Et cette histoire au printemps dernier alors…
Elle était jeune, 22 ou 23 ans, étudiante et c’est elle qui m’a abordé. Je devrais parler des problèmes avec ma femme mais ce serait dire que ce sont ces problèmes les responsables. Ce serait faux, le responsable, c’est moi et mon cerveau immature et ma bite pensante.
Elle m’a parlé de sexe tout de suite, subtilement, mais elle m’a abordé de manière très frontale, me proposant littéralement de baiser avec elle, juste comme ça, pour baiser. « La société serait plus sereine si les gens baisaient plus ». J’ai approuvé, j’ai pris son numéro et lui ai proposé de passer à la maison un samedi en fin de matinée alors ma femme et ma fille étaient absente pour le week end.
Je me sentais minable et en même temps enorgueilli d’avoir la possibilité de faire rappliquer une jeune femme comme ça chez moi. Elle est arrivée, s’est mise en sous vêtement, et moi complètement nu, et nous avons baisé donc pour « soulager notre société sans amour », tout le week end.
J’ai commencé à raconter ce week end de baise un peu à chaud sur l’ancienne version du forum, et plus ça allait avec le temps et moins j’acceptais de fanfaronner sur un long moment de sexe pure mais de tromperie éhontée. Aujourd’hui, avec le recul, j’ai toujours un peu honte mais je peux en parler calmement. Accepter le fait que je ne suis qu’un homme. Que j’en avais besoin. Oui j’en avais besoin. De sentir le désir d’une autre et d’en désirer une autre. Et de pouvoir passer un temps très long à me consacrer au sexe. J’ai beaucoup jouis, elle aussi, et malgré la culpabilité bien présente, j’ai profité de chacun de ces instants. Je viens ici pour parler de sexe comme j’aime le faire de façon très graphique et il me semblait que cette histoire était parfaite pour ça, la publier ici était une évidence. Mais avant de le faire et pour bien comprendre ce qui a changé maintenant, je voudrais témoigner du fait que j’ai pu lâcher prise sur tout un pan de ma vie, évidemment le plus important : ma vie de famille ; pour me consacrer à la pratique du sexe que je pensais sans lendemain. Je comprend maintenant comment je suis construit, je comprend que la pression du devoir conjugale et familiale peut annihiler le désir, et je sais maintenant que je peux pratiquer ce lâché prise avec ma femme, je l’ai appris ce week end là.
Alors bien ou mal, bien sûr si je culpabilisais, je ne peux pas prétendre que je m’en moque mais c’est vrai que quand je vois où m’a mené cette expérience, aujourd’hui j’en retrouve de la satisfaction et une forme de stabilité émotionnelle.
Les faits vous intéressent peut-être ?
Une fois nu, je me suis assis et elle s’est allongée dans le canapé de façon à pouvoir me sucer. Elle était très appliquée, très calme et quand ma queue est entrée dans sa bouche, j’ai complètement laissé tomber ma tête en arrière et me suis laissé aller. J’écoutais son souffle saccadé masqué par les bruits de sa fellation intense. J’ai laissé ma verge se durcir entre ses lèvres, et je l’ai laissé décider de quand elle voudrais faire autre chose avec mon sexe que de le sucer, de le masturber entre ses doigts. Quelle concentration et quel appétit. Sa fellation m’a scié les jambes et je n’avais aucune envie de bouger. Lorsqu’elle s’est redressée, j’ai compris qu’elle avait le désir d’introduire mon membre dans son corps. Je la regardais bouger. Se lever pour retirer sa culotte et découvrir son sexe soigneusement entretenu. Elle était debout, je restais assis… elle écarta une cuisse en posant son pied sur le canapé. Elle passa une main sur sa vulve, se léchant les doigts alternativement… Et me regardait dans les yeux comme si son regard pouvait me pénétrer comme elle s’apprêtait à être pénétrée… Elle s’est assise sur moi et s’est enfoncée délicatement ma verge dure dans son sexe humide et chaud. J’ai profité de toutes les aspérités de sa chatte pendant cette première pénétration. Et doucement mes mains sont tombées sur ses hanches, ses seins toujours maintenus par son soutien gorge en dentelle noir. Et j’ai regardé danser son bassin, j’ai fais le lien entre ses mouvements et la caresse faite à ma queue entre ses cuisses… Et la musique de ses premiers gémissements, concentrée encore et encore plus profondément investie dans l’acte sexuel qu’elle nous a proposé généreusement de vivre.
Elle était grande, brune, les yeux marrons, des seins superbes, une bouche pulpeuse, une voix suave et un cul magnifique. Un corps fin de jeune femme, de femme qui aime son corps, qui aime qu’on l’aime, son corps. Je n’ai pas ce rapport à mon corps. Je me suis longtemps demandé si c’était masculin, si seul le corps de la femme avait accès à la beauté. Je pense que non aujourd’hui mais tout de même. Je n’aime pas spécialement mon corps et même pour faire l’amour, il m’arrive de me demander si je ne vais pas faire fuir ma partenaire juste en le lui montrant. J’ai appris depuis que le désir ne tiens pas dans une « esthétique » corporelle et que même si les hommes sont sans doute plus sensible à l’aspect physique que les femmes, les autres aspects sont bien sûr essentiels. Mais elle savait se servir de l’atout physique pour plaire. Dans une certaine mesure, je me suis laissé guider par cet aspect superficiel de ma nature, comme l’ado que j’étais, non pas pour posséder un bel objet, mais pour prouver que mon corps tel qu’il est, pouvait avoir accès à un corps comme le sien.
J’étais éblouis par ses mouvements de hanches si beaux sur moi, entre mes mains, je posais mes mains sur ses seins, son cou, sa gorge, ses bras… Chaque caresse elle l’accompagnait de soupir et ses mains suivaient mes membres… Puis elle s’est penchée sur moi, j’ai pris sa nuque… j’ai mobilisé mes abdos et mes jambes, et sur mes talons, j’ai commencé à bouger. C’était tout de suite moins doux, son visage est devenu plus grave, son front sur le mien, j’ai commencé à la baiser, la pénétrant par dessous elle, nos bouches entremêlées et nos fluides échangés, je suis devenu sévère. Puis je me suis redressé, elle avec moi, et j’ai renversé le rapport de force. Sur le dos, elle écarta les cuisses, les jambes en l’air et entre ses jambes et ses cuisses, je me suis fendu de vas et viens toujours plus intenses.
Elle était belle et elle avait de l’esprit. J’ai compris plus tard qu’elle était libre, que je ne la soumettrais jamais à une relation exclusive, j’ai compris que sa liberté m’a inspirée, j’ai compris que ses arguments d’une « société où les gens baisent plus » n’étaient pas si triviaux, j’ai compris qu’elle était généreuse, impliquée, sensible et évoluée. Tout m’a séduit en elle en fait. Et ce qui m’a protégé de l’amour, c’est ce simple fait d’être différent, d’aimer ses aspirations, d’admirer ses combats, mais de ne pas partager ses opinions, d’aimer son corps et sa beauté mais de vouloir qu’ils m’appartiennent plus que simplement d’en jouir, car je suis comme ça. Bien que je n’ai jamais souffert du fait qu’elle en fréquente d’autres, j’aime l’exclusivité… le paradoxe de l’infidèle. Et la différence d’âge aussi, même si tout est relatif en la matière.
J’ai continué de la baiser sous mon poids, mon corps, que j’ai laissé se mouvoir en elle, elle a commencé à exprimer son plaisir, sa voix m’a aspiré, je ne voulais plus qu’une chose : la faire crier de plaisir… Je me suis mis de côté, j’ai contracté tout en mon corps, et j’ai donné tout ce que je pouvais donner de chair et de fluides pour la faire jouir… Ce qu’elle a fait… J’ai senti sa peau se hérisser, son corps trembler et ses dents se serrer… J’ai ralentis… j’ai continuer doucement mes pénétrations, j’aimais être en elle. Et « être en elle » le plus loin, le plus longtemps et le plus large possible. Pénétrer un corps : quel degré d’intimité… Je me suis écarté d’elle. Elle m’a dit « Tu n’as pas joui ? », j’ai dis non… Assis à ses côtés, je regardait son corps jambes écartées, sa petite chatte dont les contours semblaient éclore comme une rose, après un plaisir consommé. Je la regardais, j’étais transi de désir mais hypnotisé par son corps, sa présence. Elle m’a dit : « Tu veux jouir dans ma bouche ? » J’ai souris, j’ai dis :" Peut-être plus tard…" Je lui ai proposé de déjeuner, c’était l’heure.
J’aimais l’idée de l’avoir fais jouir sans jouir, l’idée qu’elle me devait une faveur… cerveau stupide, égoïste, faussement généreux : ça me donnait le dessus, car l’impression que c’est elle qui décide de tout commençait à me lasser au fur et à mesure que j’entrais en intimité avec elle. Alors nous nous sommes rhabillé et nous avons déjeuné, ne sachant pas ce qui allait se passer par la suite. Je la sentait confuse, et sans doute s’était-elle dit que je me serais débarrassé d’elle après le repas, ou alors le contraire, que j’aurais jamais laissé filer une fille pareille sans avoir jouis moi-même.
Nous sommes sortis, nous avons parlé et nous sommes plus. J’aimais sa présence et en cours d’après-midi, nous sommes rentrés. Je l’ai déshabillé et moi avec, l’ai guidé sur le canapé, je ne voulais pas aller dans notre lit conjugale, et j’ai écarté ses cuisses et me suis mis à genoux. Sa chatte offerte, je l’ai léché avec gourmandise. Jusqu’à ce qu’elle me dise « donne moi ta queue » ce que j’ai fais. Je l’ai prise sur moi, sur le tapis, assise sur mes cuisses et glissé ma queue en elle, encore… Je prenais son corps tout contre moi, ses mouvements étaient difficiles et la pénétration lente… je la sentais hypersensible… moi même je sentais que mon pénis était en état de sensibilité accrue… nous gémissions ensemble… Puis je l’ai allongée encore sur le tapis, et nous avons baisé de longues minutes dans cette position… Je m’arrêtais, descendais le long de son corps nu, entièrement cette fois, prenant ses seins, les léchant, son ventre et son pubis, et prenant sa vulve dans ma bouche, j’alternais entre pénétration et prise en bouche de son sexe. Elle n’en pu plus et pressant du bout de mon doigt son petit clitoris, pendant que je la pénétrais, elle a jouis encore une fois, les même symptômes. Une fois terminée comme une obligation, elle s’est redressée et m’a dit : « Ohh je vais te faire jouir… » Je me suis mis sur mes genoux redressés et elle à quatre pattes , elle m’a sucé, s’aidant de sa main et un orgasme intense m’a saisi, j’ai joui et elle a aspiré mon sperme, dans un spasme, j’ai hurlé, grogné de plaisir, trop longtemps retenu, elle gémissait d’avoir su m’extirper mon jus…
Ce week end passionnel a continué. En fin d’après-midi, nous n’avions l’un et l’autre qu’une envie, de passer la nuit ensemble. Je l’ai donc convié à rester. Nous avons regardé un film, dîné et nous sommes allé nous coucher dans les draps de ma femme… Nous étions nus, elle s’est blotti contre moi, à saisi mon sexe, l’a fait durcir en quelques caresses et m’a dit qu’elle souhaitait me sucer avant de dormir, qu’elle voulait regoûter à mon sperme… Elle s’est glissé sous les draps et m’a sucé avec passion. J’ai joui dans sa bouche et sans me faire prier, je me suis endormi peu de temps après mon orgasme… Me réveillant le lendemain, j’étais presque déçu de ne pas avoir profité de la nuit pour copuler comme des lapins, mais en même temps j’aimais cette complicité, cette envie de me prendre en bouche, de me faire jouir… Je passe la main à côté de moi, je suis seul. Le jour est levé. Je me lève, nu.
Elle est dans le salon ,assise, avec un café et du pain. Elle porte un grand t-shirt à moi. « Bonjour ». Grand sourire. Je suis debout devant elle nu, et je bande comme chaque matin… Je me penche et l’embrasse… puis elle saisi ma queue entre ses doigts et la prend dans sa bouche… Je gémis instantanément, elle n’est pas rassasiée… j’adore ça… Elle me suce encore… je lui fais remarqué « t’aime vraiment sucer toi hein ? » elle, bouche pleine, se contente de gémir, de rire, d’un rictus étouffé. Mon bassin bouge et je pénètre autant sa bouche que sa bouche m’engloutis… J’hésite… Je pourrais jouir encore… Me laisser aller, mais peut-être qu’elle a envie elle aussi. Je pourrais assouvir mon plaisir égoïste. Et comme je perdais le fil de mon plaisir par politesse, ou par galanterie, et comme si elle lisait en moi où pouvais le sentir sur ma verge, elle me dit : « Tu hésites à venir ? ». Elle retire le t-shirt, nue, elle dévoile ses seins… Elle crache sur ma bite, la branle à fond, la pointe sur ses seins… « Hésite pas, jouis sur mes seins… ». Ses seins sont superbes et je me laisse aller puis le désir d’avoir le contrôle, je pose mon membre entre ses seins, les presse contre mon pénis, et je vais et viens entre ses seins… Elle gémis… je jouis… mon sperme gicle par filets épais sur sa gorge… ses seins sont superbes et la matinée commence bien… Je me suis ensuite assis face à elle pour prendre un café avec elle. Nus tous deux, mon sperme encore chaud qui coule entre ses seins. Puis la conversation comme si de rien était : « Tu sais j’adore le sperme des hommes… j’adore vous faire jouir »… Et moi j’adore son ton directe et malgré toute ma « galanterie » du premier épisode, je me rend compte que la veille, elle n’a pas aimé que je me retienne de jouir. Là encore, le lâcher-prise…
J’ai appris beaucoup ce week end. L’heure tournait et j’avais envie de rester avec elle mais ma femme devant rentrer il fallait conclure ce superbe moment. Vers 11h, nous étions rhabillés, je la regarde sur le point de partir. Et tout à fait naturellement lui dis : « Je veux te baiser une dernière fois contre le mur… » Elle retire son manteau et je la prend et la colle face au mur, je défais son pantalon et le descend mi-cuisse… je passe ma main entre ses fesses caresse sa fente, je sors ma queue et la plante en elle. Je la baise contre le mur de sorte qu’elle se sente écrasée par mes coups de reins. Elle porte toujours son pull, ça m’excite. Je tiens ses hanches avec force. Et puis petit à petit, elle cambre, recule son petit cul et se retrouve penchée… Planté sur mes talons, je commence à la baiser profondément… Je sens ma pénétration très profonde, je regarde son superbe cul, j’en suis dingue, c’est la première fois que je vois son corps sous cet angle. Elle se crispe et jouit, j’adore, je la laisse faire, ma queue plantée dans sa fente. Puis je sors et colle ma bite contre ce superbe cul. Je redécouvre ce que je savais déjà : j’adore éjaculer sur le corps des femmes, plus qu’à l’intérieur… Mon sperme jaillit sur elle, sur sa fesse, dans sa raie, coule… Elle est essoufflée… Elle essuie son cul, ça m’excite, puis me sourit, se rajuste et m’embrasse sur la joue « On s’appelle ? ».
Voilà elle n’est plus là, je fais le ménage et attend de reprendre mon quotidien. Ma femme est rentrée et bien sûr j’ai dû mentir sur le dérouler de mon week end, loin d’être facile, ce fût une expérience très particulière. Le lendemain au réveil, j’avais envie, j’ai réveillé ma femme et lui ai fais l’amour. J’ai senti de nouvelles choses, j’ai senti qu’elle avait besoin de plus de spontanéité, de se sentir désiré, d’avoir aussi de la fermeté, d’être prise sans galanterie… J’ai compris finalement très vite que je n’avais besoin que d’elle, et de plus de spontanéité. Voilà, deux jours passés au bras d’une autre et j’avais compris l’essentiel, finalement assez proche de ce que je sais maintenant. Et l’erreur fût sans doute de la revoir…
Voilà donc le récit de ce week end de printemps amorcé il y a longtemps. J’espère qu’il vous a plu.
A suivre bientôt.