C’était une journée ensoleillée, si si je vous assure que ça arrive aussi chez moi !
Nous étions en Août et je travaillais. Le mois d’Août est particulier car on a l’impression que le monde se met en veille, vacances j’oublie tout, ne plus rien faire du tout. Sauf que, hey hey, il n’y a pas que des Aoûtiens.
Je travaillais dans ce bâtiment, au dernier étage. Déjà en temps normal il y a peu de personnes qui montent, mais là, c’est désertique.
Ma division est vide, je suis seule au 5ème. J’allume mon ordinateur pour travailler cela étant mon esprit divague.
J’ai une relation avec un homme qui n’est pas de ma région si bien que je dois lutter contre ma libido qui me titille, lui sommer de bien vouloir se mettre en sourdine.
Je commence à avoir terriblement envie, la chaleur n’arrange rien. Je sens les rayons du soleil qui caressent ma nuque. Je désire faire l’amour, ça commence à me démanger, décidément l’abstinence me pèse.
Mon regard se perd comme mes pensées et j’imagine un homme qui viendrait à moi. Personne en particulier, juste un homme.
Je sens mes seins qui se tendent, mon sexe m’appelle et ma cyprine commence à humidifier mon string. Mon regard se pose alors sur un velleda bleu. Ce crayon est plutôt large et sa forme oblongue ravive mon envie.
Et puis zut, j’ai envie de m’amuser et il fera bien l’affaire…
Je m’en saisis et le fait rouler le long de ma cuisse droite puis je frôle mon sexe en passant à celle de gauche.
Je prends soin de débloquer mon fauteuil et je m’allonge un peu. Me voilà à mon aise et j’écarte bien mes jambes.
Mon velleda remonte, sa pointe écarte mon string et colorie mes grandes lèvres
. Il hachure, de haut en bas mettant en valeur mes reliefs. Pfffff j’imagine un sexe dure qui joue avec moi, je ferme les yeux, mmmmm.
Le vilain tourne autour de mon capuchon, mais je n’ai pas envie, je n’en peux plus de le titiller.
Il glisse alors entre mes lèvres un peu plus bas. Là, mmmm oui là, juste à l’entrée, mais vas y entre donc ! Il s’enfonce un peu puis s’arrête net. Mmm sentir sa fraicheur en moi, mais bouge, bouge…
Il dessine alors des cercles concentriques, c’est excitant…je sens la chaleur dans mon bas ventre.
Il entre encore, un peu plus, un peu plus, et s’amuse à redécorer l’intérieur de mon vagin, ses coups de va et vient griffonnent et je sens que je ne vais pas tarder à frémir.
Le coquin ralentit le rythme, presque immobile, tout doucement, lentement, mon vagin se contracte une fois de trop et je sens les tremblements m’emporter avec eux.