Pourquoi serait elle « quelqu’une » ? N’y a t’il pas plusieurs fenêtres sur une façade. Ouvre celle-ci et tu découvriras la devanture mais si tu contournes ce qu’on t’offre, le terrain dévoile bien des aspérités. Un dédale qui s’ouvre sur plusieurs possibilités.
Pourquoi ne serait-elle pas « quelques unes » ? Tantôt celle qui ne veut que tes soupirs tantôt celles qui se veut chienne tantôt celle qui t’aime !
Singulière elle te surprendrait de ses nombreuses facettes et tu t’amuserais à retirer chacun de ses masques pour la mettre à nu. Qui découvrirais-tu sous toutes les couches de sa carapace ? Une femme douce et sensuelle aussi sensible que fragile ou alors la rebelle indomptable qui se veut animal ? La femme classique ou la libertine qui butine ?
Remets toutes ses couches car elles composent son tout qui est tout sauf quelconque et délecte toi de la complexité de sa multitude.
J’adore
Je ne trouve pas de mots qui ne reprendraient pas les tiens…
Nous sommes tou(te)s multi facettes, et portons des masques sur ou sous nos carapaces
En tant que femme, tout spécialement, il est facile de nous coller une étiquette. Comme si on ne pouvait pas être à la fois la mère, l’épouse, l’amante, la salope, la douce amie, la pote de beuverie, la femme libre, la soumise, la dominatrice …
Nous les femmes, nous sommes comme la Bretagne, la météo est changeante et il fait beau plusieurs fois par jours entre chaque averse…
Nos émotions fusent et les masques de nos devoirs sont à interchanger à volonté en fonction de la situation…
