Ceux qui lisent mes récits se diront sûrement que ce garçon est un peu éparpillé et a du mal à terminer les récits qu’il entreprend. Oui certes, mais comme on dit l’actualité prime. J’ai vécu une expérience particulièrement excitante ces dernières semaines, ce qui, en ces temps difficiles est un vrai don du ciel. Ce qui suit est un petit mélange de perversion, de chantage et de frustration et je dois dire que je jubile de vous le conter ici.
En guise d’introduction, je vais planter le décor. Je travaille pour une boîte de production, ça fleurit en ce moment ou plutôt disons que c’est une porte de sortie quand on ne peu plus produire de spectacle, on produit de la video. Donc mon travail c’est de monter du son sur des images, avec des gens particulièrement compétent, autant que sympathique. Malheureusement pour moi, mon contrat est précaire, j’ai commencé début février et a priori, à la fin de la semaine prochaine c’est terminé. Mais je ne me plein pas.
Il faut que je vous présente Margot, ma collègue, une belle blonde (très blonde) aux cheveux long, ondulés et désordonnés, aux yeux bruns, une grande bouche et un grand sourire séduisant. Et bien sûr son corps… grande, longues jambes, belles hanches et de beaux seins sous des pull mauves. Margot ne porte que des pantalons taillés et des converses. Elle laisse toujours entrevoir ses chevilles. Margot est belle mais elle est aussi très sympa. Elle bosse à la communication. Je l’ai rencontré en arrivant dans la boîte et malgré pas mal de bons moments à bavarder ensemble, je ne sais pas si elle a quelqu’un. J’ai mis un temps considérable à tenter quoique soit avec elle, peut-être parce que ça signifierait se voir hors du taf et donc chez elle ou chez moi et que cela rendrait les choses très frontales.
Je suis arrivé ici grâce à la patronne, Mélanie. Elle est rousse et petite, tout aussi mignonne, aux yeux bleus, son style c’est jean et veste de tailleur. Et son corps est svelte et désirable, elle aussi semble présenter une poitrine magnifique mais rarement dévoilée. Je la connais d’un ancien tournage que j’ai fait il y a quatre ou cinq ans, et depuis elle a monté sa boîte de production. Au détour d’une soirée, dans laquelle son mec était présent, il y a donc 4 ou 5 ans, nous nous sommes rapprochés…
Cela remonte un peu mais l’essentiel est clair dans mes souvenirs. Son mec est une artiste un peu volage et concrètement, à cette époque, Mélanie avait accepté de jouer aussi la femme volage mais la règle c’était flirt et éventuellement sexe oral, jamais de pénétration. Et éméchée, Mélanie m’avait confié ce fait à son propos, j’en avais joué, et elle avait finit par me sucer dans une chambre d’ami, presque au regard de tous, du moins au regard de tout ceux qui passer devant cette chambre. J’étais sur le lit, adosser au mur sur les oreillers, et elle allongé sur le côté du lit. Elle a pris mon sexe durant 20 bonnes minutes, le suant, le léchant et gémissant chaque moment d’intense désire qu’elle manifestait à l’égard de ma verge tendue. Et en effet son homme, un homme sombre, au regard intense, barbu, les yeux noirs, les cheveux noirs et les habits noirs, avait trouvé la chambre et s’était installé sur une chaise à l’autre bout de la chambre. J’ai finis par jouir dans sa bouche. Je n’ai pas pu capter les échanges de regards entre eux mais la situation était incroyablement excitante et comme j’en voulais plus, j’ai tenté de la retenir lorsqu’elle se redressait mais peine perdue, la limite ne sera jamais franchie et son corps me restera caché à ma vue.
Aujourd’hui Mélanie est toujours avec le même homme et je n’en sais pas plus. Depuis nous nous sommes croisé quelques fois pour des raisons professionnelles et je m’amuse beaucoup depuis un mois de la croiser tous les jours avec cette petite histoire entre nous. Et en même temps, je me demande combien d’entre tous mes collègues partagent ce genre d’anecdote avec Mélanie… En fait elle ne semble pas provocatrice pour un sou, elle semble plutôt sage. En fait elle semble bien dans sa peau, elle est séduisante, charmante mais pas charmeuse et de fait, j’ai l’impression d’être le seul à avoir eu la chance de vivre un instant de jouissance en sa présence. Et comme c’est une femme de pouvoir, j’avoue que ça m’excite.
Et je vous annonce que je me trompais, je ne suis pas le seul à avoir vécu un moment comme ça avec elle. J’aurais l’occasion d’en parler avec Mélanie mais pas seulement et c’est l’objet de ce récit.
Mais revenons à Margot un instant. Il y a maintenant deux semaines (enfin qu’importe), un apéro s’organise. Précision sur le contexte, nous travaillons de manière hybride, c’est à dire en turn over à mi-temps, chez nous ou dans les bureaux d’une salle de spectacle. Il y a bien sûr un coin studio qui permet de travailler en profondeur les sons et les images, ce qu’on ne peut pas faire chez soi. Margot n’est pas souvent là, son travail pouvant se faire à distance mais elle vient de temps en temps au bureau pour faire des photos, des choses comme ça pour les réseaux sociaux, et puis parce que comme beaucoup de gens elle ne supporte pas trop l’enfermement. Et donc cet apéro programmé un vendredi soir vers 16h30, a été l’occasion de passé du temps avec les 6 collègues, et les deux seules femmes de la boîte, Mélanie et Margot, avec qui nous avons longuement échangé et c’était vraiment cool.
C’est ce soir là que je me suis décidé. Grâce aux attestations, nous pouvions rentrer après le couvre feu mais sans traîner. Et en sortant, la ville relativement déserte, je me suis jeter à l’eau et ai demandé à Margot de venir prendre un verre à la maison. Ce qui signifiait sans l’ombre d’un doute qu’elle allait passer la nuit chez moi… J’étais aux anges. Margot ce jour là avait choisi de mettre une robe courte mais un peu bouffante bleue et des bas noirs avec des mocassins. Ce changement était un peu radical dans sa manière de s’habiller et je ne manquais de le lui dire en arrivant chez moi. Elle me rétorquais : « j’essaie peut-être de plaire à quelqu’un ? » J’adorais sa réponse et la prenais pour moi.
Autour d’un ou deux verres, je laissais l’alchimie se faire et m’approchais gentiment de mon but. Cette superbe femme de 27 ans à porter de mes lèvres, j’avançais… avançais encore et mes lèvres se déposaient lentement sur les sienne. Elle accueillis un baiser doux et sobre avec une main sur ma joue, et un grand sourire…
« En fait Ivan, c’est pas pour toi cette robe… Je suis lesbienne »
Je n’y croyais pas…