Mon fantasme de jeunesse

Les années lycée sont sans aucun doute mes meilleures années.
Je ne me suis jamais autant amusé avec les potes, à faire la fête, à découvrir le monde… Mais pas que… Le sexe aussi, et ces premières expériences…
C’est à cette époque que je fais la connaissance de Célia par amis interposés.
Célia, c’était mon fantasme de jeunesse. Son pouvoir de séduction fonctionnait à 100% sur moi et dès que je la voyais, les hormones bouillonnaient.
Cette histoire, c’est une des nombreuses qui me passèrent par la tête. Une qui parfois, revient encore aujourd’hui en rêve.

De temps en temps, il arrivait qu’un des membres du groupe d’ami que nous étions, organise un soirée chez lui. Ce soir là, le thême était « chic ».
Dans la tête des jeunes adultes que nous étions, être habillé chic signifier juste s’habiller un peu mieux que d’ordinaire.
J’avais donc un pantalon de costume, chemise en lin et… paire de basket…
J’avais déjà plus d’une heure de retard du coup la majorité des potes étaient déjà présents. Des potes de pote avaient également été invités du coup on arrivait déjà à une bonne quarantaine de personnes dans la maison. Elle était grande et la soirée avait été bien préparée donc cela ne posait pas de problème.
C’est bien beau tout ça mais ça fait déjà deux jours que je l’ai pas vu et elle me manque… Je m’engouffre donc dans cette masse vivante en saluant toutes les connaissances que je croise mais avec pour seul objectif de la retrouver.

De loin je l’apperçue discuter sur la terrasse avec son groupe de copine.
Elle rayonnait comme à son habitude. Elle était belle bien sur, mais c’était surtout son charme qui m’avait transpercé, et ce, depuis le premier jour que je l’ai vue.
Pour preuve, pas d’artifice dans sa façon de s’habiller, une robe simple mais ample avec des ballerines. Rien de compliqué et pourtant elle dégageait cette aura qui faisait que beaucoup l’a regardé.

C’est au moment où j’arrivais que ses amies décidèrent d’aller se ravitailler, nous laissant seul.

Toute heureuse de me voir, elle en profita pour me sauter au cou et me voler un baiser que je lui rendis bien volontier. On se mit à rigoler…
A sa façon de me m’embrasser, j’en conlue qu’elle ne devait pas être à son premier verre d’alcool. Loin de me surprendre, ce manque de ne pas l’avoir vu depuis deux jours et maintenant mon désir physique pour elle faisait que je lui rendais bien. On était sur la même longueur d’onde.

Elle se retourna, son dos collé contre mon torse et me pris les mains pour que je l’enlace au niveau du ventre.
Nous étions bien la, comme ça, dans cette pénombre à côté de la bordure de cette terrasse à observer le paysage.

Son parfum, son baiser, la sentir collée à moi… Il n’en fallait pas plus pour que l’excitation pointe son nez avec pour effet un début d’érection.
Je ne doute pas que c’est ce qu’elle cherchait. Subtilement pendant quelques secondes seulement, elle commençait à onduler son bassin tout en prenant soit de garder mon sexe dans son sillon inter-fessier.
Je commençais à être à l’étroit plus bas, je sentais mon coeur s’emballait d’excitation au point d’entendre les pulsations.

Il ne fallait pas que je perde le controle. Alors mes mains commençèrent à lui caresser le ventre et, à chaque caresse, descendaient un peu plus.
Ma main droite, la plus visible pour les gens à côté de nous, restait sur sa hanche droite. La gauche par contre continuait son chemin et se trouvait maintenant au sommet de sa cuisse gauche, près de l’aine.
Tout doucement mes doigts atteignirent son entre jambe et j’en profitais pour exercer une première pression à travers sa jupe.
La réaction fut immédiate, elle se mit à cambrer, accentuant la pression exercée sur mon érection qui devenait de plus en plus forte.
Ne me laissant pas faire, je réitérais une seconde pression tout en l’embrassant dans le cou.
Le petit manège dura quelques secondes mais soudainement elle se retourna et me dit de l’attendre là.

De toute façon je ne pouvais pas la suivre avec la bosse que j’avais, il faisait peut-être sombre mais tout le monde aurait quand même remarqué.
Je patientais donc en essayant tant bien que mal de calmer mes pulsions et surtout le soldat qui était un peu trop au garde à vous.
5 min plus tard, elle était à nouveau là.
Elle se remit dans la même position qu’elle avait quitté et en profita pour me glisser quelque chose dans la poche gauche.
Intrigué, je sortis cet objet inconnu. En fait pas si inconnu, c’était sa culotte.
Je l’entendis pouffer, je pense que sans même me regarder, elle avait réussi à imaginer la tête que j’avais faite.

Toutes les pulsions étaient à nouveau là et je voulais vite ranger ce cadeau dans le poche pour remettre ma main là où je l’avais laissé.
Notre petit manège recommença donc, et cette fois-ci, à chaque pression que j’exerçais, j’en profitais pour également tirer un peu de tissu pour faire remonter sa robe.

Plus qu’une pression et je pouvais enfin accéder à son entre-jambe.

Et voilà, mon index et mon majeur touche enfin le haut de son pubis. C’est tout doux, pas un poil.
Je sens sa respiration s’accélérer au fur et à mesure que mes deux doigts descendent très lentement vers son clitoris.
Ils sont dessus et au même moment elle cambre à nouveau dans un soupire d’excitation.
Mes doigts ne s’arrêtent pas et continuent à glisser entre ses lèvres.
En arrivant à l’entrée de son vagin, je comprends qu’elle est tout aussi réveillée que mon entre-jambe.
En voulant explorer cette zone, je manque d’y mettre un doigt tellement l’endroit est prêt et accueillant.
Je décide donc de caresser à nouveau tout son sexe en profitant de cette cyprine qui couvre mes doigts.

En se tordant de plaisir, elle passe sa main gauche derrière elle. Elle non plus ne semble pas vouloir perdre le controle.
Bloquée entre ses fesses et mon sexe, sa main commence un massage qui me fait me figer. J’essaye de me concentrer mais c’est dur, j’ai envi d’elle, là, maintenant.
Malheureusement la situation ne le permet pas…

Il faut que nous nous calmions, nous décidons donc d’aller chercher à boire, histoire de se rafraîchir les idées un peu.
Elle ose quand même me demander de lui rendre son cadeau mais j’ai vite fait de lui rappeler que justement c’est un cadeau et reprendre c’est volé.
Sur ces mots, j’en profite pour la laisser et rejoindre des amis. Je rigole encore comme un gamin en repensant à sa tête à la fois choquée, génée et peut-être excitée.
Moi en tout cas je le suis excité, elle a réussi son coup.

Une bonne heure est déjà passée, j’ai bien rigolé mais j’ai surtout bien bu.
Entre deux rigolades, je sens qu’on me tire par le bras. C’est elle qui me dit de la suivre.

Intrigué, je m’exécute tout en m’excusant auprès de mes potes. Elle me tient la main pendant que nous essayons de marcher le plus droit possible dans un couloir.
Arrivés devant une porte, elle se jette sur moi en m’embrassant fougueusement, ouvre cette et me pousse à l’intérieur.

Tout en me poussant et m’embrassant, ses mains se sont posées sur ma ceinture qu’elle enlève sans problème. Nos respirations s’accélèrent, nos mouvements deviennent plus brusques, l’excitation est là.
Le bouton de mon pantalon vient de sauter. Elle accompagne la chute de mon pantalon et se met à genoux.
Il n’y a pas beaucoup de lumière mais suffisament pour que je puisse la voir sourire, heureuse et excitée de déballer le cadeau qu’elle a en face d’elle.
Mon boxer qui faisait office de papier cadeau tombe rapidement, et c’est sans attendre qu’elle prend en main, ou plutôt en bouche, son nouveau jouet.
Elle me procure des sensations incroyables. Je me laisse aller et lui empoigne les cheveux, ce qui semble l’exciter encore plus. Elle redouble d’effort et semble vouloir manger mon sexe.
Tout en s’occupant de moi, elle en profite pour glisser une main sur sa jupe et commencer à se caresser.
Entre deux gorgées, un subtil gémissant commun se faire entendre mais nous arrivons à rester discret.

Je sens le point de non retour commence à arriver dangereusement.
Je décide donc de la relever.
C’est à mon tour de m’occuper d’elle.

Je me mets à genoux et passe immédiatement la tête sous sa jupe.
Je lui embrasse le ventre, soulève une jambe pour la poser sur mon épaule et lui embrasse son sexe.
La zone suinte de mouille que je récupère à chaque coup de langue.
Pendant que mes mains s’occupent de carressr son corps, je lui mange le clitoris, le suce, le mordille.
Ses lèvre intimes ne sont pas non plus oubliées.
Arrivées sur ses fesses, je profite de la position de mes mains pour pousser encore plus sa zone intime vers ma bouche affamée de son abricot tout lisse.
Les yeux fermées, c’est à son tour de perdre le controle et se laisser aller à ressentir ce plaisir que je veux lui donner.
Ses gémissements sont de plus en plus fort et je comprends que l’orgasme est proche pour elle aussi.

J’ai envi d’elle, je me relève.

Je la retourne, elle comprends.
Elle se colle contre le mur, remonte sa jupe rapidement et m’offre toute son intimité en cambrant le plus comme pour essayer d’évacuer une partie de cette excitation qui l’envahit.
La vue est sublime, je prends quelques secondes pour admirer cette chance mais aussi pour la faire languir.
Mon gland est à l’entrée de son vagin et reste sage pour l’instant, je suis joueur…
Le problème c’est qu’elle ne semble pas vouloir rester sage elle et commence à se dandiner dans tous les sens pour essayer de faire rentrer son jouet.
De la main gauche je lui empoigne les cheveux et de la droite le bassin. Je la bloque tout en lui tirant la tête en arrière.
Elle est entièrement offerte à moi et n’attend qu’une seule chose.

Je la pénètre d’un seul coup, rapidement, bestialement. Mes hanches claquent contre ses fesses laissant entendre ce bruit si caractéristique.
Puis deux, trois…
Les va-et-vient s’enchaînent, elle, toujours la tête en arrière bloquée par ma poigne à cambrer le plus qu’elle peut.

Cette position, c’est un peu mon péché mignon alors si je veux tenir un peu, mieux vaut changer.

En la libérant de mon entrave, elle comprend et s’allonge sur la table qui était juste à côté.
Allongée sur le dos, elle écarte les jambes tout en remontant la jupe, me faisant à nouveau voir la beauté de son intimité toute lisse.
Je me rapproche pour lui soutenir les jambes, le sexe dressé.
Il n’aura pas de mal à trouver son objectif et c’est à nouveau de nombreux va-et-vient qui débutent.

Je pose ses jambes sur mes épaules pour libérer mes mains afin qu’elles puissent caresser son corps.
Ses gémissements sont de plus en plus fort, ça m’excite donc j’accélère le rythme. Ses mains attrapent mes poignets comme pour m’attirer plus violement en elle, je ne réponds plus de rien.
Les claquements distincts résonnent fort dans la pièce tandis qu’on doit entendre nos gémissements dans le couloir.
Dans un dernier gémissement aiguë, des spasmes la parcourent et je sens son vagin se contracter sur mon pénis plusieurs fois. Je ralentis et la regarde se tordre de plaisir.
Elle ouvre les yeux et me sourit.
Elle me pousse et se met à nouveau à genoux.
J’ai contrôlé son plaisir, elle veut maintenant contrôler le mien.

De nouveau elle prend mon sexe en bouche et s’affaire à la tache goulûment.
Cette fois-ci je ne tiendrais pas longtemps.
Je la préviens que l’orgasme est proche et c’est un simple sourire que j’ai en guise de réponse.

A mon tour d’y passer.
Une violente décharge me parcourt le dos pour atterrir dans mon sexe, lui ordonnant d’expulser la semence qui ne demandait qu’à sortir.
Des spasmes me parcourent encore pendant qu’elle fait tout pour aspirer dans sa bouche la moindre goutte de mon sperme.
Elle ralentit et devient un peu plus douce.
Ça y est, l’engin est propre et la cargaison récupérée.
Elle se retire la bouche pleine, se lève, me regarde droit dans les yeux tout en avalant et me dit en souriant « 1 partout, on y retourne? »

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Très beau récit, c’est un moment très sympa et cette Célia semble bien apprécier cette soirée