Nouvelle brève : la masturbation à plusieurs.
Je ne parle pas de la masturbation mutuelle ou l’autre vous touche mais bien de la masturbation en même temps, à côté d’un, d’une ou de plusieurs autres.
Trois cas de figure : avec une personne de votre sexe et hétéro, avec une personne du sexe opposé et hétéro, avec une personne du sexe opposé et homosexuelle.
J’ai pour ma part connu les trois cas de figure.
Premier cas de figure d’abord.
Me branler à côté d’un homme ne m’a jamais vraiment plus, j’ai mis du temps avant que ça ne m’arrive et j’avoue ne pas avoir trop apprécié le jour où ça s’est passé. Mais enfin je le confesse, avoir eu un moment d’égarement avec un ami, éméché nous parlions de cul et la déviation a dévié sur les actrices x qui nous rendaient dingue. Et bien évidemment nous avons fini par nous branler devant des videos. Je nous revois nus tous deux, ivre, astiquant nos manches, commentant nos attributs (bon lui avait un petit sexe mais il était beau il faut le dire).
L’orgasme nous a fatalement pris au bout d’un certain moment probablement trop long, et il a jouis avant moi. Et bien je l’ai regardé éjaculé entre ses doigts et ça m’a excité et provoqué la mienne d’éjaculation. Cela m’a trotté dans la tête un moment. Je ne pensais n’avoir d’excitation que pour l’exultation du corps de la femme… Bien forcé de constater aussi, qu’il y a une grande excitation à voir éjaculer un homme sur une femme dans les videos, mais j’imputais cela à l’identification à l’autre. Peut-être étais-ce la même chose avec mon ami. Enfin nous nous sommes observé de manière un peu génée. Et la soirée pris fin.
J’avoue ne plus avoir voulu recommencé depuis, j’ai même un peu honte parfois quand j’y pense. Pourtant un homme jouit à mes côté, en présence d’une femme et tout va bien, l’ambiguité de mes désirs m’échappent et finalement c’est ok.
Second cas de figure.
Difficile lorsque ça nous arrive de ne pas céder à l’autre et j’avoue que c’est dans des circonstances particulières, avec cette amie qui s’appelle Pauline. Se masturber à ces côtés ça a été pour moi un acte fondateur de ma sexualité car ce partage était bien plus intime que ce qu’on pourrait imaginer. Déjà, voir l’autre bouger, savoir comment elle se fait plaisir. Et puis c’est un vrai partage d’intimité où chacun se dévoile. Nous faisions ça l’un devant l’autre ou devant une video. Je lui lisais des récits érotiques pendant qu’elle se masturbait et me rendait la pareille. J’en parlerais plus longuement bientôt.
Troisième configuration.
Le paroxysme de l’excitation a eu lieu lorsque j’ai ramené chez moi une fille que je savais être lesbienne mais que j’espérais quand même avoir dans mon lit. Elle ne voulait pas rentré chez elle (trop loin) et a été très claire mais j’ai été un peu idiot et une fois dans le lit je l’approchais, me faisant copieusement jeté. Pour la faire brève, je me suis fait engueuler et comme un idiot pour pas être vulgaire, et pour montrer ma frustration, j’ai pris mon ordi devant elle, mis un porno et je me suis masturbé. Elle s’est retourné d’un air navré et m’a dit qu’au moins j’aurai pu mettre une scène lesbienne, ce que j’ai fini par faire et nous nous sommes masturber tous les deux devant cette scène. Elle a fini par se mettre nue, elle a jouis à mes côté sans faire attention à moi, je revois sa peau en sueur, ses seins moites et ses cheveux en bataille. J’ai jouis en la regardant… J’aurais aimé qu’elle soit bi… Bon souvenir quand même. Le lendemain nous avons ris ensemble donc… tout est bien qui finit bien.