Serait ce criminel de lui exposer mes pensées fussent-elles du domaine de l’intime ?
Serait ce criminel de lui déclamer ma fascination pour son charme et le magnétisme qu’il engendre ?
Serait ce criminel de lui susurrer des mots doux et mutins à l’oreille pour déclencher l’empourprement de son visage ?
Serait ce criminel de saisir sa main et déposer un baiser au creux de son cou quand bien même cela n’est pas convenable ?
Serait ce criminel de parcourir son corps de suaves caresses entreprenantes …
Quelle peine serait la mienne si jamais je ne cesse ?