Naples… Ville chargée d’histoire, édifiée dans un golfe sublime, bordée par Vésuve bouillant… Quelle meilleur endroit pour des vacances estivales en couple ? Ce sont pour toutes ces raisons que nous avions opté pour cette destination, par un beau mois de juin, pour célébrer notre union civile de solidarité. Voilà 6 ans que nous partageons nos vies. J’aime Natalie passionnément, et elle me le rend parfaitement.
A peine arrivés à notre chambre d’hôtel, je ne peux m’empêcher de l’enlacer, puis de glisser mes mains sous son débardeur et effleurer délicatement sa peau. Tant de fois je l’ai caressée, et pourtant sa douceur ne cesse encore aujourd’hui de me surprendre.
Nos câlins se font tout d’abord sensuels, pour rapidement dériver vers une étreinte bien plus intense et charnelle. Il ne m’en faut pas beaucoup plus pour l’attraper par le haut des cuisses sans quitter ses lèvres, et la porter jusqu’au lit de notre chambre, où je la jette gentiment. Me voilà debout face à elle. La température étant bien moins clémente dans notre Bretagne natale, nous n’étions pas encore vêtus de tenues légères : je déboutonne alors son jean, puis l’agrippe par la taille pour le faire glisser le long de ses jambes et dévoiler un string en dentelle qui vient sublimer la partie inférieure de son corps.
Je décide de le laisser là, et de simplement décaler la ficelle pour libérer la vulve de Natalie qui semble déjà un peu humide.
Je me retrouve rapidement le visage entre ses cuisses, à déguster son nectar avant de remonter légèrement et venir m’attarder sur son petit bouton. J’adore le titiller, tournoyer autour avec ma langue en alternant les cadences… pour finalement rester au bout de quelques minutes sur celle qui semble lui octroyer le plus de plaisir.
J’en joue ensuite jusqu’à sentir son désir monter à un point tel que ses jambes viennent se plaquer contre mon visage, son corps parcouru de spasmes, ses yeux fermés et sa bouche entrouverte.
Je m’allonge alors à ses côtés, mon regard amoureux plongé dans le sien, le revers de mes doigts caressant son ventre pendant qu’elle reprend doucement ses esprits. C’est ce moment qu’elle choisit pour briser le silence ambiant : « Ca te dirait qu’on continue sous la douche ? Comme ça après on enchaine direct avec une visite de la ville ? », ce à quoi je réponds par l’affirmative, en ajoutant qu’après tout, on est aussi là pour découvrir les environs.
Après une bonne demi-heure fusionnelle sous une eau presque aussi chaude que nos esprits, nous choisissons notre tenue pour quitter l’hôtel : ce sera un short en jean avec tshirt en V pour moi, et une robe légère et fleurie pour Natalie.
Dix minutes plus tard, nous voilà d’arpenter les rues du chef-lieu de la Campanie, à la découverte de son patrimoine historique et culturel. Quelques kilomètres de marche plus tard, la chaleur ambiante nous invite à faire une pause. Une brève recherche sur Google nous permet d’identifier un bar non loin de là, qui semble avoir une terrasse ombragée et une carte de cocktails et bières plutôt bien fournie. Que demander de plus ?
Arrivés là-bas, nous nous présentons au bar et bégayons quelques mots en italien avant de rapidement switcher en anglais, langue que la serveuse, au visage particulièrement délicieux au passage, semble tout à fait maitriser.
Cette dernière nous dirige vers une table où nous nous installons en cette fin d’après-midi ensoleillée. Au moment où elle nous quitte, je ne peux m’empêcher de reluquer ses hanches marquées et ses fesses rebondies, que l’on devine aisément à travers son mini-short moulant. Cela fait sourire Natalie qui réplique :
- Tu veux que j’aille lui demander son numéro pour toi ?" accompagné d’un petit rire et clin d’oeil taquins
- Ahah… Non t’inquiète, mais tu me connais ma chérie, je n’arrive pas à rester insensible face à de telles courbes.
Pourquoi cacher la vérité, alors qu’elle est tout à fait évidente ? Autant être franc dans ma réponse, d’autant que je la connais et sais qu’elle n’est pas non plus indifférente aux charmes physiques de la gente féminine.
En parlant de ses charmes, la voilà qui réapparaît avec des cartes en langue anglaise, pour que nous soyons en mesure de savoir ce que nous allons commander. Nous réceptionnons avec un large sourire, puis de nouveau je profite de la vue à son départ : de toute façon, je suis déjà démasqué !
- C’est vrai qu’elle a quand même un sacré cul…" déclare Natalie sans retenue
- Ah tu vois ! Il est quand même magnifique. Presque aussi bien que le tien !" dis-je pour la rassurer et lui rappeler que son corps est tout aussi fascinant.
… Le temps passe, plus vite que nous ne l’aurions imaginé, et nous sommes encore à notre table en train d’éplucher le Lonely Planet pour planifier nos prochains jours. Nous en sommes déjà à notre troisième verre, et l’alcool commence à faire un petit effet, à tel point qu’à de rares occasions, je me surprends à fantasmer brièvement sur notre belle serveuse, l’imaginant nous rejoindre lors d’ébats sulfureux…
(en espérant que ce premier jet plaira, ça fait longtemps que je n’avais pas écrit… S’il plait, j’essaierai d’écrire la suite.)