Long chapitre avec beaucoup d’action 
Chapitre 6
Je pense m’être légèrement endormi après ce moment d’extase. Mes muscles, mes nerfs, mon cerveau s’étant totalement relâché, je reprends conscience doucement. Entendant peu à peu, la musique qui est là depuis le début, le corps de Camille écrasé contre le mien, mes mains toujours attachées à ses fesses, les siennes toujours accrochés à mes épaules. Nos respirations se sont calmées, elles se sont accordées pour être en rythme. Je peux la sentir contracter son vagin alors que mon sexe se rétracte en elle, naturellement expulsé. Camille dessert son étreinte autour de mon cou et se redresse en soulevant son bassin pour nous désunir avant de s’asseoir sur mon bassin.
- « Je crois qu’on a franchi la ligne rouge aujourd’hui »
Me dit-elle en ouvrant ses yeux en direction des miens, son maquillage a coulé au coin de ses yeux, ses joues sont rouges, elle est totalement décoiffée.
- « Je crois que c’était inévitable »
- « Je suis bête, je savais qu’on le ferait, mais je pensais que ça se ferait différemment »
Je reste silencieux quelques secondes en la regardant de façon interrogative.
- « Je ne sais pas… Le faire normalement, aller boire un verre, discuter, puis aller chez toi pour une fois… »
Je pose mes mains sur ses cuisses et les caresse. Je sens la chair de poule apparaître sous mes doigts.
- « Oui, mais ça c’est si on voulait se séduire, si on voulait faire ça on n’aurait pas eu notre petit jeu » - Je réponds à son sourire.
- « Ce n’est pas faux… Mais tu dois avoir une image de moi qui ne me plait pas. Normalement, je ne suis pas ce genre de fille qui couche avec le premier venu. »
- « Je pense que tu es le genre de fille dont le mec se comporte comme un con, qui est à six mille kilomètres, que lui ne doit pas se gêner pour assouvir ses besoins. Alors pourquoi tu devrais ne pas également assouvir tes envies… J’ai une image d’une fille très coquine, qui avait envie de séduire avec son corps magnifique, qui avait envie de se faire plaisir sans que ça soit une prise de tête… Et puis je suis ton voisin, je ne suis pas le premier venu ! » - Lui dis j’en lui mettant une petite fessée
- « J’aime bien cette image, mais… »
Je vois dans son visage que quelque chose ne va pas.
- « D’accord, je ne vais pas insister. Je vais rentrer chez moi… »
Camille se lève, m’offrant la vue de ses lèvres refermées qui dégoulinent littéralement sur moi avant qu’elle ne ferme les jambes. Je me redresse et me lève également. Camille saisit son peignoir et l’enfile, cachant son corps que je viens pourtant de parcourir. Je retrouve mes vêtements et me rhabille. Elle me raccompagne à la porte, décidément… Je m’attendais à tous sauf ça.
- « Je vais chez mes parents ce week-end donc ne t’étonne pas si on ne se croise pas… »
- « D’accord, bonne soirée »
Mes mots sortent presque par réflexe, dans ma tête je suis perdu. L’embrasser serait une erreur alors qu’elle pense à son mec, j’en suis sûr. Lui faire la bise serait insultant après avoir été aussi intime. Je rentre chez moi, c’est tellement silencieux… Je déteste ça, le silence d’un appartement lorsque l’on vit seul… J’allume la télé et file sous la douche sous laquelle je reste très longtemps. Allongé dans la baignoire, avec le jet d’eau à la base du cou. L’eau brûlante parcourant mon corps.
Durant le week-end, je vais au cinéma avec des amis, une soirée où je bois plus que de raison, un retour chez moi difficile un dimanche matin… Je ne sais pas si vous avez connu ça… Croiser les familles catholiques aller à la messe avec leurs enfants bien coiffer, bien habiller alors que vous êtes totalement bourré, débraillé comme jamais, c’est très bizarre. Le dimanche, je comate sérieusement devant ma console pour récupérer. Je fais tout pour ne pas penser à ma voisine.
Et ça ne s’arrange pas le reste de la semaine… Je sais que je pars travailler avant elle et que je rentre après elle, j’entends parfois sa musique depuis le palier. Elle sait à quelle heure, je rentre… D’habitude, sa porte s’ouvre, m’invitant à ces plaisirs interdits, à jouir de son corps qu’elle m’offre, mais là… Rien… Ni lundi, ni mardi, ni mercredi et ni jeudi. J’ai perdu espoir qu’elle m’ouvre à nouveau la porte. Je sais que c’est elle qui décide, frapper à sa porte ne servirait à rien. Et alors que je rentre chez moi le vendredi, la porte se déverrouille. Au début, je me dis qu’elle va juste sortir, mais rien. Je m’en approche doucement et finit par l’ouvrir et entrer chez elle.
Camille fait les cent pas dans son appartement, elle n’est pas nue, mais habillée d’un jean et d’un chemiser. Je referme la porte et m’avance vers elle sans trop comprendre.
- « Mais… Ca fait cinq ans que je suis avec mon mec, je l’aime et je suis conne de l’aimer toujours. Je pensais pouvoir rester fidèle, ne pas être ce genre de meuf qui ne peut résister à des pulsions sexuelles, que les sentiments sont plus importants… Mais finalement, je n’ai pas résisté et j’ai commencé à m’exhiber, à me caresser devant toi, mais je me disais que je ne faisais rien de mal… Que ce qui m’excitait, ce n’était pas toi, c’était le fait de montrer mon corps puis voir le tien a commencé à m’exciter. Et là, je me suis dit que ce n’était pas grave, que c’était normal d’être excité par un homme nu, voir sa queue dure pour moi… Puis y a eu ce contact, sentir ton sexe contre le mien, sentir ton sperme sur ce qui normalement est réservé à mon copain… J’ai tellement aimé que j’ai eu envie de plus. Vendredi dernier, je n’avais qu’une envie, c’était celle de te chevaucher, de sentir ton sexe contre le mien… Tu vois le problème ? »
- « Heu… pas vraiment… »
- « Ce qui m’excitait, ce n’était plus l’excitation ou le désir de me montrer, mais de te chevaucher… Toi… D’être assise sur toi… De sentir ton sexe contre moi et bien sûr, après j’ai eu envie que tu me pénètres et tu l’as fait sans que je puisse réfléchir ! Et tu vas être content, mais j’ai rarement autant de plaisir avec mon mec… Du coup, je suis passé du plaisir de me montrer à l’envie de le faire avec toi alors que normalement, je devrais seulement avoir envie avec mon mec… » - Elle me fixe du regard, le souffle coupé par cette longue tirade
- « Je vois… Tu penses que ton mec a aussi tout ce raisonnement avant de coucher avec une fille ? »
- « Non… et c’est bien pour ça, que je ne vais pas me priver d’assouvir mes désirs comme tu le dis si bien, mais… »
- « Je t’ai dit que je n’aimais pas les, mais… »
- « Mais… Promets une chose, si l’un de nous commence à avoir des sentiments, on arrête tous ! »
- « Promis… Cela sera uniquement sexuel entre nous et à toi de me faire la promesse d’arrêter de te poser des questions, de te prendre la tête et de te lâcher totalement… »
Ses doigts se posent sur son chemisier et commence à l’ouvrir. Un très joli soutien-gorge en dentelle noire lui maintient la poitrine, en y pensant, c’est la première fois que voient ses sous-vêtements. Je retire ma veste et commence aussi à ouvrir ma chemise. Je me rapproche d’elle. Elle retire son jean, un très joli string en dentelle noire aussi, mais qui permet de deviner le trait de ses poils pubiens.
- « Et que ça soit clair entre nous, je ne suis pas une salope. »
C’est fou comme le caractère d’une femme peut rapidement se lire sur son visage une fois qu’elle est en sous-vêtements, qu’elle ne peut plus se cacher. Je sais d’avance que Camille ne sera pas soumise, mais ce n’est vraiment pas important. Je retire mon jean, je bande déjà face à elle et elle le voit.
- "Je le sais… tu es juste une femme magnifique !’
C’est fou comme les mots peuvent provoquer autant de plaisir que les actes…
Camille est face à moi, ses seins écrasés par un soutien-gorge en dentelle noire, son intimité à peine cachée par un string noir, le reste de son corps doré entièrement nu. Ses bras le long de son corps, tombant sur ses hanches marquées. Ses yeux noisette accrochés à mon regard, ses cheveux ondulants sur son épaule, sa bouche qui vient de s’ouvrir. Je lui souris, mon érection se dessine dans mon caleçon. Sans se rendre compte, on se rapproche l’un de l’autre jusqu’à ce que nos corps se touchent, sa poitrine s’écrasant sur mon torse. Étant légèrement plus grand, Camille penche sa tête en arrière. Mes mains se posent sur ses fesses fermes, mes doigts s’enfonçant dedans, plaquant son bassin contre mon érection. Elle se rapproche de ma bouche avant de mordre ma lèvre et de la tirer vers elle. Une de mes mains remonte le long de son dos et ouvre son soutien-gorge d’un claquement de doigts. Elle laisse le haut tomber au sol, ses seins libérés retombent sur les côtes et forment un demi-cercle parfait en bas, ses tétons roses sont parfaitement à l’horizontale.
- « C’est quand même fou… Quand une fille met de la jolie lingerie, un homme ne sait jamais en profiter » - me dit-elle amusée.
- « Ce genre de lingerie, aussi jolie soit-elle, est fait pour cacher les choses… J’aime voir la poitrine de ma partenaire… »
Ma main vient lui saisir un sein pour le remonter jusqu’à ma bouche, j’aspire son téton puis le mordille comme elle a mordu ma lèvre avant de remonter embrasser son cou.
- « Tu aimes quoi d’autre ? »
Je me baisse sensuellement, embrassant à nouveau son sein, puis son ventre. Je fais glisser son string le long de ses cuisses, mes yeux ayant juste en face, son mont de vénus surplombé d’une fine bande de poils courts s’arrêtant juste à la naissance de ses lèvres imberbes.
- " J’aime également voir ça et même plus… " - lui dis-je en embrassant son pubis - " J’aime jouer, prendre parfois mon temps, le sexe pour juste la baise n’a aucun interet " - Je me redresse - " J’aime dominer, j’aime contrôler, avoir le pouvoir… Et toi ? "
Camille se baisse également et retire mon caleçon, elle se retrouve à genoux devant moi. Mon sexe dressé à mi-hauteur sous ses yeux.
- " J’aime aussi voir ça et surtout plus… "
Ses doigts se resserrent sur ma verge puis elle tend sa langue dessus, mon corps se raidit à ce contact. Elle ne décroche pas de mon regard, sa langue remonte et elle finit par embrasser mon gland en le glissant entre ses lèvres. Puis elle se redresse faisant glisser ma queue entre ses seins.
- " J’aime le soixante-neuf en mode défi, celui qui tiendra le plus longtemps, j’aime aussi avoir le contrôle, mais également le perdre, mais ça tu l’as remarqué… Après je ne pensais pas aimer l’exhibition et pourtant… "
Ma main vient effleurer son ventre, glisse sur son pubis, Camille m’ouvre ses cuisses et mes doigts plongent sur sa vulve. Ses lèvres s’écartent à mon passage, elle est aussi humide que moi en érection. Un de mes doigts sent son bouton glisser contre lui, je tourne dessus, appuyant dessus. Mon autre main sur ses fesses ressent les mouvements de son bassin qui commencent. Ses doigts viennent s’enrouler sur ma verge, ils semblent petits, mais elle commence à me branler efficacement. Sa respiration si douce se transforme, elle expire par saccades. Ses yeux se ferment enfin, sa bouche s’ouvre un peu plus. J’enfonce mes doigts plus profondément dans son intimité, frottant l’entrée de son antre. Ses sourcils se froncent et elle me branle de plus en plus vite. Je tente d’enfoncer deux doigts en elle, et ils entrent sans la moindre résistance, je sens les parois de son vagin se resserrer avant de s’ouvrir autour d’eux. Je la doigte quelques instants alors qu’elle me branle de plus belle.
- " Et si, aujourd’hui, on ne perdait pas de temps… " - Lui dis je, ma voix à bout de souffle.
- " Bonne idée… quelle est ta position préférée ? " - Ses doigts libèrent ma verge qui peut ainsi ne pas exploser. Je retire mes doigts trempés également.
- " Le lotus, pourquoi ? "
- " La semaine dernière, on a fait ma position préférée alors cette semaine c’est ton tour…Mais je ne connais pas celle-là "
Je lui souris puis me dirige vers sa chambre. Je m’assois sur le bord du lit, écartant les cuisses, la queue bien dure dans le creux de ma main.
- " Assis toi en enroulant tes cuisses autour de mon bassin et accroches toi à mon cou "
Camille ne cache pas son sourire en devinant la suite. Elle pose un genou sur le lit avant de glisser son autre jambe autour de mon bassin, la vision de sa chatte suintante de plaisir m’excite au plus haut point. Elle enroule sa deuxième jambe autour de moi. Ses cuisses posées sur les miens, je passe mon bras sur ses fesses, empoignant sa fesse droite avec ma main gauche pour qu’elle ne tombe pas. Ses bras viennent s’enrouler autour de mon cou. Ma deuxième main toujours accrochée à ma verge, la guide, frottant mon gland entre ses lèvres brulantes. La bouche ouverte de ma partenaire se tend pour esquisser un sourire lorsque mon gland frotte son clito. Mais cela ne dure que quelques secondes, je finis par m’enfoncer en elle, je la sens s’ouvrir autour de ma queue. Camille se laisse tomber entièrement dessus, avalant mon pieu en elle dans un petit gémissement. Nos corps sont liés, mes deux mains solidement ancrées dans la chair de ses fesses, son bassin collé au mien, ses seins écrasés contre moi. Dans ce moment suspendu, totalement coupé de toute réalité, je pourrais ressentir son cœur battre. Nos respirations puisent leur essence dans celle de l’autre.
Je recule mon bassin, faisant sortir quelques centimètres de mon sexe, je le sens totalement recouvert de mouille, la différence de température est totalement flagrante que je glisse à nouveau en elle, aussi délicatement que j’en suis sorti, je viens appuyer au fond. Le visage de Camille se déforme, sa respiration se bloque une seconde avant de reprendre, je sens son étreinte se resserrer autour de mon coup et de mon bassin. Dominer son partenaire, ce n’est pas que par la force… Je bouge encore une fois mon bassin, encore plus lentement pour sortir. Camille bascule sa tête en arrière, m’offrant la vue de sa poitrine tendue. Je me penche en avant pour venir gober l’un de ses tetons. Un gémissement aigu sort de sa bouche. Je m’enfonce plus vite que la fois précédente, mon bassin claquant contre le sien, mais je recule aussi rapidement que je suis venu. Elle rebascule sa tête en avant, me faisant quitter sa délicieuse poitrine, son front se pose sur le mien, sa mâchoire est refermée. En me retirant, je sens sur mon gland les parois de son vagin frémir, prêt à exploser. Je me suis reculé au maximum pour mieux la pénétrer d’un coup. Elle laisse échapper un râle de plaisir en sentant ma verge prendre possession de son antre. Mon gland tape au fond, je sens l’ensemble de son corps vibrer contre le mien. Sa chatte se resserre autour de ma verge, Camille tente de reprendre sa respiration qu’elle vient de bloquer, elle ouvre ses yeux et prends une grande inspiration avant de m’embrasser.
À peine ses lèvres ont touché les miennes que je sens sa langue se glisser dans ma bouche, venir danser avec la mienne. Tous les muscles de son corps sont en alerte, elle commence à bouger son bassin d’avant en arrière, faisant glisser sa chatte sur ma queue. À chaque fois que nos sexes sont complètement liés, mon gland appuyant au fond comme jamais, elle gémit sans arrêter de m’embrasser. Ses seins bondissent au rythme de ses va-et-vient. Je recommence à bouger mon bassin sans réfléchir, mais en accord avec son rythme. Les pénétrations gagnent en amplitude, renforçant encore le plaisir. L’une de ses mains se glisse dans mes cheveux pour s’agripper à eux. Nos gémissements s’amplifient, coupant la danse de nos langues de plus en plus. Nos corps se sont lancés dans une chevauchée que seul l’orgasme mettra fin. En reculant son bassin, mon sexe appuie énormément sur la paroi de son sexe où se situe le point G, je sais que dans cette position, mon gland passe dessus à chaque sortie et entrée.
Nos fronts se collent l’un à l’autre, nous nous soufflons notre plaisir, les gémissements de l’un amplifiant celui de l’autre. Je tente de respirer calmement, mais mes muscles se tendent, j’enfonce mes ongles dans sa chair, tirant ses fesses contre mon bassin. Mon sexe entièrement en elle, mon gland explosant, libérant mon sperme en elle. Mon orgasme provoque le sien, ses fesses contractées tremblent, son vagin est pris de spasme, je le sens se serrer sur ma queue. Elle s’est agrippée à mes épaules, son visage en appui sur mon épaule. J’entends sa voix dans le creux de mon oreille.
- " Retourne-moi et baise-moi… "
- " Mais je viens de… "
Camille me mord l’oreille et me répètes
- " Retourne moi et baise-moi, ne t’arrête pas ! "
Je me lève malgré mes jambes qui tremblent encore à cause de mon orgasme. Je la soulève, mon sexe toujours planté en elle. Je pose un genou sur le lit et bascule sur elle. Elle défait ses jambes de mon bassin, je me redresse. Mes yeux prennent du recul, son visage est rougi par le plaisir. Sa peau recouverte d’une fine couche de transpiration qui commence à perler. Je passe mes mains sous ses cuisses et les replis sur elle. Comment ne pas être excité par cette vision ? Ses lèvres gonflées bien ouvertes, sa chatte avalant ma queue. Je bouge mon bassin et m’enfonce en elle, mes muscles me brulent, mais je me suis comme avalé en elle. En ressortant, ma queue est recouverte de sperme. Camille tient ses jambes par l’intérieur de ses genoux, les miennes se posent juste entre ses cuisses et son sexe pour encore mieux l’ouvrir. Je sens ma queue s’allonger et redevenir de plus en plus dure alors que je la pénètre encore et encore. Mes va-et-vient sont de plus en plus puissants. A chaque coup, Camille grimace, ses yeux sont fermés, sa bouche grande ouverte, ses seins bondissants… Je me penche sur elle, ses cuisses en appuient sur mes épaules. Ma queue appuie en elle, je sens que je ne vais pas tarder à l’inonder à nouveau. Camille garde ses yeux fermés malgré mon grand coup de reins, elle sert la mâchoire, se retenant une nouvelle fois de jouir.
Soudainement, son visage se tord, sa bouche s’ouvre en grand. Son corps est parcouru de spasme. Son sexe se contracte si fort que cela me donne l’impression de me broyer la verge. Son orgasme dure de longues secondes, j’ai le temps de me redresser de voir sa chatte se contracter de mes propres yeux en retirant mon sexe. Je m’écroule à ses côtés, après quelques secondes Camille se tourne, passant une jambe par-dessus la mienne et pose sa tête sur mon torse. Aucun de nous n’ose parler, n’ose briser ce moment si délicieux.