Une vieille histoire

Je sors de mon sommeil par d’agréables sensations, je sens une langue lécher mes tétons. Je veux ouvrir les yeux mais je suis toujours dans le noir, c’est après être complètement réveillé que je comprends que j’ai les yeux bandés, je veux parler et impossible d’ouvrir la bouche et pour couronné le tout je suis attaché.
Je sens le lit bouger, quelqu’un s’approche de moi et me susurre à l’oreille « c’est moi mon amour mais là tu es à moi et je vais te faire tout ce que j’ai envie », à ces mots l’excitation grandit mais aussi l’inquiétude de ce qu’elle allait me faire subir car elle sait que je n’ai aucun tabou et que je lui fais totalement confiance.

Elle attrape mes tétons et les pince fortement, un cri étouffé sort de ma bouche, aussitôt elle relâche la pression et les repris en bouche pour les sucer de nouveau en les mordillant par moment. Ces mains parcourent mon corps, allant de mon visage à mes tétons, en passant par mon sexe, mes jambes (qu’elle avait au préalable écartées au maximum). J’aime sentir ces caresses, elle à les mains si douces, une sensation de bien-être qui s’empare de moi.
Elle enlève le ruban sur ma bouche et se met à califourchon sur mon visage et me dit, « lèche-moi » ce que je fais sans aucune hésitation, je sens sa mouille couler dans ma bouche, son bassin ondule sur mon visage faisant allez ma langue de sa chatte à son p’tit trou. Ces mouvements s’accélèrent, je l’entends gémir, j’aime quand elle prend du plaisir, elle attrape ma queue et commence à la branler au même rythme que mes coups de langue.

Son autre main s’attarde de nouveau sur mes tétons et les titilles jusqu’à les pincer fortement puis les caresse de nouveau. Elle se retire de ma bouche et se laisse glisser le long de mon corps, je sens sa chatte trempée de ma salive et de sa mouille couler sur ma peau. Elle s’allonge sur moi épuisée, je sens la pointe de ses seins sur mon torse, comme j’aimerai les caresser, les prendre en bouche.
Quelques minutes plus tard, je sens son corps glisser lentement à mes pieds, sa bouche embrassant la moindre parcelle de ma peau jusqu’à arriver sur mon sexe redevenu mou, le bout de sa langue glissant doucement et tendrement le long, des petits coups sur son extrémité le font réagir mais brièvement, mon gland (complètement rentré) peine à vouloir se montrer. De sa main douce, elle le décalotte très lentement, le frottement me fait réagir et je sens mon bassin se tortiller. Une fois apparue, elle l’aspire comme pour le gober et fait tourner sa langue autour.

Mon membre avait repris de la vigueur au point de me faire mal tellement il était gonflé et dur, ces coups de langue m’excitaient de plus en plus, sa bouche glissa de son long et j’entendis le clappement que faisait sa bouche avec sa salive sur mon gland.

Ces mains glissèrent sur mon torse venant caresser mes tétons en même temps, elle les pinça de nouveau et de plus en plus fort, me faisant crier mais malgré la douleur j’aimais le plaisir qu’elle me donna. Elle n’en pouvait plus et d’un coup se redressa et s’empala sur ma queue, sa chatte devait être tellement trempée car je ne l’ai même pas sentit s’enfoncer, son bassin ondulait dans tous les sens. Elle gémissait de plaisir, ces cris se faisait de plus en plus fort, je ne l’avais jamais entendu dans un tel état, ces cris m’excitait également, elle se mit à me claquer les cuisses comme pour aller plus vite, elle se pencha sur moi et mon bassin relevé la pénétrait de plus en plus et violement par moment.

Elle se redressa pour ralentir le mouvement, caressa mon corps, venait m’embrasser, mon corps réclamait une pause mais pas elle, et recommença de nouveau ces vas et vient, elle en voulait encore plus et ces mouvements s’accélèrent de plus en plus et tout à coup je l’entendis me crier « baise moi, je suis ta salope comme toi tu es la mienne et que je vais baiser après ». Ces mots m’excitait encore plus et comme cela ne suffisait pas elle attrapa mes tétons et les pinça fortement tout en tirant dessus, la douleur et le plaisir mélangé fit gonfler ma queue encore plus, je l’a sentait se raidir de plus en plus et d’un coup je me mis à crier et jouir violemment en même temps qu’elle, jamais je n’avais crié à ce point et aussi fort.

Elle s’écroula sur moi, m’embrassa, me remercia du plaisir que je venais de lui donner, ces mains caressa mon corps. Elle s’allongea à mes côtés, sa tête posé sur mon torse, son bras autour de ma taille, je lui demandai de me détacher pour la prendre dans mes bras mais elle refusa :

  • Tu es à moi, ne l’oublie pas, je fais ce que je veux de toi et tu resteras attaché car j’en ai pas fini avec toi.

Elle décida de me détacher du lit et m’emmena dans la cuisine, les yeux toujours bandés elle me guida afin de ne pas tomber dans les escaliers.
Une fois dans la pièce, elle me servit un café et je lui demandai :

  • Quand est-ce que tu m’enlèveras le bandeau ?
  • Réponds-moi s’il te plait ?
  • Quand j’en aurai fini.

A ces mots, je compris que ces envies étaient toujours présentes.
Au bout de quelques minutes, elle me demanda si j’avais fini et m’emmena dans la pièce d’à côté et me fit mettre à genou devant les marches de l’escalier. Elle attrapa ma tête et me demanda de la lécher.
Ce que je fis sans aucune hésitation et avec un grand plaisir, mes mains posées sur une marche et ma tête plongée entre ces cuisses écartées.
J’entendais ces cris de plaisir et comme à son habitude elle mouillait abondamment, je sentais mon visage trempée par moment elle attrapa mes cheveux, souleva ma tête et je sentais des petits jets s’écraser contre mon visage et aussitôt elle me la replongea entre ces jambes.
Pendant que je la léchais, elle attrapa mes tétons pour les pincer fortement et cette fois-ci c’est moi qui poussait des cris mais cela ne l’empêchait pas de continuer. Ces pincements augmentent à chaque coup de langue, elle se redressa passa derrière moi et venait me lécher le p’tit trou.
Sa langue glissant le long de ma raie et remonta sur mon trou, ces va et vient m’excitait de nouveau, elle me demanda de me relever, de me retourner et me fit m’assoir mais pas sur les marches, à ce moment je senti son jouet qu’elle avait fixé sur une des marches et me demanda de m’empaler dessus, je compris de suite pourquoi elle m’avait tant lécher. Sous l’excitation, celui-ci n’eut pas trop de difficulté pour se glisser au plus profond de moi.

Elle s’agenouilla devant moi et commença à me lécher le membre qui avait perdu toute sa vigueur, fit sortir mon gland, le suça goulûment et à force de subir ces caresses buccale, il reprit de la raideur et se retrouva dresser devant elle pour son plus grand plaisir.

4 « J'aime »

Merci pour le partage Cubi :kissing_heart:

Très beau récit, un moment très agréable dans ce texte

sacré réveil :wink: