"Et si..."(2)

Et Si…(2)

Quand on commence à utiliser des SI, il faut souvent s’attendre à d’autres conjonctions, d’autres événements que nous n’aurions pas imaginés. Puisque, en est l’exemple parfait, une résultante d’une action qui ne nous a pas menée là où on aurait pu être SI on ne s’y était pas tenu. Cependant il est bon de laisser vagabonder son esprit, d’imaginer un moment surréaliste qui aurait pu, dans certaines circonstances (alignement de lunes,horloges qui fondent*, et caetera) nous mener à cette dimension irréelle. Je vous invite donc, cher(e)s coquinautes, à entrer dans un de mes univers puisque l’occasion m’en est donnée.

Puisque… j’avais trop bu …

Nous voilà donc en 2009. A cette époque j’étais étudiant et en colocation avec Sani, Kate et Dahu. Sani était d’une famille algérienne, toujours la banane, la pêche et l’amabilité d’un vendeur de fruits et légumes. Kate nous venait de la république Tchèque ( mais on n’en parlera pas ici) et Dahu, surnommé ainsi par ses confrères d’école d’ingénieur, grand déconneur, toujours prêt pour la fête.

Sur la fin de l’hiver, les étudiants universitaires se réveillent et démarrent l’année par des fêtes exclusives. Je me souviens plus particulièrement de l’une d’elles. ,

Dahu qui est à ce moment le président de l’association des étudiants, vient demander à la colocation si une soirée fluo nous intéresse. (Avez-vous déjà entendus parler de cette vie intense à Belfort, de cette ville qui ne dort jamais, qui ne s’éteint jamais,sans cesse en fête, sans cesse en folie ? Non !? C’est normal car ce Belfort ci n’existe que dans un des mondes du multivers(DComics). Bien sûr, Sani et moi acceptons de participer à cette party.

C’est donc en ce jeudi du début mars que nous commençons à nous préparer pour les festivités grâce à un apéro digne de la Comté (du gras et de l’alcool) Nous tentons une sortie extérieure jusqu’au lieu de la soirée fluo (Les vrais savent).

Les degrés montent gentiment, des chansons paillardes s’entonnent “Pose ta bite sur mon épauleeeeeuh♫ De Nantes à Montaigu, la digue, la digue. De Nantes à Montaigu, la digue du cul♪”, et voici déjà l’heure de partir pour la fête.

Bras dessus dessous, endimanchés, nous zigzaguons sur près d’un kilomètre. Arrivés à la salle, Dahu nous fait entrer et nous insère, Sani et moi au sein de sa confrérie (limite sectaire faut bien le dire). Les étudiants arrivent au fur et à mesure, L’ambiance prend place et c’est une party de folie. De part le statut de Dahu, nous pouvons boire à plus soif si on en a envie et on en profite au maximum. Bon, ne partons pas dans les clichés de “L’alcool et les filles à gogo” parce que cela serait faux. Il y avait bien de la bière à flots et pour tous les goûts mais la représentation de la gente féminine n’était pas des plus brillante. Des filles, il y en avait, mais peu et la majorité déjà accompagnées. Alors à défaut, nous nous enivrons. Les heures passent, les boissons coulent et la musique bat son plein. Les pas de danses s’enchaînent et tout le répertoire y passent…le robot, le mec qui coule, les vagues, le cotons-tige. et c’est ainsi que pendant le madison, deux nanas se rapprochent de nous, (attirées par cette prestation sans nul doute unique). Elles sont toutes deux identiques, 1m60, plutôt pulpeuse et avec des sourires aguicheurs. Une seule différence, l’une est brune et l’autre rousse. Petit regard entendu avec Sani et nous voici tous deux à faire la roue du paon pour les garder près de nous.

La chaleur et l’assurance nous gagnent, les corps se rapprochent. Mains sur les hanches, descendant petit à petit sur les fesses. Hélas, il y a deux inconvénients à la bière, il en faut beaucoup pour atteindre l’ivresse et elle a un double effet diurétique. Vous imaginez donc que pour arriver en l’état où j’étais il m’a fallu quelques litres et c’est donc à regret que je dû laisser Sani avec nos accompagnatrices. C’est en revenant des sanitaires que je croise Dahu qui me dit avec son tact légendaire :

Dahu-Tu sais Vanessa et Emilie, les deux filles qui dansent avec vous ? Elles cherchaient de la chair fraîche et elles l’ont trouvé on dirait ! Faites attention, on est tous passé dessus !

Moi-Ah ! Sympa :sweat_smile: Merci de l’info !

C’est ce genre de moment qui vous ramène sur terre, vous remet en place et de nouveau je redeviens le moi de cette époque. (2 ans seulement nous sépare de la précédente épopée. Le Baobab que j’ai dans le fondement est toujours présent même s’il est quelque peu élagué).

Je reviens sur la piste près de de mon coloc, me remet en transe. Je profite d’un moment où nos deux amies vont se rafraîchir pour faire part de la mise en garde de Dahu, ce qui refroidit aussi Sani.

Sani- Ca craint quand même si c’est vrai! C’est un peu glauque, non ?

Les filles reviennent vers nous et recommencent leurs numéros de charmes, se recollent à nous pour danser. N’engageant à rien, nous jouons le jeu.

Vanessa-Vous venez à l’after après ?

Emilie-Oui ! Venez on pourra discuter un peu plus :wink:.

Moi-C’est gentil mais demain je travaille au magasin.

Sani-Ouai, moi aussi, je commence tôt, désolé !

Comprenant l’esquive, les chasseresses s’en vont quelque peu dépitées vers d’autres proies.

S-Tu ne commence pas à 13h30 le vendredi ?

M- Si mais elles n’avaient pas besoin de le savoir. Et toi, c’est 10h ton stage.

Nous voilà repartis sur les démons de minuit, tombé la chemise et L’apologie jusqu’à la fin de la soirée. 1h30 est là et nous sommes mis dehors par les responsables de la salle. Nous rejoignons alors Dahu, tous les trois frustrés de s’arrêter là.

D-Ca vous dit de finir au foyer?

Les corps encore transit des soubresauts de la danse, on accepte sans réfléchir.

Un petit peu de marche et nous arrivons rapidement au lieu dit du foyer. Ce que nos cerveaux, d’alcools embrumés n’avaient pas compris, c’est que le foyer était le lieu de l’after où nos deux Dianes se trouvaient.

S-Merde ! Elles sont là ! Viens on va prendre une bière et les éviter.

Comme si une bière pouvait cacher deux glands. Mais sur le moment ce fut “NOTRE” bonne solution face au problème. La pièce était suffisamment grande pour ne pas se croiser si chacun restait dans son coin. Après la deuxième bière, la vessie fait son rappel et je dois laisser Sani. Arrivé au WC je prends un box, me soulage. Je n’entends pas la porte de la pièce s’ouvrir, les oreilles encore pris d’acouphènes de la soirée d’il y a a peine une heure.

Je sors du box, me nettoie les mains.

V -Alors comme ça tu travaille demain ?

E -Et tu ne peux pas venir à l’after ?

Là, derrière moi, Vanessa et Emilie, mains sur les hanches, regards limite courroucés.

Je me retourne, bras ballants, l’air hébété et ne sachant que répondre. (J’étais pris au piège)

E-Vous nous avez bien embobinés, toi et ton pote. Va falloir se faire pardonner.

V- Et j’ai mon idée sur comment tu vas le faire !

Les deux se rapprochent, me prennent chacune par un bras et me poussent dans cet endroit exigu dont je venais de sortir. Et même si je me laisse entraîner, je suis complètement ahuri par la rapidité des événements qui s’enchaînent à mon insu. Me voilà, en moins de temps qu’il n’en faut pour dire “Nabuchodonosor”, Vanessa se pose sur l’abattant des toilettes, pendant qu’Emilie me pousse plus dans le box et referme derrière elle la porte.

V-Présente tes excuses à mes petits amis !

Elle m’empoigne la chemise et me plaque la tête dans le décolleté de son débardeur. Le temps de comprendre ce qu’il m’arrive, j’ai le nez collé entre ses seins…

V-Attends je vais te les présenter !

La voici qui descend assez vite ses mains sur le bas de son haut pour le soulever et l’enlever totalement. Puis elle enchaîne dans le même temps, le dégraffage de son soutien.

Une si belle poitrine, d’un blanc laiteux, parsemée de tache de rousseur, se présente à mes yeux, et c’est hypnotisé par elle que je viens comme par instinct lui embrasser la peau. Doucement je ferme les yeux et me laisse aller à mon exploration. C’est à Vanessa d’être surprise mais elle se laisse aller à ma bouche et viens même m’encourager en posant, presque avec tendresse ses mains dans mes cheveux. Je me vois encore, passer sur le haut de son buste et descendre sur un sein. En prenant de plus en plus d’assurance, je pousse mon chemin plus bas et y rencontre un petit téton tout rose et timide. Sortant ma langue pour la poser dessus, je le sens qui se met à darder. Je viens alors directement sur le second, le suçote, l’aspire un instant, juste le temps d’entendre un gémissement.

Je me retire pour admirer et tâte le résultat.

V-Je crois qu’ils t’aiment bien. Vient les caresser.

E-Hey ! Ne m’oubliez pas !

Emilie ! Je l’avais totalement oublié. Je me retourne et m’aperçois que la brune a déjà enlevé sa robe, ne la laissant habillée que d’un shorty en dentelle noire.:open_mouth:. Elle s’approche , se colle à moi et m’embrasse à pleine bouche, sa langue s’introduit pour chercher la mienne. Elle a un goût de cerise (Kriek) très agréable qui me fait fondre. Ces mains , comme animées d’une volonté propre, déboutonnent un à un chacun des boutons de ma chemise. De son côté, Vanessa ne reste pas inactive et veut examiner pour la deuxième fois de la soirée si la fermeté de mes fesses lui convient toujours. Elle commence par m’enlever lentement la ceinture.Je suis pris en étau. Mon braquemart (dague du moyen âge) n’as pas tardé à se montrer, pointant dans mon futal. (Vous connaissez tous la stratégie de l’enclume et du marteau ?) Emilie se frotte contre moi en le sentant darder contre son bassin. Je me rends compte alors que mon jean est ouvert, tombant presque à mes genoux, les doigts de la rousse cherchent à tâtons mon sexe. Elle le trouve écrasé sur le shorty de sa copine et c’est en débarrassant mon phallus de sa prison de tissu qu’elle caresse par mégarde le sexe de sa complice, déclenchant un gémissement étouffé de la jolie brune. Ceci ne la gêne pas pour continuer ses caresses sur nos deux organes, preuve irréfutable qu’elle n’en était pas à leurs premières fois ensemble. Cependant Vanessa ne veut plus se contenter de caresses et me prend par les hanches pour me tourner face à elle. Toujours assise sur les WC,elle me retrouve face à ses yeux, qui s’ouvrent en grands. Je peux y lire une lueur de gourmandise. (Comme disait un de mes anciens collègues : Elle a les yeux qui transpire le cul ! Je crois que l’on pouvait aisément prendre cette métaphore pour argent comptant.)

C’est ce moment que choisit sans le savoir mon colocataire pour rentrer dans les toilettes.

S-Hey! T’es là ?

On entendait à sa voix assez facilement qu’il avait continué à boire après mon départ au sanitaire.

M-Euh ouai. Je me sentais pas bien.

Emilie vient doucement se faufiler de l’autre coté et appuie sur le bouton de la chasse d’eau afin d’illustrer mon malaise alcoolique. Vanessa profite du moment pour m’emboucher et je laisse échapper un gémissement de soulagement en sentant cette chaleur buccale sur ma verge. Gémissement, heureusement couvert par le bruit de l’eau.

S-C’est ça de boire quand on tient pas l’alcool ! Tu a besoin de quelque chose ? dit-il en s’approchant du box des toilettes où nous étions tous les trois.

M- Non ! Je lâche ça un peu trop fort. Un non de peur mais aussi de plaisir de sentir cette bouche glisser sur moi.

S-Bon. Je te laisse gérer alors.

M-Oui, ne t’inquiète pas, il faut juste que j’évacue.

Sani sorti et Emilie vint se mettre au même niveau que Vanessa pour me caresser les bourses.

M-Si vous continuez comme ça les filles je ne vais pas durer longtemps.

V-T’as des capotes ?

M-Non!

E-Alors c’est mon tour !

Elle prend la sucette des mains, non pas de la fillette mais presque, et reprend là où Vanessa a été arrêtée. La rousse se met debout sur le battant et fait tomber sa jupe a ses chevilles suivit immédiatement par son string rouge. Elle s’appuie sur mes épaules pour pouvoir les retirer et les posent sur le réservoir d’eau. Je comprends alors pourquoi quand elle recule pour s’asseoir dessus car elle écarte les jambes pour me montrer son minou luisant, sans un poil. Je tente de me rapprocher, Emilie me suçant toujours avec entrain. Je réussis à venir lui embrasser le sexe. Cette position, ( si scabreuse soit-elle) me permis de tenir plus longtemps que prévu, l’inconfort réduisant un peu mon plaisir. Mon entrain sur ce cunnilingus grandissait rapidement et sa jouissance allait de pair.prenant ma tête dans ses mains comme précédemment pour ses seins. Soudain, son orgasme déferle, collant encore plus ma bouche sur ses lèvres. Elle se crispa tellement qu’elle déclencha la chasse d’eau et couvra de ce fait son cri d’extase. Moi aussi, je sentis venir ma jouissance et comme d’un regard entendu avec ma suceuse, je m’abandonne au plaisir, qu’elle dirige après un premier jet dans sa bouche, sur sa poitrine. Elle continua à me masturber pendant mon épanchement. Vanessa repris ses esprits et se baissa vers sa copine pour l’embrasser. :boom:Si je n’avais pas déjà jouit, la scène qui se déroulait sous mon vit aurais suffit pour me faire venir. Je repris difficilement mes esprits mais réussi à prendre du papier pour venir essuyer les traces de ma satisfaction. Vanessa me le prit vivement des mains.

V - Non, ça c’est pour moi !

Elle est se mis a enlever mon sperme de sa copine plus en caressant que pour nettoyer.

E -Pas si mal finalement cet after. Tu t’es bien fais pardonner. Dommage qu’on n’avait pas de préservatif, je l’aurais bien aimé au fond de moi !

Elles s’habillent toutes deux rapidement.

M-On pourra peut être se revoir pour continuer cette soirée.

V- Désolé mais là plus temps, on travaille demain et puis ton pote va s’inquiéter !

Je sentais un juste retour de notre esquive de tout à l’heure. La brune puis la rousse s’échappent du box puis des toilettes sans se faire remarquer, me laissant le sabre au clair. Je remet mon falzar en place, me débarbouille un peu et sors à mon tour. Les effets de l’alcool encore latent, je me dirige vers la sortie pour prendre l’air et je profite, en traversant le foyer, pour voir si mes deux séductrices étaient toujours dans le coin. Rien. J’arrive dehors, le froid me prend aux tripes et me fait vomir.

Puisque j’étais si alcoolisé au point de vomir, ai-je vraiment vécu ce moment irréel dans ce box?

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Hey hey elles n’ont pas froid aux yeux les étudiantes ! Je me répète… C’est très excitant… Ça donne envie d’une bonne soirée.

Très sympa ! Écris plus souvent :grin:

Contente de retrouver ton ecriture et de m’y replonger !!!