Une tête de linotte

J’arrive devant chez toi et comme convenu je clinche et la porte cherra… ah non c’est la bobinette :sweat_smile: la porte s’ouvre.
J’entre et je me dirige vers le canapé, il y a une méridienne qui me semble bien confortable.
Je m’installe, allongée à la romaine, je plie les jambes si bien que ma jupe se tombe un peu.
Je t’entends, tu es dans la cuisine ouverte mais je fais mine de ne pas te voir.
J’écarte un peu les genoux, mon string est aussi ouvert que sa propriétaire… la situation m’excite autant qu’elle m’amuse.
Tu arrives, un verre de vin rouge à la main. J’entends à ta respiration que tu es mi excité mi intimidé par la situation.
Tu voulais jouer … alors je suis là.
Je prends le verre que tu me tends et un merci s’échappe de mes lèvres.
Alors… voyons voir si tu continues d’oser.
Tu t’assoies au bout de la méridienne et je sens ton regard comme une caresse sur mon sexe. Ce dernier mouille d’envie . Je ne sais si c’est la situation ou toi qui m’excites le plus, peut-être bien un peu des deux.
Je goûte le vin, mmm, une tête de linotte, j’adore ce nom, c’était ainsi qu’on m’appelait, surnom moqueur, enfantin. Cela dit je n’en suis plus une et c’est bien la femme qui sent ce divin fluide couler en sa gorge. Ça accentue mon envie.
Je suis là pour boire et toi pour déguster. Ta main caresse ma cuisse, Tu descends de la méridienne, au sol, tu écartes mes pieds et ton visage glisse entre mes cuisses. Je sens maintenant ton souffle sur mes lèvres et ma fragrance doit chatouiller tes narines. Je sursaute quand la pointe de ta langue se pose sur moi. Tu me dessines, lentement, de bas en haut puis de haut en bas. Tu m’inondes de ta salive et lapes mon nectar. Cela étant, tu ignores mon bouton qui bat la chamade.
Te voilà au Sud, petit tour d’un rond-point point insensible à tes attentions. Tu virevoltes entre mes deux orifices et j’ai du mal à déglutir.
« Je vais te faire vibrer et ensuite je te retourne, te fesse et te prends sans ménagement. »
Mais ose donc, je pense que tu es encore un peu en manque d’assurance mais j’ai envie de te laisser diriger la séance. Je sais que ce prémices de domination n’aura qu’une chance de m exciter… tu n’es pas assez cérébral pour que je me soumette totalement. Mais, aujourd’hui, le jeu m’amuse, je profite pleinement de l’instant et de ta langue.
Cette dernière entre en moi, je frémis.
Je reprends une gorgée et cette douce chaleur se répand en moi comme mon clito dans ta bouche, tu m’aspires. Je laisse échapper un « oh ouiiii ». La chaleur s’est déplacée, je n’arrive plus trop à penser. Je ne fais que ressentir.
Je reprends une gorgée que je me dépêche d’avaler car je viensssss.
Pfiouuu mon corps se déchaîne de soubresauts.
Un autre merci vient de m’échapper et je croise ton regard qui a changé… il pétille !

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T’aurais je sous estimé ?

Je sens que ton regard est celui d’un homme décidé, tu te relèves, me retournes. Tu agrippes ma taille pour soulever mon fessier.
Les fesses à l’air, la tête presqu’enfoncée dans le coussin , je ne peux que te deviner qui te place sur le côté. Le silence résonne quand le clac de ta claque le chasse. Je me sens rougir et tressaille sous la surprise.
Je sens mon excitation monter en flèche quand tu soulèves mon haut. Je ne porte pas de soutien-gorge, tu peux saisir mon téton pour le pincer et le tourner entre tes doigts. Il faut pincer assez fort pour me faire de l’effet, j’ai du t’en parler car tu ne me ménages pas.
Clac ! ma fesse droite bat sous ton coup, mon entrejambe se mouille aussitôt.
Clac ! la gauche dessine le contour de tes doigts.
Clac ! tu graves ton souvenir.
Je te devine, durcir de désir. Tu n’avais pas la clef mais je suis pourtant bien ouverte.
Clac ! je sursaute …
Je t’entends déchirer un petit sachet pour t’habiller, et je vois le papier skin se jeter à tes pieds. Je perçois ton mouvement, tu te places derrière moi, je sens ton gland contre les fesses. Tu caresses de ta queue mes rougeurs pour te diriger vers mon antre. Écarte les jambes … un ordre, j’obéis .
Ton gland est juste à l’entrée, je repousse mes fesses pour qu’il entre … clac !
« Je décide ! »
Du froid sur les fesses, qui coule sur ma rondelle … tu me mets de la vaseline et je me demande si …?! Mais non
C’est un objet métallique que je sens, un rosebud ! Et tu me pénètres de sa froideur, je m’ouvre et me pare de ce bijou. Tu agrippes mes poignets d’amour et me tires à toi, tu me pénètres sans ménagement jusqu’à la garde. Monsieur tient ses promesses.
Un va un vient rapide puis tu t’arrêtes totalement en moi pour titiller le rosebud, quelques mouvements , tu le tires et je le ravale … puis tu reprends ta pénétration. J’aime la lenteur mais là j’ai bel et bien envie que tu claques tes couilles contre moi. Cela dit je ne peux parler dans ma position, je ne peux que bouger un peu le fessier pour t’inciter à accentuer ton mouvement. Tu ressens très bien mon envie. Tu vas et tu viens entre mes reins, les mouvements se saccades comme ton souffle et un râle de bien-être s’échappe de tes lèvres. Tu t’arrêtes au fond de moi. Le changement de rythme me rend folle, te sentir palpitant, immobile, au fond de moi m’excite terriblement. Tu bouges très lentement… je gémis … un va d’une lenteur arrogante allume un feu en moi et ton vient est l’allumette qui déclenche mon brasier. Je vibre, mon corps danse son plaisir et le coussin absorbe mon cris.

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Mmmh je savais bien qu’il y aurait une suite… :yum:

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Très sexy et très chaud

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Merciiii :kissing_heart:

Oh la torride :fire:

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Merci miss d’avoir laissé un mot :blush:

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Avec discord on en oublie le forum, j’avais du temps et j’ai apprécié cette lecture

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La chaleur de ce récit n’envahit pas que l’autrice, elle augmente le rythme cardiaque du lecteur, lui fait perdre sa lucidité, endurcit son extrémité.
Bref, tu m’a donné chaud !

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Merci pour ton retour ! J’aime le jeu :wink:
:kiss:

Et ? Et ? :grin: