Voyages spatio-temporels

Chronologie

1° Le temps des Fondateurs

Le choix de Thuringwenthil et Asbjorn

(Lieux : Hyperborée la Grande – Mu origine – l’Atlantide – la Lémurie)

2° La première destruction - Le temps des temponautes

Les voyages de Shana et Aerandir*

(Lieux : Le nouvel empire de Mu -La Nouvelle Atlantis-Le royaume de Mayax-Le royaume de Uighur)

3° La deuxième destruction - Le temps des dieux

L’Olympe ou le voyage d’Aerandil

Nb / Si au sens de la chronologie les aventures de Shana se déroulent dans un temps antérieur que celles de son frère Aerandil c’est ce voyage qu’il conviendra de lire en premier, puisque ce voyage sera à l’initiative de celui de Shana

D’autres voyages à suivre avant que le Temps des hommes ne laisse place plus qu’à la légende…

Le temps des Fondateurs . " Le choix de Thuringwenthil et Asbjorn

Dans l’Ancienne Tradition, on raconte l’existence, dans les régions polaires arctiques d’une terre parfaite où le soleil brille constamment de tout son éclat :

l’Hyperborée.

Ses habitants, les hyperboréens, formaient un peuple pur et puissant, doté d’une connaissance intime du monde et d’une sagesse supérieure. Lieu magique par excellence au centre de la spiritualité primitive, les vestiges de cette contrée nordique enchanteresse survivent dans les fables et les légendes de nombreuses civilisations.

Je vais vous conter cette histoire, l’histoire de deux êtres d’exception qui furent à l’origine de ma lignée.

Les mots défile devant mon écran, notre nef spatio-temporelle poursuit sa route, ma douce magicienne Circé blottie tout contre moi

Partons donc à la recherche de l’Hyperborée fabuleuse.

Par de là où souffle la Borée, il se trouve une terre merveilleuse, où le soleil éternel brille de mille feux. Ces habitants ne connaissent plus la guerre et la violence, tous ne vivent que de la magie, de la science. Ces hommes et ces femmes avaient été de grands bâtisseurs forts et conquérants, mais maintenant ils aspiraient à la tranquillité avec un aveuglement qui allait leur devenir fatal.

Parmi ces femmes et ses hommes, ils en étaient qui refusaient cette fatalité. S’ils n’avaient pas été bannis des leurs, ils ne se montraient peu ou pas, ils veillaient au loin parcourant la toundra gelée, gravissant les montagnes aux neiges éternelles, traversant les forêts profondes aux arbres s’élevant jusqu’aux cieux comme une ode aux dieux protecteurs.

De ces hommes et ces femmes on ne savait peu de choses, les Rôdeurs comme on les appelait péjorativement, étaient disait-on des anciens descendant des premiers rois de Thulé, ces rois venus du ciel avec des chariots volants d’or et d’argent, on ne les croyait pas hommes.

Les légendes racontaient qu’ils pouvaient voler, se matérialiser n’importe où n’importe quand.

Mais les hyperboréens dans leur quête de tranquillité avaient oublié leurs racines. On pouvait voir ces Rôdeurs, le soir dans un coin d’une taverne aux portes des grandes villes, parfois on devinait leurs ombres quittant un palais de la science au petit matin.

Les Rôdeurs étaient initiés au secret de la vie, connaissant la vérité originelle, ils étaient devenus immortels, chamanes, magiciens, guerriers, guérisseurs. On leur attribuait tous les pouvoirs.

Ils n’étaient jamais seuls, en effet, les Rôdeurs n’étaient rien sans leur double féminin les Guerrières.

Ces femmes faisaient autant peur par leur puissance guerrière, qu’envie par leur beauté, leur sensualité, leur volupté.

Elles étaient courtisanes, guérisseuses, magiciennes, les mauvaises langues les traitaient de sorcières.

On leur attribuait des pouvoirs divinatoires, des pouvoirs d’envoûtement lorsqu’un homme tombait sous sa coupe et se trouvait soumis à leur science de l’amour charnel. Elles étaient sans pitié.

Un lien unique étrange les unissait à leur double, étaient-ils frères et sœurs, amants, mari et femme, ou ces fameux « doubles mystérieux"

"les Klönes» comme dans les contes enfantins.

On disait des Rôdeurs qu’ils étaient séducteurs, amants merveilleux, bien des pères, des frères, des fiancés, des maris, ont eu peur de ces hommes. Les femmes ne rêvaient que de s’abandonner une nuit à ces légendes, sentir leurs bras puissants les posséder avec sensualité, fougue, sentir leur écume de vie couler dans leur matrice et rêver d’engendrer le fruit de cette folie.

Mais les guerrières n’étaient-elles pas les alter ego des Rôdeurs, et bien des femmes ont craint qu’elles ne jettent leur dévolu sur leur époux, fiancés ou amants.

Les hommes fantasmaient sur ces femmes, rêvant de les posséder mais, elles les soumettaient sans pitié. N’étaient-elle pas les descendantes des Reines de Thulé, ces guerrières aux chariots d’airain volant au-dessus des champs de bataille délivrant la foudre et conduisant vers des nefs suspendues dans le ciel les guerriers de métal blessés.

Depuis plusieurs mois, de sombres nouvelles parvenaient au Conseil de Thulé, mais les Sages ne voulaient pas voir le mal. Les forces du Royaume de l’Atlantide, de l’empire de Mu et du peuple de Lémurie s’étaient disait on alliées pour convoiter les richesses et la connaissance d’Hyperborée.

Les ténèbres allaient tôt ou tard s’abattre sur ce pays où le soleil brille constamment.

Les espions parcouraient le pays, corrompant bien des nobles, des bourgeois, des artisans. La traîtrise s’immisçait lentement dans le Royaume comme le poison dans le sang

Ils ne restaient plus beaucoup de Rôdeurs et de Guerrières pour défendre cet idéal. Beaucoup avait préféré abandonner leur immortalité, et s’étaient éteint aux cotés de leur compagne, ne laissant que des légendes, et de la poussière. Les lignées des descendants des bâtisseurs de Thulé s’éteignaient.

Mais il en restait deux parmi ceux qui n’avaient pas renoncé qui allaient veiller à ce que l’héritage de leurs ancêtres ne tombe dans les mains des humains avides de pouvoir et de violence.

Ils savaient qu’ils ne pourraient sauver le Royaume, mais ils sauveraient le Mythe.

Thuringwethil (femme de l’ombre secrète)

Thuringwethil était une de ces guerrières, dernière héritière de sa lignée. Était-elle immortelle, nul ne le savait, elle avait un corps de femme d’une trentaine d’années, sculpté par de longues courses dans les forêts, de folles chevauchées à travers les plaines, de longues heures d’escrime avec son Rôdeur.

Elle était belle, son regard était puissant, envoûtant. Avait-elle les yeux noirs, non, vus de près les prunelles n’étaient pas de jais mais d’ambre, cet ambre foncé comme certaines tourmalines et que l’on trouve parfois sur les plages des mers nordiques. Dans leur profondeur, les constellations dansantes s’étaient multipliées.

Elle était fière, emportée, douce, sensuelle, voluptueuse, sauvage, sans partage, unique.

Ce soir elle se trouvait dans la cité, elle assistait à un bal organisé par un noble corrompu, elle voulait savoir ses secrets. Dehors son Rôdeur veillait.

Elle avait décidé de le séduire, lui extorquer par sa science des plaisirs, les renseignements dont elle avait besoin.

Elle portait une robe d’or d’où surgissait des jambes moulées dans un cuivre sans défaut. Au-dessus de la taille étroite et flexible, la poitrine était enserrée dans un réseau d’émeraudes sous lequel les seins jeunes et fermes dressaient orgueilleusement leurs courbes jumelles. Les épaules plaines étaient nues ainsi que les bras souples, ornés des mêmes pierres vertes.

Le visage à l’ovale pur se modelait dans la lumière mouvante. Le relief modelé des pommettes, le dessin de sa bouche charnue affirmaient ses origines mystérieuses. Les lèvres de la jeune femme étaient étroitement serrées dans une expression de dignité hautaine et pourtant on sentait que si elles s’écartaient pour sourire, le visage tout entier s’irradierait comme une promesse de volupté.

Les convives n’avaient d’yeux que pour elle.

Elle s’avança vers le maître des lieux avec une démarche féline, dégageant une sensualité qui en troubla plus d’un. Elle se pencha et susurra des mots à cet homme d’une quarantaine d’années, insignifiant, puant d’orgueil, la sueur fétide de sa trahison. Ils s’éclipsèrent discrètement. L’homme était excité. Ils entrèrent dans une immense chambre où des torches diffusaient une lumière blafarde comme l’âme pourrie de cet homme.

Elle bouscula l’homme sur le lit et sans attendre le chevaucha. Elle sentait avec dégoût le membre de cet homme contre son sexe. Mais elle sentit qu’elle n’aurait pas à aller plus loin, il était faible.

Elle apposa sa main sur le front de l’homme et elle s’empara de son esprit. Elle eut les renseignements qu’elle voulait. Mais elle vit en cet homme des horreurs, un marchand de femmes, de jeunes filles, un violeur, un pervers.

L’homme ne sut jamais ce qui lui arriva car lorsqu’elle sortit discrètement de la chambre, il avait cessé de vivre, son cœur avait cessé de battre.

Le Rôdeur se chargea de faire disparaître toutes traces.

Thuringwethil quitta les lieux au bras d’un homme dont on ne pouvait voir le visage, sous une cape noire.

En sortant, elle le regarda intensément, jusqu’où irons-nous pour sauver notre Race, je me sens sale, fais-moi l’amour.

Ils s’éloignèrent du palais, si quelqu’un avait pu les voir, il n’aurait remarqué que deux silhouettes fugaces, pratiquement fantomatiques. Ils rejoignirent ainsi le Palais de la Science.

Le palais avait été édifié des siècles auparavant, à l’écart de les perversités de la ville, sur une colline la surplombant.

Qui se souvenait encore que c’était là que les premiers hyperboréens s’étaient posés après des années lumières de voyages aux confins de l’univers, qui pouvait savoir que sous le palais se trouvait le dernier des Astro-Drakkars de ce peuple des étoiles.

Derrière les lourdes et immenses portes forgées dans l’airain il y avant une immense salle au sol de marbre blancs et aux murs de granit recouverts de panneaux d’ambre presque translucide. Les rayons du soleil traversant la coupole de verre transformaient leurs lumières en multitudes de reflets ambrés.

Au fond, il y avait une nef, où trônaient les statues des premiers explorateurs Hyperboréens Le Commandant Odin et le Docteur Freya et les membres de leurs équipages dont l’ingénieur mécanicien Thor.

Au pied de ces immenses statues il y avait un sas dissimulé.

Trente mètres plus bas, il y avait le saint des saints, la salle de la mémoire, là d’énormes machines semblaient ronronner. Dans ces mécanismes compliqués étaient stocké tout le savoir du Peuple des étoiles.

Tout autour les sarcophages des hyperboréens qui avaient renoncé à l’immortalité semblaient veiller à la tranquillité des lieux.

Thuringwethil , se dirigea vers une salle, fit glisser sa robe, offrant à son compagnon, une vision divine. N’étaient-ils pas considérés comme des Dieux pour les mortels.

Sa nudité était si troublante, et il ne s’en lasser point.

Avec sensualité elle glissa dans un bassin, aux eaux chaudes, provenant des entrailles de la terre.

Elle se lava retirant, l’odeur fétide de cet homme, puis nagea longuement .

Il ne cessait de la regarder.

Asbjorn ( le guerrier des Dieux)

C’était son nom, était un homme dont on pouvait dire l’âge. Son corps semblait sculpté dans du bronze, les muscles saillants, agile, puissant, redoutable bretteur, implacable et sans pitié pour ses ennemis, autant doux, délicat et sensuel avec les femmes.

Ses yeux verts, presque marrons étaient redoutables, quand il regardait quelqu’un, celui-ci se sentait transpercé par son regard, ce qui était le cas puisqu’il était télépathe.

De longs cheveux blancs tombaient sur ses épaules.

Thuringwethil était sa compagne . Malgré leur immortalité, ils s’aimaient passionnément depuis toujours.

Se dévêtant, il la rejoignit dans l’eau et nagea vers elle, Thuringwetil était étendue sur les marches le corps à demi recouvert d’eau. Elle se caressait le corps avec douceur

Un doux parfum d’encens à la rose et au jasmin embaumait les lieux.

Asbjorn se pencha sur elle il commença à lui mouiller les épaules. L’eau chaude dégoulinait entre ses omoplates, ses seins, sur son ventre, réveillant d’agréables sensations. Elle ferma les yeux et se détendit. Il lui mouilla les cheveux et les lui démêla. Elle se laissait aller la tête en arrière, contre lui. Ce fut comme une onde qui lui envahissait le corps.

Il lui massa les épaules et le haut du dos le creux de ses reins, sur ses fesses, s’attardant entre elles, en un doux va-et-vient. Elle écartait légèrement les jambes, pour l’inviter à aller plus loin.

Elle poussa un profond soupir. Plongeant les mains dans l’eau il fit glisser sur sa poitrine, entre ses seins ses mains, s’attardant sur eux. Ses doigts se mirent à courir sur sa peau. Il titilla les tétons du bout des doigts, les pinçant avec douceur. Une de ses mains glissa sur son ventre, frôlant sa fine toison. Elle bascula la tête contre son épaule, ses lèvres se posèrent sur sa nuque, remontant vers son oreille.

Tandis qu’une main continuait de lui caresser les seins, l’autre descendit sur ses cuisses, et à l’intérieur de ses jambes qui s’ouvrirent comme une fleur au soleil. Ses doigts se perdirent entre ses lèvres humides. Ses lèvres couraient sur sa nuque, sa main lui caressant le clitoris entre ses doigts.

Son souffle s’accélérait, tandis que sa main quittait son entrejambe et glissa sur Son bassin. Il se colla contre elle. Son sexe était dur entre ses fesses. Il se contentait pour l’instant de se frotter contre elle.

Il passa ensuite devant sa compagne . Il lui prit les mains et les posa sur son thorax. Elle tremblait, ce n’était pas son habitude se dit-elle, troublée par la sensualité de son compagnon . Il la serra dans ses bras et déposa un baiser sur son front. Elle leva son visage vers lui, noyant ses yeux dans son regard puissant. Un sourire éclaira son visage et il posa ses lèvres sur les siennes, forçant délicatement le barrage de ses lèvres.

Thuringwethil fit glisser ses mains sur les épaules et la nuque d’Asbjorn, tandis que les siennes glissaient dans son dos, ses fesses, les pétrissant avec vigueur. Sa main droite glissa sur ma cuisse, la faisant se plier. Son sexe frottait contre le sien. Les bras de Thuringwethil glissèrent sur son tronc et s’accrochèrent à son bassin, accentuant la pression de son sexe sur le sien.

Sans effort, il la souleva. Elle l’enlaça de ses jambes. Il la conduisit en dehors du bassin et la déposa délicatement sur des coussins. Il prit ses mains et les amena au-dessus de sa tête. Toujours en silence, il fit courir ses lèvres sur son visage, ses joues, son cou. Il s’attarda sur ses seins, léchant avec insistance ses tétons dressés, les suçotant avec insistance. Ses lèvres reprirent l’exploration de son corps.

De ses mains, il lui écarta les cuisses avec douceur. Ses lèvres déposaient de légers baisers sur les siennes, avant de les écarter de la langue, lui offrant la caresse la plus exquise. Elle replia ses jambes et les posa sur ses épaules. Sa langue s’enfouissait dans son intimité. Elle descendit ses mains pour les poser sur sa tête. Ses cheveux étaient doux sous ses doigts. Elle lui pressait la tête contre son sexe, pour qu’il aille plus profondément. Mais il s’en dégagea.

Il rampa sur elle , laissant traîner ses doigts en une caresse appuyée. . Sa main se posa sur son sexe humide. Elle écarta les jambes, s’offrant à lui. Il lui souleva le bassin et, d’un mouvement, la pénétra en profondeur, lui arrachant un gémissement de plaisir. Elle aimait le sentir palpiter en elle , immobile, tel un serpent guettant sa proie. Elle aimait se sentir à sa merci. Lui seul contrôlait la situation.

Il entama un long va-et-vient, lent, profond, exquis. Il anticipait chacun de ses gémissements, s’arrêtant lorsqu’il la sentait au point d’exploser. Il lui laissait un peu de temps pour respirer et reprenait sa pénétration. Les mains de son amante glissèrent sur ses fesses et s’y agrippèrent. Elle se cambrait sous ses assauts. Il glissa ses mains sous sa taille et la souleva. Il s’agenouilla, elle était à cheval sur ses cuisses musclées. La pénétration n’en était que plus profonde et exquise. Ses mains guidaient les mouvements de son bassin. Ses lèvres glissèrent sur son cou. Elle se pencha en arrière pour offrir à ses lèvres avides ses tétons qui réclamaient leur lot de caresses. Ses assauts se rapprochaient, étaient de plus en plus profonds, lui arrachant des gémissements de plaisir de plus en plus intenses.

Il le repoussa doucement et la fit se retourner. Elle resta à genoux. Il se glissa sous elle , son sexe frottant entre ses fesses. Il la souleva et entraîna son bassin sur lui. Il se glissa en elle avec force et puissance. Il la guida de nouveau sur lui, gémissant à son tour. Il la laissa onduler sur lui, à mon rythme. Ses mains glissèrent de nouveau sur son corps, l’une lui caressant les seins, l’autre le sexe, titillant de nouveau son bourgeon en feu

Leurs mouvements s’intensifièrent. Elle attrapa ses poignets, s’accrochant à lui. Ses mains glissèrent sur son bassin et le maintinrent contre le sien alors qu’ils atteignaient ensemble la jouissance. Elle ferma les yeux et se laissa aller contre lui. Puis ses bras l’enlacèrent et il la serra contre lui. Elle ferma les yeux, savourant le plaisir qu’il venait de lui offrir, le sentant encore palpiter en elle.

Ils restèrent longtemps unis, puis il lui dit :

« Il est temps pour nous, oui mon amour commençons »

Ils descendirent dans la crypte, entrèrent dans le vaisseau spatial. Dans la nuit les habitants de perçurent que trop tard les grondements sourds et le sol se mit à trembler.

Alors que la nef des dieux s’éloignait de cette petite planète bleue, partout sur la surface, la terre s’ouvrit, précipitant dans ses entrailles l’Empire de Mu, le royaume de l’Atlantide , la Lémurie et Hyperborée.

Ces royaumes avilis disparaissaient à jamais.

Ici est là des hommes et des femmes s’éloignaient des lieux de la catastrophe. Ils ne comprenaient pas pourquoi, une voix leur avait dit de fuir.

Qui étaient- ils ? Les descendants des unions furtives et intenses des hyperboréens et des humains. Leurs progénitures allaient redonner une espérance à une humanité nouvelle.

Dans l’astro-Drakkar Thuringwenthil et Asbjorn se regardaient avec passion. A la vitesse hyperluminique ils se dirigeaient vers un autre système ou une race humaine avait peut-être un avenir.

Fais-moi encore l’amour Asbjorn, souffla à son oreille Thuringwenthil, fais-moi un enfant, je t’aime.

Oui ma belle Guerrière nous avons maintenant l’éternité pour nous aimer .

Postface

Ils trouvèrent cet univers, ils s’y établirent. Thuringwenthil donna naissance à une lignée de garçons et de filles, qui renoncèrent à l’immortalité de leurs parents. Ils s’unirent à ces humains, leur donnèrent la connaissance et la science.

Et nous leurs descendants nous partîmes essaimer tous les univers connus.

C’est ainsi que biens des siècles plus tard j’atterris en ce pays de l’Olympe, pour trouver l’amour de Circé et retrouver cette immortalité.

Ainsi le cycle pouvait reprendre…

L’Olympe ou le voyage d’Aerandil

LIVRE I

Voyageur du temps et de l’espace quantique, je me promène à travers multiples univers, multiples mondes grâce à ma nef spatio-temporelle. Je visite les mythes et légendes de l’histoire de l’Humanité si riche en expériences. Je suis pilote-enquêteur au sein de la patrouille Espace-Temps

Par nos fonction nous sommes libres de visiter les univers. Au hasard d’un de mes songes, me rappelant mes lectures de jeunesse, je décidais de me téléporter dans ce Monde chanté par Homère, vanté par Virgile.

Mon objectif était donc de me rendre dans cette contrée que l’on appelait jadis l’Attique.

Je réglais les coordonnées de mon vaisseau immatériel sur le sommet de cette montagne mythique que l’on nommait l’Olympe demeure des Dieux.

Ma matérialisation au milieu d’une assemblée que j’identifiais de suite comme celle des Dieux, ne fût pas sans sensation.

Zeus lui même restait muet devant cet homme en scaphandre d’argent sortant de cette bulle de « plastverre » qu’était mon vaisseau.

J’enlevais le casque de ma combinaison de vol. Je ne pus qu’être émerveillé par la vision que je vis. Les environs étaient constitués de jardins suspendus au milieu des nuages. Autour de moi régnait une atmosphère étrange faite d’effluves de parfums tout aussi subtils les uns que les autres donnant un aspect à la fois irréel et envoûtant .

Les chariots d’or des Dieux tirés par des chevaux ailés, frères et sœurs du fier Pégase sillonnaient un ciel laiteux. D’immenses bassins s’écoulaient de longs fleuves faits de nectar et d’ambroisie, où déesses et dieux, puisaient à l’aide de leurs coupes de vermeille leur boisson favorite.

De majestueuses cascades délivraient une eau limpide et pure provenant des cieux dans de longues rivières où venaient s’abreuver centaures et licornes. Ici et là s’élevaient des temples et résidences dont les colonnes s’élevaient vers le ciel sans fin. La rosée du matin étalait sur les prairies d’un vert intense la multitude des gouttelettes d’or, larmes de Nyx la déesse de la nuit.

Remis de son étonnement le Grand Zeus m’adressa la parole de sa voix de stentor, le sol tremblait à chacune de ses intonations. Autour de moi Déesses et Dieux s’étaient approchés.

«Qui es tu, me dit il?

«Je ne suis qu’un voyageur du Temps et de l’Espace infini, je suis un voyageur des rêves qui parcoure de multiples univers»

et je rajoutais…

«Je viens découvrir ton royaume, les femmes qui furent tes maîtresses, les femmes de tes héros, les femmes de tes rois, les femmes qui furent les reines de merveilleux royaumes, les mères des dieux et des demi-dieux, les muses et magiciennes de ton monde, les fières guerrières amazones, laisses moi connaître les femmes de ton monde Grand Zeus».

«Tu es un humain bien étrange, mais ta science se rapproche de nos divinités, je t’accorde ce privilège, je te donne mes pouvoirs en la matière, tu es digne de mon respect, je te souhaite bonne route étranger» .

Je remerciais Zeus et je pris la route, j’entendis alors une voix de femme m’ordonnant de m’arrêter…

LE DEFI

« Halte présomptueux Etranger !! »

Surpris je me retournais donc. Il y avait en fait quatre femmes, quatre déesses toutes aussi belles les unes que les autres.

Il y avait Héra épouse et sœur de Zeus, Artémis la belle chasseresse, l’amoureuse Aphrodite et la sage Athéna.

C’est Héra qui m’adressa la parole que je qualifiais de péremptoire.

"Tu es bien un étrange voyageur sans gêne pour demander à mon époux de parcourir notre monde à la quête de nos femmes. C’est à nous seules mes sœurs et moi même de t’accorder ce privilège, nous représentons à nous quatre ce que sont les femmes de cette contrée et tu dois répondre à une question puis nous te laisserons aller.»

J’acceptais .

"Dis de qu’elle de nous quatre est la plus belle».

Je ne peux me retenir de rire , elles restèrent interloquée.

« Qu’as tu à rire téméraire humain?».

«Vous ne m’aurez pas avec vos jeux de devinettes, à ce jeu où Paris et Hélène ont échoué et vous avez déclenché une guerre longue et terrible. Votre inconséquence a fait pleurer tant de femmes sur le sort de leur époux, tant de mère ont pleuré leurs enfants, des filles leur père, leurs frères leurs fiancés ou leurs amants. Et tout cela pour votre fierté de déesses, Vous êtes toutes les quatre, belles merveilleuses et désirables».

Je l’avoue maintenant j’étais subjugué en effet Héra était une magnifique femme dont les épreuves de la vie et les turpitudes de son époux divin l’avait encore rendu plus irrésistible. Elle était vêtue d’un voile de soie transparent laissant deviner la nudité de son corps parfait.

Artémis avait de longs cheveux sombres comme la nuit, tombant délicatement dans le creux de ses reins. Elle avait un corps d’une finesse sans égal, avec de merveilleuses longues jambes faite pour la courses dans les bois et les prairies, son regard brillait, sur son corps perlaient mille gouttes de sueurs sous le soleil naissant de cette belle matinée. Elle avait chassé toute la nuit.

Aphrodite, n’était vêtue que d’une légère brume laissant apparaître son corps de déesse, aux seins parfait aux jambes si fines, aux cheveux si beaux, une aura de sensualité se dégageait d’autour d’elle.

Athéna altière sous son casque d’orichalque portait une tunique de soie qui mettait en valeur ses seins ronds et lourd. Ses cuisses étaient puissantes son corps resplendissait de majesté. Ses mollets étaient enserrés par des cnémides d’airain qui ne laissées apparitrices de fines et délicates chevilles.

Ces quatre femmes étaient interloquées par ma réponse et par mon aplomb à leur faire la leçon. Elles parlèrent entre elles et je perçus quelques éclats de voix, puis elles se retournèrent, je devinais pour chacune d’entre elle un petit sourire mutin à la commissures de leurs lèvres.

Héra pris la parole :

«Tu es un bien étrange voyageur et nous t’accordons le privilège de connaître toutes nos femmes et nous t’y aiderons à notre manière. Mais sache que tu devras nous satisfaire durant ton voyage au moment où nous le jugerons judicieux. Je serai donc la première rajouta Héra»

Ses condisciples féminines disparurent comme pas enchantement.

HERA

Nous nous trouvions dans des collines surplombant une mer à l’eau transparente où le ciel d’azur s’y reflétait.

Ici est là quelques oliviers dispensaient une ombre rare.

L’air embaumait le thym.

Sans prologue Héra ordonna

«Homme fais ta besogne», s’allongeant avec forte indécence sur un lit de mousse, offrant à ma vue son antre qui toutefois semblait palpiter.

Je ne suis pas homme à me soumettre.

La femme était belle désirable dans cette pose, mon sexe était à l’étroit. Je ne fis pas long à me dévêtir offrant à la vue de cette mature déesse mon envie.
Son regard ne se détachait plus de ma verge, qui flattée par ce regard d’envie redoubla de dureté.

« Eh!!!voyageur te voilà joliment doté, mon volage de mari va regretter de t’avoir laisser parcourir nos domaines. Baise-moi à rendre jaloux de fourbe de Zeux qui n’est pas foutu de séduire ses péronnelle sans se travestir !!! »

Je prenais ainsi les rênes , m’allongeait devant ce corps généreux.
Après bien des caresses, que je lui dispensais de mes mains, de mes doigts, de mes lèvres, de ma langue, Héra gémissait son plaisir, mais elle en voulait plus. Elle conduisit ma verge au gland pourpre à l’entrée de son jardin d’Eden. Son sexe était humide, je sentais se dégager de cette antre une chaleur indicible. De mes deux mains je lui pétrissais ses magnifiques et lourds seins que jadis Zeus avait pris de ses mains puissantes.

Je lui soulevais délicatement les fesses et je pénétrais en elle. Au cours du temps qui suivit, un temps irréel sans fin, elle faillit à plusieurs reprises défaillir.

Je compris alors ce que son époux m’avait donné. Je prenais mon plaisir avec ardeur, j’étais passionné mais non expéditif, je retardais le moment de ma jouissance avec la retenue d’un ascète de l’hédonisme. Puis nous explosâmes tout deux , elle dans un râle l’amenant à l’extase et à la perte de conscience et moi en explosant ma semence en elle. Notre animalité érotique céda la place à la plénitude nous caressant mutuellement , nous refîmes l’amour, je ne sais combien de temps . Nous nous séparâmes .

Elle déposa un baiser sur mes lèvres et me dit :

« Par ce baiser je te donne mes pouvoirs dont tu apprendras à te servir pendant ton périple, Tu mérites de le poursuivre, tu devras être à la hauteur comme tu l’as été avec moi. Je sais que tu n’es pas un Dieu, mais un sacré petit mortel et afin de rendre jaloux mon époux et frère afin qu’il revienne dans ma couche, je garde en moi ta semence pour créer une race de femme et d’hommes en laquelle je te connaîtrais.

Le soir même je quittais l’Olympe et je commençais mon voyage initiatique et érotique.

LIVRE II

Mon voyage me conduisit dans les couches des plus belles femmes de ce monde Homérique . La belle Ixion aux seins veinés de bleu, la belle Danaé aux chevilles si fines et aux pieds si menus qu’ils auraient suffi à faire jouir tout homme normalement constitué rien qu’en les regardant.

La belle Europe, fille de Phoenix à la bouche si avide , à la langue si habile et aux hanches accueillantes. Je partageais la couche de Semélé la pudique mère de Dyonisos. J’eus des étreintes puissantes avec l’insatiable Alène de Delphes, mère d’Hercule. Je plongeais avec délectation dans le corps de Déméter et je goûtais à la douceur des seins de Léda pour qui Zeus se transforma en cygne pour la séduire.

Partageant ainsi les plaisirs variés de l’amour avec ces merveilleuses femmes, je parcourais la campagne grecque de l’Attique au Péloponnèse en passant par les montagnes de la Macédoine du Grand Alexandre. D’un réveil à l’ombre d’un sycomore, à une nuit passée sous un olivier, j’étanchais ma faim égrainant une grappe de raisins comme je mignonais les tétons de quelques Calypiges aux seins dardés par l’extase amoureuse.

J’étanchais ma soif aux ruisseaux descendant des montagnes, de la même façon que je m’abreuvais de la liqueur intime à la coupe du sexe de ces mêmes femmes aux formes généreuses de vie et de plaisirs aux seins lourds, aux fesses rebondies dont la maternité avait rendu sublime, ces mères de héros, demi-dieux .

Je visitais ainsi de nombreuses cités prestigieuses, la politique et policée Athènes, la fière et guerrière Sparte, la religieuse Delphes où Artémis était vénérée. Corynthe, Lemnos, Délos furent de mes étapes. Je connus leurs Reines, leurs prêtresses laissant jaillir en elles ma semence.

ARTEMIS

Au détour d’un chemin, à l’aube naissante, d’un jour nouveau, à l’orée d’un bois, Artémis apparut. Elle venait de faire une longue course avec un majestueux cerf.

Ce valeureux et noble animal au moment de sa mise à mort avait fait fièrement face à la Déesse. Devant le courage face à la mort la chasseresse l’avait épargné.

Artémis était devant moi, elle avait le torse nu, la poitrine volontaire, sa peau était cuivrée. Elle portait pour tout vêtement un léger pagne en tissu de lin, serré légèrement sur ses hanches laissant deviner la douce courbure de ses fesses. Ses longues et puissantes jambes étaient finement ciselées par ses courses nocturnes .

Elle portait de fines sandales lassées jusqu’au genou, à sa ceinture tissée d’or elle portait un coutelas de chasse ainsi qu’un carquois avec des flèches d’or et d’argent. Elle tenait dans sa main droit son arc puissant et précis.

Elle m’adressa la parole en ces mots.

«Te voilà enfin étranger, il y a longtemps que je te cherche depuis qu’Héra m’a conté tes exploits, je suis lasse de ma course effrénée de cette nuit et maintenant que tu es devant moi, je suis épuisée.»

Belle Artémis lui dis-je, étends toi sur ce lit de mousse, repose-toi de tes courses et de tes chasses nocturnes, dors je veillerai sur toi.

Confiante elle déposa son arc et son caurquois, elle s’étendit sur cette couche végétale, se mettant légèrement de coté m’offrant son dos magnifique et ses fesses musclées. Longtemps je l’observais dormir, sa respiration était des plus calme, son souffle faisait ondoyer son corps magnifique de déesse.

Me décidant enfin, je m’approchais sans bruit et délicatement je me mis à masser sa nuque et ses épaules puissantes. Nyx la déesse de la nuit m’avait offert un onguent envoûtant, mais aussi au cours d’une étreinte d’une nuit sans fin l’art du massage érotique. Cet onguent commença à faire son effet. Son corps se réveillait à mes caresses, sa peau vibrait, son souffle s’accélérait plus mes mains s’égaraient sur sa chute de reins et ses hanches .Lorsque j’atteins ses cuisses, imperceptiblement elle releva ses merveilleuses fesses.

Je lui retirais sa fine tunique, je m’allongeais le long de son corps, la couvrant de baisers, mes mains pétrissant ses seins parfaits, je fis entrer en elle mon désir. Elle sentit la dureté de ma verge et se cambra pour mieux l’avaler dans son antre, puis elle accéléra son mouvement de reins. Notre plaisir montait en nous indiciblement.

Elle se retira brusquement me plaqua au sol et se mit à me chevaucher. Sa croupe ondoyait sur mon épieux viril, elle s’accroupit pour mieux profiter de ce mouvement de piston tel les machines de Vulcain. Mon vît était tendu comme la corde de son arc. Elle m’offrit ses seins, je jouais avec ses mamelons dressés comme les flèches de son carquois .

Je me redressais pour goûter son corps, fusionner en elle. Notre jouissance fût énorme, quand dans un cri puissant elle atteignit l’orgasme alors que je faisais écouler ma semence en un jet puissant dans son vagin humide et brûlant. La nature s’arrêta un instant.

Héra avait dit vrai, me dit-elle en haletant. Durant des jours nous parcourûmes les forêts, elle m’apprit tous les secrets de la nature lors de nos courses nocturnes, le jour nous fusionnons nos corps avides de plaisir, mêlé d’amour et de tendresse.Avant de nous séparer, elle me dit qu’à chacune de nos étreintes elle avait gardé ma semence de mortel avec laquelle elle allait engendrer une nouvelle race de femmes et d’hommes gardiens de la nature. Nous reprîmes alors chacun notre route.

LIVRE III

Continuant mon odyssée, je passais de belles nuits avec Eurydice, je devins l’amant de la belle et langoureuse Andromède.

Et toujours autant de paysages rudes arides brûlés par Hélios, autant de paysages doux et paisibles comme les forêts de pins du bord de mer où leurs effluvent envoûtantes se mêlaient à l’iode.

Partout mon regard découvrait de nouveaux horizons, j’étais fasciné par les flots bleus du royaume de Poséidon.

Au loin des troupeaux de chèvres de brebis paissaient çà et là sous la protection de jeunes pâtres ou bergères qui je le conçois n’étaient point farouches. Honorant de mon mieux ces jeunes et frêles jeunes filles qui malgré tout avaient une science experte pour donner du plaisir aux hommes.

Je me rassasiais de pain, de lait de chèvres que fromage de brebis, mais aussi de ce fameux vin de Corinthe. Harpes et flûtes de pan donnaient un relief sonore envoûtant à ces idylliques tableaux.

Au hasard de mes errances, j’abordais un jour l’île de la farouche Calypso dont la légende disait que ses yeux étaient aussi sombres que les abîmes des océans et son souffle aussi puissant qu’une tempête du Nord.

CALYPSO

La belle m’apparut soudainement et me dit :

«Qui es-tu étranger, es-tu un voyageur égaré par le courroux d’Eole comme jadis Ulysse le fût un jour.

«Je suis certes un voyageur lui répondis-je, mais non égaré, je suis là seulement pour toi et toi seule, Belle Calypso.»

Sans rien dire elle disparut aussi soudainement qu’elle m’était apparu. Je restais sur la grève durant plusieurs jours, des serviteurs de cette reine m’avaient confectionné un abri et je bénéficiais de mets aussi merveilleux que savoureux.

Un soir elle se décida à venir me voir, elle me dit :

«C’est toi le protégé de Zeus et de ses Déesses que veux-tu de moi. ?»

«Je te le redis encore c’est toi seule que je veux . Je veux sentir ton souffle puissant, me noyer dans l’abîmes de tes yeux, mêler mon corps au tien.»

Désarçonnée par mes mots , elle recule légèrement, je lui pris délicatement les mains, les portèrent à mes lèvres pour lui déposer de légers et subtils baisers . Puis m’enhardissant je lui fis un furtif baiser sur ses lèvres de porcelaine. Je la sentis frissonner, elle ne bougea pas . Mes doigts caressèrent délicatement son visage. Je passais la main dans ses cheveux si longs et si fins. Elle ne bougeait pas, son souffle s’accélérait, ses yeux étaient mis clos.

Délicatement je lui retirais sa robe rouge carmin dénudant progressivement ses fines épaules, puis sa poitrine digne d’une déesse aux aréoles soyeuses. Continuant mon effeuillage apparut son joli ventre, la naissance de son pubis duveteux. Son sexe se découvrit, ses hanches étaient si belles, ses cuisses si fermes. Le léger tissu tomba à ses pieds menus. Je la pris dans mes bras et la posais délicatement sur le sable doré de cette plage baignée par les flots égéens.

Couvrant son corps de baisers subtils, ses seins se durcirent comme les rochers des Portes d’Hercule. Elle me dit alors :

« Bois moi !.

Je posais ma bouche sur son sexe humide alternant avec ma langue et mes lèvres, fouillant son vagin si chaud, mordillant son clitoris gorgé de plaisir. Je me mis à jouer avec mes doigts ses lèvres si douce. Je jouais ouvrant sa caverne d’amour. Elle écarta ses jambes et je présentais à sa coupe mon sexe durci par le désir.

D’un délicat coup de reins mon vît pénétra son hymen. Je sentis en elle un flot sauvage d’une tempête égéenne qui ne s’apaisa qu’après avoir été rassasiée de mes coups de boutoir au plus profond de son ventre tel le ressac sur les rocher de l’Ithaque d’Ulysse. Elle jouit à de nombreuses reprises et je rependis mon liquide de vie dans sa matrice offerte et fertile. Nous restâmes enlacés roulant dans le sable cherchant e nouveaux orgasmes. Je restais avec cette merveilleuse femme qui aurait pu être une sublime épouse mais nous devions nous séparer.

Elle me dit en m’embrassant, j’ai moi aussi gardé ta semence pour engendrer des femmes et des hommes à ton image pour qu’ils puissent donner à leur futurs amants et maîtresses autant de plaisir que j’ai eu avec toi.

Je poursuivis donc mon chemin

LIVRE IV

Poursuivant mon chemin, un beau matin Aphrodite se présenta à moi, me toisa et m’apostropha :

«Je t’observe depuis longtemps doux rêveur, la lassitude me prend de t’attendre, je suis jalouse de toutes ces femmes que tu as déjà honoré. Héra, Artémis, Nyx, Calypso et bien d’autres m’ont raconté avec mille détails leurs étreintes avec toi. Je ne peux plus tolérer cette situation. Je suis la Déesse de l’Amour, tu m’appartiens, je te soumettrais.»

Avec aplomb, le sourire espiègle aux lèvres je lui répondis que ma quête devait aller plus en avant et que je ne me soumettrai pas à elle dans n’importe quelles conditions.

«Je ne suis pas cet imbécile de Paris qui enleva Hélène à Ménélas pour en fin de compte ne donner aucun plaisir à cette femme qui méritait mieux que cette petite verge d’un puceau royal, tous juste bon à faire le mignon avec ses compagnons de chasse. Aides-moi plutôt à conquérir la reine des Amazones et ses sœurs, aides-moi à conquérir Circé la magicienne et tu pourras m’avoir pauvre mortel que je suis.

Elle partit à rire

«Tu me plaies, et je veux bien encore te voir à l’ œuvre, car tu m’amuses, et tu m’excites les sens, je t’aiderais donc en te donnant une partie de mes pouvoirs mais ne rêves pas trop .Je t’aurais avant cette trop sage et ingénue Athéna et ton voyage s’arrêtera là et tu deviendras mon esclave, mon jouet à jamais.

«Soit… Qu’il en soit ainsi» lui dis-je joyeux en reprenant ma route.

Je pris la direction de contrées toutes aussi lointaines que mystérieuses, où les reines et princesses, prêtresses et magiciennes possédaient des corps brûlant, avaient des yeux de braise, embaumaient de parfums sirupeux, épicés et envoûtant.

Où ces femmes avaient des hanches généreuses, ou si fine comme de la porcelaine, ces femmes qui avaient de sublimes croupes accueillante, des sexes si humides que l’on pouvait se désaltérer à leur coupe de leur nectar intime. C’étaient des femmes à la peu d’ébène, à la peau cuivrée, à la peau de lait, aux lèvres aux goût de sel ou de miel, à la poitrine généreuse, ou au seins si menus tel de jolis petits agrumes. Des femmes aux cheveux noirs, au cheveux blonds, aux cheveux roux.

Chacune de ces femmes furent mes maîtresse, j’appris beaucoup d’elle des techniques de l’amour. A chacune d’elle je rependais ma semence.

Un matin alors que j’achevais mon repas, je vis au loin un groupe de cavaliers. En fait il s’agissait des fameuses et terribles amazones, les dernières de leur lignée.

A leur tête leur dernière reine.

PENTHESILE.

Je savais pertinemment leur rejet de l’homme, je m’attendais au pire, mais j’avais un défi à relever face à cette peste d’Aphrodite.

La reine se détacha du groupe et me dit.

«Qui es-tu homme sans cervelle pour oser te trouver là dans mon royaume, ne sais-tu pas le sort que l’on réserve aux intrus et impudents comme toi.»

«Je ne suis qu’un voyageur mais je viens pour toi et tes sœurs»

«Tu es bien présomptueux me dit-elle en riant faisant rire ses camarades et compagnes.»

«Je veux seulement partager le pain ,le sel, l’eau et le vin noble reine, avec toi et tes sœurs et raconter le début de mon voyage initiatique sous la protection de Zeus.»

«Tu nous amuses, monte en croupe avec une de mes sœurs si tu n’a pas peur».

Pas la peine répondis-je et je sifflais , apparu alors mon compagnon de voyage, un magnifique cheval ailé à la robe noire comme la nuit, à la crinière étincelante, rougeoyante comme le feu venant de l’enfer. En souvenir de mes lectures d’adolescent qui m’avaient amené à ce monde quantique, je l’avais appelé Usul.

C’était un des fils de Pégase que mon ami Persée m’avait offert sur conseil d’Arès et Apollon.

Nous avions partagé bien des nuits de beuverie, les trois compères m’encourageant dans ma quête étant avides de mes récits à chacune des étapes de mon voyages.

Les deux dieux m’avaient mis au défi de séduire la reine des amazones au nez et à la barbe du présomptueux Achilles.

Donc d’un geste, grâce à ma ceinture anti-gravité, j’enfourchais cette magnifique bête, m’élevant des les cieux, galopant de nuages en nuages et m’écriant à l’adresse de la reine.

« Où allons nous ? Je t 'attends !!!.

Son étonnement fut passager et sa prestance de reine reprit le dessus.

«Suis nous !!! dit-elle

Je savais que j’avais semé le trouble dans l’esprit de cette jeune reine et de ses compagnes. Penthesilé était âgée d’une vingtaine d’années. Elle avait le visage d’une femme enfant. Elle possédait de grands yeux verts qui semblaient plus grands encore lorsqu’ils s’encadraient dans les boucles blondes de ses longs cheveux soyeux.

Ses lèvres ne souriaient que rarement , elles n’en étaient pas moins pleines et marbrées d’un léger rosé. Son corps qui se reflétait dans le métal poli de sa cuirasse d’airain, était musclé et bronzé par des heures passées à nager, combattre et à chasser au soleil. Elle avait des hanches larges d’une vrai femme et ses fesses fermes avaient des courbes harmonieuses. Ses seins étaient plus ronds et plus fermes que bien des femmes y compris parmi ses camarades amazones. Ses mamelons étaient presque roses avec des reflets concentriques marrons. Elle était vierge et voulait le rester, même si sa lignée devait s’éteindre et elle s’éteignait.

Elle m’accueillit donc dans son palais, si vide de rires enfantins ou adolescents. Pendant plusieurs semaines, elle ne voulut me voir, de jeunes esclaves mortelles pourvoyaient à mes besoins. Mes désirs étaient assouvis par ces jeunes femme aux corps aux reflets d’ébène .

Ma mémoire accumula bien de belles choses car la reine m’avait laissé le libre accès à sa bibliothèque, Socrate, Sophocle, Pythagore, Hippocrate, Aesculape ou le grand Hermès n’eurent plus de secrets pour moi. Je nourrissais mon corps,mon cerveau, mes sens.

Un jour alors que l’après midi touchait à sa fin, elle me fit appeler dans ses appartements royaux.

« Entre étranger !!!

Aucune de ses gardes n’étaient là.

Au milieu de la pièce était dressé une sorte de palanquin de tulle, où les reflets du soleil descendant se reflétaient en lumière diffuse. Je la devinais dans son bain.

«Approche !! assis-toi au bord du bassin. !!!

Je devinais à travers la limpidité de l’eau la beauté de son corps de rêve. Puis elle me demanda de lui raconter mon voyage.

« Toi qui a su dompter le fils de Pégase, tu m’intrigues.»

Je commençais alors mon récit. Elle frappa dans ses mains et ces magnifiques esclaves qui m’avaient tant fait vibrer arrivèrent nues, elles entrèrent dans le bassin et se mirent à faire la toilette à leur maîtresse, mais ce n’était pas une simple toilette. Car leurs mains s’égaraient sur le corps de leur reine, allaient en bien des endroits intimes. Ces esclaves jouèrent avec leurs lèvres effleurant les seins, les fesses la bouche et le sexe de leur divine monarque. Penthésilée m’écoutait et les yeux mis-clos elle contrôlait une jouissance intérieure.

« Continue ……

Je ne pouvais détacher mon regard sur ces multitudes de mains, ces bouches honorant leur reine.

Je lui racontais mes aventures avec certains de mes compagnons de voyage mes complices Enée, Persée, Hercule, Jason me gardant bien de citer Apollon ou Ares.

Je lui racontais mes étreintes avec les plus belles femmes du monde. Elle, elle continuait son extase. Je ne lui dis rien de mon pacte avec les Déesses.

Reprenant le contrôle de son corps, elle congédia ses servantes qui partirent en gloussant. Je devinais qu’elles n’allaient pas en rester là et j’aurai bien aimé assister à leurs petits jeux saphique.

Penthésilée sortit sans pudeur de son bain mais non sans majesté.

Elle allait s’étendre langoureusement sur le sol recouvert de peaux et de coussins de soie.

« Raconte-moi encore.

Toute la nuit avec force détail je lui décrivis ces femmes, leur corps, leur jouissance. Elle était excitée de ses descriptions, elle me demandait des détails, comment étaient leurs seins, leur sexe, le goût de leur peau, de leurs lèvres.

Imperceptiblement, elle tendit la main vers un plateau d’argent, elle attrapa une petite fiole en verre en forme de grenade et en fit couler un baume magique et parfumé dont elle s’oignit la poitrine au niveau du cœur et au dessus du petit duvet doré qui montait de son sexe au niveau de son pubis. Je devinais ses lèvres intimes imberbes de sa vulve qui brillait de son liquide intime.

Elle dit

« Tu connais mon vœu de rester vierge comme mes sœurs, mais Aphrodite m’est apparu en rêve la nuit dernière, elle m’a dit que pour la survie de ma race, je devais m’offrir à toi ainsi que mes sœurs, nous sommes toutes à toi. »

Je souris intérieurement ….

"sacré Aphrodite, quand tu veux quelques choses, la patience n’est pas ton fort, je remerciais tout de même la déesse des dons qu’elle m’avait remis et des prodiges qu’elle avait usés pour parvenir à mes fins, ou du moins à ses fins.

Penthésilé fût une maîtresse en amour, de longues nuits d’étreintes furent nécessaires pour assouvir son désir. Ma semence fertilisa son ventre vierge.

Penthésilé me dit un jour ;

« Tu es un amant magnifique et mes compagnes sont jalouses, fais nous l’amour.

J 'eus donc recours aux dons que m’avaient donné Déesse et Dieux, car le simple mortel que je suis aurait succombé depuis longtemps…

Ce fut une nuit sans fin où je pus honorer la reine et ses compagnes Qui attendant mes assauts en s’adonnaient aux plaisirs lesbiens jouant de leur mains, de leur langue, ou avec des objets phalliques.

Brenusa, Dériane, Clonia , Demodria, Thermodosa Alicibia, les dernières amazones s’adonnèrent aux plaisirs. Je les pénétrais et les inondais de mon sperme de mortel alors que nous roulions ensemble dans un corps à corps brûlant. Quelle ne fut pas mon extase lors-qu’à tour de rôle ou à deux ou trois elles jouaient de leur bouche avec ma verge de leur langue agile.

La reine était avide de ma verge, je ne pouvais me contrôler, je partais ainsi dans leur bouche, sur leur corps. L’odeur des parfums de la sueur mêlées aux effluves du plaisir m’enivraient.

Bouche contre sexe elles se buvaient sans retenue . Leurs croupes m’appelaient et encore et encore je les prenais enserrant leur hanche de mes mains brûlantes. Il y en avait toujours une pour laisser égarer sa langue …

Cette nuit fut orgiaque, ce fut la dernière nuit que je passais avec les Amazones.
Je laissais donc ces femmes en parturiente, prêtes à enfanter une nouvelle race de guerrières.

En y repensant maintenant, je soupçonne Aphrodite de nous avoir épié afin de jouir elle aussi de ce spectacle érotique.

Je pris alors la route…

LIVRE V

CIRCE

Poursuivant mon chemin, j’abordais enfin la côte du royaume de Circé la Magicienne.
Je me trouvais à peine sur la gréve, qu’elle m’apparut.

«Que viens-tu faire dans mon royaume simple mortel, sois bref avec que je ne te transforme en infâme pourceau.»

«Belle magicienne, tu sais qui je suis et je viens goûter aux prodiges qui ont retenu Ulysse dans tes bras malgré son amour pour Pénélope. Et tu l’aime encore. Je ne peux te redonner cet Ulysse délié de toutes attaches».

«Oui je sais qui tu es, un magicien comme moi, un magicien venu d’un autre monde, d’un autre temps et je veux apprendre ta magie. Et il y a trop de temps que je n’ai pas senti un homme en moi. Je t’accorde ma couche, fais moi jouir, apprends moi ta science et je t’apprendrai la mienne».

Au cours des mois qui suivirent, nous passâmes des journées dédiées à nos sciences respectives, elle me donna la possibilité de me morpher à souhait, et moi je lui donnais la possibilité de se transporter dans le temps et l’espace. Cette modification commune de nos ADN se faisait lors de nos longues nuits d’étreintes amoureuses.
Alors que notre enseignement commun touchait à sa fin, elle me dit :

« J’aime toujours follement Ulysse, mais j’ai joui merveilleusement avec toi. J’ai gardé toute ta semence car avant de partir rejoindre dans tes univers parallèle un Ulysse libre de toute Pénélope, je vais enfanter une race de magiciennes et magiciens race qui peuplera ces univers. Et lorsqu’au hasard de nos quêtes nous nous rencontrerons à nouveau, nous partagerons comme nous l’avons fait notre plaisir et les sciences que nous auront acquis ».

A ce moment de mon voyage, je fis un point.

Qui es-tu, tu es un homme bien présomptueux, tu te sers de ta science et de prodiges pour assouvir la libido. Tu te sers de ta tête, de ton corps pour séduire les femmes. Tu es fier de ce morceau de chair qui fait ta puissance l’espace d’un temps et qui s’affale mollement qu’en tu as assouvi tes besoins sexuels.

Réfléchis, tu as fais jouir des femmes , mais as tu vu comme elle sont si douces entre elles, si patiente dans l’attente de l’orgasme suprême laissant monter rogressivement et retenant leur plaisir pour goûter encore plus de tendresse et de douceur . Outre la violence de l’acte, la femme ne recherche pas cet orgasme d’homme d’un seul instant. Je te le rappelle, tu t’es servi de prodiges. Tu serais comme tous les mortels si tu t’en étais pas servi.

Une femme recherche la douceur, la tendresse avant le plaisir, le plaisir naît de cet état.
Seule une femme sait ce que ressent une autre femme et sait lui donner ce plaisir indicible. Tu l’as vu chez Penthésilée, ses compagnes et servantes.

Je me dis alors qu’il fallait que j’aille plus loin dans la quête du plaisir amoureux et profitant de la science donnée par Circé je me morphais alors en femme pour aborder les côtes de l’Ile de Lesbos. Et là je compris tout.

SAPHO ET BILITIS

Je découvris ainsi les sensations et les subtilités de l’orgasme féminin, orgasmes progressifs, multiples, sous différentes formes.

Mon corps s’éveilla à la plénitude. Je découvris le plaisir féminin sous toutes ses formes. Je fus envahi de sensations extrêmes sous ces assauts lesbiens.

Sentir une langue féminine s’immiscer dans sa bouche, dans son sexe. Sentir des lèvres ou des doigts jouer avec le bougeons dont vous avez été dotées par Eros. Ressentir des orgasmes clitoridien, vaginal lorsque ces femmes merveilleuses jouaient avec un olisbos.

Sous l’enseignement de la belle prêtresse Sapho et de sa jeune compagne Bilitis , je m’abandonnais aux plaisirs solitaires, humble j’acceptais de subir, ces femmes superbes m’apprirent aussi à découvrir leur corps, à donner plus de plaisir en visitant d’autres parties de leur corps ignorées par les hommes. Je découvris ce que ressentais une femme .

Cette expérience quoique de déroutante m’ouvrit les yeux et j’eus un autre regard sur la femme.

Un soir Sapho me dit, nous savons qui tu es, tu es un homme, l’ami des dieux et des Déesses, et malgré tout nous avons apprécié ton approche de l’amour, pour connaître ce que les femmes aiment réellement. Tu peux partir maintenant.

Je me morphais à nouveau en homme et repris mon chemin.

APHRODITE

C’est alors qu’Aphrodite réapparu. Cela suffit humain, je t’observe depuis le début de ton périple. Elle parlait violemment j’en étais perplexe.

«Oui je t’épies, je te vois faire l’amour avec des reines, des déesses, tu t’adonnes au saphisme, tu t’adonnes à des orgies dignes de l’Olympe. Je suis humide comme une traînée du port d’Athènes, comme une fille à soldat des bas fonds de Sparte.
Je suis obligé de m’adonner à l’onanisme, pour calmer mon corps, ma bouche salive, ma vulve coule comme une petite bergère en chaleur, mon bourgeon est aussi raide que ton vît quand tu en uses et abuses.Je suis la déesse de l’Amour et du Plaisir et je vais te posséder et tu me posséderas et on verra qui est le maître.»

Elle oublia l’accumulation de savoir et de prodiges érotiques que j’avais déjà acquis durant mon voyage et je lui décidais de lui réserver une petite surprise.

Certes elle ouvra les hostilités en me jetant à terre m’arrachant mes vêtements. Sa bouche s’empara de mon sexe qui n’était plus que du feu, la hampe de mon sexe se nervurait par la pression sanguine de mes veines, mon gland rouge carmin perlait. Elle se délectait captant une goutte de sperme la laissant couler avec se langue autour de sa bouche. Mais il était dit que je ne me laisserais pas faire, je pivotais donc et alors qu’elle dévorait ma lance.

J’entrepris avec ma bouche et ma langue son sexe comme on me l’avait appris à Lesbos. Sa coupe d’amour se mit à mouiller abondement , elle eut un petit cri lorsque j’introduisais en elle un magnifique olisbos que m’avait offert Sapho. J’en devenais grivois avec cette déesse.

«Tu mouilles comme une petite salope que tu es chère Déesse»

« Oui Etranger et j’aime çà, parle moins et baise-moi !!!

Je lui pétrissais les fesses, les seins, je me surpris à jouer à la corolle fleurie de son intimité.

« Ohhhhhh ……Ouiiiiiii …… Soupira t elle, ma langue alla s’attarder sur cette petite partie de peau lisse.

Elle ne me laissa aucun répit et me dit

«Tu es à moi»

Elle s’accroupit sur moi en me regardant fixement, elle jouissant ,elle imprimait à son bassin un mouvement vertical sur mon sexe devenu un temps un piston des machines d’Héphaistos.

« Je vais te faire partir !!! dit-elle, mais elle oubliait bien des choses.

Elle se retira, et me tournant le dos elle se rassit à nouveau sur moi, me présentant une croupe divine, elle appuya doucement son petit œillet mouillé sur mon flambeau et attiré l’un et l’autre par l’inavouable, je forçais le passage délicatement, elle s’empala ,je m’enfonçais dans ses entrailles. Elle hurla son plaisir, la cadence s’accélérait et je me vidais alors en elle.

Ce n’est pas fini me dit elle allons à la cascade et donnons nous encore au plaisir.

Nous nous baignâmes dans cette eau fraîche, refroidissant à peine nos corps. Elle venait sortir de l’eau lorsque sans attendre je la plaquais au sol, elle remonta ses cuisses à la hauteurs de mes épaules et telle le piston d’une machine à vapeur emballée je m’activais en sa caverne d’amour, lui arrachant des gémissement et des encouragement .

«Je vais te faire partir dans mon con»

Mais s’était mal me connaître et changeons de chemin, nous reprîmes les chemins de Sodome.

Tu aimes mes hanches dit elle, et j’adore comment tu t’en occupes, elle eut un nouvel orgasme violent , je m’épanchais à nouveau dans son intimité de déesse.

«Mais c’est qu’il est doué mon petit voyageur, ironisa-t-elle.

Je ne voulais pas m’avouer vaincu et après de nouvelles ablutions dans l’eau fraîche de la cascade, qui ralentit à peine le rythme sanguin de mon sexe, je repartais à nouveau à l’assaut de la belle.

Elle était devant moi, me narguant, se donnant du plaisir avec impudeur, jouant avec le cadeau de Sapho et se dandinant sur un doigt d’ivoire qui pénétrait son intimité.

Viens, que je m’abreuve à ton glaive, je ne suis pas rassasiée encore. Elle me fit jouir dans sa bouche, mon liquide coula de ses lèvres fines, le long de ses seins. Elle prit un malin plaisir à s’enduire les seins de ce chaud liquide.

C’est alors qu’Héra, Circé, Artémis me chuchotèrent à l’oreille : sers toi de ta science acquise et tu la vaincras.

LIVRE VI

Je vous avais laissé à un instant très critique pour moi avec l’insatiable Aphrodite…

Je mis alors en œuvre, à la fois ma science et les dons que m’avait donné Zeus, Par modification de ma structure atomique, je fis de moi, trois entités qui apparurent devant la Déesse, dont les grands yeux s’ouvrirent comme la corolle d’un lys au contact de la rosée du matin.

Cette expérience devait l’intéresser . L’un de mes clones s’allongea sur le sol et elle alla le chevaucher, en se retournant, elle dit au second clone :

« Qu’attends-tu pour venir me donner ton nectar !!! et dans une dernière bravade et s adressa à moi en riant,

« Tu n’as rien oublié ?

Je n’attendais que cela et je vins une fois encore visiter la cité mythique de Sodome.
L’étreinte fut terrible, elle ne gémissait plus, elle hurlait son plaisir, déclenchant en mes clones et moi même une frénésie plus intense que les bacchanales les plus lubriques que celle que j’avais connu avec mon ami Bacchus.

Elle sentait les deux verges à travers la fine paroi séparant sa caverne d’Amour, de sa caverne du plaisir extrême. Son corps devint tremblement , nos sueur se mêlèrent, six mains parcouraient son corps .

Elle devenait folle de plaisir, c’est mots n’étaient qu’Incantation aux plaisirs. Mes clones et moi même , explosèrent simultanément en elle. Elle cria son plaisir si fort, que Zeus sur L’Olympe compris que la déesse avait perdu.

Zeus entra dans les appartements d’Héra sa femme et lui fit l’amour. Dieux et déesses s’unirent dans une bacchanales divines, mêlant leur corps et s’offrant aux plaisirs. L’Olympe devint un lieu de plaisir lubriques, les gémissements et cris divins ébranlèrent les bases du Monde des mortels, déclenchant une vague de désir et de chaleur parmi les peuples .

Je repris ma forme initial après avoir encore fait connaître à cette entêtée d’Aphrodite la sensation de nos langues de nos bouches sur ce corps brûlant.
Elle tremblait encore lorsqu’enfin elle me dit avec douceur :

« Noble étranger fais-moi l’amour que tu l’as fait avec nos femmes de la Grèce.

Délicatement je me mis à la caresser, à l’embrasser sur tout son corps, viens en moi me dit elle.

Je la pénétrais une dernière fois, elle atteint très vite un orgasme intense mais très langoureux. Elle me dit alors, je prends ta semence je la prend car je veux aussi enfanter une race de femmes et d’hommes doués pour le plaisir.

Je voyais des larmes coulaient , ces perles d’amour, je les recueillais et les gardais précieusement. Elle me souriait.

« Tu m’as vaincu .

Adieu lui dis-je, mais avait-elle été vraiment vaincue, non , c’était elle qui était victorieuse. Je déposais un baiser sur ses lèvres et je repris la route.

Ainsi à l’issue de cet épisode, je rejoignis l’Olympe , mais ma soif de connaissance n’était pas assouvie, je me souvins alors de mon enfance et des neufs muses des arts .
us d’elles. Informé par ma science et de ma soif d’apprendre se sont elle qui virent à moi.

Les Muses

Elles me dirent :

« Tu veux accéder à notre connaissance, nous acceptons, mais nos sœurs Héra, Artémis et Aphrodite, notre cousine Nyx et nos amies Circé et Calypso nous ont parlé de tes dons. Fait nous les connaître et nous te donnerons notre connaissance.

Les muses m’offrirent leur savoir lors de nos étreintes, si douces si lentes, si sereines, chacune d’elles décidèrent de garder ma semence pour engendrer une nouvelle race dédiée aux arts .

Mon voyage touchait à sa fin et enfin Athéna m’apparut alors que j’abordais les premières pentes de la demeure des dieux.

ATHENA

«Humain des étoiles et des rêves, tu es un homme sage qui sait partager son savoir, son amour, ses connaissances, ses désirs et ses plaisirs et tu sais apprendre.
Homme sage je me donne donc à toi sans crainte.

Elle s’étendit sur une litière de fougères, de mousse et de pétales de fleurs aux parfums odoriférants.

Elle m’appela en elle.

«Viens en moi…

Elle était nue offerte, les jambes légèrement ouvertes. Sa poitrine généreuse aux courbures harmonieuses offrait ses mamelons durcis par un plaisir montant en elle. Sa bouche était entrouverte, sa respiration était calme, son corps resplendissait, ses hanches étaient larges, ses cuisses gracieuses. Son pubis était fait d’un duvet d’or. Ses fesses rebondies étaient fermes et désirables.

Je ne pus m’empêcher de penser au corps Héra , sa sœur.

Athéna avait la peau douce et je ne pouvais m’arrêter de parcourir son corps de mes doigts de mes lèvres. Elle gémissait doucement, délicatement mes doigts j’ouvris la porte de sa caverne d’amour, m’attardant sur son bourgeons durci par le plaisir. Elle se cambra et de ses mains douces elle prit l’objet de mon désir et le conduisit à l’entrée et sans force je pénétrais en elle. Nos bouches se cherchèrent, se trouvèrent, nos langues se mêlèrent alors qu’imperceptiblement, je commençais à aller et venir dans sa matrice.

Sentant en elle monter une onde d’amour charnelle, je cessais alors mes mouvements, restant au plus profond de son corps.

Elle sera son vagin divin, emprisonnant ma verge. Je sentis la douceur des ses doigts me caressant le corps.

Nos bouches refusaient de se séparer même si nous devions en perdre le souffle.
Enfin détachant nos lèvres, elle chuchota ……

Enfante-moi Etranger. L’orgasme qu’elle eut lorsqu’elle sentit le jet chaud inondant sa matrice, fût d’une douceur indicible et d’une puissance énorme.

Nos corps toujours en fusion, toujours unis roulèrent sur ce lit végétal, elle me serait contre moi, mes mains s’égaraient dans sa chevelure divine.
Notre étreinte dura aussi longtemps que le voyage que j’avais déjà accompli.

A chacune de nos étreintes son visage prenait l’image de toutes celles que j’avais aimé, Déesses, Reines, Princesses, Prêtresses, Magiciennes, bergères, mères, filles, épouses ou esclave.

Je quittais ainsi l’Olympe reprenant ma nef spatio-temporelle achevant ainsi ce voyage onirique, initiatique et érotique

EPILOGUE

Mais je ne pouvais me résoudre à quitter cet onirique univers, ma nef se rematérialisa nef au-dessus de l’île de Circé, se positionnant à la verticale de son palais.

En bas ce n’était que panique, seule Circé restait calme. Depuis mon pupitre de commande je tapais en grec ce mot qui apparut sur ma coque

Όδύσσεια

Puis m’équipant de ma ceinture anti-grav, je descendais vars la terrasse qui surplombait la mer. Je me tenais juste face à la magicienne dont la beauté rayonnait.

Dans ses yeux rougis, je percevais les flots de la mer Egée et des larmes perlaient comme autant de gouttelettes de rosée .

Je lui dit alors

Θέλετε να είμαι ο Οδυσσέας σας

Thélete na eímai o Odysséas sas (Veux-tu que je sois ton Ulysse)
Ναι, το θέλω

Nai, to thélo (Oui je le veux)

Λοιπόν, έλα, φύγουμε …

Loipón, éla, fýgoume .(Alors viens nous partons)

C’est ainsi que Circé me rejoignit dans mon vaisseau.

Elle est là endormie à mes cotés si belle, si sensuelle. Je finis de rédiger cette histoire, et nous parcourons les univers.

Nous sommes revenus dans ce monde, mais tout était devenu que chaos, les mortels ne croyaient plus aux dieux.
Nous nous matérialisèrent au milieu de l’Olympe.

Zeus était là , ils étaient tous là .

« Noble et puissant Etranger, Noble Circé aidez-nous !!! les mortels vont bientôt abattre nos murailles, nous allons disparaître…

En aparté, je dis quelques mots à ma douce Circé lui laissant quelques consignes et je repartais.

Je ne fus pas long, et le lendemain ma nef se rematérialisa suivie d’une multitude de vaisseaux.

Ainsi disparut à jamais l’Olympe, dieux, déesses, demi-dieux, muses, reines, magiciennes et fées quittèrent à jamais cette terre pour parcourir les étoiles et les constellations.

Circé et moi partîmes les derniers et alors que nous nous éloignons de cette petite planète bleue, Circé me dit l’air outrée.

« Tu ne sais pas la meilleure, Héra, Artémis, Athéna, et Aphrodite, voulaient embarquer avec nous pour que tu t’occupes d’elles. Elles manquent pas d’air les donzelles !!!

« Rassures-toi mon amour de Circé, c 'est toi et toi seule pour l’éternité jusqu’à ce que le mortel que je suis disparaisse »

Elle se rapprocha de moi, m’embrassant avec passion.

« Mon Étranger, n’as tu donc pas compris, nous t’avons toutes et tous donné l’immortalité , viens me faire l’amour »

FIN

La chute de Mu ou les voyage de Shana et Aerandil

Livre I

L’Histoire dit-on est un éternel recommencement, une suite de cycles qui à l’infini se répètent.

Quand l’Hyperborée Origine eut disparu précipitant dans les entrailles de la terre, l’Empire de Mu, le royaume de l’Atlantide , la Lémurie. Seuls quelques survivants fuir vers un continent nouvellement apparu loin vers l’ouest. Ces hommes, ces femmes surtout des scientifiques, des techniciens et quelques soldats de rares agriculteurs et pêcheurs recréèrent la nouvelle MU.

Des siècles plus tard , MU enfanta à nouveau la terre et de ses rivages arrivèrent des hommes et des femmes qui peuplèrent Mayax,Uighur et ce qui deviendra la nouvelle Atlantis.

Le Re Mu règne sur le monde ou plutôt régna jusqu’au jour ou les hommes d’Atlantis reprenant le travers décidèrent de se mêler de sciences interdite, tombant sous la coupe de l’Ombre… ou s’y plaçant volontairement.

Un homme s’érigea en roi de l’Atlantide et dieu vivant : Badarus et prit pour épouse une prêtresse de l’Ombre : Amnis . Ils régnaient sans partage avec leur démoniaque progéniture ; les pervers Kuros et Skaft et leurs sœurs Démosia et Heshar toutes aussi perverses que leurs frères.

Animé d’une grande force et d’une grande volonté de puissance,le peuple atlante se détourna du chemin de la vie et s’attaque au mur séparant l’Ombre de la Lumière. Ce mur était gardé et protégé par la Flamme afin de préserver l’homme de tout ce qui rampe dans l’obscurité extérieure.
Les maîtres d’Atlantis s’abreuvèrent de pouvoir comme les bergers des collines s’abreuvent de rêves étranges dans leurs élixirs.

Badarus finalement refusa de se rendre dans l’allée des Cents Rois pour rendre hommage au Re Mu, préférant n’obéir qu’à sa propre loi. Ainsi commença le règne de Bal Al, le père du mal, de la haine, de l’envie, et de toutes ces pensées et désirs qui font tant de mal à l’homme . Ce mal destructeur fit des ravages dans toutes les classes de la société atlante et seuls les fils de MU, les fils du Soleil restèrent fidèle à la flamme

Cela fait quelques siècles que mes ancêtres Thuringwenthil et Asbjorn avaient quitté cette terre et me voilà à nouveau au-dessus de cette petite planète bleue. La morphologie de la Terre a bien changé, à ce que je peux comparer dans les archives de na nef. Le continent originel a disparu pour s’éparpiller en plusieurs sous-continent.

Je m’appelle Shana, comme mes frères et mes sœurs, je parcoure l’univers toujours à la recherches de nouvelles planètes de nouvelles races de nouveaux peuples, de nouvelles expériences .

La nature et l’ADN de mes ancêtres mon offert tous les atours d’une belle femme, c’est ce que me disent mes amants et maîtresses. Oui j’aime autant l’amour avec une femme qu’avec un homme.

Le viens de sortir de mon sarcophage de cryogénisation, le voyage fut long, mais dépourvu de rêves. Malgré le goût insipide de nos liqueurs régénératrices, je me décide d’en avaler de grandes quantités avant de visiter ce nouveau monde. Je règle le pilotage automatique, pour effectuer quelques repérages, et m’étends sur mon lit anti-gravité, j’ai envie de rêver à ma dernière étreinte.

Cela faisait déjà des mois, lors du retour du futur de mon sacripant frère avec sa compagne Circé.

Hummm quelle était belle d’ailleurs cette Magicienne, j’en aurai bien fait mon quatre heures. Mais mon frère me faisant les gros yeux, tout un gardant son sourire qui en disait bien long, me dit:

« Shana çà suffit, accomplit d’abord ta prochaine mission et je vous laisserai entre filles, Circé est au fait de tes envies et est très impatiente de partager bien des choses avec toi…et pas que ma nouvelle immortalité.

Le banquet avait duré fort tard. j’étais lasse. Regagnant mes appartements, je retirai la combinaison de soie , libérant ainsi mon corps à sa nudité.
Je suis une femme libre, on me dit guerrière, amante passionnée et sensuelle. J’ai toujours refusé de m’unir dans un mariage stérile. Je ne vis que pour faire vivre l’héritage de nos ancêtres.

Seule dans mes appartements du Palais de la nouvelle Hyperborée, il est venu me rejoindre, mon amant du moment, un voyageur de l’espace et du temps comme nous tous ici…

Je regardais Sa peau bronzée, telle de l’airain, Ses cuisses longues et musclées, son torse fier et puissant. Il était la nu devant moi

Je regardais ce sexe qui m’attendait, ce sexe qui m’ échauffait le sang m’ échauffait l’esprit etme faisait ressentir plus qu’un grésillement au fond du ventre.
Comme un feu qui couvait et demandait à prendre vie. Ses mains ont caressé ma peau, mon épaule J’aime quand il me frôle du bout des doigts, légèrement, faisant plein de petits allers-retours sur ma peau si réceptive, pour m’envelopper d’une chair de poule, en petits frissons qui passaient sur tout mon corps.
Mes mamelons étaient tout pointés, du bout de son ongle, il contourna mon aréole du sein droit.

Frémir, ressentir ses doigts courir sur ma poitrine qui avait envie d’être tétée, aspirée, gobée, malaxée. Oui gonfler sous la pression de ses paumes. Être pleine d’envie d’aspiration. Continuant son chemin, descendre vers mon ventre ; ce qu’il était chaud et doux, moelleux et souple.
Je me plaisais d’être femme demandant d’être baisée. D’ être femme réclamant à faire l’amour… Dans ma tête résonnait la voix de cet amant d’une nuit qui me parlait .

Son sexe tendu, son sexe qui pointait vers mon ventre, son sexe qui était dur comme un pieu, comme un bout de bois, dur tel un sabre pour glisser dans ma chair. Au son, au rythme de ses mots, son bassin tanguait pour faire monter le désir un peu plus près de la sortie. Oui ce brasier au fond de mon vagin, il arrivait à l’amener sans qu’elle le touche, aux portes de ses lèvres. Lèvres, qu’elle effleura à peine, déjà recouvertes d’un filet juteux.
L’humidité suintait sous l’émoi, sous l’envie d’être prise.

Je n’était plus que soupirs et lamentations. Douce torture pour mon corps en attente. Enfin elle l’autorisa à franchir la frontière du lâcher prise.
Inexorablement le plaisir se déversa doucement, au frôlement de mon clitoris, petit mais si sensible. Je me concentrais complètement sur la montée douce de sensations grisantes. Son sexe glissa dans mon intérieur, verge tendue pour moi seule.

Le plaisir que je ressentis remonta derrière mes cuisses, s’insinua entre mes fesses, glissa vers mon dos. Mon souffle se fit court, Ma respiration s’accéléra, J’avais chaud, très chaud, entre mes seins coulait sa sueur. Il ralentit ses mouvements ne pas s’envoler dans l’orgasme.
Plusieurs fois comme ça il joua à arriver à ne pas franchir la limite où le chavirement devient trop impérieux. Pourtant à un moment, même si je souhaitais encore le retenir, retarder la délivrance, sa main s’agitait implacable sur mon bouton rose en feu, gorgé d’espoir. Et alors une onde de jouissance déferla de partout dans mon être.

L’orgasme se déclencha en spasmes, vibrations, ondulations, en passant du bout de mes ongles, à mes doigts écartés, de ma nuque, jusqu’à ses cheveux. Comme une vague énorme emportant tout sur son passage ! Je laissais ses râles sortir de sa gorge et mes cris les accompagner.
J’en redemandais et encore ma jouissance plusieurs fois éclata . J’ étais dans un état de flottement complet. Mon cœur battait prêt à se rompre. L’ivresse du moment, vertiges et abandon. Oui ! Jouir, jouir, jouir… totalement…

Mais je suis Shana, et mes instinct reprirent le dessus, chassant purement et assez sèchement mon amant du moment .

Doucement je revins à la vie, lentement tout s’apaisa. Je fermais les yeux, heureuse et me rendormit .

Au spatiodrome mon frère était là accompagné de Circé.

« Alors petite Soeur, la nuit a été agréable ? Pas trop fatiguée pour partir en mission ?. En tout cas on a bien aimé ta façon de préparer ton voyage Circé et moi…

« Coquin de frérot, toi tu n’en manques pas une…

« Sois prudente petite Soeur »

« Oui grand frère, il me tarde de savoir ce qui s’est vraiment passé avant la création de l’Olympe »

Circé s’approcha de moi, déposant une baiser sur ma joue et me chuchota …

« Charmante Shana reviens vite, j’ai bien envie de partager entre fille une de tes nuits ,et je jouerai de ma magie… »

Mon frère riait.

« A vous les filles !!!

Le klaxonne d’alerte me fait revenir des rêves à la réalité. Au dessous de moi il semble que des hommes en armes en poursuivent un autre.
Je devine ce qu’on appelait jadis une trirème fracassée sur les rochers, des corps çà et là échoués sur le plage et flottant parmi les vagues.
Autours deux bateaux identiques, aux voiles noires.

Le fuyard semble leste, on le devine forgé à la course, au combat. Son rythme est soutenu, il semble survoler le sol dans sa course. Il tient à distance ses trois poursuivants. J’observe, sans matérialiser ma nef dans le continuum réel. Le fuyard s’essouffle, perd son avance, il est encerclé, je perçois les rires démoniaques des assaillants. Le fuyard fait face, et bravant les directives ( ce que d’ailleurs fait allègrement mon frère lors de ses voyages), je vaporise directe les trois agresseurs et téléporte dans ma nef leur victime.

Ce guerrier certes décontenancé, fait face, le glaive en main ferme tout comme son bouclier en orichalque . Il porte un casque à longue crinière, masquant son visage . Je ne devine que ses yeux noirs. Ses cuisses sont musclées, mais pas trop, de longues jambes équipée de cnémides du même métal que le bouclier. Des bras musclés mais finement sculptés.

Mes instincts premiers se réveillent à nouveau

« Hummmm quel bel amant que voilà…j’en ferai bien mon quatre heures »

Oui …. on me l’a souvent dit depuis toute petite …Shana tu es trop gourmande.

L’homme retire son casque…
D’un mouvement de tête, il libère sa longue chevelure…

Pour la première fois je me sens désarçonnée car d’homme, est une femme qui se tient devant moi ……

( à suivre)

Livre II

J’avais devant moi une fière guerrière au cheveux aussi noirs que j’étais rousse

Elle resta campée solidement sur ses pieds, loin d’être impressionnée par les prodiges qui l’avaient soustrait à ses poursuivants,elle m’observait avec attention. Ses grands yeux noirs semblaient me déshabiller.

Mais je m’apercevais alors que dans la précipitation qui avait précédé mon intervention, j’étais encore nue.

Je me surpris à rougir, ce qui est loin d’être mon habitude . Je cherchais du regard dans la salle de contrôle de quoi me revêtir, mais au diable, je restais nue me campant devant la nouvelle venue à mon bord comme pour la .

Nous restâmes silencieuses se jaugeant comme deux lionnes prêtes à se battre pour un jeune lion.

Le guerrière était d’un âge mur, d’une indéniable beauté, une sensualité féline se dégageait de son corps.

J’avois que je commençais à ressentir de la chaleur dans mon ventre, entre mes cuisses je sentais une chaude humidité et le pointe de mes seins se durcissaient.

Je perdais le contrôle.

La guerrière l’avait remarqué, et je vis de l’envie dans son regard, ses lèvres s’entrouvrirent légèrement , elle lissa glisser sa langue entre.

Elle commença par détacher sa cuirasse, laissant apparaître une tunique noir faite d’un tissu presque identique à ma combinaison de vol.

Je découvrais ainsi ses formes, ses seins lourds, puissants arrogants.

Elle avait des hanches prononcées, aux galbes harmonieux, des fesses fermes musclées, des cuisses sculptées par de longues courses, des mollets tout aussi sculpté ;

Si elle n’avait pas été aussi brune, j’aurai pensé qu’elle était la belle Artémis, mais je compris qu’elle était la reine des Amazones.

Tout en continuant à me dévorer carrément des yeux, elle laissa glisser sa tunique m’offrant sa nudité mature à mes yeux.

Sur son corps, perlaient encore de petites gouttes de sueur et d’eau de mer , résultants de son naufrage et de la course qui avait suivi pour échapper aux séides de Baratus comme devant me l’apprendre la belle amazone.

Nous étions nues face à face, le désir entre nous était palpable. Mais mes réflexes reprirent le dessus. Prenant deux psycho-traducteurs, je montrais à la guerrière en m’en coiffant comment s’en servir, elle fit de même sans appréhension.

Nos mains s’effleurèrent provoquant une onde de chaleur et de désirs partagée dans nos corps.

« Je m’appelle Shana, je viens de très loin, j’espère que je n’ai point fait peur avec mes prodiges.

« Je n’ai point peur bien jolie Shana, et je sais que ce ne sont point des prodiges, mais de la science des anciens et tu ressemble tant à notre déesse mère Thuringwenthil»

Je restais silencieuse, moi la si bavarde comme se plaît à me taquiner mon frère. Elle poursuivit.

« Je suis Lysippé, fille du Soleil, Gardienne de la Lumière, Reine des guerrières que tu nommes Amazones. Je te remercie de m’avoir sauvé. Je suis la dernière de mes sœurs. Nous avons quitté Atlantis et sa capitale aux cinq enceintes pour prévenir Re Mu de la dernière folie de Badarus. Sans ton intervention je ne sais pas ce qu’il adviendrait de MU »

Le psycho-traducteur a cette particularité qu’en plus de traduire instantanément les différentes langues et dialectes, il fait partager les pensées les plus profondes des deux interlocuteurs.

Et nos pensées fusionnèrent.

« Shana j’ai envie de toi, faisons l’amour, je te veux – Lysippé, je te désir aussi, viens allons sous la douche sonique, suis moi »

Lysippé s’approche et m’enserre et me décoche un baiser langoureux et me plaque contre le mur de la douche. S’ensuivent de très longs baisers d’une tendresse infinie, la découverte l’une de l’autre. Nous nous savourons lentement, très lentement, nos lèvres scellées, nos mains explorant doucement nos corps. Sans séparer nos bouches affamées.

Poitrine contre poitrine, Lysippé m’ attrape Amandine par la taille, et ainsi, enchaînées de nos bras, nous nous dirigeons vers le centre de la pièce vers le matelas gravitique qui y trône. Comme si elle connaissait déjà le vaisseau , elle me fait basculer sur la couche suspendue dans l’air s’allonge sur moi. Lysippé déverse alors sur moi un flot de baisers et de caresses que seule notre passion naissante parviendra à endiguer. De baisers sulfureux en caresses torrides, nous nous transportons au plus haut du plaisir. Les mains de Lysippé, devenues incontrôlables s’attardent sur mon corps avant de venir explorer savamment l ‘intérieur de mes cuisses. Le plaisir ayant pris le pas à la patience, je fais pivoter sur le coté Lysippé avant d’investir son intimité d’un doigt expert, bientôt suivi d’un second. Le va et vient devient rapide et intense. La fille du soleil, paupières closes et bouche entrouverte s’abandonne à cet assaut rapide et inattendu. Jambes largement ouvertes et fléchies, elle me laisse prendre les rênes de notre joute amoureuse. Des joues en feu, des perles de sueur qui roulent, des hanches qui ondulent, les gémissements progressivement se transforment en râles avant d’exploser en un cri de jouissance intense. Lysippé se cabre, se tend, puis se relâche dans une sérénité et une béatitude profonde avant de me rendre la monnaie de sa pièce.

Soudain, avant qu’elle n’ait terminé de savourer sa pensée, Lysippé se redresse et je sens une main agripper mes deux poignets et les maintenir au dessus de ma tête, puis, un corps se coller au mien avant de me retrouver épinglée contre la paroi translucide de la douche sonique . Savourant le délice de ce piège, je tend vers la Reine des lèvres assoiffés de baisers que cette dernière, malicieusement refuse de me donner, esquivant adroitement et à maintes reprises les assauts de ma bouche avide. Ma geôlière me maintenant de ses bras dépose alors dans mon cou un baiser brûlant qu’elle laisse perdurer le long de ma jugulaire où elle sent les battements de mon cœur s’accélérer. Puis, Lysippé laisse descendre ses lèvres et de sa langue trace un sillon humide jusqu’à la vallée de mes seins après m’avoir libéré les bras , pour la première fois je suisn déjà ivre de plaisir.

Lentement, sûrement, l’un après l’autre, ses lèvres honorent mes deux aussi lourds que les siens. D’un mouvent assuré, elle les embrasse, les lèche et les titille de la pointe de sa langue, en fait le tour, les énerve à nouveau avant de les déguster tels des fruits savoureux dont on se délecte avec un plaisir intense. Loin d’être mon habitude je me laisse entraîner dans ce tourbillon de sensation et émet un petit gémissement alors que la bouche de l’amazone s’attarde à présent sur mon ventre dont elle honore le nombril dans une lenteur extrême. En elles, les sens s’affolent, des papillons tourbillonnent dans leurs ventres, une chaleur les submergent.

Lysippé s’agenouille ensuite et vient du bout de ses lèvres embrasser à nouveau mon ventre, puis mon pubis avant d’en explorer de sa langue la fente trempée. D’un mouvement savant et calculé, elle joue sur les chairs chaudes et humides avant de s’immiscer entre et de venir énerver mon bouton de rose.

« hmmmmm Shana, tu es divine…Tu as si bon goût ».

Quelques instants plus tard, elle m’abandonne au bord de l’explosion, me laissant en proie à une impatience grandissante et une frustration calculée.

La gardiene remonte lentement le long de mon corps qu’elle semble chérir plus que tout puis revient prendre ma bouche de la sienne alors que de deux doigts, elle pénètre mon intimité. Me maintenant prisonnière avec son propre corps, elle va et vient en moi, lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus profondément.

Nos bouches se dévorent, laissent échapper des gémissements, se dévorent à nouveau avant qu’une puissante lame de fond ne vienne me submerger . Reposant chacune sur l’épaule de l’autre, bouche contre cou, l’eau déferlant sur nos peaux exquise, nous savourons, collées l’une à l’autre ce moment de plénitude. Reprenant nos souffle, yeux fermés, nous laissons courir nos bouches le long de nos cous graciles.

Nous quittons le lieux de nos premiers ébats, nues et traversons ma nef main dans la main. Je commande par la pensée l’ouverture d’une nouvelle salle, j’invite Lysippé à s’asseoir au bord d’un lit à baldaquin, ( encore une des mes excentricités dit mon frérot) et je dépose un tendre baiser sur ses lèvres et disparaît quelques instants avant de revenir, tenant dans sa main la bouteille de l’elixir du plaisir que Circé m’a offert avant de partir.

Lysippé s’en saisit, l’offre et pose ses lèvres délicates sur le goulot avant de pencher la tête en arrière et de savourer le délicieux en son délicat palais.

« Oh le nectar des dieux, Shana tu es donc une Magicienne, j’ai toujours rêvé de faire l’amour avec une Magicienne «

Elle me tend ensuite la bouteille et j’en fait tout autant mais non sans laisser couler le breuvage à la commissure des mes lèvres dont Lysippé, du bout de sa langue vient déguster la saveur particulière.

Puis elle prend la bouteille, prend du liquide dans sa bouche avant de la reposer sur la table de chevet et de s’allonger sur moi. Ensuite, elle dépose, goutte à goutte le breuvage dans mon cou, laissant glisser un mince filet sur ma peau satinée, puis dans la vallée de mes seins et mon ventre délicieusement musclé. Elle se met alors à laper le précieux nectar, en remontant, lentement, très lentement, m’arrachant des frissons de plaisir. La fille du soleil se saisit à nouveau de la bouteille et déverse quelques gouttes sur ma bouche avant de venir me délivrer un baiser magistral au goût divin de nectar alors que de sa main disponible, elle parcourt sans fin mon corps de caresses de braise, là une épaule, là, une hanche, là encore, le galbe d’une cuisse. Elle attrape à nouveau la bouteille qui finit par s’écouler lentement sur ma fente déjà humide et ouverte aux plaisirs qui s’annoncent. La langue de Lysippé s’affaire sur mon sexe offert, lapant le liquide doré jusqu’à la moindre goutte, m’amenant au bout d’un orgasme sans fin.

Nous ne sommes toujours pas rassasiées et quelques petites minutes plus tard, alors que Lysippé est allongée à reprendre son souffle, je m’’éclipse quelques secondes vers le synthétiseur et reviens, avec entre mes lèvres pulpeuses, ce qui ressemble à une confiserie rouge, une faiblesse depuis ma petite enfance, un fruit que l’on nommait fraise dans une autre Terre

Lysippé est téméraire, elle s’assied alors, en prenant appui sur ses coudes alors que je viens l’embrasser en maintenant fermement la fraise afin qu’elle ne puisse la lui subtiliser. Lysippé se met alors à la déguster par de subtils jeux de langue, étalant sur nos bouches respectives le suc sucré de la friandise mélangé à notre propre salive. Ce jeu dure un bon moment, faisant monter à nouveau la pression entre nous. Fraise après fraise, les langues se font plus gourmandes et plus entreprenantes, les mains plus osées et fouineuses. Des lèvres au goût de fraise s’attardent sur nos tétons durcis et fiers…Nous y prenons un plaisir indescriptible, et finissons par réaliser à quel point ce petit jeu nous excite lorsque nous sentons dans nos bas ventre les symptômes de l’excitation. Je me saisis donc d’un autre bonbon et vient le passer entre les cuisses de la belle et mature guerrière, avant de le porter langoureusement à ma bouche et de la savourer.

Je susurre à l’oreille de mon amante !

« Voyons quel goût ce petit bijou sucré a laissé sur toi Lysippé »

Joignant le geste à la parole, je me laisse glisser sur le corps de ma maîtresse en y disséminant des dizaines de baisers enflammés avant de stopper sur l’antre du plaisir, déjà gonflé à souhait et entièrement détrempé. La tête bien calée entre les cuisses de Lysippé, je me mets à embrasser son sexe avant de le lécher sans modération, passant de son bouton de rose à l’entrée de son intimité, que je parcours ensuite en sens inverse de ma langue besogneuse. Ma langue tourne, vire, lèche, mes lèvres aspirent et relâchent, la langue reprend sa tâche. L’amazone se trémousse et vient placer sa tête entre mes cuisses et me rendre mes caresses. Ainsi tête bêche, nous nous goûtons sans tabou et sans détour. Dans la salle immense, les gémissements se transforment en râles. Au même instant, nous crions notre plaisir, laissant gicler nos bouches, le suc de notre jouissance.

« Dis Lysippé, tu n’as pas faim toi ?

« Oh oui Shana j’ai faim, de nourriture solide mais j’ai encore faim de toi »

Nous engloutissons en moins de temps qu’il ne faut pour le dire le repas que j’ai programmé au synthé du bord.

Dans un élan de complicité, nous nous donnons sensuellement amoureusement l’a becquée, nous nous désaltérons , alternant baisers, boisson, caresses et aliments avant de s’endormir, rassasiées de nourriture et de volupté.

Après s’être assoupies deux petites heures, Lysippé s’éveille, Je lui tourne le dos, elle e se colle à mon corps qu’elle a encore envie d’aimer avant d’embrasser ma nuque et de remonter insensiblement jusqu’au lobe de mon oreille qu’elle se met à mordiller. Sensible à cette caresse, je me réveille à mon tour et me retourne vers la Reine qui se place à califourchon sur moi avant de venir m’embrasser.Au dernier moment, J’évite les lèvres qui s’approchent pour dévorer les miennes et ce, à plusieurs reprises. Devenant un petit jeu de force terriblement excitant, la guerrière se dirige directement entre mes cuisses .

« Puisque je peux pas avoir celles du haut…je n’ai plus qu’un seul recours… » mais, encore une fois, je la coupe court dans ses élans, l’attrapant tendrement par sa tignasse noire.

Ce n’est pas pour déplaire à cette improbable amante. Elle remonte lentement le long de mon corps et tente à nouveau de m’embrasser. Je l’ évite à nouveau, ce qui a pour effet de faire monter la pression d’un cran et le jeu anodin, devient torride. Lysippé plante alors ses dents sur mes épaules et se met à les mordiller savamment m’arrachant un gémissement qui provoque chez elle une sensation à la fois excitante et électrique, un tsunami qui lui traverse le corps de part en part. Pensant que cette fois-ci, elle parviendra à ses fins, la gardienne de la Flamme tente à nouveau de goûter mes lèvres je l’élude de encore. Me fixant droit dans les yeux, elle me dit :

« Tu es une bien farouche guerrière, toi aussi et j’aime çà »

Lysippé place donc son bassin entre mes cuisses de façon à sentir nos pubis se frôler, puis entame un léger frottement de bassin.

Sa bouche investit alors mon cou d qu’elle se met à aspirer dans un bruit de succion exquis. L’excitation grandissant, plus Lysippé devient entreprenante, entraînant chez moi et elle même un tel état d’ extase que nous entrons en transe. La brune guerrière accentue la cadence de ses reins avant de tenter une nouvelle approche sur mes lèvres qui l’évitent à nouveau adroitement avant d’aller finir leur course dans mon cou et de le savourer sauvagement.

Des gémissements se font alors entendre. La danse de nos corps s’accélère, l’ excitation est à son comble. C’est alors que dans un souffle, j’ ordonne à Lysippé un ordre qui la pousse au-delà encore. Elle n’attendait que çà

« Prends moi » lui dis-je .

Le Reine immisce alors entre nos sexes sa main et de trois doigts pénètre mon intimité. Je jouis très vite et intensément que j’entraîne aussi vite dans ce tourbillon de plaisir Lysippé que je fais basculer doucement sur le sol avant de lui rendre caresse pour caresse toute la douceur et le plaisir qu’elle vient de me procurer….

Ivres de plaisir mais encore assoiffées, nous entrecroisons nos jambes se plaçant sexe contre sexe. Face à face, prenant appui sur nos coudes, nous entamons une danse érotique, frottant nos boutons de rose jusqu’à l’explosion finale.

Nous restons là enlacées, exsangues, enfin rassasiées

Lysippé se redressant me dit alors

« Rassures moi Shana, tu aimes aussi les hommes, car tu sais j’aime aussi sentir un sexe puissant de me prendre »

Je lui souris

« Oh oui j’aime aussi les hommes…

Lysippé regarda sur la table de nuit un holo-cadre.

« Qui est ce magnifique couple »

« Oh c’est mon frère et sa compagne une magicienne Circé qu’il a rencontré dans le futur ».

« Hummm j’aimerai bien recevoir les assauts de ton frère, je ressens en lui puissance et sensualité »

« Si tu viens avec moi sur la nouvelle Hyperborée, tu t’en occuperas car je veux connaître l’extase avec sa compagne .

« Soit Shana, mais j’ai aussi envie de découvrir cette Circé »

« Lysippé tu es aussi insatiable que moi, je pense que nous nous amuserons bien toutes les trois. Mais pour l’instant toi et moi chacune avons un mission »

(à suivre)

Livre III

En des temps avant les Ages , les fondateurs , des visiteurs venus du fond de l’univers étaient venus sur Terre O(rigne).

Quand ils repartirent certains décidèrent de rester, mais comme dans toutes humanités , telle Babel, ils s’étaient séparés.
Hyperborée la Grande, l’insouciante tenta de garder en elle, l’héritage des Ancêtres, mais celui ci se dilua et seuls quelques hommes et femmes gardèrent la Flamme jusqu’à ce que le feu purificateur frappe la vanité des hommes et engloutissent à jamais Hyperborée et ses royaumes rivaux.

Après la première destruction Thuringwenthil et Asbjorn enfantèrent une nouvelle lignée dans les étoiles Les femmes et les hommes dévirent des « temponautes » avec pour mission de surveiller les mondes et tant faire ce peut leur éviter la destruction ou tout au moins sauver ceux qui pouvaient l’être.

Ce fut le temps des Explorateurs
**********

Mon frère Aerandir (le Vagabond des mers) et moi même parcourions ainsi le temps et l’espace. Mon frère suite à son dernier voyage avait convaincu notre conseil scientifique d’assurer le sauvetage des derniers habitants de l’Olympe . Il avait d’ailleurs pris pour compagne une magicienne Circé qui ne me laissait pas insensible d’ailleurs.

Comment ces hommes et ses femmes avaient ils pu conserver l’immortalité alors que nos ancêtre y avait partiellement renoncé.

Cela m’intriguait et lorsque mon frère revînt vers nous, je décidais de visiter ce monde pour savoir ce qu’il s’était passé après la Grande Destruction et avant l’Olympe

Lysippé m’observait au commande de la nef, je percevais ses pensées, elle se repassait notre étreinte, la chimie de son cerveau activée par les images de ses souvenirs, lui provoquait des sensations puissantes à la limite de l’orgasme qu’elle combattait.

Me concentrant sur mon pilotage j’avais bloqué l’accès à mon cerveau en égoïste que je suis. Moi aussi je la regardais avec envie, elle avait abandonné son équipement de combat, pour enfiler la même combinaison que je portais.

Cette armure de nanotissus, lui moulait son corps à merveille, et tel un homme, je la trouvais bandante. Je me disais que la rencontre avec mon frère allait être plus qu’explosive le connaissant. Et que j’étais impatiente de jouer avec Circé et elle.

Je devais me contrôler, car je sentais venir de l’humidité entre mes cuisses et les tétons devenaient durs.

Lysippé s’en aperçut me sourit mais ne dit rien.

Regardant vers l’Est, son regard noir devînt encore plus sombre car il y avait comme une ombre qui se profilait vers Atlantis.

Nous avions atteint la Cité du Soleil, la capitale du nouvel empire de Mu, cet empire avait tiré les leçons de son prédécesseur, tout n’était plus que sagesse, science et paix.

Je stabilisais mon vaisseau que se matérialisa à nouveau au-dessus du palais de Re Mu.

Aucune peur n’était perceptible parmi les gens du palais, preuve que l’héritage laissé par mes ancêtres dissimulé dans des capsules temporel avait été étudié.

Un homme portant le même type d’armure nous attendait.

C’était un homme dans la trentaine, puissamment musclé, sa peau était bronzée comme cuivrée. Il avait les yeux aussi noirs que Lysippé et des cheveux aussi long.

Avant qu’il nous adresse la parole la Fille du Ciel, me chuchota à l’oreille :

« Je sais que l’instant est grave, mais écoute, c 'est Xipe Totec le fils de Re Mu, chef de la garde des fils et filles du Soleil et accessoirement un excellent amant dès plus habile et endurant. Nous le partagerons ensemble, je vois qu’il n’est pas insensible à tes charmes et vu comme il me regarde, nous serons pas assez de deux pour calmer ce jeune lion… »

Décidément Lysippé était étonnante, et me disait j’en connais un qui va s’en souvenir, sacré Frérot ……

Lysippé me présenta au roi, fit le récit de son sauvetage, et annonçà au souverain les funestes desseins de Badarus le roi d’Atlantis.

Re Mu écouta en silence entouré de son conseil et se retira en déclarant :

« Mu va devoir à nouveau disparaître, mais nous avons appris les leçons laissées par tes ancêtres Shana, reposez vous et demain nous tiendrons conseil, avec toi mon fils et vous deux, mais Shana j’ai une faveur à te demander »

« Oui Re Mu tout ce que tu veux »

« J’ai besoin de l’aide de ton peuple »

« Oui tu l’auras ».

Derrière nous je sentais le regard du jeune fils du roi, et je percevais ses pensées…

Oh le gredin !!!, je me penchais vers Lysippé et lui dit :

« Je crois que cette nuit va être ardente, et tu vas avoir plus tôt que prévu la chance de voir mon frère »

Nous sortîmes de la grande salle, laissant le roi et son fils.

Malgré les circonstances terribles Lysippé ne put s’empêcher de sourire et me glisser.

« Tu es aussi insatiable que moi »

Et joignant le geste à la parole elle me plaqua contre le mur, me roulant carrément une pelle, plaquant une de ses jambes entre mes cuisses qui étaient aussi trempées à la pensée du trio prochain que du baisers fougueux de ma belle amazone.

Lysippé m’abandonna pour rejoindre ses dernières sœurs et moi je regagnais ma nef et entrée en communication avec la nef de mon frère.

Ce dernier apparut avec sa belle magicienne. Je lui fis comme à mon habitude le récit détaillé de ma mission, sans d’ailleurs rien omettre , comme lui aussi sait bien le faire.

« Shana comment veux tu qu’on se concentre avec Circé, la nuit va être explosive pour nous aussi. Bon j’appelle le conseil, pour notre part nous serons la demain.

Alors que j’allais couper la transmission, Circé me fit un petit signe.

« Shana, il me tarde de te retrouver, on a plein de choses à faire ensemble et avec Lysippé aussi»

Et elle coupa…

Eh bien des missions j’en ai fait mais là ……

Le soir était là, j’avais rejoint Lysippé à ses appartements du palais.

A peine arrivée elle se précipita carrément sur moi, elle ne portait pour tout vêtement un voile transparent couvrant se nudité. Tout en m’embrassant à pleine bouche en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle me dévêtit et nous basculâmes dans de doux coussins.

Nous nous adonnâmes à nos amours saphiques avec passions, tendresse et intensité, sans nous rappeler que nous avions invité le jeune prince.

Celui ci arriva en plein ébat, mais n’osa nous interrompre, il resta à nous observer …Combien de temps je ne sais. Mais assez longtemps pour qu’une transformation de son corps ne s’opère.

Quand nous nous aperçûmes de sa présence, il avait une main sous son pagne qui dissimulait à peine la grosseur de son glaise.

« Regarde Shana, n’est il pas beau notre fils du soleil, pardonnes nous de ne t’avoir pas attendu, allez viens nous rejoindre et enlève- moi ce foutu pagne »

Il s’exécuta libérant son désir de chair, tendu comme un étendard au vent, épais, puissant, et si joliment veiné.

Frissonnantes encore de tout le plaisir que nous venions de nous offrir mutuellement, nous nous retrouvâmes devant ce jeune lion, nous pourléchant nos lèvres comme deux lionnes prêtes à votre sur notre proie.

Le jeune prince sans un mot s’approcha de Lysippé qui était maintenant cambrée, la tête sur le rebord du dossier du lit , j’ai pris ses lèvres dans un long baiser pendant que la bouche, les doigts de l’homme s’appropriaient ses seins, malaxant tendrement les globes somptueux tout en agaçant leur pointe durcie de désir. Elle frémissait sans discontinuer, au point que j’ai cru un instant qu’elle allait jouir sous nos simples caresses.

Cela m’étonna d’elle, si mètre de ses envies à l’habitude.

Du coin de l’œil, je vis le jeune homme se laisser glisser à genoux entre les jambes de l’amazone , ses larges mains puissantes se posèrent sur les cuisses dénudées. Lysippé était maintenant totalement découverte, offerte à nos regards, nos caresses, nos baisers. Ce dont le jeune lion profita en ouvrant largement le compas des jambes fuselées pour déposer un long baiser sur la courte toison offerte à sa gourmandise. Lysippé poussa un petit cri lorsque la langue habile de notre amant commun se faufila dans ses chairs humides et brûlantes.

Lysippé était comme transfigurée, contre ses seins lourds je sentais les battements d’un cœur affolé. LEs yeux à demi révulsés, elle posa les mains sur mes seins, aux pointes déjà durcies par l’excitation. Elle plantait ses doigts dans ma chair au rythme des convulsions de son ventre délicieusement torturé par le jeune prince.

Brutalement, sa main se crispa, m’arrachant un petit cri de douleur alors qu’elle laissait échapper un feulement rauque.

Il savait y faire avec elle, il lui titillait la petite perle nacrée du bout de la langue, mais deux de ses doigts épais coulissaient maintenant dans la vulve humide faisant monter lentement le plaisir dans son ventre . Il fit passer les jambes de la gardienne sur ses épaules. Totalement ouverte et offerte par cette position, elle ouvrit les yeux. Son regard semblait me supplier de la caresser encore, de l’embrasser. J’ai retrouvé le parfum fruité de ses lèvres, nos langues se sont à nouveau mêlées… tandis que mes doigts torturaient délicatement ses seins. Tout son corps ondulait sous mes caresses et celles de l’homme qui avait replongé entre les cuisses de sa « victime ». Brusquement son corps se raidit, elle se souleva comme pour échapper à la bouche, aux doigts habiles de son agresseur, puis elle se détendit, se laissant doucement retomber soupirant longuement entre mes lèvres. Notre amant se redressa légèrement, les deux mains toujours plaquées dans l’entrejambe féminin.

Elle haletait spasmodiquement, les yeux totalement hagards, le souffle court. Je voyais son ventre se creuser, ses hanches ondoyer, ses seins se balancer sur son torse.

Elle poussa un véritable hurlement lorsque le plaisir la submergea. Elle s’effondra, disloquée comme un pantin au creux du canapé, haletante, tremblante. Pendant de longues minutes, nous l’avons couverte de douces caresses, apaisant le corps abandonné, savourant sa beauté, sa douceur. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour nous adresser un joli sourire et un regard brillant.

« Oh égoïste que tu es Lysippé, je suis sur ma faim !!!

« Et bien qu’attends tu Shana agis !!!

Je fixais la belle hampe masculine majestueusement dressée et je m’empressais de la caresser.Le fils du soleil était joliment doté, un ’énorme bourgeon surmontant une hampe épaisse, d’une longueur hors du commun. J’entourais le membre viril de ses doigts fins, ne parvenant pas à cerner le mât de chair. Ce sont mes deux mains qui ont débuté une caresse autour de la queue raide, lui arrachant un long soupir .

« Y a pas à dire ma belle, c’est une beauté…
« Je t’avais promis une surprise, ma chérie… Il ne te reste plus qu’à y goûter, à lui offrir tes lèvres, je suis sûre qu’il va aimer ! Et toi aussi…

Les deux mains agrippées au pieu tendu de désir, je fis encore quelques va-et-vient, découvrant le gland luisant, puis le recouvrant du prépuce pour le dénuder à nouveau.

J’approchais visage, pointant un petit bout de langue qui vint goûter la perle qui suintait du méat, puis mes lèvres s’ourlèrent délicatement, lentement autour de la grosse prune gorgée de sève.

Accroupie dans mon dos, Lysippé saisit mes seins, pinçant doucement leurs pointes érigées, glissait une main sur mon ventre, jusqu’à la fourche de mes cuisses pour caresser mon sexe humide et brûlant.

" Alors, ma chérie, tu aimes cette belle lance? Laisse-la s’enfoncer encore, prends-la autant que tu peux et caresses le, il adore ça !

Je ne lui répondis que par un grognement de satisfaction.

« Oui, comme ça… Je suis sûre qu’il va jouir ! Tu vas le boire jusqu’au bout, ma chérie… Tu le sens frémir, grossir encore… Il va venir !

Je laissais maintenant le piston de chair brûlante coulisser lentement entre mes lèvres, au rythme des légers coups de reins de ce nouvel amant. Lysippé nous contourna à genoux , elle laissait ses mains courir sur mes seins gonflés sur la javelot de cet merveilleux amant jusqu’ entre mes jambes, sur mon ventre pour agacer tendrement mon sexe humide.

Le prince soudainement se tendit en avant, tressaillit à trois reprises, inondant ma gorge me faisant presque m’étouffer et je déglutis, avalant la sève douceâtre . Il recula légèrement, échappant à mes lèvres pulpeuses. Mais son sexe n’avait pas faibli, toujours aussi majestueusement tendu.

Lysippé s’est relevée, tournée vers moi. Je l’ai à nouveau prise entre mes bras et nous avons échangé un long baiser. Doucement, nos lèvres toujours unies, elle me poussa vers le lit me retrouvant allongée, les jambes pendant dans le vide, cuisses écartées autour de mon bassin, lui offrant à elle et son prince , la charmante vision de mon sexe orné de petites perles humides.

Penchée sur moi , c’est du bout de la langue que mon amazone partit à nouveau à la découverte de mes trésors tandis que l’homme s’emparait à nouveau de mes seins. J’ondulai longuement sous leurs caresses qui m’ arrachèrent de nombreux frissons. Gémissante, je suppliai très vite que l’on mette fin à ce délicieux calvaire.

« Hummm… Encore ! Je veux jouir, Lysippé C’est trop bon !
« Tu vas jouir, Shana chérie ! Il va t’offrir tout ce dont tu peux rêver
!« Oh oui ! J’ai envie de tout ! Je suis toute à vous !

La gardienne de la Flamme se redressa, recula, abandonnant sa place à cet Apollon qui vint saisir mes hanches , m’attirant lentement vers lui jusqu ’à ce que son sexe toujours tendu vienne frôler le petit bouton nacré qui pointait à la commissure des mes lèvres m’arrachant à mon étonnement un nouveau petit cri. Les jambes de part et d’autre du bassin jeune homme , j’étais désormais écartelée, ouverte, impudique et offerte à ses assauts. D’une main Lysippé me releva légèrement la tête .:

« Regarde comme il est gros ! Tu vas le voir et le sentir te pénétrer lentement, il va te remplir, t’embrocher totalement, te faire crier de plaisir ! « C’est là que j’entendis enfin sa voix

« Oui, ma belle, Lysippé a raison, tu vas être toute pleine. Je vais te faire jouir comme une folle !

« Ohhhhhhhhhhhhhhhhh… Hummmmmmm…

Les yeux exorbités, la bouche ouverte, je semblais manquer d’air. Mon long gémissement accompagna jusqu’au bout la lente progression de l’énorme tige qui distendait, écartelait Mes chairs, comblait le moindre recoin de mon ventre en feu. Il continua toujours avec une lenteur affolante de s’enfoncer jusqu’à buter au fond de mon sexe .

Immobile maintenant, il contemplait mon corps frémissant, offert, tout en pétrissant tendrement mes seins orgueilleux dont les pointes durcies ressemblaient maintenant à de petites fraises rougies par le plaisir. Encore plus lentement, il se retira jusqu’à ce que seul l’énorme gland reste immergé dans mon ventre .

J’enserrai alors mes cuisses autour de ses hache et violemment je le ramenais en moi.

Ahhhhhhh ! Oui !

Mon hurlement fut comme un écho au puissant coup de reins de que je lui provoquai et qui se ficha brutalement au plus profond de moi . Débuta alors un extraordinaire ballet.

L’amazone ne détachait plus son regard de l’énorme tige qui coulissait lentement dans mon ventre offert. Elle avait l’impression de ressentir elle -même les va-et-vient de ce fabuleux amant au fond de moi.

De fines gouttes de sueur perlaient sur mon visage et je ne cessais plus de gémir, de me tordre sous l’assaut viril, semblant, en ondulant de tout son corps, quémander plus de plaisir, des pénétrations plus profondes, plus brutales. Encouragé par mes demandes et celle de ma belle amante il accéléra encore ses amples coups de reins, les mains crochetées sur mes hanches

La belle et mature guerrière se pencha à nouveau sur moi et saisit mes seins, mordilla mes lèvres… avant de plonger son regard dans le sien en murmurant :

« Maintenant, ma chérie, tu vas jouir ! Je veux voir le plaisir dans tes yeux il va exploser au fond de toi… Si tu voyais comme tu es belle !« Ohhhh, oui… Je sens que ça monte partout en moi ! Je suis toute pleine, il est fabuleux… Mon Dieu, c’est trop bon…

Fiché totalement au fond de moi , il se raidit, poussa un long grognement et inonda mon sexe bouillant de plusieurs longues salves qui me firent tressaillir m’ arrachèrent un dernier hurlement, le corps tétanisé par un fabuleux orgasme.

Il se retira du ventre brûlant, son sexe encore dressé, luisant du mélange de son plaisir et du mien .

Penchée au-dessus de mon corps alangui Lysippé offrit à sa bouche ma bouche ce splendide outil de plaisir encore humecté de nos sucs mêlés

Glissant doucement entre les lèvres de Lysippé , le prince retrouva rapidement toute sa superbe. C’est vraiment un phénomène, tant par la monstruosité de son sexe que par sa faculté à multiplier ses érections !

Elle le repoussa et ouvrant avec indécence ses cuisses, elle lui ordonna

« Maintenant baise-moi mon petit prince »

Sans préliminaires (elle n’en avait d’ailleurs pas besoin dans l’état d’excitation où elle se trouvait !), il vint jouer du bout de sa virilité contre ses lèvres humides, agaçant son clitoris en feu. Enfin, lentement, son énorme gland se fraya un chemin, écartant ses chairs avant de la pénétrer inexorablement, puissamment de toute sa longueur, lui arrachant un long gémissement de bonheur. La sensation d’être totalement comblée, pleine de ce monstre de chair et de sang ne lui ’était pas inconnue, mais ce fut à nouveau quasiment divin !

Abuté au plus profond de son ventre en feu, il s’immobilisa. Elle sentait palpiter sa virilité, grossir encore son gland si doux au creux de ses chairs et un orgasme fantastique monta doucement en elle. Toujours les mains sur ses hanches, je la dirigeais doucement en arrière, l’empalant sur le membre fiché en elle . J’amorçais ainsi un voluptueux va-et-vient de ses hanches sur le pieu viril.

Débuta alors la folle montée du plaisir dans tout son corps… Ma bouche s’empara d’un de ses seins, aspirant le téton avant de le mordiller. J’abandonnai ses hanches, prit son visage entre mes mains, lui offrit mes lèvres dans un long baiser avant de plonger mon regard dans le sien.

Je glissai une main le long de son ventre et vint dénicher du bout des doigts sa petite perle de chair que je me mis à agacer tendrement, déclenchant cette fois une énorme explosion de plaisir dans tout msn corps. La tige monstrueuse de notre amant ne cessait pas de buter au fond elle, son clitoris délicieusement martyrisé, elle poussa un long cri long cri.

« Ahhhhh… Ouiiiii !

Le prince à nouveau délivra son écume dans Lysippé.

Elle resta quelques minutes entre deux mondes, puis reprenant ses esprits, elle dit.

« Alors Shana comment le trouves tu ?

« Oh ma belle quelle divine verge et encore bien dure…

Alors que nous allions poursuivre nos ébats, une lugubre sirène d’alarme retentit.

Les armées d’Atlantis, soutenues par les forces du royaume d’Uighur approchaient.

Nos ardeurs refroidies, le Prince regagna le Palais, Lysippé ralia ses sœurs guerrières et moi ma nef.

C’est à ce moment qu’une nef de combat apparut. Je n’en avais encore jamais vu autrement que dans les textes Holo-archives de nos ancêtres.

L’écran de ma vision communication se déclencha et je reconnu Aerandir mon frère. Son visage était sombre mais s’éclaira en me voyant.

« Shana , ma petite sœur, je suis là, nous sommes là »

Derrière lui Circé était en communication avec des hommes et des femmes cuirassés d’or, ceux dont mon frère avait ramené de l’Olympe .

« Ma flotte reste en orbite pour l’instant, je me téléporte avec Circé, je dois voir Re Mu immédiatement, il en va de la survie de l’homme…

( à suivre)

Livre IV

Le temps à l’image de l’univers n’a pas de début, ni de fin. Oscillant entre contraction et expansion , il est un éternel recommencement.

Il se passa près de 50000 années, une goutte d’eau à l’échelle du temps, avant que les descendants survivants de la Première d Destruction atteignent un niveau équivalent de civilisation.

Dans l’occident lointain la vie a pu renaître de la semence laissée çà et là par les derniers descendants des Fondateurs. Ces hommes et ces femmes, les Fils et Filles du Soleil gardèrent la Flamme, sur un nouveau continent qui avait émergé du cataclysme originel

La Nouvelle Mu.

Ces hommes et ces femmes se répandirent à travers ce nouveau monde, dont Atlantis à l’Est . Était-ce la malédiction de l’ancienne Atlantide, mais les rois vassaux de Re Mu furent vite animé de désir de puissance et de conquêtes.

BADARUS

Badarus le Grand comme il se faisait appeler, Badarus le fourbe comme certain le qualifiait était le dernier de la lignée. Il avait voué sa vie , avili et soumis son peuple à la volonté de Ba-Al déjà sous le joug de l’Ombre.

A vingt ans ne supportant pas d’attendre le pouvoir, il ne rêvait que d’écarter son père et prendre sa place. Toujours en quête de ce pouvoir, le jour arriva bientôt.

Les Terres Arides du Nord

Il se disait que dans les terres inconnues du Nord, certains voyageurs du moins ceux qui avaient pu revenir, avaient rencontrés des créatures étranges, avaient vu des phénomènes inexplicable. Mais beaucoup ne les croyait pas, car ils étaient devenus fous et étaient ensuite mort dans d’atroces et indescriptibles souffrances.

Badarus s’intéressait à ces récits car il pensait y trouver source à son futur pouvoir, et il avait appris beaucoup auprès des grands prêtres de l’Ombre.

N’ayant confiance en personne, il partit seul un jour dans les terres arides du Nord pour savoir. Ces terres étaient une suite de déserts brûlants suivis de désert glacé. Aucune vie visible n’était perceptible. Par endroit le sol semblait carbonisé, en d’autres endroits il semblait vitrifié.

Un soir alors qu’il bivouaquait seul, il repéra encore plus au nord des lueurs pourpres, il pouvait percevoir, portait par le blizzard des sons comme un souffle de volcan, comme une forge gigantesque. Au petit matin, il reprit sa route vers le Nord. Après plusieurs jours de marche, il atteignit la base d’un plateau rocheux que la nature avait bizarrement sculpté.

Avisant un creux dans la roche, il s’y blottit attendant le jour pour l’escalader. Dans la nuit il fut pris de cauchemars dantesques, le réveillant en sursaut complètement en sueur.

Au dessus de lui, à quelques mètres du sol se tenait une silhouette, dont il distinguait mal les contours. Malgré sa témérité, il saisit la poignée de son glaive et se plaqua apeuré contre la paroi rocheuse.

La silhouette atteignit le sol et se matérialisa…

AMNIS

C’était une femme, très grande, plus grande que lui, elle avait le teint si pâle comme la mort. Ses yeux étaient inexpressifs, comme sans vie, mais le regard hypnotique.

Se plaçant entre le feu et Badarus, le simple voile de tissu vaporeux qui couvrait son corps, laissant transparaître des formes délicates, parfaitement proportionnées. Ses seins de porcelaine étaient délicats, ses cuisses fuselées, ses hanches à peine prononcées, et des fesses mises en valeur par la courbure parfaite de ses reins. Elle avait de longs cheveux blancs presque translucides , qui sous l’effet de la lumière diaphane de la lune avaient des reflets presque violets. Ses lèvres fines étaient de sang.

Badarus ressentit, une douleur d’une violence extrême dans son cerveau. La créature était en train de lui violer l’esprit, tout en le paralysant.

Par la seule pensée, il s’adressa à lui.

« Tu es bien téméraire humain de t’aventurer en ces terres, bien des hommes ont essayé, m’ont rencontré, aucun ne m’a résisté, beaucoup ont succombé et m’ont rassasié de leur énergie vitale »

Badarus la fixait sans pouvoir réagir, sans pouvoir élaborer une pensée, sans pouvoir parler.

Elle poursuivit

« J’ai bien laissé la vie sauve à certains qui m’avaient satisfaite, leur laissant pour souvenir que la folie, pour dissuader des gens comme toi. Mais je ressens en toi, la fourberie, le désir de puissance, la violence, l’envie, j’aime çà…

Elle laissa glisser le voile de sa tunique, offrant sa nudité à Badarus. Son regard vitreux se transforma en un regard de feu.

« Oh bel humain, tu n’as pas froid au yeux et il semble que je te fasse de l’effet »
Badarus était incapable de bouger, mais sous son pagne, son sexe se tendait lui provoquant autant de plaisir que de douleur.

Elle s’approcha, lui arracha complètement les vêtements, il était maintenant nu complètement immobilisé. Saisissant le sexe tendu de ses fines mains, elle l’évalua sa longueur,sa largeur soupesa ses bourses. Elle y mêlait douceur et douleur.

Badarus était au supplice

« Hummmm, imprudent étranger, je vais me régaler…

La créature éthérée se met à lui masturber le pénis. La main féminine tirait vers elle, puis poussait vers lui, le phallus entravé, lentement.

L’excitation masculine de Badarus faisait affluer le sang vers le corps spongieux et le gland, mais par sa seule pensée, elle restreignant le flux sanguin lui causant d’étranges sensations

Il se sentait excité, frustré mais aussi désemparé lui qui avait toujours eu non seulement le contrôle, mais qui ne consevait le sexe que par le viol et la soumission .

Par chance, s’il pouvait considérer cela comme une chance, il sentait sa verge grandir, il sentait sa verge s’allonger, parce que la circulation sanguine n’était pas totalement interrompue, sa verge grossissait et s’élargissait à vue d’œil.

La jeune femme accéléra la masturbation ! Malgré l’emprise psy cette créature presque démoniaque tant dans ses yeux il n’y voyait que les Enfers, Badadus sentit toute son énergie fondre vers sa verge mais subitement s’arrêter puis s’agglutiner contre son pénis.

Il ne ressentait nullement le cette sensation bestiale qui lui survenait après avoir assouvi ses plus bas instict souvent mais pas toujours après une éjaculation. On aurait dit que son cerveau et son pénis avaient été déconnectés. Il subissait une émasculation cérébrale.

La sorcière, car pour lui s’en était une, s’accroupit devant lui toujours immobilisé par le flux cérébral de cette improbable maîtresse . Elle emboucha le pénis qu’elle se mît à fellationner.

Badarus souffla ! La bouche de la belle s’attarda sur le gland qu’elle mordilla. Le plaisir lui décalotta le gland : maintenant qu’elle tenait ce fruit timide et intime toujours prompt à se cacher dans le prépuce, elle allait s’amuser avec lui pour son plus grand plaisir .

Elle lapa le gland, frotta sa langue rose contre lui, cela donnait du rose humide contre du rose humide.

Les sensations étaient si délicieuses que le prisonnier se tortillait de plaisir . Elle prit en bouche la totalité du gland qu’elle se mit à mordiller.

Il était devenu un simple esclave pour la première fois et il sentait grimper l’extase mélange de douleurs et douceurs qu’il ne connaissait point…

La verge en sa bouche, elle se mit à faire des va-et-vient. Elle avalait puis recrachait partiellement le pénis.
Soudain, elle accélérera les mouvements buccaux.

Badarus avait l’impression de devenir fou ! Au moment ultime, elle goba totalement le phallus. Lorsqu’elle libéra le pénis de sa bouche, il était en érection et recouvert par sa salive qui le faisait luire sous l’effet d’une lumière étrange qui se dégageait du corps de la créature.

Il se trouvait toujours immobilisé au sol . Son pénis était toujours aussi restreint sous l’action psy de cette étrange femme qui lui serrait la racine pubienne et l’espace entre la verge et les bourses . La salive luisait moins sa verge.

Étrangement il ne se sentait plus bander . Elle se releva devant lui et se mit à danser sur une musique silencieuse et se masturber le clitoris. Elle s’introduisait deux doigts dans le canal vaginal qu’elle labourait. Bientôt l’excitation humidifia son sexe. Elle se rapprocha de son prisonnier. Elle déposa ses doigts humides sur le nez masculin. Elle introduisit les doigts dans la bouche soumise qui se mit à les sucer . Il se surprit à se régaler de ses sécrétions vaginales.

Elle s’assit sur les cuisses de Badarus. Elle introduisit le pénis dans son vagin. Elle se mit à le chevaucher. Elle mélangea ses lèvres aux siennes. Elle introduisit sa langue sans sa bouche puis fit fusionner sa langue avec la sienne.

Elle se remuait sur les cuisses de l’homme immobilisé et impuissant.

Il se voyait se faire baiser par elle sans ressentir aucun plaisir. Soudain, elle se mit à remuer plus rapidement et plus intensément.

Elle se mit à le chevaucher de nouveau .

Elle se sentait totalement remplie . Elle jouissait de toute humiliation cérébrale qu’elle lui causait, humiliation qui paradoxalement le faisait jouir.

N’en pouvant plus Badarus parvint dans un râle lugubre à libérer sa semence dans la matrice de son geôlière.

Elle eut un orgasme violent, mais silencieux. La nuit était devenue pourpre, le ciel chargé d’éclairs, de sourds grondements étaient perceptibles.

Se relevant, elle libéra de son emprise psy Badarus, qui ne pouvait toutefois réagir. Il la regardait, il pouvait voir les traces de sa semence couler entre ses cuisses.

« Badarus, je suis Amnis prêtresse et fille de Ba-Al, et je viens de te choisir pour mari. Tu seras roi d’Atlantis, je serai ta reine et je te donnerai la puissance que je tiens des miens »

Badarus se redressa, et lui qui ne connaissait pas la douceur d’une étreinte prit dans ses bras Amnis et l’embrassa.

« Badarus ta lignée est assurée, tu as fertilisé mon ventre nos enfants sont destinés à dominer le monde »

Amnis conduisit à son père.

Ba-Al était en fait un homme, un descendant des premiers Atlantes factieux , à la tête d’un groupes d’hommes et de femmes qui avait échoué avec leur vaisseau, au moment de la Grande Destruction.

Ba-Al offrit la puissance destructrice de l’Ombre à Badaruss.

Plusieurs mois plus tard il regagna Atlantis accompagnée de son épouse Amnis enceinte.

On l’avait cru mort, son père avait désigné son jeune frère comme héritier.

Badarus impitoyable élimina jusqu’au dernier membre de sa famille et assit son pouvoir sur la force, la terreur et la corruption .

Amnis donna naissance à quatre jumeaux : Kuros et Démosia et Skaft et Heshar.

Grandissants, ces deux couples se complurent dans un inceste pervers, assouvissant leurs plus bas instincts de meurtres, de viols, de corruptions.

C’étaient ces enfants démoniaques qui allaient conduire l’attaque de Mu, sous le regard de Badarus et Amnis qui se complaisaient eux aussi dans d’orgiaques et sataniques bacchanales sous l’égide de Ba-Al.

( à suivre)

Livre V

Aérandir cette nuit là n’étaient pas resté avec sa magicienne de compagne, car il devait s’entretenir avec le conseil des temponautes. Avant de rejoindre la nef de combat, il avait dit à Circé.

« Cette nuit rejoins Shana, elle te désire, comme je sais que tu la désires aussi, ma nuit va être longue, demain j’aurai besoin de toi à mes cotés, mais cette nuit est à toi »

Circé déposa un baiser sans fin à son amant, li faisant regretter de ne pas passer la nuit avec elle. Il sentait un sentiment inconnu jusqu’alors chez lui . De la jalousie envers sa sœur qui aller recevoir le trop plein d’amour et de désir de Circé. Mais la survie de l’homme était en jeu.

Circé avait aussi un sentiment de culpabilité, son amour pour son nouvel Ulysse était puissant, mais, en elle son désir et son attirance pour Shana était oppressant.

Elle entra doucement dans la chambre qu’occupait Shana. Elle était allongée, totalement nue, en une position à la fois sensuelle et indécente.

Circé se dit :

« Quelle est belle, heureusement qu’Aphrodite ne l’a pas encore vu, elle en deviendrait jalouse… »

Shana a senti la présence de la magicienne et se retourne offrant à Circé un regard où brillaient mille feux de désir. Pas ce désir sauvage qu’elle avait eu avec Lysippé, mais un autre désir qu’elle n’avait jamais ressenti jusqu’à présente.

Circé s’approcha, elle se pencha vers Shana et posa ses lèvres sur les siennes. Elle glisse sa main de libre derrière sa tête pour que leur baiser devienne plus chaud.

Ses lèvres sont plus douces, sucrées, pulpeuses… Leurs bouches se décollent un instant. Elles se regardent longuement, chacune un énorme sourire aux lèvres. Circé retire sa toge libérant sa magique nudité. Les deux femmes s’enlacent. Cette fois leur baiser est bien plus long, rapidement Circé glisse sa langue entre les lèvres de la délicieuse Shana. Quand elle rentre en contact avec la sienne, Circé sent une décharge électrique traverser son corps. Circé veut connaître son corps, son odeur, le goût de sa peau…

Leurs langues dansent follement ensemble . Circé aime la douceur des caresses de sa jeune amante, elle profite de sa bouche contre la sienne et de la tendresse du moment.

Les deux femmes s embrassent langoureusement puis les lèvres de Shana descendent le long de son cou pour atteindre sa poitrine. Elle masse et malaxe es seins lourd mais tendrement. Sa bouche, se pose sur son téton gauche et commence à l’aspirer délicatement tout en la titillant du bout de la langue, Circé en frissonne.

Après s’être aussi occupée de son sein droit, sa bouche continue de descendre. Shana lèche le ventre de la magicienne avec la même sensualité que son Ulysse des étoiles.

Circé se laisse aller sur le lit. Shana lui embrasse le mont de Vénus . Ses mains lui caressent les jambes en remontant. Quand elle sent ses doigts sur mes cuisses, Circé se surprend à frissonner de nouveau.

La magicienne prend un indicible plaisir sous l’effet conjugué des mains et de la bouche de la jeune femme.Sous l’effet de ses caresses elle ouvre ses cuisses tout naturellement.

Shana pose sa langue sur son périnée et la remonte tout doucement sur ses lèvres intimes brûlantes et humides.

Elle sent son vagin s’ouvrir sous ses coups de langue. Circé devient complètement folle avec ce que s jeune maîtresse lui offre.

Quand Shana la pénètre avec son doigt, qui est pourtant loin d’être de la taille d’un sexe d’homme, Circé sent immédiatement une boule de chaleur grossir dans son ventre. Alors qu’elle le fait tournoyer dans sa grotte inondée, son corps est pris de spasmes, elle a chaud et froid en même temps.

Soumise Circé gémit

Shana continue de dévorer et la doigter ce qui maintient son excitation. Elle reconnaît l’art de son compagnon, décidément ces temponautes sont des gens bien merveilleux.

Shana continue de la lécher. Alors que son index et son majeur tournent en son con, sa bouche descend sur son périnée et mon doux œillet .

Sa langue ouvre la et pénètre lentement ses entrailles, elle sent alors une deuxième pique de jouissance traverser son corps.

Il est plus court mais beaucoup plus intense que le premier. Son visage ne quitte toujours pas son entrejambe et la jouissance l’habite pendant de longues minutes. Circé n’en peux plus.

La Magicienne reprenant alors ses esprits se retrouve au-dessus de Shana et la tête entre ses cuisses. Elle commence par passer son doigt autour de ses lèvres intimes, elle gémit déjà.

Elle titille son jolie bouton et Shana grogne de plaisir . Circé joue de sa bouche et de ses doigts . Elle le vagin de la jeune femme se resserrer autour de ses doigts, son corps est pris de spasmes, elle pose ses mains sur ses cheveux et plaque encore plus sa bouche contre son pubis.

«ô que c’est bon, ta bouche et ta langue sont magique Circé »

« Petite Shana tu as aussi de sacrés dons, comme ton frère d’ailleurs

Circé continue de s’occuper de son de Vénus . Elle la met sur le ventre et vient s’asseoir sur elle j uste en dessus de ses fesses. Elle se penche et s’empare d’une fiole d’onguents qu’elle a amené avec elle . Elle ne fait pas couler directement le liquide sur son dos mais dans ses mains.

Les doigts habiles de Circé se baladant sur le dos de Shana de bas en haut s’en oublier de s’occuper de ses épaules. C’est une autre sorte de plaisir que la magicienne lui offre, Shana ferme doucement les yeux et se retrouve entre l’éveil et le songe.

La temponaute entend et sent son corps et ses mains sur elle mais d’un autre côté, elle a l’impression d’être totalement ailleurs.

« Hummmm Circé, je reconnais la Magicien que tu es

Elle la sent remonter sur elle moi tout doucement. Alors qu’elle continue de la masser, Circé s’installe sur ses fesses et commence à se frotter. Elle prend un plaisir indicible à frotter son sexe contre la peau douce de la jeune femme totalement offerte

Shana se retourne doucement et attire Circé vers elle pour l’embrasser tendrement tout en caressant ses seins, elle fait pareil avec les siens .

Shana glisse alors ses doigts entre nos leurs sexes pour se frotter avec chaque extrémité de sa main.

Comme la foudre de Zeus les deux femmes hurlent leur bonheur. Shanat s’affale sur Circé pour s’ embrasser de nouveau.

Après une longue étreinte, Shana part en arrière et s’allonge dans la continuité du corps de son amante. Ses cuisses se croisent avec les siennes et elle remonte pour coller ses fesses aux siennes. Shana se tourne légèrement sur le côté et remonte encore pour que leurs lèvres intimes se frottent.

Une de ses lèvres remonte sur son petit bouton,la jouissance déferle. Elles ondulent du bassin pour essayer de se rendre les sensations qu’elles se donnent. Elles sont submergées par le plaisir. L’obscurité les entoure et elles plongent dans un sommeil très profond.

Circé se réveille la première, elle regarde Shana presque amoureusement, lui dépose un baiser dans le cou.

Elle se sert de son don de télépathie

« Belle Shana, cette étreinte vu merveilleuse, en un autre temps tu aurais été ma Bilitis et j’aurai été ta Sapho, mais c 'est à ton frère que j’ai donné mon cœur, mon seul et unique Ulysse et si tu ne le sais pas encore ta Sapho sera Lysippé, même si elle partagera bientôt la couche de ton frère…

Vers midi Shana rejoignit la salle du conseil de Re Mu, y étaient réunis ses ministres, ses grands prêtres, et les derniers fils et filles du Soleil.

Aerandir était concentré en grande discussion avec Re Mu, Circé était à ses cotés.

Il redressa la tête et sourit à sa sœur, puis glissa à l’oreille de Circé :

« Alors la nuit a-t-elle était magique ? »

« Oui Shana est merveilleuse, tiens regarde Mon Ulysse, comme Lysippé te dévore

« Oui j’ai vu, et elle te dévore aussi, mais c’est pour ma sœur que son cœur bat »

« Je sais mon doux amant, mais il me tarde d’accueillir en notre couche la belle Lysippé »

Imperceptiblement Shana s’était approchée de Lysippé, les deux femme sans rien dire se tenaient la mains .

Le conseil était maintenant terminée, il y avait encore beaucoup à faire. A l’Est l’Ombre approchait.

Quand la tout le monde fut sorti de la salle, il ne restait qu’une très jeune femme dont Re Mu embrassa tendrement le front.

C’était sa fille Hina, la gardienne des Terres mystérieuses »

Livre VI

2019

Les vaguelettes du Pacifique venaient mourir, avec l’éternel rythme du ressac, sur la grève de rocailles grisâtres mêlées au sable clair. Le soleil tropical plongeait la baie d’Hanga-roa et son village dans une torpeur douce que rompaient parfois les lointains aboiements d’un chien de berger.

D’humbles maisonnettes blanches avec de petits jardins bien entretenus étaient comme semées çà et là. Quelques palmiers et plants d’eucalyptus égayaient ce paysage reposant et insolite à la fois de par la présence des étranges colosses de pierre qui jaillissaient un peu partout du sol volcanique de l’île Rapa-Nui.

Sur le sable de la plage, un groupe d’enfants se tenait assis autour de leur institutrice. Cette jeune femme polynésienne, à la peau cuivrée, aux longs cheveux noirs, chantait de sa voix si douce. Les enfants l’écoutaient en silence

Rere te manu ia Hina,
Rere te manu ia ‘U’upa,
‘U’upa te manu o Hina,
Tau te manu, ma’ue te manu,
Ta’i te manu, ta’i’o Hina,
Reva te manu, i te ara roa,

Vole l’oiseau Hina
Vole l’oiseau 'U’upa
'U’upa l’oiseau de Hina
Se pose et puis reprend son envol
Chante l’oiseau, chante Hina
Puis s’envole au lointain

La légende de Hina, la gardienne des Terre mystérieuses, nymphes des eaux.

Ce chant montait vers les cieux et celui qui aurait observé la scène aurait remarqué que les yeux des Moaïs faits de coraux et de pierres volcaniques rouges irradiaient avec force. Qui aurait deviné que la belle Maeva était la lointaine descendante de Hina , la fille de Re-Mu

Hina

Elle était la fille cadette de Re-Mu. Un joli brin de fille, espiègle, curieuse, assidue à la tâche, et au désespoir de son Empereur de père très bavarde. Son statut de princesse la faisait assister aux différents conseils, et elle avait toujours une question, une remarque.

Elle aimait rire, elle aimait la vie, elle était désirable, elle était sensuelle
Tous les regards des hommes se portaient,imaginant biens des des plaisirs défendus. Elle aimait croquer la vie pleine dent

Son frère Xipe Topec s’en amusait. On ne lui connaissait pas d’amant attitré, mais la jeune fille était loin d’être prude. Le sang des fils et filles du ciel ne coulait-il pas dans ses veines. Son père la désigna comme gardienne des Terres Mystérieuses , avec pour mission d’assurer la protection des navigateurs et pêcheurs du royaume de Mu.

Elle se déplaçait à l’aide de la ceinture des dieux, une ceinture anti-gravité, on l’appelait alors.

‘U’upa a hina, la femme-oiseau

Mais elle était solitaire et contrainte de vivre isolée en ses terres . Elle décida alors de se transformer en oiseau, un splendide ‘u’upa au plumage d’un vert chatoyant, afin de prendre son envol et de voyager par-delà la voûte céleste.

Elle aimait parcourir ces terres et reprenait sa forme humaine initiale pour visiter les hommes et partager leur quotidien, avant que ne tombe la nuit.

Elle parcourait les forêts, alternant de longues marches, à des course endiablées. Puis afin de chasser la fatigue de ces longues courses, elle offrait sa divine nudité à la nature avant de plonger dans la chaleurs des eaux turquoise d’un lagon, dans les eaux transparentes d’un lac. Elle aimait tant nager, faire l’amour avec les flots.

Sentir sur sa peau la caresse de l’onde, lui donnait une jouissance sans pareil.
Après de long moment à nager entourée de son escorte de dauphin, elle regagnait la grève comme une Vénus sortie des eaux. Elle s’entendait à même la plage de sable corallien, et offrait son corps aux éléments.

Il fait chaud sur cette plage, le vent léger rafraîchit à peine l’atmosphère, face à elle le bleu turquoise du lagon, derrière la lisière de la forêt tropicale. Elle est là sur cette lame de sable blanc corallien.

Hina s’endort.

Elle ressent alors une présence. Une silhouette se détache devant elle. Celle d’un homme . Il est brillant, il puissant. Il rayonne. Elle s’offre sans détour à lui. Elle aime la chaleur de ses étreintes. Elle brûle de désir pour lui.Elle aime sentir sa chaleur sur sa peau la rend folle de lui.
Elle se donne totalement sans contrainte à cet amant sublime.

Puis une deuxième silhouette d’homme s’approche. Lui il est doux,Il est tendre. Il est subtil, Elle aime son souffle, glissant comme une caresse sur sa peau. Elle frémit quand elle le sent glisser de sa nuque au creux de ses reins. Elle frissonne à son contact.
Elle aime son espièglerie lorsqu’il se glisse entre ses cuisses. Elle aime se donner sans tabou à cet amant irrésistible.

Elle se réveille alors. Elle est rayonnante . Elle est là allongée le corps nu sur cette plage de sable fin face à la baie de Hanga-Roa
Derrière elle les yeux de corail des grandes statues de pierre de Rapa-Nui irradient avec puissance.

Hina est heureuse, elle aime ses deux amants que sont que sont le soleil et le vent.

Dans la grande salle, Re-Mu serre une dernière fois sa fille dans ses bras, elle regagne le vaisseau offert par les tempaunautes et décolle vers le sud, vers l’île de ses amants.

2019

Maeva descendante d’Hina est maintenant seule, les enfants sont partis. Elle s’endort, et rejoint dans ses rêves ses deux amants le soleil et le vent.

Le temps est un éternel recommencement

Pour Mu les temps par contre sont comptés.

(à suivre)