Le temps du renouveau

Et ben c’est chaud !

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Un récit tout neuf tout aussi prenant que l’autre… la suite, encore !

Suite d’une aventure marquant mon retour ici, chez moi, et mon retour auprès des femmes. Comme souvent dans ma vie j’ai eu du grand vide et du trop plein, comme tout arrive en même temps ou comme tout part en même temps. Curieux aussi d’écrire sur ce que j’ai vécu post confinement et voir la situation actuelle se dégrader, et ses interactions sociales avec.

Nous avons longtemps conversé à ce sujet sur ce canapé, nus comme des vers et subissant sans souffrir des premières chaleurs. Quel rapport aux autres avons-nous développé pendant cette isolation forcée. Ayant vécu cela d’abord de loin car j’étais au Canada, d’abord isolé, au début de la crise, puis seul, rentré en France au mois de mai où j’ai poursuivi mon isolement. J’ai vécu cela de manière très angoissée comme beaucoup je pense, le manque de contact de toute nature avec autrui mais aussi la peur de perdre la possibilité d’un contact, et les rapports de séduction qui vont avec.

Nelly, elle, c’était un peu l’inverse. Eric et Nelly se sont proposés dés le début de leur relation de vivre leur sexualité ailleurs que dans leur couple sans poser aucun problème. Ce que je trouve remarquable de leur part, fait de manière honnête et transparente et situation que j’ai fantasmé toute ma vie sans réussir à la pratiquer vraiment. Mais en plus ils sont partageurs. Nelly me raconte que Eric fréquente une de ses meilleures amies, qu’ils couchent régulièrement ensemble tous les trois, et quand Nelly est absente, Eric raconte tout. Eric a aussi permis à Nelly de rencontrer ses amis, et dans chaque cas, chacun s’est assuré que les personnes extérieures avec qui ils vivent leur sexualité soit conviées dans leur intimité ce qui selon elle, permet qu’il n’y ait pas de problème d’abus ou encore de sentiments « vénéneux » (c’est son mot). Bon ok. La relation libre, c’est chouette, mais la vivre avec des proches, j’avoue que ça ne m’attire pas plus que ça, enfin c’est leur vie. Et puis revenons au confinement. Bien sûr cette période les a fait décrocher de leur mode de vie de partage pour se retrouver seuls tous les deux, l’un avec l’autre et c’est tout. Et ça, Nelly a adoré. C’était difficile de se l’avouer mais ne coucher qu’avec Eric l’a beaucoup manqué, jusqu’à ce qu’elle ait envie d’arrêter cette pratique et de vivre exclusivement avec Eric. Ils baisaient quotidiennement, Eric en télétravail, Nelly s’adonnant à la masturbation, elle ne s’était jamais donné autant de plaisir seule alors qu’elle était en couple, et par ailleurs plus que satisfaite. Et Eric prenait un malin plaisir à la laisser seule jusqu’au moment ou il allait la rejoindre. Nelly a vécu un confinement sexuel, si bien qu’elle s’est mise à douter de sa santé mentale, se diagnostiquant accroc au plaisir sexuel. Mais ça ne l’inquiétait pas vraiment, elle jouissait plusieurs fois par jour et ce n’était pas donné à toutes les femmes.

J’avais presque peine à croire ce qu’elle me disait tant je l’enviais mais je me posais donc la question : que faisait-elle avec moi puisque le confinement avait changé la donne et l’avait fait prendre conscience que sa vie sexuelle suffisait avec Eric ?

L’approche du déconfinement avait fait renaître l’envie d’aventure et c’est Eric qui avait pris les devants et le soir du 11 mai, il avait appeler un couple d’amis et ils célébraient la liberté ce soir là, en baisant avec le partenaire de l’autre ici même, dans l’appartement d’Eric.

Eric et moi on se connait depuis longtemps et nous avons travaillé ensemble depuis longtemps, il fait de la production video et sonore et travaille à son compte. C’est un grand séducteur et un mec d’une grande gentillesse. Nous avons passé quelques temps à séduire et ramener des filles chez nous, nous avons vécu divers situations embarrassante de refus, de pannes sexuelles avec deux nanas pour une soirée à quatre (mémorable et je pense que je le raconterai un jour) et donc de baise qui n’aura jamais lieu, et je le connais donc intimement et réciproquement.

D’après Nelly, Eric savait que nous nous entendrions bien elle et moi et n’avait pas de doute sur le fait que je ne tiendrai pas longtemps avant d’agir. Et plusieurs questions se posaient : d’abord Nelly me demanda comment avais-je vécu la « trahison » puisque c’est bien ce dont je croyais être coupable ?

Vous avez la réponse : pas très bien et moi aussi j’ai parfois l’impression d’être malade vu comment je me laisse dirigé par ma bite. Et en même temps j’affectionne l’interdit et là j’étais servi, un mélange de désir, de plaisir mais de frustrations : voilà comment résumer les évènements de la veille.

Et de mon côté, comme je ne pouvais posé la question à Eric, je demandais à Nelly quel plaisir y avait-il chez eux de partager ça avec leurs amis. Nelly répondit pour elle, que de savoir Eric avec son amie l’excitait non seulement par le simple fait d’imaginer son homme « raide et surexcité » s’occupant de sa pote mais qu’en plus elle avait accès d’une certaine façon à l’intimité de son amie. C’est encore plus fort qu’avec une inconnue même si elle affectionne ça aussi. Et puis de passer du temps à baiser entre potes, c’est comme un hobbie, un amusement qu’on partage, c’est excitant et en plus on se lâche.

Je reconnaissais la façon de penser d’Eric. Vous ne serez pas étonné de m’entendre dire que ça me fascine cette configuration, que je les envie, que je la désir et que je comptais bien en profiter. Nous étions nu sur ce canapé à parler depuis un bon moment et l’envie s’est à nouveau manifesté, avec l’impossibilité de la dissimuler me concernant… Nelly me regarde, un instant de silence… Nelly écarte les cuisses doucement, pose la main sur sa chatte… doucement… et moi la mienne sur ma verge, lentement… puis les mots…

Nelly : Est-ce que tu te branle sur les photos de seins que tu as prise en voyage ? J’ai du mal à croire au pur désir artistique ?

Je souriais et je savais que j’allais devoir raconter l’histoire de ces photos… Je me levais pour poser mes genoux sur le canapé, elle se retournait doucement, se caressant la vulve… Me tournant le dos, nous avions le même désir…

Moi : Bien sûr que je me branle en regardant ces photos, tu les as vu, elles sont magnifiquement sexy…

Nelly : alors tu maquille ça en intention artistique alors que ce que tu cherche est purement masturbatoire…

Son ton saccadé par l’envie dissimulait mal une forme de provocation… Je plaçais mon gland sur sa chatte et enfonçais lentement ma queue et jusqu’au fond de son trou dans une inspiration chargé de plaisir, je me penchais, je prenais ses seins et la plaquait contre moi. Je sentais son cul épouser la forme de mon bassin, mon torse épousant son dos…

Moi : L’art n’est pas incompatible avec le sex, il est même le résultat de mes pulsions…

Je reculais et lui enfonçais durement ma bite jusqu’à la garde… Elle gémissait cherchant à poursuivre la conversation…

Nelly : Ohhhhhhh… Ouuuffff… j’aimerai que tu m’en dise… plus…

J’embrassais sa nuque, ses épaules, écrasait ses seins dans ma main… Reculant lentmement et pilonnant avec force…

Moi : Hummm… toutes ses filles… j’ai adoré leur seins… je revois ses photos et je me rappelle de… ohhh… de chaque … moment… de chaque geste qui les ont amener à… ohh… se dévêtir pour moi…

Nelly : oohh ouiiii… vas-y…

J’accélérais progressivement…

Moi : Mais comme je ne les ai pas touché… c’est comme si le désir… que j’ai pour elles restent intact… ohhhhh… et éternel… tu vois…

Nelly se met à rire…

Nelly : hhmmfff… on ne m’a jamais baisé de façon si… intello…

Je la sentais décrocher un peu de la conversation, et surtout je sentais qu’elle ne croyait pas à mon histoire… Je me relevais et prenais sa tête en la tournant vers moi, et bloquais mon pieu au fond d’elle… et la regardant dans les yeux…

Moi : Nelly, je ne les ai pas baisé comme je suis en train de te baiser… Je ne les ai pas prise en levrette comme je suis en train de te prendre… Je ne leur ai pas défoncer la chatte comme je vais te la défoncer…

Je savais que ça ferait mouche… Elle avait un air sérieux et grave… Elle se demandait juste pourquoi… je le lisais dans son regard… Et la conversation devenait décousue et même impossible à tenir, j’étais si tendu et dur en elle qu’elle frissonait déjà tout comme moi… Je la lâchais et la laissais choir sur le canapé. Je la baisais ensuite si durement qu’elle enfouis son visage dans le coussin et se mis à crier dedans !

Je voyais son cul rebondir contre mon corps, ma grosse queue s’introduire et s’extraire de son sexe et mes mains maintenir ce cul, le sentir dans mes paumes chaud et moite. Je la baisais sans retenu et sans fléchir, l’envie de jouir était encore loin et mon érection implacable, une tension continue dans mon sexe maintenait écartées son vagin dont j’obstruais l’espace de toute ma largeur…

Je sortis mon sexe … je la regardais de haut… Elle était transpirante, à ma merci, son cul superbement offert et bombé…

Moi : Je ne les ai pas enculé comme je vais t’enculer…

Je l’ai entendu chuchoter « oh putain… », je posais mon gland sur son anus et je poussais pour qu’elle s’ouvre, j’ai vu ses doigts commencer à se faire vibrer le clitoris pendant que mon gland disparaissait dans son cul… Elle à poussé un long cri crescendo « ooooooOOOOOOOOOHHHHHHHH… » c’était long et pleintif, je m’enfonçait toujours et arrivé à la moitié, je ne savais plus si elle avait mal ou si elle voulais plus… Je m’arrêtais et reculais quand uhn nouveau gémissement se fit entendre…

Nelly : « Ohhh putaiiiinnnn vas-y c’est booonnnn »

J’enfonçais alors ma poutre… jusqu’à la garde…

Je la sentais serrée… ma queue pulsait, je pouvais sentir les battements de mon coeur en elle et dans ma bite. J’avais l’impression de gonfler et de gonfler encore… Je crachais plusieurs fois sur mon sexe. Elle s’est mise à jouir en se masturbant, je la sodomisais lentement et je n’ai jamais accélérer, jamais je n’ai pu trouver ce moment ou son anus aurait été suffisamment dilaté… Son corps tremblait, ma bite rigide subissait des torsades presque douloureuses et je me dégageais pendant son orgasme, non sans mal de son emprise.

Je me branlais sur son cul qui dansait, mais ce n’était pas encore le moment.

Elle gémissait de moins en moins fort, sa peau offrait ses plus beaux hérissements et elle se caressait tout le corps, passant sur ses seins, puis ses hanches, ses fesses, elle enfonçait deux doigts… et surprise se retourna, les doigts dans l’anus…

Nelly : « Tu n’as pas jouit ? »

Moi : " Non"

Nelly : « Mais tu le fait exprès »

Moi : « J’ai pas envie de jouir… tu vas pas m’engueuler ?! »

Nelly : « Tu viens de baiser le plus cul de la région et tu n’as pas envie de jouir… finalement je te crois avec tes photos de seins… »

Je me rassis au fond du canapé, à la fois hilare et dépité. Elle avait effectivement un très beau cul dont je n’ignorais rien du privilège qu’il m’était donné de pénétrer. Et c’est là tout son charme, cette assurance… et en même temps son défaut, sa verve un peu crue et directe…

Nelly : « Mec, je vais pas te sucer là, tu sors de mon cul ! »

J’aime entendre parler crument et en même temps j’étais agacé de la voir briser l’instant. Après tout je pouvais décider si j’avais envie de jouir ou non. Mais cette façon de parler témoignait qu’elle en avait eu pour son compte et que quelque part c’était terminé. Mon érection était en train de faiblir…

Pendant qu’elle se retournait doucement, assise en face de moi je lui dis :

Moi : « Tu sais avec ces filles que j’ai photographier demi nue, je me suis fabriqué des souvenirs, les photos c’est juste l’instant mais tout le reste, c’est dans ma mémoire, et en ne les touchant pas, en m’infligeant cette frustration, j’ai rendu mon désir pour elle impossible à assouvir et donc impossible à effacer… J’ai longtemps chercher ces sensations… Le désir, pas le plaisir, pas la séduction, le désir pur »

Comme je me flétrissait et qu’elle voyait que je ne la désirais plus, elle se leva et alla à la salle de bain encore une fois…

Je sentais que le courant était fluctuant entre nous… En même temps son corps sublime me faisait monté la fièvre, en même temps son caractère très brut déclenchait des malaises, quelque chose d’indescriptible que je ne maitrisais pas. Mais ce n’était pas grave. J’éprouver du plaisir à la baiser, et je ne lui en tenais aucunement rigueur d’avoir des désirs pareils à des courants contraire. Et elle ne s’arrêtera pas de me surprendre quand elle revient avec un gand chaud et humide.

S’installant entre mes jambes, elle passa le gand sur la queue pour lui donner une divine toilette… Puis elle me suça tendrement la queue qui finit par se tendre émue, fière et dressée… Puis me guidant , m’allongeant sur le dos, m’enjambant, elle pris ma bite entre ses doigts, me masturbant et la collant entre ses jambes, effectuant une masturbation de ses doigts et de sa vulves… J’ai éjaculé giclant sous ses yeux et sur mon torse grâce à ses doigts et son charme atomique…

Nelly : « Celui qui voit mes seins nus est obligé de jouir… »

Fière de ses seins… à raison…

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C’est superbe !! Merci beaucoup

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J’adore !!?!

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Ses jambes sont sur les miennes, je les regarde, leur finesse, leur longueur et leur façon de se courber en haut des cuisses pour former ses hanches, ses fesses et son entre jambe…

J’éprouve un sentiment très étrange : Nelly n’est pas mon genre, non pas physiquement car elle m’excite à très haute fréquence, mais psychiquement. Je la sens présomptueuse ce qui a tendance une fois sur deux à m’agacer, et l’autre fois à me faire bander. Peut-être simplement trop jeune pour moi. Mon premier rapport avec une femme depuis des mois. Depuis que je suis rentré de ce périple avorté de manière un peu brutale. Ce qui s’est passé s’est passé parce que la tentation était trop grande de me retrouver dans cette situation : la meuf d’un pote et qui plus est d’un pote consentant. J’avais curieusement envie d’en parlé avec lui.

Chacun notre tour, nous retrouvions nos esprits, le temps d’une douche, de se rhabiller, nous étions de nouveaux colloques temporaires et attendions que Eric rentre. Je me demande si Nelly va en parler frontalement. Je me demande si j’ai pas fait une connerie en fait. Je me demande c’est quoi la suite. Je me demande si ça ne fait pas de moi un assister du sexe incapable de me trouver une partenaire… En fait je doute. Une seule solution : contacter Julie. Je prend mon téléphone et lui écris un simple texto : « Veux-tu prendre un verre ? ».

Le temps passe, je met de l’ordre dans mes affaires. Nelly est là bien sûr, sereine et sexy, souriante. Quand Eric rentre enfin, Nelly l’accueille, l’enlace et l’embrasse. Et moi je le salue normalement. Nelly vaque à ses affaires et nous nous retrouvons seuls, lui et moi. Il s’avance sourire aux lèvres :

  • « Alors ? »

J’avais terriblement envie de lui en parler plus tôt mais là, d’un coup, fini… Je trouve ça presque déplacé :

  • « Alors quoi ? »

Eric rit.

  • « La petite… elle vaut le détour… »

J’ai l’impression qu’il veut me vendre une voiture… ça m’écœure. Mais il faut que je lui lâche une réplique approbatrice… il m’héberge et me prête littéralement sa petite amie. Bien sûr la situation était sensée m’exciter mais l’excitation était retombé après mon dernier orgasme, ce qui est somme toute très humain. La chose la plus intelligente à dire m’est alors venu à l’esprit :

  • « Oui, tu as de la chance de l’avoir ».

Eric sourit tendrement, se retourne dans la direction de la pièce du fond où elle se trouvait sans pouvoir la voir, soupira et avec la même tendresse :

  • « Tu as raison ».

Il me tape l’épaule et va la voir. Eric retrouvais son humanité et moi la tendresse pour mon ami.

Ma sexualité peut être tordue parfois, des envies impulsives, une fois assouvies me répulsent. Je veux posséder, transgresser mais à la lumière. Si j’avais été Eric j’aurais été excité de ce sentiment de possession de cette jeune beauté sensuelle, j’aurais éprouvé une sensation de pouvoir en la confiant à l’étreinte d’un ami cher. Je me demande quelle est cette nature humaine ? Enfin ils sont consentant et ont l’air heureux. Et de plus il est préférable que je ressente une telle différence de caractère entre elle et moi. J’ai du désir et non des sentiments pour elle. C’est mieux.

Mon téléphone : pas de réponse. J’ai besoin de n’être qu’à une seule personne même pour une nuit, que cette personne soit seulement mienne. Je pourrais enfin sentir le renouveau à ce moment là. Là je vis une remise en forme assistée d’une déesse du sexe et de son propriétaire, une souffle de liberté faussement anarchique et transgressif.

Nous dînons ensemble. J’attendais impatiemment le texto de Julie. Eric racontait sa journée, à courir dans tous les sens, les rendez-vous qu’il a eu toute la journée liée à son activité. J’écoutais d’une oreille. Puis un rendez-vous dans l’après-midi chez Estelle qu’il raconte comme si de rien n’était. « J’avais du matos à récupérer ». Nelly interpelée.

-« Ah tu as vu Estelle… C’est pour ça que t’es tout joyeux aujourd’hui » Dit-elle.

  • « Arrête… tu trouves ? »

Nelly me regarde :

  • Estelle c’est une collègue" mimant les guillemets
  • Disons que c’est une pote de fac avec qui on a fait pas mal de projets ensemble…
  • Et occasionnellement il l’a saute ! Répond Nelly en souriant avec un brin d’agacement.

Eric me sourit.

  • C’est que ça faisait 3 mois que je ne l’avais pas vu, dit-il.
  • Et c’était bien ? Demande-t-elle.

Eric se tourne vers moi.

  • Il faudrait que je te la présente Ivan. Elle est coule et… silencieusement mais je lis sur ses lèvres « elle est bonne »
  • Oui elle est pas mal si t’aimes les petites brunes au petits seins, mais c’est pas ton genre je crois Ivan ?
  • J’ai pas de genre, réspondis-je et Nelly un peu vexée.
  • Oh tu vas pas me faire une scène quand même ? Dit Eric agacé lui aussi.
  • ça va je blague… bon raconte.

Eric se tourne encore vers moi comme si j’étais concerné par sa baise du jour.

  • Je récupère le matos, des préamplis super lourd, je charge la caisse dans son allée, elle me vois en sueur, elle s’approche et m’agrippe l’entre jambe, elle me dit « ça fait longtemps », je la saisi aux hanches et la retourne contre la bagnole, juste un instant pour défaire son jean noir et mettre une main sur sa petite chatte et je l’ai baisé sur le capo en levrette. (Se tournant vers Nelly), tu vois juste un petit coup sur le capo de la kangoo.

Dans le genre sexy on repassera mais baiser sur un capo, ouai ça à l’air excitant. Nelly est excitée. Elle sourit bêtement, son semblant d’attitude outrée a disparue… Eric et moi lisons dans son regard que ce qu’elle veut c’est qu’on la baise… Et ce que j’appréhendais arriva.

  • Et bien mon cher, Ivan m’a salement baisé comme une chienne, deux fois… C’était trop bon…

Eric sourit. Me regarde. Et me fait un clin d’oeil. Eric n’a pas l’air de vouloir en savoir plus… Je prend part aux échanges.

  • Je l’ai baisé sur la table à l’endroit où tu es en train de manger Eric. Je l’ai fait jouir une première fois, j’ai tout retenue, gentleman, ce qui m’a valu ses faveurs pour me finir dans sa bouche. Et comme elle en voulait encore et moi aussi, nous somme s allé sur le canapé, je l’ai prise en levrette… puis je l’ai sodomisé… Et elle ma fait jouir avec sa main et sa chatte…

Eric et Nelly sont sans voix. Excités… passablement… Et Eric me lance…

-Sodomisé hein ? (regardant son assiette vide désormais) et… (levant la tête) tu pourrais recommencer ?

Je le regardais, ses yeux avait changés… Nelly aussi… je sentais la tension… et je sentais aussi mon érection? elle montait depuis un moment mais je n’y prêtais pas attention curieusement… A mon tour de sourire, je me lève, je contourne la table, passe derrière Eric, puis derrière Nelly qui était assise en face de moi, de quart tournée par rapport à son mec. Je la prend par le bras, et le lève, j’écarte la chaise, je baisse son petit leggin et plonge une main entre ses fesses, sa chatte est chaude, humide, trempée même, je m’en sers. Eric regarde sans bouger. Je masse son anus, doucement, je passe ma salive… Puis je sors ma queue, crache dessus et pose mon gland entre ses fesses et pousse, sous les yeux de mon ami, j’encule sa copine et je sens son cul me compresser la bite. J’agrippe ses fesses et sans gémir, je me laisse conquérir par le plaisir… Doucement, je la sodomise sur la table. Elle est restée redressée donc cambrée. Une fois au fond j’écarte et replonge en elle et là elle soupire de plaisir lâchant un :« Oh putain elle est bonne ta queue ! ».

Il n’en fallait pas plus pour les choses s’accélèrent. Je me suis mis à la poutrer avec force dans son cul et à la faire crier, Eric a vite sorti son sexe pour se branler voyant le spectacle. J’y suis aller à fond et j’ai rapidement éjacué à l’intérieur de son anus, les derniers coups avaient fait cédé Nelly qui s’était étalé sur la table, je regardais son cul en jouissant, tremblant, je me voyais trônant dans son anus sous l’oeil de son mec amoureux et ébahit par sa luxure…

Je m’écartais et m’asseyais sur la chaise de Nelly. Je regardais son cul. Mon sperme sortais de son anus coulant le long de sa petite chatte. Eric n’avait plus d’yeux que pour elle. Il se leva, redressa sa compagne, l’embrassa tendrement lui prenant la chair d’dénudée de ses fesses et elle saisissant son pénis dressé…

Sans interrompre leur étreinte, ils gagnent leur chambre. Me remettant de cet orgasme compulsif et incontrôlable, je décidais de les laisser. J’avais allumer la mèche, provoqué l’explosion, c’est un juste renvoi d’ascenseur. Je remettai mon outil de plaisir dans mon pantalon et allais cherché mon téléphone, un texto…

« D’accord. Demain 18h ? Julie ».

Une chaleur me prenait au ventre, j’étais heureux et fier, excité d’avoir l’occasion de séduire une fille. Je posais mon téléphone, regardait cette table et son désordre. Je posais une main dessus comme pour ressentir les vibrations qu’on lui avait transmise dans la journée… Le bois étais chaud et moite… Je respirais profondément, puis j’entendais les gémissements à côté…

Je retirais mon t-shirt et avec mon pantalon mon boxer, je suis nu. Mon érection est revenue, je n’hésite plus désormais, je marche jusqu’à la chambre, je pousse la porte de la chambre…

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La suite !!! Tu ne peux pas t’arrêter là ! Trop bien comme d’habitude

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Eric est couché, jambes écartées, Nelly est à quatre pattes et pompe son mec avec une telle abnégation que j’avais rarement vu un tel appétit pour une queue de la part d’une fille. Elle gémit, le branle d’une main et l’autre est posée à plat sur le haut de sa cuisse, sa bouche pulpeuse ceinture la verge nervurée et ses lèvres épaisses s’écrase contre son pieu laissant à chaque va et vient un filet de salive blanchâtre. Son cul est bombé et j’aperçois encore le gouffre sombre et béant de mon passage récent entre ses fesses.

Eric est concentré et semble prendre un plaisir qu’il ne peut dissimulé, il me regarde cherchant à sourir : « OH putain Ivan tu me l’as chauffé là… »

C’est donc cela qu’il cherche, la flamme, l’explosion. Tous les deux, ils se provoquent, ils entretiennent les braises. Et je les comprend très bien.

Nelly se redressent sortant la bite d’Eric de sa bouche, reprenant son souffle et avalant un filet de bave : « Le voilà le mâle qui m’a défoncé le cul devant mon mec »

Evidemment cette remarque me gonfle d’orgueil, de désir. Elle s’approche comme un panthère, je la prend par la nuque et mon sexe s’engouffre dans sa gueule… Et fermant les yeux, savourant sa succion, la rugosité de sa langue de féline et la chaleur de sa bouche moite du sexe de mon ami… je plonge… et replonge écrivant ces lignes dans ce qui a été l’une des meilleurs pipe qu’on m’ai jamais administré…

Je la revois cul bombé, se masturbant la chatte sous les yeux de son mec à l’autre bout du lit, lui qui se branlait frénétiquement devant le tableau… Et elle sur le point de jouir encore… mon bassin ondulant, ma queue pénétrant lentement, c’est moi qui imprimait le mouvement, j’aurai pu jouir une nouvelle fois si je n’avais pas tenu à tout prix à faire durer le moment. Si je ne l’ai pas dit, je l’ai au moins pensé très fort : « Je n’ai jamais connu aussi bonne suceuse »

Elle rit, puis sort ma bite de sa bouche, la pose sur son visage, je me repose et l’admire, elle se met à jouir de ses doigts, nous sommes deux et nous sommes durs, et à la regarder nous sommes ébahis par son corps tremblant… Je la découvre encore dans une nouvelle étape de luxure et d’abandon, ses yeux vitreux marquent son absence. Elle n’est plus que corps et sensation comme si son esprit l’avait abandonné… sauf que son esprit est bien là, possédé par le désir. Et Eric qui connais son amoureuse se jette presque sur le corps encore vibrant, face contre le matelas pour la pénétrer brutalement. C’est si soudain que je m’écarte, si vif que Nelly se met à cirer dans les sur aigüe lui intimant de ne surtout pas s’arrêter. Ce n’était visiblement pas son intention.

Nelly avait les bras hors du lit et son visage dans le vide, ses mains sur le sol garantissaient des appuis solides pour ne pas être éjecter du lit. Je voyais les muscles de ses bras et de ses épaules bandés, son visage fermé, rides des yeux plissées par le plaisir/douleur, difficile à dire. Eric lui dans un exercice de sprotif de haut niveau n’avait presque aucun contact avec sa petite amie, campé sur ses pieds et genoux, ses mains sur le lit de part et d’autres des flans de Nelly, son corps semblait tout entier saisi de convulsions, bardés de nerfs, prêt à exploser…

Je mis genoux à terre espérant pouvoir sentir encore sa bouche mais je me ravisais sentant que les dents de Nelly pouvaient me causer quelques dommages. La tigresse était si bien prise que je ne pu intervenir sur le moment. Je me contentais de rester spectateur comme Eric avait été spectateur de mes prouesses dans le cul de sa femme sur la table à manger. Je trouvais Nelly en rage, belle à mourir… Amoureux un instant je posais ma main sur sa joue, une caresse pour contrebalancer l’assaut brutal de son mec, je sentais sa force vibrer dans sa joue. Nelly se souvint de mon existence un instant, me regarda, sourcil incliné, visage tendre et elle aussi amoureuse elle saisit ma nuque à son tour et me proposa un baiser magnifique entremêlant sa langue et ses fluides.

Cet élan de tendresse radouci passablement Eric qui recouvra Nelly de tout son corps, embrassant son cou, sa nuque, je sentis les frissons de Nelly sur le bout de mes doigts, hérissement de sa peau, étreinte amoureuse et douce, j’entendais la voix de Nelly cassée, étouffée par notre baiser. Puis Eric se dégagea, de retour à l’autre bout du lit. Elle se redressa comme elle pu et je l’enlaçait à mon tour pour la prendre et la poser sur le lit, sur le dos, sans interrompre ce baiser, j’étais contre torse contre torse, sa poitrine écrasée contre moi, et je la pénétrais à mon tour. Sentant ma queue dure lui rentrer dans la chatte, elle sourit, ouvrit les yeux, et nous ne nous embrassions plus. Elle dit : « Vous alors… » d’une voix douce. Je la baisais et sentais le chaud, une masse de fluide gluant glissant dans sa chatte. « Oh oui vas-y… j’adore me faire remplir de sperme par deux beaux mecs comme vous… ohhh putain »…

Je compris qu’Eric avait jouit en silence en elle et que son sperme me servait de lubrifiant… Je n’avais jamais connu une telle situation… je me redressais et sortait ma verge, avec elle je voyais le liquide blanc de mon ami. Une inexplicable sensation de dégoût et d’envie me remontait tout le corps. J’étais incapable de me toucher la bite en même temps j’étais dur et tendu. Nelly me saisi et faisant onduler son bassin et guidant de sa main, je retournais à l’intérieur. Elle se redressait puis finis par me chevaucher… « T’es une petite nature sensible toi hein ? » Encore du défi, de la provocation. Je ne me suis jamais senti aussi mec qu’avec cette fille au bout de ma queue. J’avais envie de 'm’abandonner, je m’étalais de mon long sur le lit, mes main sur son cul, je la regardais danser sur moi, ses seins ballotés, j’étais dur et tendu, elle enfourchais ma bite pour son plus grand plaisir. Mais nous baisions sans jouir, juste des animaux affamés. Eric se remettais doucement à côté massant son sexe en nous regardant. Nelly se tourne vers lui « ça va mon chéri ça te plait ? » Eric tout sourire en guise de réponse. En même temps la voir bouger comme ça c’est vraiment magique.

Nelly ralentit doucement et me dit :
« Si ça ne t’ennui pas je vais aller le faire durcir avec mes seins »

Elle s’écarta de moi puis se pencha sur Eric, comme tout à l’heure, le cul offert, elle massait la verge de mon camarade entre ses seins. Je me mettais derrière elle et la baisais en levrette. Les sensations de foutre s’estompant, je sentais de nouveau son vagin autour de ma bite, les méandres de son sexe et l’envie de jouir se fit de nouveau sentir. Pour elle aussi puisqu’elle commença à gémir et dés qu’elle perdait le contrôle de son plaisir, elle se mise à sucer son mec avec la même passion que tout à l’heure… Et juste avant de s’emporter elle s’interrompit : « Oh putain, je vous sentir tous les deux ».

Elle enfourcha son mec bien au fond et me regarda derrière l’épaule, ce serait une première pour moi… J’enjambais les jambes d’Eric et mis mes mollets sous ses cuisses relevées, puis pointait sur l’anus de Nelly mon gland rouge et gonflé. Il n’y aurait pas de phase d’échauffement, j’allais brutalement lui prendre le cul pour la seconde fois mais cette fois si, Eric était solidement enfoncé dans sa chatte…

Je poutrais son cul béant sans retenu et me suis mis à la baiser. Je sentais ma bite glisser contre celle de Eric à travers ses parois et sentais son cul me compresser le sexe. Eric se mis à l’enlacer, à lui parler au creux de l’oreille, lui dire qu’elle pouvais se lâcher, se laisser aller doucement tendrement alors que moi je l’enculais sans retenu. Ils étaient si inséparablement l’enlacés l’un dans l’autre que j’avais la sensation de baiser le couple et puis au bout d’une apnée interminable, elle a jouit pour la troisième fois, cris, frissons et tremblements et moi j’avais terriblement envie de jouir, ses vibration me conduisant inéluctablement à l’éjaculation. Mais j’observais son orgasme, touchais la peau de son cul moite, regardait ses fesses transpirer, la lueur de sa sueur sur son dos, Eric lui bouffais les seins, Nelly se cambra et se retourna au maximum, je l’embrassais continuant mes vas et viens précaires.

Une fois nos bouches déliées, elle me proposa tendrement « tu veux te branler sur mon cul ? » J’acceptais avec envie sans mot dire. Sortant d’elle je regardais alors son cul de nouveau danser pour faire vivre le coït à son homme, je regardais la belle bite de mon pote entrer à l’intérieur par l’action de Nelly qui bouge pour faire venir son mec. Moi je me branlais sur son superbe cul mouvant, mais je n’avais que peux à faire pour faire sortir mon sperme éclaboussant son doc et ses fesses au contact desquels mon sperme rendit Nelly émoustillée comme s’il en fallait encore… Une fois venu, Nelly pompa son mec sous mes yeux , à quatre pattes encore une fois. Son cul à ma merci je ne pu m’empêcher de la pénétrer encore dans son sexe brûlant, alors que je me finissais. Eric est venu dans sa bouche et moi je me sentais encore grossir… Je saisi ses seins et la cambra contre moi, je sentais cette fois mon sperme contre mon torse et le sperme de Eric coulé de sa bouche contre sa gorge. Je criais « j’ai encore envie putain !!! » et Nelly répondais « vas-y… » et je jouis une dernière fois pour elle, en elle comme pour avoir le dernier mot. Je lui susurrais « t’es vraiment une belle salope… », elle se retournais, et m’embrassa, sa bouche encore pleine de sperme, je sentis le sel d’Eric mais je me laissais aller… « Et toi alors ? » me dit-elle en réponse… puis « dégage de ma chatte ».

Je me retirais de son sexe, du lit puis de la chambre. Nelly avait échu dans les bras d’Eric. Il n’était pas tard mais la suite de la soirée se passerait chacun de son côté. Je songeais à la violence de l’acte, des mots, à la débauche de luxure qui venait d’avoir lieu dans cette chambre et éprouvais encore une fois une gène inexplicable.

Une douche s’imposait et une bonne nuit de sommeil.

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Tu me fais plaisir dès le début de l’année là !!! J’adore :star_struck::star_struck::star_struck::star_struck:

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C’est un très beau récit plein d’émotion et de moment rude en même temps.
superbe

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Voici la conclusion à ce récit

Après 48 heures des plus intenses durant lesquelles Nelly m’avait sorti de ma torpeur, de mon hibernation et de ma quarantaine, de sexe et de rapports humains en général, je me réveillais ce matin là plutôt de bonne humeur. Le petits bruits dans la chambre de mes hôtes y étaient sans doutes pour quelque chose, à mon réveil je veux dire quoiqu’à ma bonne humeur aussi en y réfléchissant. Je me lève d’un pas hésitant, dans une sorte de réflexe automatique. La porte de leur chambre est ouverte et je sais que je suis le bienvenu. Nelly est en train de sucer Eric qui est allongé sur le lit, jambes allongées, écartées, Nelly est à quatre pattes entre ses jambes, Eric semble presque dormir, les yeux clos mais on lit l’intensité dans son attitude, il savoure. Nelly elle, est nue bien sûr, son cul est offert, je vois sa chatte gonflée entre ses cuisses… Bien sûr je bande. Ils ne semblent pas m’avoir remarqué… C’est excitant, je serais bien reçu c’est certain. Mais je ne sais pas pourquoi j’hésite. Peut-être que j’ai fait le tour avec ces deux là. C’est sans doute ça.

Je passe mon chemin direction café. En attendant qu’il se prépare je m’habille, un t-shirt, un boxer et un short feront l’affaire ce matin. Je repasse devant leur chambre, la scène continue sauf que Eric a les yeux ouverts, il me voit et me fait signe. « Salut » de la main. Pas d’invitation, Nelly est concentrée. Je vais prendre mon café. J’entend soudain un gros bruit de ventouse suivi d’un bruit de quelqu’un qui a le souffle court puis Nelly : « Ohhh je veux ton sperme bébé »… ça y est ça m’excite à mort. Tenant ma tasse je reviens sur le pas de la porte pour voir des mes yeux Eric se contracter et décharger son plaisir dans la bouche de sa compagne traversé de spasmes visiblement intenses…

Nelly avait eu ce qu’elle demandait et n’en a pas manqué une miette. Je ne me sens plus troublé, je me sens familiarisé avec cette ambiance de débauche à ciel ouvert. Je mentirai si je disais que je n’aime pas ça. Je décide de les laisser encore une fois, supposant qu’un petit moment d’intimité suivrait.

Eric saute littéralement du lit pour se préparer, étant le seul à avoir des obligations. Il me souhaite une bonne journée et sort en coup de vent visiblement pressé. Nelly sort de la chambre, un string pour seul vêtement. Je me demande pourquoi ce besoin de cacher juste son sexe quand le reste est découvert. Enfin je me régale bien sûr, je la trouve sublime. Moi je prend mon café à la table et à l’emplacement même où je l’avais culbuté devant son homme. Et je la dévore du regard sans aucune retenue. Elle le remarque et s’en accommode sans problème.

Nelly s’assoit en face de moi.

N : Comment ça t’ai venu ce truc avec les photos ?
Moi : J’ai l’impression que ça t’excites en fait, t’arrive pas à te l’enlever de la tête.
N : Exacte. Raconte encore.
Moi : C’était un voyage de boulot et d’exploration, je fuyais ma vie ici en France et j’avais l’impression d’être malade avec les femmes, j’étais dans la consommation, j’ai trouvé que l’art était un bon moyen de faire sortir tout ça.

« La première fois, c’était en Nouvelle Zélande. J’ai rencontré cette fille avec des cheveux très noirs, des tâches de rousseur et des yeux vert. Elle était fine, grande avec de beaux seins fermes. J’avais déjà en tête de faire de la photo de nu puis j’ai aimé le style, juste le buste découvert. Je l’ai prise pour modèle et nous avons eu une aventure. C’était assez plat finalement. Son corps était incroyable mais le sexe était assez plan plan. Et en plus les photos n’étaient pas bonne. De toute façon mon contrat durait trois semaines alors j’ai plié bagage assez vite. J’ai recommencé quatre ou cinq fois (en Australie et à Singapour), le schéma était le même : je trouvais des modèles qui me plaisaient et à qui je plaisais… séance de photo, aventure d’une semaine ou deux. C’était sympa mais pas franchement passionnant et le résultat artistique un peu nul…
J’ai en suite laissé de côté et c’est surtout en Amérique du sud, où j’ai rencontré cette fille. Nous avons eu une histoire et à ce moment là je ne travaillais pas donc j’avais le temps. Elle savais que je voulais faire ce projet photo, ça devenait de plus en plus clair pour moi que j’avais envie de les photographier buste nu donc j’avais des demandes précises. Et en finn de compte cette fille m’a présenté sa soeur et l’a convaincu de faire une séance avec moi, en sa présence. J’ai donc photographier sa soeur sein nu, ça a duré une bonne heure. J’étais excité, transcendé par le désir et je n’ai rien fait, je ne pouvais pas touché cette fille devant sa sœur. J’ai capté la tension dans son regard, la frustration dans mon objectif et le résultat était bluffant. J’ai compris à ce moment que j’avais besoin de ne pas aller jusqu’au sexe. Je veux dire je savais dés le départ que c’était compromis mais mon modèle, elle, avait tout de même cette inquiétude, cette défiance vis à vis d’un mâle qui veut prendre des clichés d’elle nue à demi nue. A partir de là j’ai opéré comme ça pendant presque 8 mois, jusqu’au Canada et à mon retour en France. Pendant cette période j’ai eu trois aventures, en Argentine donc et deux autres au Canada. J’ai donc été assez sage et ça m’a fait du bien. »

N : « Je vois… Et moi, pourquoi tu m’as baisé ? Les photos étaient moches ? »

Moi : Non les photos sont belle, t’es tellement excitante… Mais tu n’es pas intimidée donc ça ne change rien pour toi, tu n’as pas peur que j’abuse de toi ou de la situation, tu le souhaite même. Du coup j’ai craqué… et puis ça faisait vraiment longtemps.

Nelly sourit…

N : T’as raison ça m’excite… Et Julie ce soir, tu vas la prendre en photo ?

Moi : Non je ne pense pas.

N : Pourquoi ?

Moi : Parce que j’ai envie de la baiser.

Long silence, elle me regarde immobile.

Nelly : J’ai envie de baiser moi aussi, ça t’ennuie pas si je viens sur ta queue ?

Je sortais mon sexe de mon short, il était dur encore, gonflé par son regard. Elle écarta son string et s’asseya sur moi dans un long soupir suave et lascif, je savourais sa chatte en train de m’avaler le membre et le regard dans ses seins, je l’ai laissé me baiser jusqu’à ce qu’elle jouisse. C’était assez rapide, moite et tendre en même temps. Je regardais sa peau maintenant brillante de sa sueur, qui s’amoncelait en gouttelettes entre ses seins, que je prenais entre mes paumes. Elle ralentit et doucement elle se leva. Je sentis un air frais sur ma verge trempée, quittant le milieu torride de son sexe.

N : Hmm… toi tu aimerais que je te suce tel que tu me regarde non ? Ou venir entre mes seins ?

Je la regardais, pensif, lascif moi aussi, toujours excité, aucune envie de faire quoi que soit que de baiser aujourd’hui…

N : Tu veux mon cul peut être ?

Elle se retourna… écartant ses fesses, montrant son anus légèrement penchée, de plus son string étiré traversait sa fesse droite. Je souris. Je pensais « C’est pas tout les jours que je rencontre une fille comme ça… aussi … salope… »

Je passais un pousse sur son anus… incapable de décider de ce que je voulais vraiment…

Moi : Tu as vraiment envie que je t’encule ?

N : si ça te fait plaisir…

Moi : Non, répond à la question

N : Ben… moi tu sais je viens de jouir… dans l’absolu, j’ai plus vraiment envie.

Je la regarde… Elle me tourne le dos mais tourne la tête pour me fixer du regard par dessus son épaule… Elle m’excite, ele veut me faire plaisir… Je commence à me branler…

A suivre

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Juste la voir nu, voir son cul, son dos, ses muscles se dessiner sobrement… Juste contempler la beauté de ce corps de rêves… Puis elle saisit l’occasion, me sentant monter, elle se baisse lentement et vient coler la raie de son cul sur ma queue. Je la laisse faire et maintenant je glisse entre ses fesses, pas en elle mais sur elle. Elle est chaude, je tiens maintenant son cul dans mes mains… ce cul putain… Vas y bouge encore… Je n’ai pas eu longtemps à attendre… J’ai senti cette énergie émaner de mes couilles, je venais… Je me retenais, me levais… Je la plaquais contre la table, tenais son cul et me branlais dessus… Mon sperme à gicler sur ses fesses et dans un cri de jouissance non contenu, je me laissais aller au plaisir immense de me voir éjaculer sur sa chair blanche… Je frottais mon gland sur sa croupe…

J’étais résolu à travailler, à me loger par mes propres moyens. Ce qui a précipité les choses c’est que j’ai reçu un coup de fil d’un ami qui avait besoin d’un coup de main pour sa boutique afin de tenir son site de vente en ligne et faire la logistique de la marchandise, et de plus il avait un plan appartement pour pouvoir me permettre de trouver un logement à moi. Je pouvais quitter Nelly et Eric avant la fin de la semaine. C’était une bonne nouvelle.

Il est 18h et j’ai rendez-vous avec Julie. Elle a une belle chevelure frisée longue et noire. Elle est plutôt petite et sourit beaucoup. Nous marchons le long de la Loire. Elle est vêtue d’un haut à rayures blanche et rouge horizontale. On distingue sa poitrine et le fait que ces seins pointent. Evidemment ses seins sont moins généreux que ceux de Nelly mais ils me plaisent quand même. Elle porte un pantalon qui est assez court et bleu et des converses. Nous échangeons, je lui raconte mon périple et elle se présente à son tour.

J’ai rapidement compris qu’elle cherchait la même chose que moi, ce qui est grandement agréable. Elle est cependant différente de Nelly. Elle ne cherche pas à provoquer, elle est elle même simplement.

Julie : Ecoute Ivan, je ne sais pas où t’en ai mais personnellement ça a été dur ces derniers temps. Je n’ai pas envie de jouer les hypocrites alors si tu veux on va chez moi.

Il m’a traversé l’esprit de la ramener chez Éric et de voir ce qui ce serait bien passé. Mais plutôt que de perdre une occasion de la baiser, en l’emmenant dans un piège. En fonction de sa personnalité elle ne rêve peut être pas d’une baise à quatre.

Moi : Avec grand plaisir.

Elle afficha un grand sourire. Arrivée chez elle, Dune fit une fête à sa maitresse puis elle me convia sur son canapé. Nous nous asseyions elle et moi nous regardant ne sachant pas par où commencer.

J : Bon et maintenant ?

Je pensais fort : et maintenant je vais t’embrasser, te toucher les seins puis tu vas me proposer d’aller dans la chambre, je vais te déshabiller et te bouffer la chatte. Puis je vais te pénétrer jusqu’à ce que tu jouisses. Ensuite j’aurai sans doute envie de te jouir au visage ou dans la bouche. Puis je recommencerai à ton grand plaisir jusqu’à très tard dans la nuit jusqu’à ce que tu sois épuisée…

Mais je me retiens. Bien que ça je change rien au programme, je décidais sans rien dire… De commencer par l’embrasser…

Bien sûr les choses étaient spontanées que ce que je m’amusais à lui annoncer dans mes fantasmes. Mais elle a jouit deux fois. Nos rapports ont été simple et tendre, une femme qui avait besoin d’un homme. Avant de dormir elle m’a confié : « je voulais juste un homme dans mon lit ce soir… Tu as été parfait… Merci… »

C’était beau à entendre. J’hésitais a m’étendre sur mes derniers jours histoire de jauger si elle était ouverte mais je me suis abstenu. Et nous ne nous sommes pas revu. Mais la vie a repris.

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Super recit !! Merci