Le temps du renouveau

Point sur ma situation : je suis rentré d’un long voyage de 18 mois en pleine crise sanitaire et j’ai atterri chez un ami en mai, qui m’a gentiment prêté son appart. Eric s’appelle t’il. J’ai dû m’isoler 15 jours, vous connaissez la musique. Et un récit de mes voyages sera sans doute fait si j’en ai le temps.

J’ai eu une coupure de sexe de quatre mois et je craignais le pire pour rencontrer à nouveau quelqu’un. Et quand je dis rencontrer, je ne parle que de sexe, avoir une relation fixe ne m’intéresse pas du tout pour le moment.

C’était déjà compliqué de rentrer, d’atterrir, de me poser de nouveau dans mon pays, les conditions sont assez précaires en général.

Eric m’a prêté son appartement donc pour une durée de 5 semaines. Absent les trois première semaines, il allait logé chez sa copine avec qui il est depuis six mois pendant deux semaines et pendant ce temps, j’allais essayer de trouver un travail et un logement.

Les cinq semaines vite écoulées, je n’ai toujours rien trouvé et la copine d’Eric, Nelly, se retrouve dans la même situation ou presque : elle devait héberger un ami chez elle. Le logement de Nelly étant trop exigu, Eric m’a demandé s’ils pouvaient venir chez lui pour y passer une semaine ou deux. J’acceptais bien évidemment. L’appartement fait 60 m2 et dispose de 2 chambre et d’une salle de séjour, une collocation de fortune s’organisait chez Eric. Moi je cherchais encore en vain travail et logement. Autant dire qu’à ce niveau, je e voyais pas ma vie sexuelle décoller de sitôt…

Eric à mon âge, 34 ans et travaille dans la com. Je le connais vraiment super bien, il est adorable et très populaire. Il s’est trouvé une nana craquante, Nelly donc, assez grande, 26 ans, les cheveux teintés argent, coupé court, très cours sur la nuque et plus long sur le devant, faisant une vague épaisse sur son front, coiffée comme un personnage de manga, un percing à la narine assez discret, un regard très bleu, des lèvres pulpeuses, comme Scarlett Johanson, des traits assez rond globalement. Eric a toujours eu de très belles copines. Et puis ce qu’on remarque chez elle c’est son abondante poitrine… Difficile de passer à côté.

En plus elle est super sympa. La cohabitation se passe bien, nous passons les trois premiers jours ensemble et ça me fait un bien fou. Après des semaines d’absence totale de contacte humain, je me sens revivre. Et puis il y a ce jour…

Eric part tôt ce matin là, les rendez-vous s’enchaînent et la vie reprend son cours. J’ai laissé la grande chambre à Nelly et Eric bien sûr et je dors dans la petite chambre d’ami. Je me lève un peu tard et loupe le départ d’Eric. Nelly elle n’a pas repris le travail, elle est serveuse. Elle dort tard, une habitude chez elle. Je m’installe à mon ordi et je commence à trier des photos de voyage en prenant mon café. Nelly se lève enfin. Elle porte un large t-shirt qui appartient à son mec et ses seins étirent le tissu à outrance. Ses jambes sont nues mais je n’en vois pas plus.

Elle : Coucou !

Joviale mais embrumé, ses yeux s’ouvrent à peine. Elle file dans la douche. Nelly est sexy au sens le plus littéral du terme. Elle a quelque chose qui fait que dans toutes les situations, elle est sexy. Je me concentre sur ces photos. J’ai photographié pas mal de monde durant mes voyages. Des femmes beaucoup. Des portrait puis d’autre plus… disons plus sexy. je les regarde avec nostalgie, je tremble un peu, j’ai chaud, j’ai besoin d’un contact humain. Puis nelly sort de la salle de bain, habillée, elle porte un jean qui épouse ses courbes, et en haut une sorte de bustier faisant tout juste la largeur de ses seins dont on peut distinguer les courbes écrasées au dessus et en dessous. Ce bustier est noir et fermé par un lacet qui croise entre ses seins. Ses épaules son nu, comme son ventre. Elle porte très bien ce genre de tenue. Et le temps est beau et sec. Je la regarde sans doute avec insistance. Elle sourit : « Quoi ? »

Rien bien sûr à part que tu es la copine de mon pote, je cache mal mes émotions." Allons faire un tour" je lance. Je laisse tout en plan. Et nous sortons dans le premier espace vert que nous croisons pour marcher simplement. Nelly me parle de vie sentimental :

  • Alors Ivan, près à te remettre en selle ?

  • Hmm bof, là je suis un peu rouillé tu sais

  • Pfff tu blagues ?! Tu claques des doigts, y’en a dix qui tombent !

  • Je ne crois pas que ça fonctionne comme ça, répondais-je en riant, t’inquiète pas pour moi, c’est la période.

  • Hmhm, tu devrais t’entraîner un peu.

  • A quoi ?

  • Tu sais… à séduire… Aborde une nana, vois comment tu peux exercer ton pouvoir de séduction, reprend confiance…

Je la regarde. je crois bien qu’elle m’agace un peu, après tout j’ai rien demandé, j’insiste pour changer de sujet. Elle répond.

  • Comme tu veux… mais depuis un quart d’heure, cette nana promène son chien et te regarde…

  • Nelly, franchement avec toi à mes côtés je pense que c’est mort

  • Tu penses que les gens nous croient ensemble ?

  • Oui c’est certain

  • Je crois plutôt qu’ils pensent que je suis lesbienne…

Je suis surpris…

  • Ah bon ?!

  • Ouai… les cheveux, les gens croient que je suis lesbienne à caus de ma teinture argentée… et les cheveux courts… il en faut pas plus…

  • … ok… écoute j’ai juste pas envie ou alors je…

  • Arrête Ivan, t’es en manque et ça se sent. Aller va lui parler, je rentre à l’appart et tu me racontera…

Elle m’embrasse sur la joue de façon amicale, de manière à ce qu’on remarque qu’on est juste copain.

Je regarde la fille en question, une brune aux cheveux bouclés, elle a l’air jolie, fine et sexy, dans un pantalon blanc assez ample et un débardeur vert. Son chien c’est un labrador… ça va c’est plutôt gentil… Je m’approche…

  • Il s’appelle comment ?

  • Elle ! Elle s’appelle Dune

Je rentre à l’apparte sur en tout début d’après midi. Je croise Nelly qui lit sur le canapé. Elle ne perd pas de temps :

  • Alors ? j’avais raison ?

Je souris…

  • Oui tu avais raison. On a parlé une grosse demi-heure de son chien, enfin de sa chienne, Dune, et comment elle était ravie que le confinement soit terminé. Elle a… beaucoup insisté pour m’expliquer que c’était dur d’être seule avec un animal pendant le confinement…

  • Ben oui Ivan, parce que si toi tu t’es senti seul, y’en a d’autres dans ce cas là donc tu vois, fallait y aller… Comment elle s’appelle ?

  • Julie. On s’est dit qu’on se rappelait dans la semaine.

Nelly m’apporte une bonne énergie, simple et apaisante. Je retourne à mon ordi, et je constate que Nelly s’en ai servi et avant que je ne dise quoi que ce soit, Nelly me dit :

  • Dis, j’ai vu tes photos, t’es un petit coquin toi…

Elle sourit…

  • Qu’en dis-tu ? lui rétorquais-je

  • Que tu t’es pas fait chier… Elles sont pas mal… les photos hein, enfin les modèles aussi.

Les photos en questions était une série de buste nu de femmes, toute habillée des pieds jusqu’à la ceinture. J’ai trouvé ce contraste entre nudité et parure de mode très sexy et artistique. Et la question est tombée…

  • Et tu leur a enlevé le bas un moment à tes petites copines ?

  • Et bien non figure toi. Il fallait que je sois sincère quand je leur demandais d’être nue, sans les désirer…

  • Et tu ne les désirais pas ?

  • Et bien… si… mais j’avais l’intention ferme de passer outre mon désir si tu veux…

Nelly sourit…

  • Et ivan ?

  • Oui…

  • Tu me prendrais en photo ? pour Eric…

  • Si tu veux… enfin… quel genre de photo ?

  • Le même style je dirais…

J’avoue que la demande m’a fait faire un tour de grand huit intérieur. L’excitation grimpait d’un coup sans que j’y soi préparé.

  • Je… ok… quand veux-tu…

  • Là maintenant. Tant qu’à faire… me coupe-t’elle.

  • Ok…

Je vais chercher mon appareil photo. Et quand je reviens, Nelly toujours sur le canapé, les genoux pliés et les talons sur le bord de l’assise.

  • Waoh… t’étais sérieux alors?

  • Ben… je… c’est comme tu veux après…

  • Oui oui carrément ! Désolée, ouui allez, montre moi comment tu les mets à moitié à poil !

  • Arrête…

  • Quoi je détend l’atmosphère, je vais quand même te montrer mes seins c’est pas rien…

Je ne dis rien, j’enlève le cache…

  • Alors tu leur demande d’enlever le haut et hop ?

  • Je prend d’abord d’abord quelques photos avant, je leur montre et leur montre que c’est plutôt artistique etc… je prend mon temps…

  • Ok… tu fais ça ?

Je braque sur elle mon objectif et la prend en photo. Exactement comme j’aurais fais avec mes autres modèles. Et Nelly s’en donne à coeur joie prenant des poses lascives, un peu décalées, toujours le sourire, et beaucoup de charme. Nous sommes en plein milieu de l’après-midi. Puis je m’assois près d’elle, elle pose sa main sur mon épaule et se penche sur le retour de mon appareil, lui montrant les photos, Nelly est fascinée par son image…

  • Elles sont trop belles tes photos !

  • Merci…

Elle me regarde…

  • Tu es doué, sérieusement.

  • Merci.

Nous échangeons un dernier regard, un large sourire progressif se dessine sur ses lèvres. Et elle me dit…

  • Bon… C’est parti ?

  • Ok… c’est parti.

Je me redresse et j’ai eu cette idée un peu étrange mais naturelle de l’enjamber et de me mettre sur me genoux de chaque côté de ses jambes. Je braque l’objectif, et dans le viseur je prend quelques dernier clichés d’elle, sa poitrine palpée dans son corset. Ses premiers gestes ont déclenché mon érection. Elle a joint ses doigts sur le lacet, et a commencé à le défaire… J’ai observé ses seins ses relâcher petit à petit, et enfin lentement ses doigts ont écarté le tissus… Deux seins absolument magnifiques ont surgis. Deux mamelles fermes et généreuses… Je prenais mes photos doucement, son visage était grave et son attitude naturelle…

Puis elle a voulu plaqué ses seins avec ses mains l’un contre l’autre, j’ai baissé mon objectif… j’ai ouvert la machoir… elle a compris que je n’y étais plus, que j’avais autre chose en tête puis elle a dit « pardon »… et a voulu se redresser pour cacher sa poitrine… J’ai dit « non ça va… » et j’ai posé ma main sur son sein pour la retenir. Elle s’est adossé au canapé, a relâché sa prise et j’ai pris son sein à pleine main…

L’objectif échoua à nos côté, et ses seins se pétrir dans mes mains accompagné de lent souffle chaud de sa part qui trahissaient petit à petit quelques gémissement de plaisir. J’ai compris que ce don de sa part, le don de ses seins sublimes ne serait qu’une étape, quand elle a posé ses mains mains sur mes cuisses. A ce moment là, j’ai compris qu’elle ne se contenterait pas de m’observer seulement la toucher, ébahi par sa beauté. Et désormais mon érection était grande et visible…

Puis ce moment de tension où tu ne sais plus où ça va et qu’une femme sait résoudre pour accélérer les choses.

  • Mes seins te plaisent on dirait…

  • Oui… ils me font grandir…

  • Je vois ça…

Je lâche sa poitrine pour défaire mon pantalon et sortir mon sexe long et dur sous ses yeux, pendant qu’elle crache entre ses seins comme une chorégraphie prémédité… Je m’avance et dépose ma queue de tout son long entre ses seins qu’elle presse maintenant avec force. Et comme si elle pouvait éprouver plus de plaisir que moi, elle commence à gémir et moi à bouger, à coulisser, à durcir encore… grossir encore et encore, elle se met à parler :

  • Putain, t’es bien dur, t’es chaud j’adoooore… hmmmm

Je lui baise lentement les seins. Dans cette position mon torse est très près de son visage. Mes main se posent sur ses épaules, son cou, son visage ses joues. J’ai ce corps de femme pour moi, je sens sa peau, je sens que l’orgasme est proche, je prend sa tête et la plaque contre mon bas ventre, je sens sa langue par à coup, elle me caresse le gland de sa langue. Je gémis et j’accélère. Mon sperme traverse ma queue et j’éjacule en explosion giclée sur sur ses lèvres, sa gorge, son cou et ses épaules. Elle gémit et je jouis… Enfin… Sous l’emprise d’une femme…

Mais c’est la femme d’Eric que je viens d’éclabousser de mon sperme…

Je m’écarte, ses yeux vitreux de désir frustré me regarde, mon sperme s’agglomère en de petites flaques épaisses sur sa peau. Je m’écarte et bien que j’aurais pu aller plus loin je choisis le chemin de la douche. Je la croise en sortant. Sa peau est moite et sa poitrine nue vibre et gonfle et dégonfle, le souffle court, quelque chose a changé depuis que je l’ai quitté… elle s’est faite jouir, son pantalon est ouvert. Elle me dit en souriant « Pardon » et elle prend ma place dans la salle de bain, je sors et refuse le spectacle de sa nudité complète. Je prend mes affaires et je sors.

Que faire ? Compromettre Nelly et être franc avec mon ami, ou ne rien dire et le trahir ?

A suivre.

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Quelle aventure !

Outch l’amie d’un ami … sinon sympathique histoire, profiter de l’instant présent sans penser à demain.
La promeneuse va t elle recevoir une visite surprise plus vite que prévu…
Paris Paris
Merci pour ce temps du renouveau

Belle aventure et toujours bien racontée

Un fantasme qu’il serait peut être temps que je réalise la branlette espagnole :blush:

Je pensais que ça faisait partie des choses qu’on expérimente jeunes, la branlette sous toutes ses formes :wink:
Perso ce n’est pas ce que je préfère mais en fonction des envies …

Ah ah on va dire que je suis encore jeune :grin:… non mais plus sérieusement, j’ai du le faire une fois ou deux mais jamais avec une partenaire qui avait des seins qui enveloppaient bien donc je ne pense pas que la sensation soit la même.

Alors là … bonne question ! Messieurs ??? Est ce que la taille des seins changent les sensations ???
Comment ça on pourrit le poste d’Ivan :joy::joy:
Ivan :kissing_heart:

Pour avoir discuter avec des potes qui ont des copines bien pourvues de ce côté là, il semble que en effet les sensations soient différentes… @IvanNormal un avis ? vu qu’on utilise ton post :joy:

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40 ans punaise !!! Moi suis pas patiente :joy:
Bizarrement on ne m’a jamais vraiment demandé…dans le préliminaire ça arrive !
Mais si c’est un fantasme il suffit de le dire franchement ! Y a pas de honte à vouloir glisser entre des seins ! Par ailleurs ça nous fait un masque gratuit à la fin :sweat_smile:

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Wooh, je ne m’attendais pas à ce que ce post se transforme en débat :smiley:

Et bien pour répondre : oui la taille des seins pour cette pratique ça fait vraiment la dif. En effet la masse permet d’englober le sexe et les frottements sont très doux et stimulant. Il faut lubrifier je précise, avec de la salive ou après le coït si ta partenaire mouille beaucoup :stuck_out_tongue:

J’imagine que la taille du pénis doit jouer mais voilà. Et pour les seins plus petits, ça marche aussi je trouve mais ça dépend de la forme des seins. En gros la verge glisse sur le sternum ce qui n’est pas très agréable à la base, donc les seins doivent être bien ronds et le sillon entre les seins étroit, et ça fait de l’effet aussi.

Pour finir sur le sujet, j’ai toujours trouvé cette pratique très excitante et parfois le simple fait de voir ma queue entre deux seins me rend fou. Mais rien ne remplace à mes yeux une langue ou un vagin. L’éjaculation sur le cou qui s’en suit c’est également quelque chose que j’adore. Je n’ai jamais réclamé ou demandé , j’ai toujours pratiqué sur l’instant et demandé si je pouvais jouir comme ça, on m’a déjà dit non et j’ai dis ok. Et les seins de Nelly oui, quand on les voit, on a envie de faire ça.

Pourrissez mon post avec plaisir j’adore !

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On pourrit ton poste mais on veut quand même la suite !!!
Cette histoire de photo ??? Réalité ou fiction ?

Réalité. Mais je ne diffuserai pas désolé :slight_smile:

Ha non il n’en était pas question, c’était de la curiosité :wink:

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Belle histoire j’espère qu’il y aura une suite

Très belle histoire, comme les autres, j’espère lire une suite

L’errance dans les rues qui aura durer trois bonnes heures m’aura fait du bien sur le plan de l’émotion à proprement parler. Difficile néanmoins de prendre une décision et agir en n’agissant pas me pousse vers l’unique solution : le status quo, ne rien faire, ne rien dire. Deux adultes ont consentis cet après-midi, le troisième n’a pas à savoir.

Je pense à Julie, j’hésite à l’appeler, c’est le motif tout trouver pour esquiver une soirée avec Nelly et Eric. Mais non, je l’ai rencontré dans la journée. J’attendrai et ce soir je vais me rassurer gentiment, faire sentir à mon ami que tout va bien. Après tout ce n’était qu’un moment d’égarement.

Je rentre donc et sans surprise je croise le couple à table… avec mon ordi, mes photos affichées à l’écran…

Je tressaillis légèrement. Et puis Eric me regarde en souriant.

Eric : « Dis donc espèce de ptit coquin… je t’apprendrais photographier ma femme à poil »

La photo de Nelly est affichée sur l’appareil. Je souris nerveusement… Mais j’assume. Pour moi c’est artistique.

Moi : « Elle te plait ? »

Eric : « Carrément ! Le modèle est pas mal faut dire »

Il se tourne vers Nelly avec un grand sourire. Elle le lui rend.

Moi : « C’est vrai… »

Bon il sait donc que je l’ai vu sein nu, Nelly a dû lui dire que c’est elle qui l’avait voulu. Je me demande…

Eric : « Bon, allez ce soir je cuisine, tu vas nous raconter cette histoire de photo de nichons ! »

Eric se lève et va dans la cuisine. Nelly me regarde avec un grand sourire. Je la regarde sans lui rendre. Je prend l’appareil photo… Je regarde l’écran et passe en revue les autres photos… Oui je m’en doutais, j’ai quelques clichés de mon sexe en érection devant ses seins… Et je ne sais pas si Eric les a vu. Nelly se lève et viens me souffler à l’épaules : « Te tracasse pas avec ça ».

Nous mangeons et Eric me surine de leur raconter mes « aventures ». Et en préambule, il me fait une présentation plus précise à Nelly.

Eric : « Ivan, il a toujours été branché cul, sérieusement le mec ne pense qu’avec sa bite, il disparaît pendant un an et demi, j’imagine même pas ce qu’il a du voir… alors c’est quoi ces photos ? »

Nelly : « C’est vrai, Eric m’a dit que tu étais un vrai chasseur »

Moi (pour me défendre) : « J’aime le sexe et j’aime quand il n’est pas exclusif donc ça implique pas mal d’aventure oui… Mais je ne suis pas un « chasseur » j’ai eu des relation très longues et je ne vois pas les femmes comme du bétail non plus »

Eric et Nelly me regarde interloqués.

Eric : « J’ai jamais dis ça… alors… raconte »

Moi (baissant les bras) : je voulais donner un peu de sens et d’érotisme à mes rencontres et c’est devenu un peu un petit rituel, photographier des femmes seins nus, parce que c’est beau, et parce que je ne me sentais pas capable de photographier des corps nus de façon gracieuse. Ce qui est curieux c’est qu’en effet, celles avec qui j’ai eu une aventure sont minoritaire. J’ai beaucoup plus photographié de femmes avec qui rien ne s’est passé… Et vous savez quoi ? C’est encore plus excitant de revoir ces photos en sachant qu’elles m’ont fait une totale confiance assumant leur nudité même partielle et de les regarder maintenant…"

Eric acquiesce l’air de dire « respect », Nelly sourit : « En tout cas j’ai adoré… »

Je suis gêné au delà de tout mais qu’importe maintenant. Le repas se passe tranquillement. Je réclame de me couché tôt et c’est ce que je fais.

Le lendemain, petit déjeuner un peu tardif pour moi, je croise Eric qui part ayant pas mal d’affaires à gérer. Et comme la veille je me retrouve seul avec Nelly. Je prend mon café et je me sens encore plus gêné que la veille en tête à tête avec Nelly.

Elle est assise à côté de moi et bouquine. Elle porte un t-shirt gris et un mini short gris, en guise de pyjama. Moi un peu plus pudique, je porte un pantalon large et un t-shirt. Nelly est vraiment… vraiment bandante… Je m’efforce de ne pas bander. Puis Nelly me regarde. Son sourire s’élargit peu à peu… Puis elle éclate de rire.

Nelly : « Tu es vraiment marrant comme mec… »

Interdit, je ne sais pas quoi répondre…

Nelly « Ivan ! Eric m’a beaucoup parlé de toi… Je te connais un peu, plus que tu ne crois, mais je ne m’attendais pas à tant de gêne avec toi… (je ne répond pas). Non mais sérieux ?! Tu m’a giclé sur les seins hier, tu vas continuer à faire semblant ? »

Moi : « Ecoute c’était… pour Eric c’est… »

Nelly : « Eric le sait… Lui et moi on est libre, c’est notre mode de fonctionnement, je fais ce que je veux et lui aussi. »

Moi : « Ok… »

Nelly me sourit et depuis deux minutes, mon membre s’est levé… Mon pantalon large trahit mon excitation… A cet instant je savais que j’allais la baiser. Je me disais soit elle ment pour que je la baise et donc je la baise, soit elle dit la vérité et donc je la baise. Je n’étais plus confus mais déterminé et mon attitude a changé, je la regarde…

Elle se lève attrape mon téléphone, debout devant moi elle fouille… Je cherche à comprendre…

Puis elle s’agenouille à côté de moi et écarte mon pantalon et sort ma verge. Je bande mais pas à fond. Elle met mon sexe dans sa bouche et commence à le sucer, elle l’aspire avec force, je ne peux m’empêcher de poussé un gémissement… Ma queue a gonflé et j’ai vite été dur et raide comme la veille avant de jouir…

Nelly sort mon sexe de sa bouche et me sourit en me masturbant…

Nelly :« Tu ne me crois pas hein ? à moi de prendre une photo »

Elle saisit mon téléphone et prend une photo d’elle, mon sexe dans la bouche et mon visage en arrière plan, puis elle se relève et je la vois sur mon portable, je pense savoir ce qu’elle fait…

Elle se rassoit à sa place et me laisse mon portable. Je me sens très excité et en même temps un peu ivre de désir. Je saisis mon téléphone, je regarde : elle l’a fait, elle a envoyé la photo à Eric… Je la regarde… Je constate mon état, ma bite à l’air et raide comme du bois… Je regarde son sourire, sa bouche qui vient de me prendre le sexe, cette bouche pulpeuse… Et une notification… C’est Eric : « Amusez vous bien ;) »

Il le savait… Il est d’accord…

Moi : « Il est d’accord ? »

Nelly se lève et m’enjambe, elle s’assois sur moi.

Nelly : « Il a adoré entendre comment je t’avais fait jouir sur mes seins (elle agrippe son énorme poitrine), il est d’accord oui… et même ça l’excite… (elle prend ma verge et se frotte l’entre jambe en remontant son bassin), il va vouloir des détails sur comment tu m’a prise par ici (je sens sa fente me caresser à travers son short jusque sur le gland) et par ici (elle bascule mon gland et ma bite derrière elle et s’assoit en reculant son cul, ma bite glissant entre ses fesses) »

Et ça m’excite de savoir qu’Eric est d’accord, ça m’excite de la suivre dans ses mouvements, Nelly est très très sexy… Je ne tiens plus…

Je met ma main sur son cul et la colle à moi, mon autre main est derrière son dos, sa respiration s’emballe et chaque mouvement que je lui impose la fait poussé un petit cri d’excitation… Je me lève et la soulève, je la pose sur la table et la bascule rapidement mais avec assurance. Pendant que j’ôte son short en joignant ses jambe, contemplant sa petite chatte sublimement rasée, elle enlève le haut et dévoile ses seins… En un geste fluide je saisi ma bite et la glisse en elle, la plante profondément dans ses entrailles… Je sens son corps m’avaler et je lâche un râle de plaisir…

Et elle : « Oh putain ! j’ai rêvé de ça toute la nuit ! Vas-y baise-moi ! »

Je la baisais sur la table faisant trembler son corps nu et pulpeux sous mes coups de reins fermes et solides.

A suivre.

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La suite :smiling_imp:

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La suuuuuuiiiiiiitttttte :fire::fire::fire::fire::fire::fire:

Mais tellement la suite !!! Et viiiiiiiiiiiiiiite !

Quand je repense à cette scène, je me la repasse au ralenti, je vois son corps en chair vibrer, balloter et des perles de sueurs émaner de sa peau. Je me refais les odeurs, comme un fumet, un mélange de nos corps, c’est le matin et c’est animal, musqué…

Ainsi face à elle, angle ouvert sur l’action, le moindre petit pincement de visage qu’occasionne chaque coup de queue asséné est gravé dans ma mémoire. Chaque petit gémissement : elle essayait vainement de communiqué mais prise avec force, elle ne pouvait qu’étouffer ses mots dans son souffle saccadé et ses cris étouffés. Je la baisais durement, je déployais toutes mes forces dans la pénétration comme quand on hésite à y aller et que finalement on se lance, sans retenue, c’était permis, excitant et jouissif bien sûr. Je sais qu’elle n’était pas loin, et moi non plus, ça aurait durer deux ou trois minutes au plus, si je n’avais pas poser mon attention sur ses imperfections. Nelly est sur ces coudes et tente de me faire fasse. Les efforts qu’elle entreprend pour contrebalancer mes assauts sont énormes, elle a le visage déformé, comme si elle sentais une douleur. Je commence à penser que ça ne lui plait pas, mais je continue à battre mon bassin contre sa croupe, et ses cuisses offertes. Son ventre est plié et ses seins volumineux balancent en tout sens en un mouvement désordonné. La grâce avec laquelle elle m’avait fait jouir la veille avait disparu. Je me retenais plus facilement. Puis la perte de l’interdit, de toute frustration… Je ne voulais plus…

Bien sûr que je voulais mais je voulais de la résistance, des circonstances bancales, du jeu, du danger… Je me perdais mais elle… elle l’orgasme la gagnait, comme j’amplifiais mes effort pour la pénétrer de plus en plus profondément, en vain car ma morphologie a ses limites et la sienne aussi, elle laissa ses bras le long de son corps, s’étalant sur la table sur son dos, tête en arrière, gonflant sa poitrine et lissant son ventre, déployant sa gorge, la grâce de retour…

Je le savais, le sentais, sous mes doigts, là… Sa peau la trahissait, respiration retenue et chair de poule, elle y était… puis sa voix : « OOhhhhh OUUUAIIII PUUUTAIIINNNNN » et le soupire de soulagement, les jambes se crispent et se ferment, et moi je bloque à l’intérieur, mon membre enfoncer dans son vagin, je maintiens fermement ma position, je cri à mon tour et me retiens encore, ma voix m’aide à mon instinct me dit que je dois être dur encore pour longtemps…

Elle écarte les jambes, son orgasme est passé et je me laisse doucement sortir de sa chatte pour la laissé reprendre ses esprits et faisant mes plans, cherchant la prochaine position ou le prochain exploit à accomplir. Cinq ou dix minutes de baise n’ont pu suffire à satisfaire cette fille si sensuelle, si vénéneuse…

Je braque ma queue devant son corps, elle pose une main sur sa chatte, elle relève la tête, je suis debout, elle me sourit… un soupir languissant : « hmmmmmm c’était trop bon… » Cette voix… Puis elle me dit :" tu as jouis ?"

Moi : « Non… » Le sourire au lèvre bien sûr. Je me dis que je l’impressionne…

Nelly : « Putain mais t’es con ou quoi ? t’avais pas envie ? »

Moi (interdit) : « Bien sûr… »

Nelly : « Et tu t’es retenu ?! Les mecs je te jure, t’es bien comme ton pote »

La comparaison ne me plait qu’à moitié, les imaginer dans la même situation me gêne quand même un peu… Et sa réaction me surprend…

Nelly : « Tu aurais pu jouir en même temps, ç’aurait été trop bon… T’as rien à prouver tu sais ? »

Puis elle s’agenouille devant moi, me prend la queue à deux main, commence à me branler avec force, je sens mes genoux faiblir…

Nelly : « Allez vas-y putain ! Je veux te voir gicler ! Tu préfères venir dans ma bouche, sur mon visage ? Mes seins ?! »

Sans me laisser répondre elle me pompe, me suce et me branle avec une grande force, comme si elle me rendait la puissance de mes coups de bite. Et je regarde au premier plan sa bouche, ses cheveux, ses yeux, j’écoute ses gémissements, et au second plan ses seins coincés entre ses bras… a mon tour, je ne peu plus parler… je vais jouir… et comme je n’ai rien décider… Elle écarte sa bouche, me masturbe avec ses deux mains, de sa forte poigne, me regardant et serrant les dents… Une forte contraction saisi mon corps, mon ventre mes couilles et ma queue et un puissant jet de sperme blanc éclabousse le visage blanc et les cheveux argent de ma partenaire, la meuf d’Eric… Je souffle en silence et expulse mon foutre au visage bientôt maculé de Nelly. Et c’est elle qui pousse les cris de soulagement pour moi. Pourtant l’orgasme est fort et je manque de fléchir dangereusement tant mes jambes sont en coton…

« Hmmmm ça fait du bien non ? »

Regarder son visage que je viens de souiller tout comme son souvenir m’emplit d’excitation. Et oui ça fait du bien. J’ai sans doute manquer de vivre à fond ce moment au profit d’une performance que je n’avais pas à fournir. Nelly était satisfaite et n’avait nullement besoin de plus, simplement la juste dose de passion, de sexe et de plaisir qui nous a mené à cet acte.

Nelly se lève doucement, sourire aux lèvres entre autre… Elle se contentera de se rincer le visage au lavabo et de me rejoindre dans le canapé de leur salon, nue comme moi, nous avions envie de nous connaître mieux.

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