Soirée salsa

Ce soir, c’est soirée entre filles. Melia et moi, nous nous retrouvons chez elle pour nous préparer. Lorsque je franchis la porte de son appartement, je sais déjà que la soirée va être très hot. Melia a déjà enfilé une petite robe noire près du corps qui met ses courbes en valeur, pour la part, je porte encore mon jean et mon débardeur. Elle me regarde horrifiée tout en me disant que je ne peux pas rester habillée ainsi. Elle m’entraîne devant sa penderie, me sort des robes une part une, mais rien ne m’attire, elle est désespérée.

Finalement, je finis par trouver mon bonheur avec un short noir ainsi qu’un caraco en dentelle qui fait ressortir ma poitrine. Une fois maquillée, pomponnée et parfumée direction le bar Cuba Libre pour une soirée Salsa. Il est encore tôt lorsque nous arrivons, donc peu de monde, surtout peu de beau spécimen, j’espère qu’ils vont vite arriver que l’on s’amuse un peu.

Ce soir, j’ai envie de faire mon aguicheuse, nous nous installons dans des fauteuils avec nos cocktails face à la piste de danse, un bon endroit pour repérer nos futures proies. Au fur et à mesure que la soirée, avance, la piste se remplit. Il y a pas mal de couples, ce qui ne nous intéresse pas du tout. Tout à coup, mon regard est attiré par cet homme au déhanché à tombée par terre.

S’il bouge aussi bien dans un lit que sur la piste, cela promet une superbe nuit. Je montre à Melia ce mec, elle est d’accord avec moi, elle-même a repérer une proie. Un bel homme grand brun bien bâti avec qui elle ne risque pas de s’ennuyer. Il est temps pour nous de passer en mode chasseuse, on rejoint la piste, la musique et lancinante, nos corps suivent le rythme. Melia et moi nous nous rapprochons de notre objectif, mais pour ma part je ne veux pas montrer de suite mon attirance, je me mets dos à lui, je jette malgré tout un coup d’œil pour voir s’il m’a remarqué. Bingo son regard ne me quitte plus. Il se rapproche de moi, je sens qu’il me frôle, ses mains se posent sur mes hanches, mon fessier frotte contre son entre-jambe.

Pfiou la température augmente énormément d’un seul coup, je tente de repérer Melia, je vois qu’elle est dans la même position que moi avec celui qui l’attirait. Mon sexy danseur me retourne d’un coup de poignet, face à lui, je vois ses yeux verts qui me fixent, ils sont emplis de désir.

Très très vite, nous savons que nous n’allons pas rester ici, l’ambiance est bien trop chaude pour attendre encore. Mon cavalier me glisse à oreille « chez toi ou chez moi ? », je ne reçois jamais donc ça sera chez lui.

Il faut que je prévienne Melia que je ne rentre pas avec elle. Lorsque que je lui dis que je m’en vais avec mon danseur, elle m’avoue qu’elle part avec le sien. Pour toutes les deux, la nuit, va être torride.

Michaël et moi quittons le bar, il ne me lâche pas, devant sa voiture, il me colle contre la portière et m’embrasse sauvagement, sa main relève ma jambe que j’enroule autour de sa hanche. Son sexe tendu qui à l’air de taille très honorable se colle contre ma chatte déjà toute mouillée. Il finit par me lâcher, nous mentons en voiture.

Pendant le trajet, sa main posait sur ma cuisse monte de plus en plus, il arrive finalement entre mes cuisses. « Oh, tu es déjà trempée, hum ! j’adore ça » Je ne parviens pas à retenir un petit gémissement, ce qui le fait sourire. Très vite, sa main glisse dans mon short et mon tanga, ses doigts viennent titiller mon clito déjà gonflé de plaisir. Mes doigts s’agrippent au siège, mon dieu que c’est bon.

Pendant un bref instant de lucidité, je lui demande de trouver un petit chemin tranquille. Il ne se fait pas prier, il se dirige vers la forêt, vu l’heure, c’est certain, nous ne serons pas dérangés. La voiture se stoppe, Michaël retire sa main de mon short, il sort du véhicule, sans attendre, j’en fais autant. Il se tient devant la bagnole, je m’approche de lui, me colle contre lui, nos bouches se trouvent, nos langues jouent ensemble.

Mes lèvres quittent les siennes pour découvrir sa peau, je parsème des baisers dans son cou, puis je déboutonne sa chemise et recouvre son torse du même traitement, je l’entends grogner de plaisir. Je continue mon chemin, dézippe son jean, son érection pointe le bout de son nez sous l’élastique de son boxer. Sans hésiter, je baisse le tout, puis prends son membre entre mes doigts, je le caresse puis je viens y déposer mes lèvres. Michaël appuie ses mains en arrière sur le capot, ferme les yeux et savoure le traitement que je lui afflige. Ma langue joue sur son gland, je sens des perles de désir, les lèvres montent et descendent lentement puis plus rapidement.

N’en pouvant, il me stoppe, me fait remonter, m’embrasse. Il me retourne et me voilà à mon tour contre le capot, il me soulève pour m’asseoir sur celui-ci. Il fait valser mon haut, mes seins pointent vers lui, il ne s’arrête pas là, car mon short et mon tanga prennent le même chemin. Je me retrouve nue en pleine forêt sur le capot d’une voiture avec un inconnu.
Il prend mes seins dans ses mains et de sa bouche, il vient titiller mes tétons, il les mordille, les lèche ce qui me fait mouiller encore plus. Après s’être amusé avec ceux-ci, il passe entre mes cuisses. Sa langue me lèche de haut en bas, celle-ci est experte, il me fait un effet de dingue.
Je m’allonge, les jambes relevées sur le capot, je suis totalement à sa merci. En plus de sa langue, il insère un doigt puis un deuxième en moi. S’il continue, il va vite me faire jouir. Sentant mon plaisir grimper en flèche, il s’arrête net, la frustration est à son comble. Il se débarrasse du reste de ses vêtements sans oublier de prendre un préservatif au passage dans la poche de son jean. Il l’enfile, attrape mes hanches, me tire sur le bord et d’un coup de rein s’enfonce en moi.

Je me redresse pour me coller à son torse, puis l’embrasser passionnément, il fait de long va et vient, sa queue longue me rend folle. Mes gémissements résonnent dans les bois, Michaël se retire, me fait descendre puis me retourne. Ma poitrine plaquait contre la portière, fesses tendues vers lui. De nouveau, sa verge se présente à l’entrée de mon vagin, il me pénètre juste du bout de son sexe. Cela a le don de me faire rager, car j’en veux plus. Je me recule, mais il me maintient fermement m’empêchant de bouger. J’aime cette façon d’être dominée. Il continue de jouer encore quelques secondes puis enfin, il s’enfonce entièrement. Je retrouve à ce moment-là son super déhanché de la piste de danse. Très vite, l’orgasme pointe son nez, Michaël accélère encore, un déferlement de plaisir m’envahit et je jouis en hurlant. Lui continue, mais quelques aller-retour plus tard, il me rejoint dans la jouissance.

Dans les bras l’un de l’autre, nous redescendons lentement de ce moment de pur bonheur. Le froid se fait vite sentir, nous nous rhabillons, puis remontons en voiture. Michaël le regarde puis me demande si on va chez lui où s’il me raccompagne.

N’ayant pas envie de terminer la soirée seule, je lui réponds que nous allons chez lui.

Trente minutes plus tard, nous sommes devant la porte de son appartement, il ouvre la porte, des gémissements nous accueillent. Je le regarde sans comprendre, il m’explique alors qu’il vit en colocation avec un ami.

Il m’invite à rejoindre sa chambre et d’ignorer les bruits qui se font entendre. La chambre de son ami est en face de la sienne, la porte est entrouverte, je ne peux pas m’empêcher de jeter un œil.
Ce que j’y vois le laisse sans voix, Melia est à genoux devant sa proie, son sexe entre les lèvres. Je les laisse à leurs petites affaires pour rejoindre mon Apolon dans sa chambre.
Vous voulez connaître l’histoire de Melia, demandez lui de vous là raconter.!

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torride ta soirée et oui je veux bien la suite de l’histoire

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Quelle histoire excitante ! ça donne envie d’apprendre à danser la salsa :wink:

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Pour ceux qui sont intéressés par la suite :grin:

Cath’ est partie en direction du beau mec qu’elle a vu se déhancher plus tôt. Je l’aperçois se glisser derrière lui telle une lionne à l’affût de sa proie, je la laisse à son occupation tandis que moi, j’ai également aperçu un beau brun un peu plus derrière. Je me dirige tranquillement vers lui, mais je passe à côté de lui en l’ignorant, je le laisse penser qu’il ne m’intéresse pas. Je m’en vais vers le bar, m’y accoude et demande deux verres. J’attends ma commande tout en étant dans mes pensées, je sens une présence s’installer sur le tabouret à côté de moi. Le serveur arrive avec les deux cocktails.

Je jette un œil à ma droite et ma proie a mordu à l’hameçon. Il est bien à côté de moi, là où je le voulais pour l’instant.

Je l’entends se racler la gorge puis me dire :

  • Vous avez une grande soif ce soir ? Deux verres pour vous seule !

Je ne lui réponds pas et pousse le second verre devant lui. Me retourne et lui lance mon plus beau sourire.

  • Ah non celui-ci, il est pour vous.
  • Vraiment ? Et si je n’étais pas venu ?
  • Vous serez venu, je vous ai hypnotisé en passant à côté de vous.
  • Hum, intéressant et comment voyez-vous la suite ?

Je sirote mon verre tout en le dévorant du regard. De son côté, il en fait autant. Mon corps ondule au rythme de la musique. Les dernières notes de la chanson se terminent puis la suivante s’enchaîne, je me trémousse de plus belle. J’attrape la main de mon inconnu et l’invite à se joindre à moi sur la piste. Nos corps se mouvent au rythme de la musique. Sans aucune pudeur, nous entamons un coller serré des plus sensuels. La musique nous transporte et nous faisons plus qu’un. Nos respirations s’accentuent, nos mains se découvrent.

J’aperçois mon amie venir à moi et me susurrer à l’oreille qu’elle s’en va et qu’elle ne rentrera pas avec moi. Tout en me lançant un clin d’œil, je la vois s’en aller. Mon cavalier m’emmène avec lui dans une énième danse, nous retournons à la découverte de nos corps. Je sens son souffle dans mon cou, puis ses lèvres humides s’y poser. Un frisson descend le long de ma nuque jusqu’en bas de mon dos.

Il continue à parsemer des baisers sur mon cou tout en remontant sur ma joue puis à la commissure de mes lèvres. Nos bouches se joignent délicieusement, ma langue invite la sienne à la rejoindre dans une parfaite osmose. D’un regard, nous nous comprenons et décidons de nous en aller.

Un vent frais caresse mon visage dès notre sortie du club, mais il n’est pas assez froid pour refroidir mes idées salaces.

Nous longeons le bâtiment direction le parking, nous passons dans une petite ruelle. Je suis bouillante, mon cerveau et en ébullition et le reste de mon corps n’en parlons pas.

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Je plaque mon bel inconnu contre le mur, mes mains parcours son torse. Ce que je sens sous la paume de mes mains me plaît. Nos yeux se croisent et s’embrasent, notre désir et à son paroxysme. Ses mains passent sous ma robe et caressent mon postérieur. Nos bouches mutines se retrouvent et se délectent de ce moment de douceur. Nos langues se mêlent à nouveau.

Un frisson me parcourt le corps, j’ai envie de me lâcher ce soir. Je stoppe ce baiser, mes lèvres ont envie de découvrir chaque parcelle de son corps. Elles descendent sur son cou, mon souffle s’intensifie, je parsème des baisers brûlant sur sa peau au goût salé, mes mains continuent de s’aventurer plus bas jusqu’à arriver à sa taille. Son jean est fermé avec des boutons et une ceinture que je ne mets pas longtemps à ouvrir.

Je m’accroupis devant mon objectif, il me jette un regard coquin, il a vite compris mes intentions. Je descends son jean et son boxer, je salive en apercevant son membre déjà dressé. Ma langue passe sur mes lèvres, je me mets à lui embrasser le bout du gland, un gémissement sort de sa gorge. Ma langue le caresse délicatement puis s’aventure de tout son long. Puis ma bouche l’avale sans le prévenir. Je l’entends grogner : " Oh putain que c’est bon ! "

Ma mise en bouche le met dans un état de pure excitation. Et je ne parle même pas de mon état, ma culotte est trempée.

Il se met à appuyer légèrement sur ma tête afin d’accompagner celle-ci au mouvement que ma bouche lui prodigue. Je sens son sexe de tendre, je l’observe du coin de l’œil, il a fermé les yeux et savoure l’instant. Sa jouissance est proche, j’amplifie ma fellation, je sens son jus chaud se reprendre sur ma langue et dans ma gorge. Je le lèche jusqu’à la dernière goutte. Je remonte et l’embrasse à pleine bouche.

Je sens les pulsations de son cœur contre mon corps. Sa respiration reprend un rythme normal, son regard est salace, j’aime ce que je vois. Il me pousse à mon tour contre le mur, ses mains sont chaudes, elles caressent chaque partie visible de mon corps. Il me susurre à l’oreille que je vais prendre cher en échange de cette mise en bouche. Sa main passe sous ma robe vers ma petite culotte et vers mon sexe, je mouille comme une damnée. Il y glisse deux doigts et me maintient contre le mur de son torse et de son autre main me bloque les bras au-dessus de ma tête. Il fait des mouvements de va-et-vient entre mes chaires ça me rend complètement folle.

Je me mords la lèvre, il me regarde et me conseille de ne pas continuer, car ça le rend fou. Je ne l’écoute pas et continue mon jeu tout en y ajoutant ma langue. Ses doigts à l’intérieur de ma chatte me rendent dingue, il s’est mis à jouer avec son pouce sur mon clitoris. Je frissonne, je me tortille, j’essaie de bouger, mais je suis coincée.

Un râle sort de ma gorge, il me lâche les bras et me demande d’attraper la capote dans sa poche arrière. Je m’exécute, je choppe le petit carré d’aluminium, l’ouvre et déroule la protection en plastique sur son membre de nouveau dressé. Il lève ma jambe, écarte le bout de tissu qui me sert de sous-vêtements et me pénètre sans sommation, je suis prise d’un coup de chaud. Il me pilonne tantôt doucement tantôt sauvagement. Je suis étonnée que la ruelle soit déserte et franchement même si on se fait voir, j’en ai rien à secouer. Mon amant d’un soir me fait grimper au septième ciel, je sens son membre se contracter contre mon vagin. Nous jouissons ensemble, nos bouches se rejoignent pour un rendez-vous divin après ce moment de folie.

Il me relâche doucement, remet ma robe en place. Il remonte son boxer et son jean après avoir jeté dans la poubelle le préservatif. Je le surprends en y jetant ma petite culotte. Je hausse les épaules : " Quoi vu son état, elle me servira plus à grand chose " puis je lui lance un clin d’œil.

  • Je te paie un verre après ça, tu préfères ici ou chez moi ?

Je n’hésite pas longtemps, et lui répond chez lui. J’ai envie de prolonger cette soirée torride jusqu’au lever du jour.

Sur le parking, il est un peu mal à l’aise, car il se rend compte qu’il n’est pas véhiculé. Il m’explique être venu avec son coloc et que celui-ci est reparti en bonne compagnie. Heureusement que de mon côté, je suis venue avec ma propre voiture. Nous nous dirigeons vers mon crossover, mes talons claques sur l’asphalte, le vent s’engouffre sous ma robe et vient me caresser mes cuisses. Je souris, déverrouille l’auto et monte à l’intérieur. Samuel rentre son adresse dans le GPS intégré (oui, j’ai pensé à lui demander son prénom en allant à la voiture.) Les basses de la sono nous remettent dans l’ambiance du club.

Je roule tranquillement à l’opposé de notre lieu de débauche. Mon voisin pose délicieusement sa main sur ma cuisse, je me concentre sur ma conduite pendant que lui joue avec mon entre-jambe. J’ai bien fait de jeter ma culotte à la poubelle. La situation redevient insoutenable, heureusement, nous approchons de notre destination. Je me gare sur un parking devant un petit immeuble. Il m’attrape la main et m’emmène à l’intérieur du bâtiment. Nous grimpons les étages à toute vitesse. Il déverrouille la porte, vérifie que nous sommes seuls et me demande de le suivre dans sa chambre. À peine la porte franchie, il me jette sur le lit pour un troisième round.

Ma robe se retrouve très vite par terre. Je me retrouve en soutien-gorge gorge devant lui. Il me chevauche et vient me le dégrafé. Il scrute chaque partie de mon corps et de mon anatomie. Il me relève les cheveux et m’embrasse la nuque puis remonte vers mon oreille. Ses lèvres tracent un sillon de baiser délicat. Il me mordille le lobe de l’oreille, je gémis à son contact.

J’ai envie de lui rendre la monnaie de sa pièce, mais il m’en empêche.

Il continue de parsemer des baisers sur le haut de mon corps. Il s’aventure vers la naissance de mes seins. Ses mains me pelotent littéralement, les miches, sa bouche en prend un goulûment, il mordille mon téton, le lèche, le suce. Il asséne le même traitement à son jumeau. Je me tortille sous lui. Ses mains vagabondent plus au sud jusqu’à arriver à mon abricot. Mon clitoris est gonflé de désir, il s’amuse de la situation, il me rend folle.

Il joue avec mes nerfs, son pouce entame une sorte de partition sur mon petit bonbon. Son regard croise le mien et il me transporte, me fait chavirer. Sa tête prend place entre mes cuisses qu’il écarte d’une main. Sa langue vient me sucer et me lécher. Ses doigts s’invitent à l’intérieur de ma grotte humide.

Il accentue sa pénétration, retire ses doigts, les lèche puis les remet en moi. Sa langue, ses doigts me font chavirer. Je me mets à crier tellement mon orgasme est fulgurant. Il se retire et vient partager ma jouissance en m’embrassant. À charge de revanche, me lance-t-il en me souriant.

Je me remets doucement de cette extase, mon partenaire s’en va nous chercher de quoi nous sustenter et nous rafraîchir.

Mon verre vidé, je me mets à genoux devant lui. Lui ouvre le jean lui descend son boxer, sa bite oui là, je deviens vulgaire se présente devant moi, je le prends en bouche. Des gémissements gutturaux se font entendre dans la pièce. J’entends du bruit dans le couloir, mais n’y prête pas attention.

Mon attention est portée sur tout autre chose. Je me délecte de la situation, savoir que quelqu’un peut nous observer m’excite encore plus. Samuel m’empêche de continuer, il se lève, récupère une protection en plastique et l’enfile. Il monte sur le lit et m’invite à le rejoindre. Je m’installe à califourchon sur lui. Je me glisse sur son sexe et entame une danse sensuelle. Nos deux corps se mouvent à l’unisson.

Après un moment à se laisser dominé, il se retire et me retourne en levrette. Ni une ni deux, il me pénètre. Je sens ses valseuses qui cognent contre mon arrière-train. Il me tient fermement par les hanches, mon cul bien en arrière afin d’accompagner ses mouvements le rend fou. Je m’agrippe au drap, un coup de rein puis un second et nous voilà en train de gémir ensemble. Il s’écroule sur mon dos. Je le sens me serrer et m’embrasser la nuque.

Cette soirée fut torride et restera dans mon top 10.

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C’est effectivement aussi torride que le premier texte, cela ressemble plus à un récit qu’à de la fiction

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Super récit j’adore.

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la suite est aussi excitante que le premier texte. Bravo

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