J’ai interrompu un peu de manière abrupte tous mes récits en cours. D’abord par manque de temps, et aussi parfois parce qu’en fait je n’ai pas grand chose à en dire de plus excitant que ce qui a déjà été écrit. Alors pour résumé, j’ai une relation libre, mais de couple depuis plusieurs mois (et donc j’avoue que je m’y consacre à fond d’où mon absence) avec Coline, dont j’ai déjà écrit nos primes amours volages sur ce forum. Et oui j’aurai plein de choses à dire, et je le ferai en temps et en heure.
Nous sommes amoureux depuis un an je pense et bien qu’elle ne cherchait pas d’engagement, elle a quand même cédé avec un accord fondamental sur un point : nous ne serons pas exclusif sexuellement parlant… Et c’est tout ce que j’ai toujours voulu.
Voici un petit épisode délicieux.
Curieusement, quand on est d’accord pour aller voir ailleurs en couple, c’est plus compliqué de voir cet ailleurs (c’est mon expérience du moins) alors on fait cette chose étrange : on s’inscrit sur tinder. Et comme ma volonté reste d’être honnête, et bien je raconte honnêtement que je suis en couple libre ou en relation ouverte. Et la plupart du temps ça rebute la personne. Alors j’ai d’autre flirt que j’entretien, des rencontres de hasards, mais les sites de rencontre, je ne sais pas pourquoi ça ne fructifie jamais.
Et il se trouve qu’en 5 mois de relation officielle, je n’étais aller voir nulle part (contrairement à Coline qui elle s’amuse déjà un peu plus). Et là est la première difficulté je trouve : trouver une équité dans la liberté. Bon me concernant, en fait ça va je ne le vis pas si mal. J’adore que Coline me raconte ce qu’elle fait (parfois elle ne le fait pas mais c’est pas si grave. C’est un peu frustrant quand on pense au début où nous n’étions pas ensemble officiellement et ou nous nous adonnions à nos fantasmes et nos désirs.
un soir je me confiais sur ma quête sur les sites de rencontre et Coline compris se sentais mal à l’aise. Elle me propose de me présenter une de ses copines (amie du lycée qu’elle ne voit pas souvent mais qui était célibataire depuis peu et qui semblait vouloir renouer avec d’anciennes relations). L’idée me plaisait et j’aime qu’elle soit capable de ce genre de geste. Son amie s’appelle Juliette, elle brune cheveux lisse, les yeux marrons, grande, jolie, belle bouche pulpeuse. Tout ce qui faut pour me plaire. Coline la jalouse peu pour sa beauté. Je la trouve de plus en plus fair play.
Le soucis c’est que le jour de notre rencontre, Coline me présenta comme un ami, et non comme son mec. Et ce mensonge a un peu mis un grain de sable dans le rouage parfait qu’avait mis en place Coline. J’avoue que ce ne fût pas difficile d’avoir envie de la revoir. Ceci s’est passé mardi soir. Je déjeunais avec Coline le midi et lui racontais que l’on s’était appeler avec Juliette et qu’on devait se voir le soir même. Elle était déjà au courant évidemment. Elle me conseilla de la recevoir chez moi et de lui préparer un dîner, de la séduire de manière classique : « C’est une fille qui sort d’une relation sérieuse, essaie de la courtiser gentiment… tu me racontera ». Ce sont ses mots.
J’avoue être troublé de cette complicité. J’imaginais une relation ouverte mais plus secrète sur nos faits et exploits extra relationnels.
Juliette sonnait à ma porte dans une robe verte décolleté laissant voir de merveilleux vallons entre ses seins, et qui moulait sa taille… une superbe femme. Ok elle est venu pour me séduire elle aussi. Les choses sont clairs… mais en fait pas tant que ça.
Elle s’est assise dans le canapé, j’ai servi deux cocktails et me suis assis à ses côtés. Elle était souriante et très sûre d’elle. La conversation commençait mais allait tourner court…
Juliette : « Coline m’a dit que tu cuisinais bien… J’ai hâte ! »
Moi : « Oui… écoute il faut que je te dise… Coline et moi, on est en couple… »
J : « En couple ? »
Moi : « Oui… disons en relation ouverte enfin appelle ça comme tu veux ».
Juliette marquait un temps regardant son verre sans y toucher puis je reprenais :
« Désolé, je voulais te le dire, on a décidé avec Coline de… »
Juliette, m’interrompant : « Tu sais Ivan, je viens de passer trois mois à me morfondre, je dois dire, le prend pas mal, que vos histoires en fait… ben c’est vos histoires. Six ans avec un mec et du jour au lendemain ciao ! J’ai pas envie de me prendre la tête… j’ai juste envie… »
Marquant une pause.
Moi : « Tu as envie de simplicité ? » anticipant que le plan allait tomber à l’eau…
Juliette : « Ivan, j’ai juste envie que tu me baise ! »
Je la regardais… elle reprenait : « Après tout c’est un fantasme non ? de baiser la copine de sa meuf ? »
Moi : « En effet… »
Juliette : « Remarque baiser le mec de sa copine avec sa permission aussi… »
Je lui pris le visage et l’embrassais avec passion. Sous mes doigts la peau douce de son coup et sur mes doigts sa chevelure. La chaleur de sa bouche, sa langue…Je plaçait mes genoux de chaque côté de ses cuisses, elle saisissait naturellement le ceinturon de mon pantalon. J’avais moi même un peu trop chaud. Elle sorti ma queue déjà dure et la prenait entre ses doigts fermement. Je me relevais, creusait le bassin, lui tendait mon sexe en guise d’offrande, une sorte de récompense à sa beauté. Elle me branlais doucement en fixant sur regard sur son geste, sur mon intime protubérance.
Juliette : « T’en as une belle dis-moi… »
Le compliment virilisant, j’adorait ça. Elle repris.
« Je n’ai plus toucher une autre bite que celle de mon ex depuis six ans… Je n’ai plus branler un autre mec que mon ex depuis six ans… »
Tout en me branlant, elle s’épandait.
« Il aimait que je le suce… Que je le suce fort… tu aimes toi ? »
J’opinais…
« Moi aussi j’ai aimé le sucer… J’imagine que ça ne te dérange pas d’entendre parler de lui ? en tout cas tu bande de plus en plus fort… J’avoue, j’adorais le sucer aussi… Mais pas autant que je vais aimer sucer ta queue… »
Et la seconde suivante sa langue caressait mon gland et mon sexe pénétrait sa bouche en une succion puissante… Elle m’a sucé fort, comme elle le décrivait, me branlant en même temps, dans des vas et viens rapide et puissant… Et moi je me perdais dans sa gorge. Je pensais à Coline. Quand elle me suce… je comparais… mais j’effaçais ça de mon esprit. C’était la première fois que j’allais baisé une autre fille que Coline depuis plusieurs mois. Pensée que je jugeais immédiatement ridicule.
Je sorti de ma pensée en même tant que je sortais ma bite de sa bouche, j’écartais le haut de sa robe et dévoilait ses seins fermes et rond. Je posais ma queue là où je le désirais depuis qu’elle s’était présenter dans cette tenue il y avait moins d’une demi-heure. Je serai et ses seins autour de ma queue moite et me branlais frénétiquement le long de sa gorge. Cet endroit étant un péché mignon pour moi, ou plus plutôt un péché salasse, j’éjaculais sur son sou et entre ses seins en un gémissement de gorille en rut…
Puis je la regardais, les mouvements de sa gorge, son essoufflement… Sa stupeur… Je la regardais sans rien dire, elle non plus pour la première fois n’avait plus rien à dire. Je me mettais nu devant elle. Elle ne savait pas quoi faire de mon sperme visiblement. Elle le touchait du bout de l’index…
Moi : " Ton ex ne t’a jamais jouis entre les seins ?"
Elle : « Non… jamais… »
Moi : « Il sait pas ce qu’il manque… et il te léchait la chatte quand même ? »
Elle opinait.
Je me mettais à genoux au sol entre ses jambes, je prenais ses pieds et les joignis, je contemplais ses cuisses et son cul sous sa robe relevée. Et son string qui moulait sa vulve. Je dégageais son entre cuisse en laissant son string serré ses cuisses. Sa vulve était coincée entre ses cuisses, une bulle de chair rosés, des pétales de désir à déguster. Je posais ma langue et me brulais… Recevais son jus, écartais ses lèvres du bout de ma langue… Je tenais ses cuisses serrées, les jambes bien en l’air et je la léchait, la suçotais, descendait de façon indécente vers son cul, je la léchais encore et encore. Elle gémissait de plus en plus fort…quand je sentais qu’elle se désespérait, je me relevait…
Sans rien changer à sa position, ni à mon emprise, de mon corps sur son corps, je déposait mon gland rougis, grossit et lissé sur sa vulve à fleur de chair. Du revers de ma queue je glissait dans sa fente puis remontait du sommet du gland, ses lèvres me cachait enfin le rose de ma bite à ma vue. Je poussais mon bassin et sombrait en elle. Elle gémissait de soulagement « J’ai cru que t’allais jamais me baiser… tu sais faire monter… ssss… la pression toi… ohhhh … »
Je souriais et appuyais fort sur son bassin à chaque va et vien, lent et profond. Elle gémissait d’une voix pure, à chaque fois que je m’enfonçais en elle, un soulagement… Je la baisais bientôt puissamment, et quand l’orgasme pointait son nez, je retirais son string et la laissait écarter les jambes et se toucher enfin le clito, se masturbant pendant que je la pénétrais avec vigueur. Elle frissonnait, tremblait, éclatait en jouissance pure, le dos courbé, la tête en avant… Elle criait de plaisir… Quelle joie d’offrir cela à quelqu’un d’autre qu’à Coline. Je retirais enfin sa robe et prenais ses seins, je continuais de la baiser , mon sperme encore chaud sur sa gorge.
Moi : « Je vais t’en donner encore… tu veux ? »
Elle faisait « oui » de la tête. Je la poutrais fort, ne retenais rien. Puis elle posait sa main sur mon torse pour m’arrêter. Elle se retourna en un instant. M’offrant son cul et sa chatte en levrette, elle glissait ses doigts sur sa vulve et je la pénétrais sur sa demande : « Prend moi fort… vas-y à fond… » Je la baisais à fond son cul entre mes mains. Superbes cul ! Claquait claquait… .CLAQUAIT FORT!!!
Je pris ma bite et me branlais au dessus de son cul. Elle relevais la sensation « Ah je sens tes couilles sur mon cul… vas-y jouis… ohhh ouiii » Elle se masturbait fort… Je giclais sur sa croupe… elle sentis mon sperme chaud lui fouetter la chair… C’est elle qui criait de plaisir pour moi… « OHHHH oui… c’est boonnnn… putain… t’es chaud toi… ».
Elle se redressait la tête un arrière et m’embrassait me soufflant encore « T’es super chaud toi… ohhh c’était trop bon… Prend mes seins… » J’obéissais, ma queue jonchais ses fesses, je les caressais du bout du gland humide.
Les verres pleins intactes… après une rapide toilette… Elle se rhabillait et moi aussi. Elle m’enlassait, m’embrassait avec passion.
« Je vais y aller, on s’appelle ? »
Elle partait, je dînais seul. Elle voulais simplement qu’on la baise. J’étais libéré je l’avoue.
Je faisais le compte rendu hier à Coline. Elle était sincèrement heureuse pour moi mais aurait préféré qu’elle ne sache rien de la nature de notre relation, après tout c’est son amie. Je la comprend même si c’est aussi assez curieux que Coline lui cache qui je suis réellement pour elle. Mais enfin que c’est excitant de pouvoir raconter à Coline comment j’ai baisé sa copine dans un élan aussi bref que passionné…
Belle soirée.