Cela s’est déroulé lorsque j’étais avec ma première petite amie, une ravissante brune plus jeune d’un an que moi, avec qui ce fut fusionnel.
Nous nous rendions chez elle pour passer le weekend, après une semaine à être séparé par les cours et les règles de l’internat où nous logions. Nous étions presque arrivés lorsque madame décide de poser sa main sur ma cuisse, et s’approche me donner un tendre baiser dans le cou. Un frisson se met à me parcourir, car sa main se fais de plus en plus baladeuse et ses lèvres de plus en plus gourmande.
Arrivé en bas de chez elle, mes mains lui rendent ses caresses et j’offre enfin mes lèvres aux siennes . Mes mains passent alors sous son pull et mes lèvres sur son cou, son souffle devient court… mes mains remontent alors et les siennes prennent ma tête pour m’offrir un baiser gourmand.
Son portable sonne… Zut son père a invité des amis pour le repas. Nous sortons de la voiture. Alors que je sors son sac du coffre, elle m’enlace avec un regard que je connais… « OUPS!!! » je me rends compte que nous étions garés dans la rue à la vue de tous les passants . Elle me chuchote alors : " ce n’est que partie remise mon ange ".
Nous avons un peu de temps avant que les invités n’arrivent, nous décidons d’aller nous rafraichir un peu, enfin l’on peut dire… Elle décide de se changer, alors que je me passe un coup d’eau sur le visage pour estomper les 3h de routes de mon visage. Je relève mon visage et là… je la vois nue derrière moi, juste parfaite, je me retourne et la sert contre moi : " tu es magnifique comme toujours ma chérie ". Je caresse son dos délicatement et descend vers ses fesses, je sens ses mains sur la bosse qui se forme dans mon pantalon et je décide de lui rendre cette caresse. Mes doigts se dirigent vers son mont de venus, elle frémie. J’arrive au sommet, elle est déjà trempée, nos lèvres se dévorent et nos langues s’entres mêlent, nous savourons cette étreinte sulfureuse. DRING !!! Et me* les invités sont là, nous nous préparons rapidement et passons à tables…
Beau-papa a vu les choses en grand ce soir, nous sommes douze autour d’une table chargée de mets, moi et ma chérie côte à côte. Elle aussi vois les choses en grand elle n’arrête pas de poser sa main sur ma cuisse et à remonter pour me déclencher des frissons, « j’ai hâte que ça se finisse » me glisse-t-elle à l’oreille avant de me mordiller le lobe. Je pose alors une main sur sa cuisse à mon tour mais Beau-papa la demande en cuisine, a-t-il remarqué notre manège ?
Le repas se termine enfin, mais les invités s’attardent. Ma chérie et moi nous éclipsons dans le salon pour être enfin un peu entre nous. Collés l’un à l’autre sur le canapé et sous une couverture, nous reprenons nos caresses, au risque d’être surpris par quelqu’un, mais tempi. Mes mains remontent de ses hanches, en passant sous sont haut. Je lui prodigue une caresse et sens que je la fais légèrement frémir. Ses mains, elles, sont déjà sur mon ceinturon qui ne résiste pas longtemps. Ses lèvres sont à l’assaut de mon cou, je frissonne de plaisir et ferme les yeux pour savourer ce plaisir. Mes mains sont arrivées à sa poitrine et je commence à l’explorer délicatement en évitant que cela se perçoive sous la couette.
Elle glisse sa main sur une bosse qui la fait sourire, elle a l’air ravis de l’effet qu’elle me procure. Elle commence alors une de doux vas et viens à travers mon boxer en me regardant dans les yeux. Moi, je suis gêné par son soutien-gorge qui m’empêche de la faire frémir comme elle le mériterait : « dégrafe-le ce vilain » me chuchote-t-elle à l’oreille. A ces mots je l’embrasse avec fougue et gourmandise, elle en ronronne de plaisir. Je la laisse respirer un peu et part à l’assaut de son cou, sa tête tombe en arrière, elle laisse un petit gémissement de plaisir s’échapper.
Le vilain est détaché et me laisse accès à sa poitrine dont les tétons se dressent et défis mes doigts. Elle a glissé sa main sous le boxer et commence à me masturber doucement. « HEY ! vous regardez quoi ? » Merci la couverture, car la petite sœur est arrivée sans un bruit pour nous dire que les invités partaient. Nous nous rajustons comme nous pouvons en essayant d’éviter que la sœurette se doute de quelque chose, pas facile du tout car elle nous attend.
Après que les invités soient partis, nous aidons à ranger un peu et nous préparons pour aller nous coucher. J’attends ma chérie pour sortir de la salle de bain, mais elle me donne un tendre baiser en posant une main sur la bosse de mon pantalon qui ne s’est pas réduite : « vas réchauffer le lit, j’arrive toute suite » avec son petit sourire malicieux.