Livre III
En des temps avant les Ages , les fondateurs , des visiteurs venus du fond de l’univers étaient venus sur Terre O(rigne).
Quand ils repartirent certains décidèrent de rester, mais comme dans toutes humanités , telle Babel, ils s’étaient séparés.
Hyperborée la Grande, l’insouciante tenta de garder en elle, l’héritage des Ancêtres, mais celui ci se dilua et seuls quelques hommes et femmes gardèrent la Flamme jusqu’à ce que le feu purificateur frappe la vanité des hommes et engloutissent à jamais Hyperborée et ses royaumes rivaux.
Après la première destruction Thuringwenthil et Asbjorn enfantèrent une nouvelle lignée dans les étoiles Les femmes et les hommes dévirent des « temponautes » avec pour mission de surveiller les mondes et tant faire ce peut leur éviter la destruction ou tout au moins sauver ceux qui pouvaient l’être.
Ce fut le temps des Explorateurs
**********
Mon frère Aerandir (le Vagabond des mers) et moi même parcourions ainsi le temps et l’espace. Mon frère suite à son dernier voyage avait convaincu notre conseil scientifique d’assurer le sauvetage des derniers habitants de l’Olympe . Il avait d’ailleurs pris pour compagne une magicienne Circé qui ne me laissait pas insensible d’ailleurs.
Comment ces hommes et ses femmes avaient ils pu conserver l’immortalité alors que nos ancêtre y avait partiellement renoncé.
Cela m’intriguait et lorsque mon frère revînt vers nous, je décidais de visiter ce monde pour savoir ce qu’il s’était passé après la Grande Destruction et avant l’Olympe
Lysippé m’observait au commande de la nef, je percevais ses pensées, elle se repassait notre étreinte, la chimie de son cerveau activée par les images de ses souvenirs, lui provoquait des sensations puissantes à la limite de l’orgasme qu’elle combattait.
Me concentrant sur mon pilotage j’avais bloqué l’accès à mon cerveau en égoïste que je suis. Moi aussi je la regardais avec envie, elle avait abandonné son équipement de combat, pour enfiler la même combinaison que je portais.
Cette armure de nanotissus, lui moulait son corps à merveille, et tel un homme, je la trouvais bandante. Je me disais que la rencontre avec mon frère allait être plus qu’explosive le connaissant. Et que j’étais impatiente de jouer avec Circé et elle.
Je devais me contrôler, car je sentais venir de l’humidité entre mes cuisses et les tétons devenaient durs.
Lysippé s’en aperçut me sourit mais ne dit rien.
Regardant vers l’Est, son regard noir devînt encore plus sombre car il y avait comme une ombre qui se profilait vers Atlantis.
Nous avions atteint la Cité du Soleil, la capitale du nouvel empire de Mu, cet empire avait tiré les leçons de son prédécesseur, tout n’était plus que sagesse, science et paix.
Je stabilisais mon vaisseau que se matérialisa à nouveau au-dessus du palais de Re Mu.
Aucune peur n’était perceptible parmi les gens du palais, preuve que l’héritage laissé par mes ancêtres dissimulé dans des capsules temporel avait été étudié.
Un homme portant le même type d’armure nous attendait.
C’était un homme dans la trentaine, puissamment musclé, sa peau était bronzée comme cuivrée. Il avait les yeux aussi noirs que Lysippé et des cheveux aussi long.
Avant qu’il nous adresse la parole la Fille du Ciel, me chuchota à l’oreille :
« Je sais que l’instant est grave, mais écoute, c 'est Xipe Totec le fils de Re Mu, chef de la garde des fils et filles du Soleil et accessoirement un excellent amant dès plus habile et endurant. Nous le partagerons ensemble, je vois qu’il n’est pas insensible à tes charmes et vu comme il me regarde, nous serons pas assez de deux pour calmer ce jeune lion… »
Décidément Lysippé était étonnante, et me disait j’en connais un qui va s’en souvenir, sacré Frérot ……
Lysippé me présenta au roi, fit le récit de son sauvetage, et annonçà au souverain les funestes desseins de Badarus le roi d’Atlantis.
Re Mu écouta en silence entouré de son conseil et se retira en déclarant :
« Mu va devoir à nouveau disparaître, mais nous avons appris les leçons laissées par tes ancêtres Shana, reposez vous et demain nous tiendrons conseil, avec toi mon fils et vous deux, mais Shana j’ai une faveur à te demander »
« Oui Re Mu tout ce que tu veux »
« J’ai besoin de l’aide de ton peuple »
« Oui tu l’auras ».
Derrière nous je sentais le regard du jeune fils du roi, et je percevais ses pensées…
Oh le gredin !!!, je me penchais vers Lysippé et lui dit :
« Je crois que cette nuit va être ardente, et tu vas avoir plus tôt que prévu la chance de voir mon frère »
Nous sortîmes de la grande salle, laissant le roi et son fils.
Malgré les circonstances terribles Lysippé ne put s’empêcher de sourire et me glisser.
« Tu es aussi insatiable que moi »
Et joignant le geste à la parole elle me plaqua contre le mur, me roulant carrément une pelle, plaquant une de ses jambes entre mes cuisses qui étaient aussi trempées à la pensée du trio prochain que du baisers fougueux de ma belle amazone.
Lysippé m’abandonna pour rejoindre ses dernières sœurs et moi je regagnais ma nef et entrée en communication avec la nef de mon frère.
Ce dernier apparut avec sa belle magicienne. Je lui fis comme à mon habitude le récit détaillé de ma mission, sans d’ailleurs rien omettre , comme lui aussi sait bien le faire.
« Shana comment veux tu qu’on se concentre avec Circé, la nuit va être explosive pour nous aussi. Bon j’appelle le conseil, pour notre part nous serons la demain.
Alors que j’allais couper la transmission, Circé me fit un petit signe.
« Shana, il me tarde de te retrouver, on a plein de choses à faire ensemble et avec Lysippé aussi»
Et elle coupa…
Eh bien des missions j’en ai fait mais là ……
Le soir était là, j’avais rejoint Lysippé à ses appartements du palais.
A peine arrivée elle se précipita carrément sur moi, elle ne portait pour tout vêtement un voile transparent couvrant se nudité. Tout en m’embrassant à pleine bouche en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle me dévêtit et nous basculâmes dans de doux coussins.
Nous nous adonnâmes à nos amours saphiques avec passions, tendresse et intensité, sans nous rappeler que nous avions invité le jeune prince.
Celui ci arriva en plein ébat, mais n’osa nous interrompre, il resta à nous observer …Combien de temps je ne sais. Mais assez longtemps pour qu’une transformation de son corps ne s’opère.
Quand nous nous aperçûmes de sa présence, il avait une main sous son pagne qui dissimulait à peine la grosseur de son glaise.
« Regarde Shana, n’est il pas beau notre fils du soleil, pardonnes nous de ne t’avoir pas attendu, allez viens nous rejoindre et enlève- moi ce foutu pagne »
Il s’exécuta libérant son désir de chair, tendu comme un étendard au vent, épais, puissant, et si joliment veiné.
Frissonnantes encore de tout le plaisir que nous venions de nous offrir mutuellement, nous nous retrouvâmes devant ce jeune lion, nous pourléchant nos lèvres comme deux lionnes prêtes à votre sur notre proie.
Le jeune prince sans un mot s’approcha de Lysippé qui était maintenant cambrée, la tête sur le rebord du dossier du lit , j’ai pris ses lèvres dans un long baiser pendant que la bouche, les doigts de l’homme s’appropriaient ses seins, malaxant tendrement les globes somptueux tout en agaçant leur pointe durcie de désir. Elle frémissait sans discontinuer, au point que j’ai cru un instant qu’elle allait jouir sous nos simples caresses.
Cela m’étonna d’elle, si mètre de ses envies à l’habitude.
Du coin de l’œil, je vis le jeune homme se laisser glisser à genoux entre les jambes de l’amazone , ses larges mains puissantes se posèrent sur les cuisses dénudées. Lysippé était maintenant totalement découverte, offerte à nos regards, nos caresses, nos baisers. Ce dont le jeune lion profita en ouvrant largement le compas des jambes fuselées pour déposer un long baiser sur la courte toison offerte à sa gourmandise. Lysippé poussa un petit cri lorsque la langue habile de notre amant commun se faufila dans ses chairs humides et brûlantes.
Lysippé était comme transfigurée, contre ses seins lourds je sentais les battements d’un cœur affolé. LEs yeux à demi révulsés, elle posa les mains sur mes seins, aux pointes déjà durcies par l’excitation. Elle plantait ses doigts dans ma chair au rythme des convulsions de son ventre délicieusement torturé par le jeune prince.
Brutalement, sa main se crispa, m’arrachant un petit cri de douleur alors qu’elle laissait échapper un feulement rauque.
Il savait y faire avec elle, il lui titillait la petite perle nacrée du bout de la langue, mais deux de ses doigts épais coulissaient maintenant dans la vulve humide faisant monter lentement le plaisir dans son ventre . Il fit passer les jambes de la gardienne sur ses épaules. Totalement ouverte et offerte par cette position, elle ouvrit les yeux. Son regard semblait me supplier de la caresser encore, de l’embrasser. J’ai retrouvé le parfum fruité de ses lèvres, nos langues se sont à nouveau mêlées… tandis que mes doigts torturaient délicatement ses seins. Tout son corps ondulait sous mes caresses et celles de l’homme qui avait replongé entre les cuisses de sa « victime ». Brusquement son corps se raidit, elle se souleva comme pour échapper à la bouche, aux doigts habiles de son agresseur, puis elle se détendit, se laissant doucement retomber soupirant longuement entre mes lèvres. Notre amant se redressa légèrement, les deux mains toujours plaquées dans l’entrejambe féminin.
Elle haletait spasmodiquement, les yeux totalement hagards, le souffle court. Je voyais son ventre se creuser, ses hanches ondoyer, ses seins se balancer sur son torse.
Elle poussa un véritable hurlement lorsque le plaisir la submergea. Elle s’effondra, disloquée comme un pantin au creux du canapé, haletante, tremblante. Pendant de longues minutes, nous l’avons couverte de douces caresses, apaisant le corps abandonné, savourant sa beauté, sa douceur. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour nous adresser un joli sourire et un regard brillant.
« Oh égoïste que tu es Lysippé, je suis sur ma faim !!!
« Et bien qu’attends tu Shana agis !!!
Je fixais la belle hampe masculine majestueusement dressée et je m’empressais de la caresser.Le fils du soleil était joliment doté, un ’énorme bourgeon surmontant une hampe épaisse, d’une longueur hors du commun. J’entourais le membre viril de ses doigts fins, ne parvenant pas à cerner le mât de chair. Ce sont mes deux mains qui ont débuté une caresse autour de la queue raide, lui arrachant un long soupir .
« Y a pas à dire ma belle, c’est une beauté…
« Je t’avais promis une surprise, ma chérie… Il ne te reste plus qu’à y goûter, à lui offrir tes lèvres, je suis sûre qu’il va aimer ! Et toi aussi…
Les deux mains agrippées au pieu tendu de désir, je fis encore quelques va-et-vient, découvrant le gland luisant, puis le recouvrant du prépuce pour le dénuder à nouveau.
J’approchais visage, pointant un petit bout de langue qui vint goûter la perle qui suintait du méat, puis mes lèvres s’ourlèrent délicatement, lentement autour de la grosse prune gorgée de sève.
Accroupie dans mon dos, Lysippé saisit mes seins, pinçant doucement leurs pointes érigées, glissait une main sur mon ventre, jusqu’à la fourche de mes cuisses pour caresser mon sexe humide et brûlant.
" Alors, ma chérie, tu aimes cette belle lance? Laisse-la s’enfoncer encore, prends-la autant que tu peux et caresses le, il adore ça !
Je ne lui répondis que par un grognement de satisfaction.
« Oui, comme ça… Je suis sûre qu’il va jouir ! Tu vas le boire jusqu’au bout, ma chérie… Tu le sens frémir, grossir encore… Il va venir !
Je laissais maintenant le piston de chair brûlante coulisser lentement entre mes lèvres, au rythme des légers coups de reins de ce nouvel amant. Lysippé nous contourna à genoux , elle laissait ses mains courir sur mes seins gonflés sur la javelot de cet merveilleux amant jusqu’ entre mes jambes, sur mon ventre pour agacer tendrement mon sexe humide.
Le prince soudainement se tendit en avant, tressaillit à trois reprises, inondant ma gorge me faisant presque m’étouffer et je déglutis, avalant la sève douceâtre . Il recula légèrement, échappant à mes lèvres pulpeuses. Mais son sexe n’avait pas faibli, toujours aussi majestueusement tendu.
Lysippé s’est relevée, tournée vers moi. Je l’ai à nouveau prise entre mes bras et nous avons échangé un long baiser. Doucement, nos lèvres toujours unies, elle me poussa vers le lit me retrouvant allongée, les jambes pendant dans le vide, cuisses écartées autour de mon bassin, lui offrant à elle et son prince , la charmante vision de mon sexe orné de petites perles humides.
Penchée sur moi , c’est du bout de la langue que mon amazone partit à nouveau à la découverte de mes trésors tandis que l’homme s’emparait à nouveau de mes seins. J’ondulai longuement sous leurs caresses qui m’ arrachèrent de nombreux frissons. Gémissante, je suppliai très vite que l’on mette fin à ce délicieux calvaire.
« Hummm… Encore ! Je veux jouir, Lysippé C’est trop bon !
« Tu vas jouir, Shana chérie ! Il va t’offrir tout ce dont tu peux rêver
!« Oh oui ! J’ai envie de tout ! Je suis toute à vous !
La gardienne de la Flamme se redressa, recula, abandonnant sa place à cet Apollon qui vint saisir mes hanches , m’attirant lentement vers lui jusqu ’à ce que son sexe toujours tendu vienne frôler le petit bouton nacré qui pointait à la commissure des mes lèvres m’arrachant à mon étonnement un nouveau petit cri. Les jambes de part et d’autre du bassin jeune homme , j’étais désormais écartelée, ouverte, impudique et offerte à ses assauts. D’une main Lysippé me releva légèrement la tête .:
« Regarde comme il est gros ! Tu vas le voir et le sentir te pénétrer lentement, il va te remplir, t’embrocher totalement, te faire crier de plaisir ! « C’est là que j’entendis enfin sa voix
« Oui, ma belle, Lysippé a raison, tu vas être toute pleine. Je vais te faire jouir comme une folle !
« Ohhhhhhhhhhhhhhhhh… Hummmmmmm…
Les yeux exorbités, la bouche ouverte, je semblais manquer d’air. Mon long gémissement accompagna jusqu’au bout la lente progression de l’énorme tige qui distendait, écartelait Mes chairs, comblait le moindre recoin de mon ventre en feu. Il continua toujours avec une lenteur affolante de s’enfoncer jusqu’à buter au fond de mon sexe .
Immobile maintenant, il contemplait mon corps frémissant, offert, tout en pétrissant tendrement mes seins orgueilleux dont les pointes durcies ressemblaient maintenant à de petites fraises rougies par le plaisir. Encore plus lentement, il se retira jusqu’à ce que seul l’énorme gland reste immergé dans mon ventre .
J’enserrai alors mes cuisses autour de ses hache et violemment je le ramenais en moi.
Ahhhhhhh ! Oui !
Mon hurlement fut comme un écho au puissant coup de reins de que je lui provoquai et qui se ficha brutalement au plus profond de moi . Débuta alors un extraordinaire ballet.
L’amazone ne détachait plus son regard de l’énorme tige qui coulissait lentement dans mon ventre offert. Elle avait l’impression de ressentir elle -même les va-et-vient de ce fabuleux amant au fond de moi.
De fines gouttes de sueur perlaient sur mon visage et je ne cessais plus de gémir, de me tordre sous l’assaut viril, semblant, en ondulant de tout son corps, quémander plus de plaisir, des pénétrations plus profondes, plus brutales. Encouragé par mes demandes et celle de ma belle amante il accéléra encore ses amples coups de reins, les mains crochetées sur mes hanches
La belle et mature guerrière se pencha à nouveau sur moi et saisit mes seins, mordilla mes lèvres… avant de plonger son regard dans le sien en murmurant :
« Maintenant, ma chérie, tu vas jouir ! Je veux voir le plaisir dans tes yeux il va exploser au fond de toi… Si tu voyais comme tu es belle !« Ohhhh, oui… Je sens que ça monte partout en moi ! Je suis toute pleine, il est fabuleux… Mon Dieu, c’est trop bon…
Fiché totalement au fond de moi , il se raidit, poussa un long grognement et inonda mon sexe bouillant de plusieurs longues salves qui me firent tressaillir m’ arrachèrent un dernier hurlement, le corps tétanisé par un fabuleux orgasme.
Il se retira du ventre brûlant, son sexe encore dressé, luisant du mélange de son plaisir et du mien .
Penchée au-dessus de mon corps alangui Lysippé offrit à sa bouche ma bouche ce splendide outil de plaisir encore humecté de nos sucs mêlés
Glissant doucement entre les lèvres de Lysippé , le prince retrouva rapidement toute sa superbe. C’est vraiment un phénomène, tant par la monstruosité de son sexe que par sa faculté à multiplier ses érections !
Elle le repoussa et ouvrant avec indécence ses cuisses, elle lui ordonna
« Maintenant baise-moi mon petit prince »
Sans préliminaires (elle n’en avait d’ailleurs pas besoin dans l’état d’excitation où elle se trouvait !), il vint jouer du bout de sa virilité contre ses lèvres humides, agaçant son clitoris en feu. Enfin, lentement, son énorme gland se fraya un chemin, écartant ses chairs avant de la pénétrer inexorablement, puissamment de toute sa longueur, lui arrachant un long gémissement de bonheur. La sensation d’être totalement comblée, pleine de ce monstre de chair et de sang ne lui ’était pas inconnue, mais ce fut à nouveau quasiment divin !
Abuté au plus profond de son ventre en feu, il s’immobilisa. Elle sentait palpiter sa virilité, grossir encore son gland si doux au creux de ses chairs et un orgasme fantastique monta doucement en elle. Toujours les mains sur ses hanches, je la dirigeais doucement en arrière, l’empalant sur le membre fiché en elle . J’amorçais ainsi un voluptueux va-et-vient de ses hanches sur le pieu viril.
Débuta alors la folle montée du plaisir dans tout son corps… Ma bouche s’empara d’un de ses seins, aspirant le téton avant de le mordiller. J’abandonnai ses hanches, prit son visage entre mes mains, lui offrit mes lèvres dans un long baiser avant de plonger mon regard dans le sien.
Je glissai une main le long de son ventre et vint dénicher du bout des doigts sa petite perle de chair que je me mis à agacer tendrement, déclenchant cette fois une énorme explosion de plaisir dans tout msn corps. La tige monstrueuse de notre amant ne cessait pas de buter au fond elle, son clitoris délicieusement martyrisé, elle poussa un long cri long cri.
« Ahhhhh… Ouiiiii !
Le prince à nouveau délivra son écume dans Lysippé.
Elle resta quelques minutes entre deux mondes, puis reprenant ses esprits, elle dit.
« Alors Shana comment le trouves tu ?
« Oh ma belle quelle divine verge et encore bien dure…
Alors que nous allions poursuivre nos ébats, une lugubre sirène d’alarme retentit.
Les armées d’Atlantis, soutenues par les forces du royaume d’Uighur approchaient.
Nos ardeurs refroidies, le Prince regagna le Palais, Lysippé ralia ses sœurs guerrières et moi ma nef.
C’est à ce moment qu’une nef de combat apparut. Je n’en avais encore jamais vu autrement que dans les textes Holo-archives de nos ancêtres.
L’écran de ma vision communication se déclencha et je reconnu Aerandir mon frère. Son visage était sombre mais s’éclaira en me voyant.
« Shana , ma petite sœur, je suis là, nous sommes là »
Derrière lui Circé était en communication avec des hommes et des femmes cuirassés d’or, ceux dont mon frère avait ramené de l’Olympe .
« Ma flotte reste en orbite pour l’instant, je me téléporte avec Circé, je dois voir Re Mu immédiatement, il en va de la survie de l’homme…
( à suivre)