Oh toi douce monotonie
Qui engendre la platitude
Je te rejette je te renie
Je te jette en désuétude
Alors je parsème cette vie
D’une dose d’adrénaline
D’une pincée d’envies
Qui m’ouvre à l’ocytocine
Oh toi tendre folie
Qui éloigne le spleen
Qui vire cet ennui
Je vibre de belles idylles
Paradoxale je suis
Partagée entre raison
Et mes éphémères liaisons
Introspection je vis
Aurais je un jour la solution
Trouverais-je l’équilibre
Canaliserais-je mes pulsions
En attendant je me veux libre