La vague dépose une lèvre d’écume sur cette plage qui me fait toujours penser à elle.
Les arabesques dessinés par le va et vient des flots me rappellent la forme de sa bouche.
Le vent façonne les dunes tel un calque du galbe de sa poitrine à la courbe de ses hanches.
A défaut de silloner son corps, j’arpente cette plage où l’air marin me rappelle son doux parfum.
Je me soûle embruns, ferme les yeux et rêve d’elle !
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C’est beau !!! Ça donnerait presque envie de se noyer pour que tu nous sauves de cette immensité 
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