L'entremetteur intéressé

Ceux qui lisent mes récits se diront sûrement que ce garçon est un peu éparpillé et a du mal à terminer les récits qu’il entreprend. Oui certes, mais comme on dit l’actualité prime. J’ai vécu une expérience particulièrement excitante ces dernières semaines, ce qui, en ces temps difficiles est un vrai don du ciel. Ce qui suit est un petit mélange de perversion, de chantage et de frustration et je dois dire que je jubile de vous le conter ici.

En guise d’introduction, je vais planter le décor. Je travaille pour une boîte de production, ça fleurit en ce moment ou plutôt disons que c’est une porte de sortie quand on ne peu plus produire de spectacle, on produit de la video. Donc mon travail c’est de monter du son sur des images, avec des gens particulièrement compétent, autant que sympathique. Malheureusement pour moi, mon contrat est précaire, j’ai commencé début février et a priori, à la fin de la semaine prochaine c’est terminé. Mais je ne me plein pas.

Il faut que je vous présente Margot, ma collègue, une belle blonde (très blonde) aux cheveux long, ondulés et désordonnés, aux yeux bruns, une grande bouche et un grand sourire séduisant. Et bien sûr son corps… grande, longues jambes, belles hanches et de beaux seins sous des pull mauves. Margot ne porte que des pantalons taillés et des converses. Elle laisse toujours entrevoir ses chevilles. Margot est belle mais elle est aussi très sympa. Elle bosse à la communication. Je l’ai rencontré en arrivant dans la boîte et malgré pas mal de bons moments à bavarder ensemble, je ne sais pas si elle a quelqu’un. J’ai mis un temps considérable à tenter quoique soit avec elle, peut-être parce que ça signifierait se voir hors du taf et donc chez elle ou chez moi et que cela rendrait les choses très frontales.

Je suis arrivé ici grâce à la patronne, Mélanie. Elle est rousse et petite, tout aussi mignonne, aux yeux bleus, son style c’est jean et veste de tailleur. Et son corps est svelte et désirable, elle aussi semble présenter une poitrine magnifique mais rarement dévoilée. Je la connais d’un ancien tournage que j’ai fait il y a quatre ou cinq ans, et depuis elle a monté sa boîte de production. Au détour d’une soirée, dans laquelle son mec était présent, il y a donc 4 ou 5 ans, nous nous sommes rapprochés…

Cela remonte un peu mais l’essentiel est clair dans mes souvenirs. Son mec est une artiste un peu volage et concrètement, à cette époque, Mélanie avait accepté de jouer aussi la femme volage mais la règle c’était flirt et éventuellement sexe oral, jamais de pénétration. Et éméchée, Mélanie m’avait confié ce fait à son propos, j’en avais joué, et elle avait finit par me sucer dans une chambre d’ami, presque au regard de tous, du moins au regard de tout ceux qui passer devant cette chambre. J’étais sur le lit, adosser au mur sur les oreillers, et elle allongé sur le côté du lit. Elle a pris mon sexe durant 20 bonnes minutes, le suant, le léchant et gémissant chaque moment d’intense désire qu’elle manifestait à l’égard de ma verge tendue. Et en effet son homme, un homme sombre, au regard intense, barbu, les yeux noirs, les cheveux noirs et les habits noirs, avait trouvé la chambre et s’était installé sur une chaise à l’autre bout de la chambre. J’ai finis par jouir dans sa bouche. Je n’ai pas pu capter les échanges de regards entre eux mais la situation était incroyablement excitante et comme j’en voulais plus, j’ai tenté de la retenir lorsqu’elle se redressait mais peine perdue, la limite ne sera jamais franchie et son corps me restera caché à ma vue.

Aujourd’hui Mélanie est toujours avec le même homme et je n’en sais pas plus. Depuis nous nous sommes croisé quelques fois pour des raisons professionnelles et je m’amuse beaucoup depuis un mois de la croiser tous les jours avec cette petite histoire entre nous. Et en même temps, je me demande combien d’entre tous mes collègues partagent ce genre d’anecdote avec Mélanie… En fait elle ne semble pas provocatrice pour un sou, elle semble plutôt sage. En fait elle semble bien dans sa peau, elle est séduisante, charmante mais pas charmeuse et de fait, j’ai l’impression d’être le seul à avoir eu la chance de vivre un instant de jouissance en sa présence. Et comme c’est une femme de pouvoir, j’avoue que ça m’excite.

Et je vous annonce que je me trompais, je ne suis pas le seul à avoir vécu un moment comme ça avec elle. J’aurais l’occasion d’en parler avec Mélanie mais pas seulement et c’est l’objet de ce récit.

Mais revenons à Margot un instant. Il y a maintenant deux semaines (enfin qu’importe), un apéro s’organise. Précision sur le contexte, nous travaillons de manière hybride, c’est à dire en turn over à mi-temps, chez nous ou dans les bureaux d’une salle de spectacle. Il y a bien sûr un coin studio qui permet de travailler en profondeur les sons et les images, ce qu’on ne peut pas faire chez soi. Margot n’est pas souvent là, son travail pouvant se faire à distance mais elle vient de temps en temps au bureau pour faire des photos, des choses comme ça pour les réseaux sociaux, et puis parce que comme beaucoup de gens elle ne supporte pas trop l’enfermement. Et donc cet apéro programmé un vendredi soir vers 16h30, a été l’occasion de passé du temps avec les 6 collègues, et les deux seules femmes de la boîte, Mélanie et Margot, avec qui nous avons longuement échangé et c’était vraiment cool.

C’est ce soir là que je me suis décidé. Grâce aux attestations, nous pouvions rentrer après le couvre feu mais sans traîner. Et en sortant, la ville relativement déserte, je me suis jeter à l’eau et ai demandé à Margot de venir prendre un verre à la maison. Ce qui signifiait sans l’ombre d’un doute qu’elle allait passer la nuit chez moi… J’étais aux anges. Margot ce jour là avait choisi de mettre une robe courte mais un peu bouffante bleue et des bas noirs avec des mocassins. Ce changement était un peu radical dans sa manière de s’habiller et je ne manquais de le lui dire en arrivant chez moi. Elle me rétorquais : « j’essaie peut-être de plaire à quelqu’un ? » J’adorais sa réponse et la prenais pour moi.

Autour d’un ou deux verres, je laissais l’alchimie se faire et m’approchais gentiment de mon but. Cette superbe femme de 27 ans à porter de mes lèvres, j’avançais… avançais encore et mes lèvres se déposaient lentement sur les sienne. Elle accueillis un baiser doux et sobre avec une main sur ma joue, et un grand sourire…

« En fait Ivan, c’est pas pour toi cette robe… Je suis lesbienne »

Je n’y croyais pas…

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Un scénario intéressant… hâte de savoir la suite

Oui intéressant ! Une belle entrée en matière

Ahaha, surprenante chute :wink: Merci pour tes récits, inachevés ou non, c’est toujours un bon moment. Et en tant que lecteur et non auteur, je ne peux que respecteur ceux qui prennent le temps de nous faire fantasmer !

Evidemment cette confidence détonna comme un orage dans mes oreilles, et comme beaucoup d’homme à ma place, je ne l’aurais jamais vu venir. A ce moment précis, aucun espoir n’est permis et même si la possibilité d’un mensonge dans le but de me repousser sans incident reste envisageable, comme elle était là chez moi, qu’elle allait dormir chez moi, je l’ai cru sinon elle m’aurait simplement envoyer pêtre avant d’en arriver, mais enfin que faisait elle ici ? La réponse semblait simple du moins dans sa bouche quand je lui posais la question :

  • Ben je sais pas, on est pote, on s’entend bien… On ne peut plus sortir alors…

Je m’en voulais un peu d’avoir posé cette question.

  • Ok… pardon c’est gênant, c’est jamais agréable de se prendre un vent…
  • Oh mais le baiser était agréable non ?

Ce qu’elle appelle « baiser » je l’appelle bisou voir bisette… Enfin bref… Je tente de passer à autre chose mais sans y parvenir et replonge…

  • Et donc tu n’aimes que les filles ?

Margot hésite… je m’engoufre, je souris, la challenge est accepté me dis-je intérieurement. Elle sourit…

  • Je ne dis pas que ça m’arrive pas mais… MAIS (insiste-t’elle alors que je l’interrompt de « ah ! ») je préfère les filles quoi…

  • Genre quoi ? tu n’arrive pas à jouir avec les mecs ou alors ça t’excite pas ?

  • Ben si certains mecs m’excitent, mais bon tu te masturbe je suppose, ça fait pas de toi un mono sexuel ou je sais pas quoi, tu préfère les filles non ?

  • En effet…

Au fond de moi j’étais en train de comprendre qu’en laissant ainsi la porte entre ouverte, je n’arriverai pas à m’y résoudre. Je tenterais coûte que coûte de la séduire… Mais patience… Et comme je suis nul en patience…

  • Et tu n’avais pas du tout l’intention de coucher avec moi en venant ici ?

Margot s’agace un peu…

  • Je sais pas… je… t’es un peu chiant là, on peut pas juste passer une soirée tranquille ?!

Bien sûr je n’y parviendrai jamais de cette manière donc j’étais en train de me résoudre à entrer inexorablement dans la friend zone de cette je femme bisexuelle si excitante…

  • Excuse moi…

Elle me sourit, pose sa main sur ma joue… et dit « Je t’excite tant que ça ? c’est mignon… »

Je ne peux pas dire le contraire, mais je ne peux pas répondre non plus… je ris avec elle, j’aime les femmes consciente de leur effet sur les hommes.

  • Et donc tu as quelqu’un ? demandais-je.
  • Non enfin, j’ai quelqu’un en tête disons…

En plaisantant, je me dis « allez je vais devenir le confident en plus » et à haute voix : « ben raconte ».

  • C’est… Elle… c’est…
  • Ah je la connais ? … Non c’est une blague ?
  • Si dit-elle avec un grand sourire…
  • Mais… tu essaye de pécho Mélanie ?! Mais sérieux ? Ta boss ?
  • ça va ! Et c’est quoi ce mot « pécho », t’as 14 ans ou quoi ?!

Je souris sans répondre et renchéris avec gêne…

  • Mais Mélanie… Elle est pas gay tu le sais ?
  • C’est bon je sais elle a un mec mais…
  • Non seulement elle a un mec mais vraiment… Elle aime les mecs en fait…
  • Ivan… je te dis pas ça en l’air, il s’est passé un truc…

Je reste interdit…

  • Raconte…
  • Ben il s’est passé un truc, tu veux un dessin ?
  • Vous avez couché ensemble ?!
  • Ben… oui… enfin… C’était un soir, je suis passé chez elle… Tu dis rien tu jures ?
  • Qui a 14 ans là ?
  • Mouai… Elle m’a accueillis avec un verre de vin, sur son canapé, son mec était pas là. Puis on a parlé boulot, et puis… Il y a eu un long silence… Et elle m’a sauté dessus… Bon ok pas sauté dessus mais elle posé sa main sur mon sein, elle a commencé à me chauffé, j’étais paralisée, je l’ai laissé faire…

J’en croyais pas mes oreilles… Je lui fis signe de continuer…

  • Ben elle… voilà, elle m’a déshabillé, je suis restée sur le canapé offerte comme une conne j’te jure… Elle m’a embrassé… Et voilà…
  • Voilà vous avez baisé.
  • Voilà… Enfin… c’est surtout elle quoi…
  • Surtout elle ?
  • Oui c’est surtout elle… avec ces doigts… et avec sa langue aussi…

Là elle parlait comme une gamine, c’était drôle et touchant…

  • Et donc tu t’es juste laissé faire sur son canapé et t’as pas… enfin…
  • Ah j’ai à peine pu la touché, un truc de dingue, après avoir jouis j’ai essayer de l’embrasser mais elle m’a dit que son kif était de me faire jouir, j’ai trouvé ça mignon… enfin j’ai même pas vu un bout de sein… En tout cas elle avait la dalle, son mec est absent depuis plusieurs semaines… Ivan ?

J’étais absorbé dans mes pensées, puis j’ai finalement laissé mon imagination s’exprimer…

  • Et chez elle, face à son canapé, ou dans la pièce pas loin… y avait pas… je sais pas… un placard, ou des portes miroirs ?

Margot me regarde puis sourit…

  • C’est vrai que tu la connais personnellement ? Putain j’aurai jamais du t’en parlé… (se prenant la tête entre les main)…
  • Non mais t’inquiète pas pour ça… Répond à ma question.
  • Mais tu le sais très bien tu es déjà aller chez elle.
  • Non.
  • Mais si…
  • Je te dis que non… ça veut dire qu’il y a des portes miroirs…

Margot fronce les sourcils…

  • Oui il y a des portes miroirs, mais tu veux en venir bon sang ?!
  • Et tu n’as pas vu ce qu’il y avait derrière ?
  • Non… Bordel Ivan exprim-toi clairement t’es vraiment chiant, je regrette un peu d’être venu…
  • Oh non tu ne regrettes pas…

Je lui raconte ma petite anecdote avec Mélanie avec son mec mateur…

  • TU DECONNES ? Mais alors quoi ?
  • Ben c’est leur truc, ils ne baisent pas avec d’autres mais font des cochonneries avec d’autres et parfois, l’autre se rince l’oeil… Et comme avec toi, il n’y a pas eu moyen de voir un petit bout de sein ou de toucher vraiment, un peu peloter quoi…
  • Ben t’en as de la chance, moi j’ai rien pu faire putain… Et depuis j’arrive pas à m’enlever cette meuf de la tête, je suis sûr qu’il se passe un truc entre nous…
  • Tu t’emballes Margot, t’as juste été le petit joujou de Mélanie, c’est tout.

Margot vexée… se met à rire…

  • Tu dis ça parce que tu penses pouvoir m’avoir dans ton lit en m’influençant, en me retournant contre elle, mais je sais ce que je dis. Ok elle t’a sucé mais tu l’a dit c’était rien, ben moi j’ai ressenti un truc, ça compte…
  • C’était quand ?
  • La semaine dernière…
  • Bon ben la semaine dernière Mélanie a posté ça sur Facebook.

Je lui montre un plat pris en photo posté sur son profil avec en légende :« soirée en amoureux ».

  • Mais on s’en fout non ?
  • Ok détective… Donc ça veut dire que son mec n’était pas parti depuis plusieurs semaines, il était là…
  • Il était pas là putain, t’as rien écouté !
  • Il était là je te dis… derrière les portes miroirs…

Margot commence à comprendre…

  • Oh la salope ! Putain je me suis maté en plus, jambes écartées et tout, les seins, la totales… Putain il a tout vu, je me matais dans le miroir et lui il a tout vu…
  • Il a dû apprécié le spectacle…
  • Oh non putain c’est dégueulasse…
  • N’exagère pas…
  • Non mais je rêve ! Les mecs, tous les mêmes… C’est ultra malsain de faire ça…
  • Oui je suis d’accord, mais reconnais que c’est excitant…

Un long moment de silence où Margot était dans le vague.

  • Je te crois pas… Faut que je …
  • Que tu lui demandes ?
  • Oui mais comment ?

Je souris et interrompt la conversation…

  • Margot, j’envoie des textos depuis tout à l’heure. En gros je la chauffe pour qu’elle vienne me voir. Elle était encore au local, elle va passer, ça a pas été facile mais elle va venir…
  • Ok… mais ? Quoi ? tu veux faire quoi ? un interrogatoire ? En plus quand elle va me voir, elle va péter un câble.
  • Non… Je peux être plus subtil que ça… Et puis je ne crois pas qu’elle pête un câble. Ceci dit tu as deux options, soit on la confronte et à mon avis elle cèdera volontier, soit on se la joue sournoise, et tu te caches pendant que je lui tire les vers du nez…
  • T’es grave…
  • Je suis sérieux.

M’interrogeant du regard… Margot me tient un air sévère et extrêmement séduisant…

  • Tu cherches quoi au juste Ivan ?

Je lui retourne un maximum de confiance dans mon regard.

  • On va faire un deal tu veux bien ?
  • Y aura de plan à trois je la veux pour moi toute seule.
  • Ok… alors disons que j’arrive à la convaincre de baiser avec toi, tu coucherais avec moi ?

Margot me sourit.

  • T’es un peu pervers aussi non ? Tu sais quoi ? Je marche, comme je te trouve un peu trop sûr de toi, ça m’amuse… Ok si tu la convainc, je couche avec toi mais je te préviens, je suce pas… J’aime bien les mecs mais j’ai des limites. Par contre si j’arrive à la convaincre toute seule, c’est mort c’est clair ?
  • Ok. Juste trois petites choses ?
  • Quoi ?
  • On fait à ma manière.
  • Ok, quoi d’autres ?
  • Je m’autorise n’importe quel moyen pour y arriver ok ? N’importe lequel insistais-je !
  • Ok… dit-elle en ayant bien compris. Quoi d’autre ?
  • Je veux une avance.
  • Tu plaisantes ?!
  • Pas du tout.
  • Je suce pas je te dis.
  • Mais moi je lèche…
  • Tu veux me lécher la chatte ? T’es super chiant comme mec ! Bon elle arrive quand.
  • Je le lui demande.

Quelques minutes plus tard, Mélanie répond qu’elle part dans 20 ou 30 minutes.

  • Du coup on a 30 minutes à peu près.

Margot me regarde, agacée, un peu excitée, limite souriante… J’adore ce regard…

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Ah ah … scénario très intéressant

très exitant, vite la suite

Quand les choses se passent ainsi, il faut bien reconnaître que la magie de l’instant est quelque peu diminuée. Elle est en train d’enlever son bas noir et je vois bientôt sa culotte choir à ses pieds. Je reste sur le canapé à regarder ce qui se passe un instant… puis je m’approche et pose une main sur sa hanche, elle me rejette et me regarde avec mépris.

  • On va dans ta chambre, ordonne-t’elle.

Je m’exécute. Elle me pousse sur le lit pour que je m’allonge, il fait sombre mais je la vois. Elle soulève sa jupe et m’enjambe, puis pose ses genoux de chaque côté de ma tête et s’assoit littéralement sur mon visage. Ses mains sur mon front et dans mes cheveux, je sens sa chatte follement brûlante se déposer sur me lèvres…

Je sors la langue et je recueille sa mouille. Je pense au moment où il me sera permis de la baiser cette chatte qui m’étouffe. Je sens ses mouvements sur mon visage, j’ai envie de sentir ses hanches bouger dans mes mains, je vois rien mais ses mains attrapent les miennes et me bloquent sur le matelas, elle se penche en avant et appuie encore plus fort sur ma bouche de son bassin mouvant. Je l’entend dire essouflée…

« Pas touche ! Tu me bouffe la chatte et c’est tout »

J’entendais dans sa voix que ma langue faisait effet mais bloqué comme cela j’avais l’impression de suffoquer. Je laissais faire mais le plaisir était pour ma part en train de laisser la place à de la douleur, ma bouche endolorie et le manque de souffle, je ne savourais plus son sexe, je le subissais…

Elle était en train de venir quand un sursaut me pris, je la basculais sans difficulté sur le dos pour reprendre le contrôle… Ce qu’elle refusa d’abord par un coup de pied, elle s’assit sur le lit, un doigt en avant, l’air de dire attention. Mais j’attrapais ses jambes, les écartais et découvris son sexe nu et ouvert, magnifique corps que j’avais désormais sous mon contrôle, puis je plongeais mon visage entre ses cuisses pour lui bouffer la chatte de nouveau, ses jambes se refermèrent autour de mes épaules et ma langue la pénétrait avec envie. J’ai adoré la lécher, et je pouvais alors toucher ses cuisses, ses fesses… Hmmmm ce corps qui m’étais acquis, quel délice…

Je cherchais du doigt pour la pénétrer ce que je finis pas faire et elle commençait à crier, à jouir… Lorsque l’orgasme la gagnait je ne pouvais plus la tenir, je me mis à la lécher comme je pouvais, glissant sur son anus, maintenant ses cuisses pour la garder ouverte, je sentais son sexe béant, sa mouille abondante, son anus serré et brûlant… J’étais en feu, je bandais comme un fou. Je me redressais, sortait ma bite et la présentais à son sexe… Elle me repoussa en disant non ! Mais je n’entendais rien, je plongeais mon gland et on toqua à la porte…

Je me reprenais la bite à la main… Un peu choqué de ma tentative… En chuchotant : « T’es vraiment chiant Ivan, je t’ai dis non putain, on a un deal… » Et moi me relevant de dire « désolé, attend moi ici »

Margot s’affale sur le lit. J’étais sur la point de la baiser et cette penser m’excite à un tel point que je ne pense même pas à me rajuster. J’ouvre la porte et Mélanie est là. Elle s’excuse d’avoir bossé tard puis suspend sa phrase d’introduction…

  • Je vois que tu es prêt ? ça faisait longtemps, je t’ai manqué on dirait ?

Elle entre, je constate que ma queue est à l’air mais excité comme je suis je décide de la laisser telle quelle, et même de retirer le pantalon. J’oublie un peu ma mission et je me dit que ça va être compliqué. Je pense d’abord, comment me les taper toutes les deux ? Margot est restée dans la chambre… comment gérer ?

Lorsque Mélanie s’assoit sur le canapé, je suis déjà nu, et je m’approche d’elle debout et lui présente mon sexe…

  • Et bien Ivan, tu sais ce que tu veux…

Elle ouvre la bouche et ma queue s’engouffre dans sa gorge… C’est là que je décide d’amorcer une approche…

  • Je ne pensais pas que tu accepterais de me sucer sans ton mec dans la pièce…

Elle sort ma verge de sa bouche en me branlant…

  • Il n’est pas toujours là, quand j’ai envie… j’ai envie…

Je m’assois pour poser les choses et entamer le dialogue…

  • Et s’il n’est pas là alors, répondis-je, tu es libre de faire ce que tu veux ?
  • Ce que je veux oui ? mais ce tu veux toi par contre…

Chaque fois qu’elle finit de parler elle remet ma bite dans sa bouche, je suis tellement excité, j’ai des palpitations… Ma queue est dure et chaude, je m’attendais à ce qu’elle devine la présence de Margot mais même pas…

  • Donc le principe est toujours le même, tu suces mais tu ne baises pas ?
  • C’est ça…
  • Alors laisse moi au moins voir tes seins alors ?
  • hmm hmm, répond-elle sans prendre le temps de m’écarter de sa bouche l’air de dire non non…

C’est moi qui l’écarte… Désolé Mélanie mais je vais pas y arriver, j’ai besoin de voir ton corps… j’ai envie… je veux bien ne pas le toucher mais laisse moi le voir au moins…

Mélanie me sourit tendrement… Sa frimousse rousse et sage m’excite, un instant encore, ma queue voyageait entre ses lèvres… Elle entreprit de quitter son pull et son t-shirt. Les bras lever, sa poitrine baloter, son ventre plat offert à la vue, je me masturbais devant ce demi strip tease visiblement rare… Elle gardait le soutif…

Puis se penchait et me reprenais en bouche… Cette fois-ci j’avais vraiment envie de jouir… Mais je voulais plus sans savoir où j’allais…

  • Me dis pas que ton homme aimerai pas voir une belle queue comme la tienne entre tes seins…

Mélanie se relève…

-Tu insistes beaucoup je trouve, pourtant déjà je te suce tu devrais être comblé ?.. Mon homme est pas là ok alors lâche moi et prend ce que je te donnes…

  • Et il apprécierait une photo tu crois ?
  • C’est un peu étrange d’envoyer une photo comme ça non ?
  • Et que ton mec te matte à travers des miroirs sans teint c’est un peu étrange non ?

Elle me regardait d’un air navré…

  • Tu vas faire quoi de cette information Ivan ? Tu ne peux pas me faire du chantage, tout le monde le sait que je suis une salope qui suce tout ce qui bouge et mon mec un pervers qui aime mater. Les règles sont ce qu’elles sont, tu ne veux pas profiter juste de ce que je t’offre ?

Elle a tout de suite compris d’où l’information avait fuitée… et je me retrouvais sans levier ni sans savoir où j’allais… Je me résignais… Acquiesçait et me résolu et la laisser me pomper en soutien-gorge, l’envie de jouir était si forte que ça m’irait comme ça. J’abandonnais aussi mes fantasmes avec Margot et laissait Mélanie faire ce qu’elle savait si bien faire… Et le miracle se produisit…

Un peu dans les vapes attendant que l’orgasme me gagne, je mis un certain temps pour voir que Margot était debout dans la pièce, pieds nus, toujours en robe bleue, sans doute pas plus rhabillée que quand je l’avait quitté… Je faisais signe d’attendre à Margot, j’allais jouir…

  • Non mais vous êtes sérieux ?

Mélanie sursauta en voyant Margot…

  • Mais qu’est-ce que tu fous là ?!

Je sentais que la pipe était terminé, je prenais alors ma bite en main et giclais sur le torse de Mélanie redressée qui regardait Margot. L’orgasme fût terne malheureusement mais eu la vertue de surprendre Mélanie qui se leva et alla à la salle de bain. Margot était blasée…

  • Mec t’es pathétique… Quand je pense à se pacte débile…

Je me levais et alla à la salle de bain en disant à Margot :

  • Attend, c’est pa terminé, déshabille toi et attend dans le lit…
  • Non mais c’est mort, tu me baisera pas c’est mort !
  • Attend je te dis ! A poil !

Et je disparaissais dans la salle de bain sans savoir ce que Margot ferait.

Mélanie était devant le lavabo en train de réfléchir à comment s’y prendre visiblement génée de se mettre nue pour prendre une douche. Et me voyant débarquer, elle profita de ce moment pour faire une explication de texte.

  • Non mais tu me fais quoi là, c’est quoi ce plan ?!

Je me mis à la sermoner de façon ferme et assez peu enclin à recevoir des leçon de sa part.

  • « C’est quoi ce plan ? » tu te fous de ma gueule ? t’es qui pour juger ? t’embarque Margot chez toi, ton mec se planque pour regarder ou que sais-je et tu prend la mouche et joue la sainte ni touche ? Je pense qu’à minima tu pourrais essayer de comprendre. Moi ça va, je me suis fais une raison, j’ai regardé ton mec dans les yeux quand je te jouissais au visage la première fois mais Margot elle croit que tu la kiffes alors descend de tes grand chevaux tu veux !

Mélanie se radoucit… Je lui donnais un gand de toilette… Puis dégrafait son soutif doucement, enfin je vis ces seins d’abord dans le miroir face à nous puis en contre bas sous sa gorge. Je me tenais derrière elle et elle se laissait faire.

  • Comment elle a su ? dit elle doucement alors que je dévorait sa poitrine du regard, ces têtons roses et dures que je voyais pour la première fois…
  • Je lui ai dis.
  • Mais comment tu …
  • Parce que je te connais mais du coup je me demande ce que tu fais là, c’est étrange de te voir seule ici… Et puis je t’envoi un texto et tu rappliques… c’est un peu facile je trouve…

Mélanie plongea son gand sous le filet d’eau chaude puis le passa sur sa poitrine et son ventre pour en effacer le sperme…

  • Un soir c’était moi qui était derrière le mirroir et il a ramené une de ses pouffes qu’il connait, et il est aller au bout, il l’a baisé par tous les trous sous mes yeux. J’ai compris que c’était pas la première fois…

C’est assez connu que ce mec ne respecte pas leur engagement mais je me gardais bien d’en parler. Et surtout, je me m’immisçais dans la faille… Je l’enlassais par derrière et posais mes bras sur la poitrine mouillée de Mélanie. Mon érection revenait à plein régime…

  • Et donc tu t’es dis que tu laissais une porte ouverte à quelque chose de plus c’est ça ? lui dis-je.

Elle acquiesçait me regardant dans le mirroir… Je glissais ma main le long de son ventre, déboutonnait son jean et commença à caresser son pubis…

  • Alors on va arrêter de jouer, continuais-je. Il y a deux personnes qui ont grave envie de toi dans cet appartement alors pour détendre tout le monde, je vais te baiser devant ce lavabo et après tu vas laisser Margot faire ce qu’elle veut avec toi parce qu’elle en pince pour toi ok ?

Je baissais son pantalon jusqu’au cheville, je découvrait sa croupe ronde et belle, et je prenais ma queue d’une main et son cul de l’autre… elle se pencha en avant résignée, les main sur le lavabo.

  • Avoue ça fait un moment que t’en a envie hein ? lui dis-je
  • Ta gueule et baise moi !

A mesure que je la pénétrais enfin, j’accompagnais cette instant d’un peu de sarcasme…

  • Et voilà, elles finissent toujours pas me supplier…

Je prenais sa poitrine dans les mains et poussais de mon bassin vers l’avant pour glisser en elle ma large verge dressée… Je voyais son corps, le sentais, enfin je baisais Mélanie, l’intouchable Mélanie, je sentais son cul rebondire et je la sentais prête à lâcher prise totalement pour venir en douceur vers une jouissance inévitable…

J’accélérais vivement… je pénétrais intensément… Je sentais que mon assurance avait fait tomber ses barrières et j’avais repris le contrôle du jeu qu’elle croyait maîtriser. Puis je m’arrêtais net… Sorti de sa chatte… Elle croyait que j’attendais une autre position, elle était essoufflée et en sueur mais pas si proche de l’orgasme… Son corps devant moi me provoquait une envie de jouir assez féroce… Mais je me prêtais à mon propre jeu…

  • Je ne savais pas que tu aimais les femmes en tout cas. Et je pense que Margot a autant envie que moi de s’occuper de toi. Je pense qu’elle t’attend, tu devrais la rejoindre pour te faire pardonner…

Mélanie me dit : tu viens ?

Je lui fis signe de la tête négativement…

  • J’ai un deal avec elle. Elle te veut pour elle toute seule.
  • Alors tu me baises sans me finir et tu me refile ensuite… t’es un grand romantique…
  • Maintenant que tu m’a laissé te pénétrer, tu vas arrêter avec cette histoire de pacte j’espère…

Mélanie ouvrit la porte de la salle de bain qui donne sur la chambre, je sortis à sa suite, Margot était là, allongée, j’ai vu Mélanie s’avancer et le regard de Margot plein de surprise et de gratitude… Moi je sortais de la chambre et reprenais place sur mon canapé où j’allais passer la nuit après m’être masturbé et fait jouir sur mon torse, ce que j’adore faire…

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Sympa :fire::fire::fire:… tres bon récit et scénario

Très belle suite
merci pour ce très bon moment de lecture

Hum hum bon moi je ne veux pas gâcher la fête mais forcément hein y a des trucs qui me gênent bcp…
A commencer par non n’est pas un oui …

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Tout a fait d’accord avec toi sur le fond… je le lis comme une histoire, une fiction… dans la vraie vie cette situation me dérangerait moralement sur de multiples points

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Moi aussi je vais un peu gâcher la fête, au final je n arrive plus à prendre plaisir dans cette histoire trop de choses sournoises et malsaines me gênent, ce n est que mon avis, écris nous un autre texte

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C’est exactement ça … comme dans les pornos à l’ancienne.
Désolée Ivan je préfère être franche et je pense aussi à de jeunes hommes qui pourraient lire cela et penser qu’on peut agir ainsi.
J’ai toujours dit que tout est permis au lit tant que tous les protagonistes sont ok et prennent plaisir.
Mais il y a toujours une histoire de respect entre les gens qui me tient à cœur. Car oui on peut dire salope ou sale chienne à une nana et la respecter pour autant.
Il y a souvent une frontière mince qu’il ne faut pas franchir.
Là je ne sens pas cet osmose, cet alchimie entre les personnages, je ne sens pas d’excitation, je ne sens pas d’envie.
Je ne sens que les mauvais côtés dérangeants du sexe.

Pour revenir sur cette histoire, j’ai voulu écrire un fantasme que j’avais sur deux de mes collègues avec qui j’ai travaillé au mois de mars, jouant sur le twist final où je me réveille seul après un rêve agité.

Je suis désolé que ça vous ai déplu, la motivation devant vos commentaire n’est plus là pour finir cette histoire. J’ai d’autres choses à vous raconter de toute manière.

Merci pour vos retours.

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