Cela faisait quelque temps que nous échangions sur ce site libertin. Il écrivait assez bien et me sembla intéressant. Cela étant, il était sous ma barre des 33 ans. Dans la conversation nous avions (néanmoins) échangé nos 06.
A l’époque je ne prévoyais jamais rien de mes weekends, l’impromptu me plaisait.
Je fis donc couler le bain chaud du vendredi soir afin d’en oublier la semaine.
Les yeux fermés, les pensées en libre accès, je vibrai…non de plaisir mais le téléphone posé à côté de mon oreille s’était déclenché.
« Bonsoir Léna, Benjamin pour te servir »
« Et bien, quelle douce surprise que voilà ! Enchantée de t’entendre »
Le but de son appel fut simple, l’envie de me voir, l’envie d’une mise en scène.
Benjamin était un voyeur, et ce fut naturellement qu’il me proposa ce genre de rencontre.
La conversation se transforma en une proposition. Cette dernière me sembla assez amusante, et mon esprit fit une balance, d’un côté sa jeunesse et l’envie de rester chez moi, de l’autre le jeu.
Serais je capable de me lancer ? Je finis par accepter et hop je sortis du bain afin de me préparer.
Voici donc sa proposition : une rencontre en voiture pour une exhibition, je devais venir me garer sur un parking désert, un joli déshabillé qui laissait apercevoir ma poitrine. Une fois à l’arrêt je devais me caresser avec ou sans mon gode pendant qu’il me regardait à la fenêtre.
J’enfilai donc cette petite tenue de de frou-frou qui laissait totalement mes seins à l’air, j’embarquai mon mignon bleuté à savoir mister god. Un manteau et zooouuuu en route.
Une heure de route et me voilà sur le parking. Que ni ni, celui ci n’était point un parking à l’écart mais en ville, avec un bel éclairage et une station essence qui entraînait une fréquentation tardive.
Je l’appelai et loin de se démonter il m’indiqua le côté du supermarché, sa voiture viendra nous protéger des regards indiscrets.
Je redémarrai donc ma titine vers cette place un peu moins éclairée. Moteur éteint, j’ôtai le manteau pour dévoiler ma presque nudité. Mes seins étaient déjà excités. Je le vis du coin de l’oeil, approcher de ma vitre. Ce fut le signal, je pinçai mes tétons assez vivement de la main gauche et de la droite je pris mon mignon en position 2.
Tout d’abord une caresse sur mon bourgeon. Ensuite une fois que je sentis l’humidité envahir mon sexe, j’insérai mister vibrant en moi. Humm, ah non pas tout de suite hein !
Il s’approcha de la fenêtre et je découvris qu’il avait son sexe en main et qu’il n’était pas en reste, il se masturbait ainsi, dehors, en me regardant en faire autant.
Je fus saisi d’une pulsion et mon doigt cliqua sur le bouton de l’ouverture automatique de la fenêtre. Il dut penser que je l’invitai à approcher, il s’engagea au dessus de ma vitre si bien que je pus le prendre en bouche par surprise. La fellation n’était pas au programme. Pourtant j’ai écouté cette envie, sa queue frétilla sous ma langue ce qui me laissa penser que la surprise le mis en joie.
Les dés étaient jetés, je ne saurai me satisfaire d’une simple exhibition, j’avais envie de plus.
"Rejoins moi ! "
Il n’hésita pas longtemps pour faire le tour de la voiture.
Il grimpa côté passager, il était bel homme, dommage qu’il se rasait le crâne de si près (je lui fis la réflexion plus tard) et mince, il faisait jeune.
Nos lèvres se trouvèrent ce qui mit un terme à mes réflexions.
Ses mains me caressaient, les seins puis le sexe, la température grimpa si bien que j’en oubliai la station à proximité.
« j’ai envie de toi » la phrase était lancée, il nous fallut passer à l’arrière.
Généralement mes rencontres libertines ne passaient pas aussi vite au sexe, sans même une discussion ! Néanmoins la situation sembla nous exciter plus que de raison.
Il me tira les fesses afin de m’allonger un peu mieux sur la banquette arrière et baissa son pantalon, à la sauvage, petit capuchon magique et hop il fut en moi très vite pour me faire languir. En effet Monsieur était un adepte du slow sexe et la lenteur fut de mise.
La position me permis de très bien le sentir au point de venir la première dans un ahhhhhhhhhhhhhhhhh de frémissement.
Je le repoussa alors afin de le chevaucher. Dans un souffle je lui dis qu’il faisait plus jeune et que je pensai qu’il m’eût menti… « en effet j’en ai 18 »
« quoiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ??? »
Il se fichait joyeusement de moi, son sexe bien au chaud, « mais non j’en ai 29, je suis sous ta limite mais je ne pense pas que ce soit si important non ? »
Je repris ma chevauchée et alors qu’il allait jouir il me demanda de le faire sur mes seins, ce que j’acceptai bien volontiers.
Après ce moment fort intense, nous fûmes rester côte à côte, à l’arrière de la voiture afin de discuter, de tout et de rien, et ce durant deux bonnes heures.
Notre moment de cérébralité fut instructif et nous avons convenu que nous nous reverrions dès que possible.