Avec ces chaleurs de prévues, c’est un temps à être une goutte, mais laquelle ?
Celle qui effleure ses lèvres et perle au coin de sa bouche lorsqu’elle se désaltère…
Ou bien celle de sueur, qui naît sur son front et que la gravité élance dans la traverser de son cou, avant de malicieusement continuer son chemin et se faufiler entre ses seins…
Ou enfin la plus sournoise, celle qui arrive sans prévenir, précédant sa multitude de congénères. Cette goutte de pluie d’orage, qui s’écrase à la base de sa nuque, électrisant son épiderme, et qui se faufile à toute allure le long de ses vertèbres, accélérant entre ses reins et n’ayant qu’un objectif, s’insinuer entre ses fesses !
Mais son dessein est voué à l’échec et son destin sera funeste.
Sa course violemment stoppée par le tissu de ses dessous…
Finalement je ne sait point laquelle être, à moins d’être chacune d’elle ainsi que toute les autres, afin de parcourir chaque fraction de son corps !
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Celle là peut-être…
J’adore cette douce folie de tes textes !
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