Le fruit de la frustration

Il y a des jours où tout va mal… Le genre où toute la Terre semble s’être liguée contre vous dans l’unique but de vous emmerder. Cela va des piétons qui pensent avec un pouvoir magique qui arrête les voitures en tendant le bras, des deux roues qui se pensent invisibles, du connard qui s’engage dans le carrefour et qui bloque tout parce qu’il ne pouvait pas attendre au feu… De vos collègues qui vous sortent tous par les trous de nez, de Patrick, le gros lourdaud qui enchaîne les blagues salaces et qui se vante de « séduire des minettes », de Janine de la compta qui raconte sa vie et celles de ces trois merveilleux enfants qui sont moches et de votre chef qui est chiant car c’est un chef…

C’est après une de ses journées, que je rentre chez moi. Fermant la porte sans ménagement, accrochant ma veste dans la penderie avant de lever les yeux vers le salon. Perchée sur ses talons hauts, elle se dresse au milieu du salon, face à la télé sur laquelle une chaîne musicale est allumée. Elle est de ¾ dos devant moi, mes yeux parcourent son corps de bas en haut… Ses jambes vêtues de bas noirs légèrement transparents, une fine ficelle ressort du haut de ses fesses bombées, les bretelles de son porte-jarretelle sont glissées sous son string, elle a donc tout prévu… Son corset en dentelle fine à motif lui recouvre tout le dos, ses cheveux blonds sont attachés en queue de cheval… Autant vous l’avouer, elle est sublime, une véritable œuvre d’art…

D’un lent mouvement, elle se retrouve face à moi, levant ses yeux noisette en amande. Elle tente de refréner un sourire de satisfaction ô combien énervant ! Elle savait parfaitement comment j’allais réagir ! Je lui envie ce pouvoir qu’elle a sur moi, cette capacité à m’attirer vers elle, cette emprise qu’elle a sur moi car je ne peux résister… Avant même de m’en rendre compte, je me suis approché d’elle. Admirant la forme de ses seins écrasés et gonflés par le corset.

Nul besoin de dire un mot dans ce genre de moment ; elle pose ses mains de part et d’autre de mon visage alors que mes bras s’enroulent autour de son bassin pour la plaquer contre moi. Nos langues se mêlent avec passion. Ses mains descendent pour ouvrir un à un les boutons de ma chemise alors que les miennes caresses ses fesses même si je pourrais les dessiner les yeux bandés. Une fois ma chemise ouverte, elle décide de ne pas s’arrêter en si bon chemin, elle ouvre mon pantalon et découvre l’état dans lequel elle me met.

Ma verge est déjà dressé et bien à l’étroit dans mon caleçon. Elle s’agenouille devant et ne cherche plus à refréner son sourire, sa langue passe sur ses lèvres avant de me lécher le gland doucement. Sa langue tourne quelques fois avant qu’elle ne fasse entrer mon gland entre ses lèvres, laissant des traces de rouge à lèvres sur ma peau. Après quelques va et vient avec sa tête, j’attrape sa queue de cheval. Non pas que je veuille lui imposer un rythme ou la forcer mais je sais qu’elle aime ça. A ce moment, elle creuse ses joues autour de mon gland, cette sensation de douceur me laisse échapper un gémissement de plaisir… Je me demande ce qui a bien pu l’exciter ainsi aujourd’hui mais je n’ai pas envie de lui poser la question, de peur de casser ce moment. Elle accélère et varie ses mouvements. Tenant mon sexe à sa base, elle prend un vrai plaisir à goûter mon sexe, ses joues ont rosis et ses yeux pétillent lorsqu’elle ose me regarder d’un regard cliché de film porno. Cette fois, elle enfonce mon gland au plus profond de sa bouche, elle me connait par contre et je lâche un râle de plaisir. J’intensifie ma poigne sur sa mèche de cheveux et elle se met à gémir à son tour. Je remarque que sa deuxième main est entre ses cuisses et qu’elle n’a pas pu résister non plus à subir les conséquences de son plaisir.

Son excitation augmentant, elle augmente le volume de ses gémissements, ce qui m’excite, ce qui me fait soupirer de plus en plus. Sa langue tournant, appuyant, frottant mon gland, je ne peux résister plus longtemps et fini par éjaculer dans sa bouche sans même la prévenir… Sentir sa bouche et sa gorge se resserrer sur mon gland, sentir une goutte couler hors de sa bouche sur ma verge, puis sur mes bourses… Je crois que le temps vient de s’arrêter afin que je savoure ce moment…

Ma partenaire se redresse et avant même qu’elle dise un mot, je l’embrasse goulument. Le parfum de sa bouche a changé, devenu salé mais cela ne me dérange pas. Elle entoure ses bras autour de mon cou et alors que mes mains s’agrippent à son cul, elle enroule ses jambes autour de mon bassin. Je la porte sans effort jusqu’à la chambre où je la relâche sur le lit. Elle retire son string en tendant ses jambes, dévoilant sa chatte que je trouve magnifique…Son mont de vénus entièrement lisse, des grosses lèvres épaisses et rondes d’un rose pâle et ses lèvres intérieurs très fine et d’un rose soutenu.

L’embarras du choix face à l’ouverture sans gêne de son corps, allongée sur le dos, les jambes écartes et repliés. Je peux voir les doux reflets de lumière sur sa peau humide alors que j’approche mon visage de sa chatte. Ma langue se pose sur ses lèvres chaudes et s’y immisce. Je trouve immédiatement le bouton commandant son plaisir, elle se cambre immédiatement, surement électrisé par ce contact. Elle a préparé le terrain en se caressant, son sexe est déjà grand ouvert, deux de mes doigts y entrent sans aucune résistance. Elle ne se retient plus de gémir, ses mains agrippant mes cheveux. Elle fait en sorte que mon visage ne peut se décoller de son sexe… Mes doigts glissent lentement en elle, appuyant sur son point G et ses cuisses commencent déjà à trembler. Que j’aime la faire gémir ainsi, la sentir venir…

Juste avant qu’elle ne parte dans un puissant orgasme, je me détache d’elle. La laissant redescendre un instant mais la pénétration de ma verge, bien plus épaisse et longue que mes doigts la fait décoller… A peine au fond et la voilà tremblante, sa respiration bloquée, ses yeux fermés de longues secondes. Je peux sentir sa chatte se contracter autour de mon sexe… Son bassin se levant lentement. Puis alors qu’elle redescend lentement de son nuage, je commence les va et vient en elle. Nos corps bougeant à l’unisson, l’un contre l’autre dans une danse que l’on maîtrise sans même se concerter. Nous ne pouvons plus nous embrasser tellement nos gémissements sont intenses. Elle enroule ses jambes autour de mon bassin et je me laisse basculer sur le dos, sans pour autant sortir d’elle… Elle prend donc le dessus… Se cambrant sur ma verge, glissant ses mains dans son dos, dégrafant une à une les attaches de son corset pour se libérer la poitrine…

Sa poitrine se dresse fièrement sur son buste au rythme de sa respiration saccadée et profonde. Ses fesses posées sur mes cuisses, son sexe accueillant le mien entièrement. Nos regards ne pouvant se décrocher l’un de l’autre. Ma partenaire se met à bouger son bassin lentement d’avant en arrière en posant délicatement ses mains sur mon ventre. Le corps d’une femme, avec ces courbes, est d’une beauté parfaite… A ce moment, mon plaisir n’est pas dans le lent frottement de nos sexes emboîtés mais dans celui de la contemplation de ma partenaire.

Ses joues sont rougies par le feu qui la consument, ses yeux pétillent de milles étoiles, sa peau luisante d’une fine couche de sueur. Peu à peu, elle se cambre doucement, creusant le bas de son dos pour faire remonter ses fesses plus haut sur ma verge. Je peux sentir mon gland appuyer en elle. Elle se mordille la lèvre à chaque fois qu’elle se relève faisant sortir mon sexe, puis expire d’un léger sourire lorsqu’elle s’empale dessus. Ses mains se décalent sur mes épaules, en se penchant sur moi, je sens sa chatte resserrer ainsi son étreinte sur ma queue. Dans cette position, elle n’a qu’à bouger ses fesses pour qu’elle glisse entièrement de bas en haut sur ma queue et plus elle se penche et plus l’amplitude est importante… Elle s’écroule rapidement sur moi, écrasant ses seins contre mon torse, son visage à côté du mien, chacun gémissant en écho de l’autre. Je relève les cuisses en rapprochant mes pieds, faisant en sorte que ses fesses viennent taper dessus lorsqu’elle s’empale au maximum sur mon pieu.

Ses mouvements deviennent compulsifs, elle perd peu à peu à nouveau le contrôle de son corps. Mes mains prennent place sur ces fesses tendues pour l’aider à suivre le rythme mais ma queue ressort de plus en plus souvent mais retrouve toujours le chemin du plaisir sans l’aide de nos mains. Soudainement, elle se bascule en arrière, prenant appui sur ses pieds qu’elle place sous mes épaules… Elle m’offre ainsi une vue sans aucune retenue sur la partie la plus intime de son corps… Ses lèvres grandes ouvertes et scintillantes… L’union de nos sexes… ma queue disparaissant, avalée par ses lèvres, elle se laisse glisser sur moi quelques instants nos yeux ne se décrochant pas l’un de l’autre.Puis sans un seul signe, je comprend ce qu’elle désire.

En quelques mouvements, elle se retrouve à quatre pattes devant moi, son cul en forme de cœur inversé devant moi. Les bretelles de son porte-jarretelle tendues sur sa peau… Sa fente bien ouverte sans aucune retenue. Je m’y enfonce d’un geste lent qui lui arrache un gémissement puissant. Je glisse ma main dans ses cheveux pour les lui attraper et tire doucement sa tête en arrière comme elle l’aime. Son cul se retrouve contre mon bassin, ma queue bien au fond, mon gland appuyant en elle. Je donne un coup sec bien profond et recommence encore et encore lui arrachant des cris de plaisir. L’une de mes mains attrape sa poitrine qui ballote à chaque coup… Il n’y a plus aucune pensée en nous, seulement l’unique volonté de jouir ensemble.

Mes coups de butoirs sont puissants, je ressors presque entièrement d’elle pour venir la posséder totalement. Mon emprise l’empêche de s’échapper et elle crie à chaque coup, elle se cambre d’avantager pour mieux me sentir, pour que ma verge appuie sur son point G. Ses bras tremblent tellement qu’elle laisse tomber ses épaules et son visage sur le matelas, mais elle garde son cul bien haut. Les muscles de son dos se creusent, le rendant tellement excitants, mes mains sont plantées dans ses divines fesses qui claquent contre mon bassin.

Au moment de jouir, mes yeux s’ouvrent malgré le noir total de notre chambre. Je sens ma queue se contracter et déverser mon sperme sur mon ventre… Je tente de me souvenir de ma partenaire lors de ce rêve… Est-ce cette amie de longue date que je revois depuis peu et qui me séduit ouvertement malgré qu’elle soit en couple et dont je ne lui cache pas mon attrait pour elle ? Est-ce ma collègue qui m’obsède depuis des mois ? Est-ce juste l’une de mes ex-partenaires ? Ce qui est sûr c’est qu’il ne s’agissait pas de celle qui dort à mes côtés en ce moment…

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Ooooh ben non pas la fin
… Tu viens de me lâcher du cinquième étage… Mince… J’y etais arrivée avec plaisir ceci dit.

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