qui attendait plus de cette relation. Lorsque je l’ai compris, je comprenais dans le même temps ce que j’avais envie de vivre avec Coline. Au bout de quelques semaines, je refusais de faire souffrir cette femme et déclarais ma flamme à Coline.

En substance : je l’aime et je veux être avec elle, j’ai toujours voulu vivre un amour libre et Coline est la personne avec qui tout devenait possible. Ce faisant, je me disais que soit je la perdais soit c’était la bonne… Un soir, nous dînions ensemble et la question fatidique tombait :

Coline, est-ce que comme moi tu attends nos rendez-vous avec une impatience particulière ? je veux dire plus que les autres ?

Elle mis un certain temps à me répondre déglutissant et prenant une gorgée de vin…

Et bien… je sais pas… oui sans doute…

Voilà une réponse bien hésitante mais je m’en satisfaisais et poursuivais :

Je veux être avec toi Coline. Je veux qu’on soit ensemble, je suis amoureux de toi.

Voilà de quoi faire peur à son plan cul… Et ça n’a pas loupé. Elle n’a pas fini son repas et est rentré chez elle. J’ai réagi de la pire des façon, j’ai appelé ma maitresse de cinquante-trois ans et l’ai rejoint dans son appartement. Je n’ai pas pu bander ce soir-là. Et j’ai dû me confier sur ma situation. Curieusement elle a plutôt bien pris les choses avec beaucoup de recul. Elle était en situation d’adultère avec une certaine différence d’âge, ça ne pouvait pas durer bien longtemps. Et au milieu de la nuit alors que je dormais à côté de cette femme, je reçu un texto de la part de Coline.

  • Tu dors ?
  • Non
  • Je passe demain avec les croissants ok ?
  • Ok ça me va.

N’étant pas chez moi, j’ai filé au beau milieu de la nuit laissant mon amante insatisfaite seule au milieu du lit. Je voulais être frais pour le matin.

Coline est arrivée tellement tôt. J’avais anticipé mais ressentait une grande fatigue. Coline était stressée :

Ecoute Ivan, je… moi aussi… je ressens des choses pour toi…

Le « mais » arrive…

  • Mais on se connait toi et moi, on aime le cul, tu aimes les femmes et moi les hommes…
  • Je ne te propose pas d’être fidèle…
  • Tu… je comprends bien mais si tu ressens ce que tu dis ressentir, ça ne te fera pas de mal ?
  • Je ne crois pas non. Je crois que j’en ai envie… Et toi ?
  • Si… moi aussi…

Et nous mettions en place les règles que nous ne tiendrons jamais du type :

  • On se raconte tout (celle-là on s’y est tenu)
  • Jamais avec les amis de l’autre (pas tenu)
  • Jamais avec les ex (pas tenu)
  • On annule jamais un rendez-vous amoureux pour un date (pas tenu)
  • Seulement des coups d’un soir (pas tenu)

Et j’en passe. Alors oui, on a couché avec des ex et revu des dates, baiser des amis en commun (on essaie d’éviter quand même, après c’est bizarre) mais la sauce a pris. Cette conversation a eu lieu le 3 décembre 2021. En ce qui me concerne, j’ai mis quelques mois à enfin voir quelqu’un d’autre, même si Coline a continué à s’amuser, je ne lui en ai pas voulu. Et quand le printemps est arrivé, j’ai rencontré des filles et nous étions sur la même longueur d’onde.

Nous vivions nos histoires de notre côté, nous gratifiant mutuellement des récits qui vont avec. Rien n’est plus agréable que ces échanges dans notre relation. Et bien sûr nous baisions énormément, l’un comme l’autre ayant de gros besoin à ce niveau. Mais jamais plus nous n’avons partagé la présence d’une tierce personne dans notre intimité.

Et nous voici aujourd’hui (il y a deux mois en fait) où nous avons décidé de retourner vivre à Paris (pour des raisons professionnelles principalement) et pour des raisons financières, l’idée s’est imposé pour nous d’emménager ensemble dans un appartement qui appartient à une tante de Coline qu’elle loue pour pas grand-chose et qui est déjà meublé. Une opportunité donc, un grand apparte en plus avec deux chambres d’amis et un grand salon, assez moderne. Et voilà que notre couple libre doit se confiner un peu en un seul et même lieu de vie.

Nous avons fait le grand saut et nous voilà en couple, habitant un bel appartement parisien. Et cet appartement. Une fête s’est vite imposé et voilà qu’après ce préambule démarre véritablement notre histoire, l’histoire que je veux partager avec vous…

Coline et moi n’avons plus vraiment d’amis sur Paris, surtout elle. Moi j’ai quelques potes et j’arrive à en inviter trois. Coline elle n’arrive à joindre personne sauf son ex : Stan, un mec qu’elle fréquentais il y a dix ans, je le connais déjà et surtout je connais déjà la suite de l’histoire, bien qu’il ne soit plus rien passé depuis dix ans, les intentions de Coline sont assez claires. Pour la première fois je lui fais part de mes réticences. Nous venons d’arriver à Paris et Coline est déjà en lien avec un ex, qui plus est le soir de notre pendaison de crémaillère (et devant mes potes j’avoue avoir des inquiétudes, la peur du jugement certainement ce qui n’est pas glorieux). Et voici comment Coline me vend le projet :

  • Stan a une sœur deux ans plus jeune que lui, ancien modèle… S’il vient avec elle, ça te conviendrait ?
  • Un ancien modèle ?
  • Oui, une grande blonde, une fille de ta stature tu vois ?
  • La flatterie ? sérieusement ?
  • Oh Ivan, on vient d’arriver à Paris, j’ai envie de m’amuser pas toi ?
  • Si bien sûr.
  • Alors ?
  • … C’est d’accord, invite-les.

Stan est grand, blond bouclé avec une petite moustache un peu hispter, très bien habillé. Elle s’est Ana, blonde donc, frisée aussi, les yeux marrons, jolie, grande, fine… un ancien modèle. Ana est un peu austère de prime abord. Visage fermé, un peu carré, de fines lèvres. Mes trois potes, Sacha, André et Pascal eux sont là depuis un moment, durant lequel j’ai savouré leur compagnie qui m’avait quand même manqué. De fait Ana ne connaissant personne, elle s’ennuyait ferme et n’était pas spécialement avenante.

Au cœur de la soirée, je savourais une verre avec André qui me parle de sa famille, de ses enfants, sur le balcon ou l’air encore très doux. Je me retourne et je vois Coline et Stan en train rire ensemble, Coline lui caresse l’épaule… je me demande si Stan sait que je suis complice. Puis je continue ma conversation. Je me retourne et Coline n’est plus là, Stan non plus et Ana semble s’entendre à merveille avec Sacha…

En fait je savais que j’allais laisser passer cette soirée comme ça, sans réagir, par manque d’envie. Je m’aventure aux toilettes, qui est aussi la buanderie et bien alcoolisé , j’avoue ne pas faire attention au bruit pourtant évident… Coline est assise sur la machine à laver, sans pantalon, jambes écartées et Stan debout devant elle, sons sexe droit planté entre ses cuisses, le pantalon sur les chevilles. Stan s’écarte sans gêne de me montrer sa queue tendue chaudement sortie de la chatte de ma copine, se confondant en excuse :

Mec je suis désolé, je voulais pas… je veux dire…

Coline éclate de rire, prend le visage de Stan et l’embrasse… « T’inquiète pas, il est d’accord ». Stan se retourne :

  • Sérieux ?!
  • Oui… t’inquiète pas, je vous laisse… répondis-je.

Je rejoins André et Pascal et nous passons la nuit à boire et discuter ensemble. Évidemment nous parlons d’amour et je leur révèle la configuration de mon couple. Et cette situation nouvelle, c’était bien la première fois que cela se produisait bien entendu.

  • Et comment tu gères ? me dit André
  • C’est pas la meilleure soirée de ma vie mais ça va t’inquiète, on a l’habitude.

En fait, depuis que nous sommes en couple, je n’ai pas vu Coline avec un autre homme, dans les détails de leur intimité je veux dire. J’avoue que j’étais vexé.

J’ai dormi sur le canapé, l’appartement était dans le désordre le plus total. Sacha et Ana dans une chambre et André et Pascal ont partagé la dernière chambre disponible. Dans le silence matinal, je vais à la cuisine pour me faire un café et me donner du courage. Ana entre dans la pièce avec simplement un grand t-shirt pour seul vêtement. Un t-shirt blanc, qui m’appartient qui laisse entrevoir sa nudité. Je la dévore du regard… elle le remarque.

  • Ça va mec ? me faisant signe avec sa main « coucou »
  • Pardon… j’étais dans mes pensées…
  • Des pensées intéressantes apparemment… me dit-elle un peu accablée par mon sans-gêne.

Elle se retourne pour prendre une tasse et levant les bras, son cul nu se dévoile. J’ai une grande érection, un peu de frustration et des idées… je pourrais la prendre là dans la cuisine… Mais elle a l’air tellement distante… Je prends mon café, sors de la cuisine et m’assois dans le canapé du salon. Ana me rejoins, s’installe très près de moi, la main sur mon torse. Je l’accueille avec précaution. Malgré l’excitation, je ne peux pas dire qu’elle me plaisait vraiment. Mais elle a fait une proposition que je ne pouvais pas refuser.

  • Tu as besoin de te détendre apparemment….
  • Je vais pas te dire le contraire…

Ana pose sa main sur mon sexe dans mon jogging gris que je mets pour trainer, et dans lequel il est impossible de cacher une érection. Ana sourit à pleine dent.

Tu veux que je te suce ?

Elle fait un regard, les sourcils arrondis, l’air de dire « je viens d’avoir une bonne idée qu’en penses-tu ? ». Je n’accepte pas immédiatement pour une raison obscure. Ana s’approche de mon oreille et chuchotant :

Je veux te faire jouir dans ma bouche, j’ai envie de sentir ton sperme chaud sur ma langue… et dans ma gorge…

Je pose mon café, elle enlève le t-shirt et dévoile son corps, alors j’écarte l’élastique de mon jogging et sors ma bite dure et la pointe vers son visage. Me voir m’empoigner ainsi lui provoque une émotion particulière, je le vois à sa bouche qui d’un coup s’ouvre d’envie et sa respiration irrégulière. Je n’attendais que ça, qu’elle soit émue simplement à la vue de mon sexe. Cette simple réaction m’aurait en fait suffit pour me redonner un peu d’énergie pour la journée. Bien sûr j’ai profité de ce qui a suivi.

Elle a pris le temps de se mettre à quatre pattes sur les genoux le long du canapé et de bien bomber les fesses. J’ai soulevé sa chevelure dorée épaisse pour ne pas la gêner. Elle a posé ses doigts sur ma queue et a embrassé avec douceur mon gland lisse et arrondi. J’ai caressé sa peau. Des épaules , j’ai glissé le long de sa colonne et enfin j’ai touché son cul. Tout est fin et musclé dans son corps. J’ai senti ma queue entre ses lèvres et sa succion et sa langue et ses doigts et tout à la fois. Et le bonus : le gémissement de plaisir qu’elle produisit quand elle me suça.

Rapidement, à mes caresses sur ses fesses , succèdent mes doigts qui s’aventurent entre elles, son anus puis sa chatte, qu’elle m’offre comme le félin qui tend son derrière vers le ciel. Dès que j’eu pénétré sa chatte, elle se mis à me sucer avec force. Je caressais du bout du doigt l’intérieur de son sexe et le plaisir provoqué était palpable, comme j’imagine le plaisir qu’elle me provoquait. Ana est austère, certes, mais c’est une excellente suceuse.

Je sortis mes doigts et alla chercher son clito plus bas. Elle sortit ma queue de sa bouche, se mordant les lèvres, le visage fermé, les yeux clos et me branlant avec force pendant que je lui rendais la faveur. J’avais envie de jouir et avais l’impression que ma jouissance m’était due, plus que la sienne. Je décidais que ce moment était pour moi, égoïstement… Je mis une fessée à ma grande suceuse. Je me mis debout et quittait mon jogging et mon t-shirt, nu moi aussi. Puis je m’allongeait jambes écartées. On y est.

Suce moi bien, je suis tout près d’éjaculer….

Elle se remis à quatre pattes entre mes jambes, je lui tenais les cheveux en l’air, ses petits seins arrondis pendais de son buste fin et gracieux, ses tétons durci et rendus sensibles enflaient les valons renversés de sa féminité… La bouche pleine elle me regarda dans les yeux, mon bassin décolla de l’assise, mon sperme a gravi ma colonne dressée… OHHHHHH…. J’ai jouis dans sa bouche qu’elle à garder close… Les premiers jets de sperme lui ont fait fermé les yeux comme si elle dégustait un nectar onctueux. J’ai pris le relais avec mes mains et me suis branlé et lui soufflant à mesure que mes couilles se vidaient : « Vas-y bouffe, bouffe, bouffe… bouffe…. Ooohhh oui comme ça… bouffe ».

A bout de souffle, elle se releva, avala et repris son souffle… Puis elle revint sucer ma queue et la lécher pour retirer toute trace de mon plaisir qu’elle aurait laissée en chemin….

Nos esprits enfin repris, l’appartement semblait toujours aussi silencieux, seulement plus lumineux. Moi plus détendu bien sûr. Ana est retourné dans la chambre où elle avait passé la nuit. Je l’ai entendu gémir, je suppose que Sacha s’est occupé de lui donner ce que je ne lui avait pas donné.

Tout le monde est rentré et nous avons eu une petite discussion Coline et moi. Je ne lui en voulais pas vraiment mais je lui fis constater qu’elle ne m’avais pas regardé faire l’amour avec une autre, à l’exception des fameuses vacances entre potes. Elle a vite compris où je voulais en venir…

A suivre.

4 « J'aime »

Très beau ce récit, donc vivement la suite

1 « J'aime »

Wouah !! Superbe récit comme souvent, j’adore !
Merci pour réussir à nous raconter tes aventures, qui donnent très très chaud !!!

PS : J’ai pas de grandes blondes, ancien modèle, qui viennent à mes soirées moi ^^ J’ai que les potes lol

1 « J'aime »