Pauline

Introduction

J’ai mis le temps pour lancer ce sujet. Et pour cause, c’est une histoire qui a durée ce qui dans une certaine mesure dure encore… C’est une histoire de rencontre, d’érotisme, de sexe parfois tendre, parfois brute, où l’amour a sans nul doute été confondue avec de l’amitié ou peut-être l’inverse, ou peut-être les deux. C’est aussi mon histoire et celle de mon éducation au plaisir charnel. Non pas que ce soit ma première expérience mais c’est bien l’expérience qui m’a appris le plus dans ce domaine. Et dans le domaine des relations humaines en général… oui, un beau programme…

Avant de commencer, je tiens à préciser que j’ai déjà écrit cette histoire, en temps réel, sur un journal que j’ai tenu pendant des années, puis laissé dans un coin puis rouvert un jour et j’en fait une transcription narrée (dans le sens où j’ai mis en ordre les idées du carnet et je le retranscrit comme un récit… sinon c’est vraiment trop le bordel).

Ceci n’est pas l’histoire de Pauline, c’est la mienne mais quel beau titre pour un récit que le prénom d’une femme…

Qui est Pauline ?

Aujourd’hui Pauline est une amie, autrefois une amante… elle ne l’est plus. Une amie en revanche, elle n’a jamais cessé de l’être, du moins depuis notre rencontre. Elle a mon âge (30 ans à ce jour) et quand nous nous sommes rencontré, nous en avions 21. Aujourd’hui elle vit à Bordeaux, sa ville de naissance, moi dans la mienne c’est à dire Paris. Les distances nous ont souvent séparés, parfois c’était pour le mieux, parfois pour le moins bien disons. Raconter ce récit c’est un peu me raconter, moi, entreprise narcissique s’il en est mais alors, pourquoi ne pas donner le nom de cette fille qui a été ma compagne pendant 8 ans par exemple (Céline) par exemple ? Je me pose cette question souvent. Et c’est vrai qu’il sera finalement assez peu question de Céline ici. C’est que ma relation avec Pauline représente la complexité même des rapports humains et plus que n’importe quelle relation, celle-ci m’a forgé, en bien, en mal, je ne sais pas, sûrement les deux.

Vous reconnaîtrez sans doute dans cette histoire. Pas tout du long bien sûr mais vous penserez sûrement à une situation que vous avez vécu, une personne que vous connaissez, ou pas et ce n’est pas bien grave.

Alors pour commencer et pour vous faire un portrait de cette personne, je vais la décrire physiquement, pour le reste, je laisserai l’histoire vous la dévoiler. Pauline est blonde (pour de vrai), cheveux lisses et souvent attachés (du moins quand je l’ai connu), les yeux marrons, un nez un peu pointu très joli, une jolie bouche assez pulpeuse. Pour finir sur le cliché qu’elle représente, elle a un corps superbe bien que je pense que… disons, ça dépend des goûts. Elle mesure 1m70, elle a une forte poitrine, 105 D pour les connaisseurs et connaisseuses (je pense que les connaisseuses sont plus nombreuses), de belle hanche et un cul rond et bien fait. Elle est assez mince et malgré cela, elle a des formes généreuses. je ne sais pas si je suis très clair… Enfin, finalement c’est un détail…

Je vous propose de commencer le récit par notre rencontre… C’est important ça la rencontre…

Été 2007

J’ai 21 ans, je travaille pour deux mois dans un restaurant près de la mer à Arcachon qu’une amie de ma mère tient. Je fais le service. C’est la seconde fois que le fais en tant que saisonnier. Il y a toujours des jeunes de mon âge qui travaillent avec moi l’été, et qui habitent la région. Cette année ils sont trois, en plus de moi, 2 filles, 1 garçon.

Lui c’est Christophe, elles c’est Julie et Pauline. Ils ne se connaissent pas. Nous nous retrouvons rapidement tous les quatre à faire les pauses et les after ensemble. Moi je loge près du restaurant chez l’amie qui tient le restaurant, eux dans leur famille. Nous nous entendons bien.

Christophe a 25 ans et Julie en a 19. Pauline donc a mon âge. Christophe est en couple depuis longtemps, tout comme moi. Je fréquente Céline depuis que j’ai 16 ans et toujours fidèle. Jusque là… mon premier amour bien sûr. Comme pour Céline, sa copine est absente. La mienne habite à Paris, la sienne est dans sa famille du côté de la Dordogne.

Lui est assez beau gosse et a une grande confiance en lui, comme souvent dans mes rapports avec les autres hommes, je m’entoure de personnes qui ont une forte personnalité. Bref on s’entend suffisamment pour qu’il me dise qu’il se « taperait » bien Pauline comme Julie même si cette dernière est vraiment jeune.

Ma première impression sur ces filles : Julie est très jolie, charmante, discrète, douce, petite, fine, brune, yeux clairs (verts ou bleus je ne sais plus bien), Pauline, elle, est bien moins mon style, je la trouve néanmoins drôle et nous nous entendons très bien, je la trouve un peu trop… « aguicheuse » était le mot que j’ai employé à l’époque…

Un soir après la fermeture. Une veille de jour off pour le restaurant. Quelques bières direction la plage, on cherche un coin reculé. Dans la journée Christophe s’entretient avec moi du fait que lui et Pauline s’entende à merveille, qu’il allait tenter quelque chose… En effet il marchait devant Julie et moi, à un pas un peu plus allant que le nôtre… si bien que nous les perdons de vue et n’entendons plus que le rire de Pauline au loin. Nous décidons de nous assoir.

Je suis donc seul avec Julie. Nous passons un moment super et elle finit par se blottir contre moi. Je n’éprouve que gêne, du moins c’est ce que je crois… Puis elle me caresse le torse et je me sens obligé de lui dire que c’est impossible… Elle en rit mais un rire teinté d’agacement. Je plaide ma fidélité, ça n’a rien à voir avec elle bien sûr. « Tu n’as pas un copain ? une jolie fille comme toi ? » Bref tout ce qu’on ne veut pas entendre lorsque l’on se sent rejeter. La conversation est bien moins sympathique depuis un moment et le retour des deux autres n’arrange rien puisqu’ils sont tout sourire. ils viennent de consommer leur flirt dans le sable à l’abri des regards…

En aparté, Christophe me raconte. voici une transcription que j’espère fidèle vu que je ne me souviens plus de l’échange au mot près :

« Putain mec, elle ma pompé le dard, elle a retiré son t-shirt, elle était seins nus, elle a des obus… C’était énorme… » Bref.

Le souvenir de cette conversation me fait drôle après coup mais sur le moment, je me sens mal… Je crois que je lui dis un truc bien stupide du genre : « Si elle t’a juste sucé, ça va, faudrait pas que ça aille plus loin » ce qui voulait dire « tu te souviens t’es maqué »… Ce à quoi il me répond « Tu rigole ?! On va chez elle après »… Je me suis rarement senti aussi stupide de ma vie… Je sais aujourd’hui l’analyser mais sur le moment je ne comprend pas vraiment ce qui m’arrive… Je suis rentré peu de temps après.

Le lendemain dans l’après-midi, je retrouve Chris. D’abord seuls tous les deux. il me raconte comment ils ont fait l’amour avec Pauline, comment il fallait être discret avec les parents dans la maison… Comment ils ont étouffé leurs cris… et puis évidemment j’ai le droit à « Putain qu’est-ce t’as foutu avec Julie ?! Pourquoi t’es parti ? ». J’ai répondu que j’étais fatigué…

Un petit stop à ce moment du récit pour que vous compreniez ce qui se passe dans ma tête à ce moment là. Je juge mal l’infidélité mais au lieu d’être honnête avec Chris et lui dire que je ne trompe pas ma copine, je lui balance une fausse excuse. En fait j’étais jaloux, je me suis senti bloqué dans une situation nouvelle et j’ai gérer comme il me semblait juste. Mais Chris lui n’a pas du tout eu cette réaction… En fait je suis jaloux. Non pas pour Pauline mais bien de la liberté que semble avoir Chris vis à vis de son couple. je me dis que j’ai bien le droit d’explorer un peu si je veux… Et je suis d’humeur changeante puisque le simple fait de penser cela me fait culpabiliser… C’est compliqué quoi…

Les files nous rejoignent.Pauline s’assoit volontiers sur les genoux de Chris. Elle nous annonce que ses parents lui laissent la maison pour la semaine. Le week end nous sommes conviés chez elle, il y a piscine, maillot de bain, toute la panoplie recommandée. Julie ne pourra pas être là (ce qui me soulage un peu je l’avoue). Et puis et surtout, la petite amie de Chris vient lui rendre visite ce week end… Et Pauline dit : « Elle aura qu’à venir avec nous ». Tout sourire, toujours sur les genoux de Christophe qui (enfin…) semble perplexe mais accepte.

Après le service, nous nous retrouvons donc dans la maison de Pauline, à 4, avec Agathe donc la copine de Christophe. Elle a 27 ans et la différence d’âge commence à être marquée. Il est tard quand nous arrivons et rapidement Agathe va se coucher. Pauline agit avec un grand naturel avec elle et est très chaleureuse. Mais je ne vais pas tarder à l’apprendre, c’est son style, elle est joyeuse et toujours avenante… même avec la copine de son amant. Quand Chris et Agathe vont se coucher, Pauline et moi sommes dans la piscine, elle en bikini (et je constate ses attributs bien que toujours voyant, un bikini ça magnifie, n’est-ce pas ?), moi en short de bain (ça magnifie moins… n’est-ce pas ?). Vous me voyez venir ? Et ben non… tout de suite bande de petits coquins…

Pauline me dit « Viens on va écouter à leur porte, je suis sûr qu’ils sont en train de niquer ». Elle semble très excitée à cette idée mais plus comme une enfant, elle rit, et on arrive à l’étage près de la chambre. Bon je ne vais pas faire l’architecture de la maison, mais en gros, cette chambre communique sur deux pièce, le couloir et la salle de bain, et la salle de bain communique sur le couloir… ça va vous me suivez ? il est plus simple de rester discret sur le carrelage de la salle de bain que sur le planché en bois du couloir… Nous voilà dans la salle de bain. Ils ne sont pas en train de baiser, non… ils s’engueulent. le sujet ? Chris a « reluqué » Pauline toute la soirée…

Agathe : « Tu l’as baisé ? »

Un temps…

Chris : « Bien sûr que non… »

Pauline me regarde , sourit, chuchote… « oups » et rit dans sa main… Elle a les joues gonflées qui lui plissent les yeux… Je vois son regard briller… espiègle ce serait le bon mot pour la décrire… bien qu’on ne soit plus au 18e siècle… Elle est pleine de joie et ça me fait du bien d’être avec elle, comme des enfants qui font des bêtises… Enfin l’adulte que je suis me rattrape… Toujours en chuchotant :

Moi : « ça me gêne viens on les laisse »

Elle : « Tu rigoles, ils vont se réconcilier ça va être un carnage »

Je ris avec elle. Nous restons un moment et rien ne se passe à côté. assis tous deux sur le sol frais (alors qu’il fait une chaleur étouffante) et nous discutons de choses et d’autres. Nous faisons presque connaissance. Elle est célibataire, jamais vraiment eu de relation suivie, elle s’en moque un peu, elle veut s’amuser. Des galères de famille, d’autres choses personnelles l’ont rendu plus distantes et elle « se prend moins la tête sur des conneries ». Je lui raconte mon histoire, maqué depuis l’adolescence… le reste aussi.

Puis un silence. Un gémissement qui ne vient pas de la sale de bain… Pauline éclaire son visage, les yeux écarquillés de bonheur… « ça y est sors ta queue »… Elle se lève… et va près de la porte, me fait signe de la suivre à côté d’elle… Interloqué par ce qu’elle vient de me dire, je me dis que c’est une blague. Moi je ne porte que ce foutu short et elle son bikini… je viens de réaliser que je viens de parler près d’une heure avec une fille presque nus… C’est pas si souvent. les gémissements se font plus réguliers, plus forts aussi, pour l’instant c’est Agathe qu’on entend. C’est excitant je l’admet…

Je tend l’oreille, Chris commence à se faire entendre, lui aussi semble aux anges et tous les deux entament un concert d’orgasmes… J’entends respirer fort… au moment où je commence à être à l’aise, je constate que ces souffles proviennent de ma petite voisine à côté de moi… Elle a la main dans sa culotte… Elle se masturbe devant moi, l’oreille collée à la porte… Elle s’assoit, s’agrippant à moi… Je m’assois près d’elle. Plus besoin de coller l’oreille à la porte pour les entendre faire l’amour. Pauline se colle à moi, côte à côte et son mouvement ne faiblit pas, elle accélère même… elle me parle quand même dans une respiration changeante…

Pauline : « Tu peux sortir ta teub si tu veux » en me posant la main sur la joue

Moi : « ça va merci » je n’en mène pas large…

Elle : « T’es sûr ? comme tu veux » Je l’enlace d’un bras… je ne sais pas pourquoi… Elle semble perdu dans son plaisir, concentrée… j’ai envie de l’accompagner…
« A ton avis, ils font ça dans quelle position ? »

J’entends des claquement de chair…

Moi : « Levrette »

Elle : « Ah ouai c’est bon ça… » Pauline semble se souvenir de sa nuit avec Chris. Elle commence à trembler, à se recroqueviller, plus elle bouge, pus je la retiens fort…

Je finis par lui prendre la visage de mon autre bras, elle est dans mes bras et elle jouit… tentant avec force de ne pas faire de bruit. Elle étouffe ses cris dans mon torse… puis elle se relâche un peu et … je sens des baisers doux sur mon torse de sa part… Puis sur ma joue… Elle sort son autre main de sa culotte… Me sourit à nouveau, me caresse la joue… Puis se lève… Je sens l’odeur de son sexe…

Elle me regarde et dit : « tu peux dormir avec moi si tu veux, viens ? »

Je me lève, j’ai bien sûr une énorme érection… je la suis, je la regarde dandiner… A ce moment je trouve que c’est la plus belle femme du monde…

Un nouveau stop (le dernier). C’est la première fois que je voyais une femme se toucher, que je sentais dans tous les sens du terme une autre femme dans un moment aussi intime que celui-ci, sa peau contre ma peau. Ce sentiment m’a marqué à jamais… Si bien que les premiers mots de mon journal, que j’ai commencé à écrire le lendemain sont les suivant : « Hier j’ai sentis la peau d’une autre femme contre ma peau et la sueur causée par le plaisir qu’elle se donnait perlait contre mon épaule ». Je trouve ça joli, quand on se relis après un certain temps, on a l’impression de ne pas en être l’auteur.

Elle a enlevé son bikini dans l’obscurité, ou plutôt dans la lumière de la lune qui perçait dans sa chambre. j’aperçois donc sa sublime silhouette nue, j’hésite un temps. Elle s’allonge d’un côté du lit, j’enlève timidement dans le noir, le seul vêtement que je porte et m’allonge nu sous le drap, de l’autre côté du lit. « Bonne nuit » j’entends. je ne répond pas…

Je regardait au plafond pour ce que je me souvient… je ne voyait rien bien sûr… Puis mes yeux se sont habitué à l’obscurité… J’ai jeter un œil vers elle, elle me tourne le dos… Je me dis qu’elle dort. Je cogite… Elle bouge… Nouveau regard en sa direction, elle est cette fois tournée vers moi… Ma vue est cette fois parfaitement adaptée… Je distingue une petite lueur sur son visage, une lumière qui émane de ses yeux je ne sais pas comment… Je me tourne vers elle, bascule sur elle, l’embrasse, je sens ses bras me ceinturer au niveau du dos, ses jambes se serrer au niveau de ma taille, nos langues qui se caressent vivement, lèvres et salives se mélangent, sa peau moite contre la mienne, ses seins écrasés sous mon poids et bientôt… mon sexe effleure le sien… et les derniers mots que j’entends sont : « t’es sûrs ? » sa petite voix prévenantes et douce laisse alors la place aux gémissements car pour toute réponses, je la pénètre doucement mais franchement et ma raideur semble lui dire… « je ne sais pas si je suis sûr mais je suis dur… et tu n’y est pas pour rien »… Je crois qu’il vaut mieux rien dire…

La sensation d’un nouveau corps dans lequel je m’abandonne est très puissante… Je suis pris de spasme, partout dans mon corps, je sens le plaisir me gagner, mon ventre, mon souffle, mon cœur, il fait une chaleur étouffante, mes cris se joignent aux siens, ma sueur à la sienne comme nos sexes, nous fusionnons et je me déverse en elle, un torrent de moi même qui dévale les pentes de son intimité… Essoufflé je choix à ses côté… Je la regarde… Je vois sa poitrine gonfler et désenfler vivement, elle est à bout de souffle et partout sur sa peau des perles de sueur jaillissent et s’amoncelle entre ses seins merveilleux… Elle sourit et ouvre sa bouche encore une fois pour me laisser entendre ses mots doux : « Là, tu vas bien dormir comme ça »…

Et j’ai bien dormi certes… Malgré tout je venais de tromper ma copine, et pourtant je me sentais bien… Je venais d’apprendre que le désir est le plus grand vecteur de frustration, le plaisir sans limite en est le remède… Et puis surtout c’était vraiment très fort et intense comme étreinte…

Voilà pour la rencontre…

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J’adore ce recit :grin::grin:… vivement la suite, j’ai encore en mémoire ce que j’avais lu sur FI !

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J’adore aussi… Oui vivement la suite

Je me souviens de tes textes. J’adore cette façon de raconter, d’avoir tes pensées…Tes doutes et tes sensations.

J’approuve tout ce qui a été dit précédemment, je suis content de retrouver ces textes, que tu n’as jamais fini d’ailleurs il me semble :wink: .

Je me réveille… seul… La lumière émanent des persiennes ne me permet pas de savoir l’heure. Je ne travaille pas alors je prend mon temps. Je ne veux pas savoir l’heure qu’il est, ni le temps qu’il fait, ni rien. l’instant présent me suffit… Jusqu’à ce que le cerveau se réveille… et ressasse. Ce que mon cerveau a retenu de cette nuit de bien, de beau, il a dû me le servir en rêve mais maintenant que je suis réveillé, il me rend tout ce que je veux ignorer… en vain.

Je suis infidèle. Coupable car avant de l’être, je fantasmais de l’être. Une chose essentielle me retenais : j’avais toujours éprouvé moins de désir pour une fille que le désir d’être infidèle… ouai c’est pas simple… En gros, j’éprouve aujourd’hui du désir, immense désir pour Pauline, j’avais envie d’elle et que d’elle, je ne pensais à rien d’autre qu’elle. C’est l’évidente conclusion de ce dérapage. Problème : ça ne peut dans ces conditions être considéré comme un accident, c’est un acte consenti, et de surcroit qui sera amené à se reproduire… M gni h grrg borde… fais ch… chut… tranquille… là… respire… Il me faut un verre d’eau, une douche, un peu de sport, un bon film. Day off / été / soleil / fare niente. Profite mon Vanvan… oui parce que je m’appelle Vanvan dans l’intimité quand je parle à mon double imaginaire… OOOkkk on passe à la suite…

Pauline entre dans la chambre. Une pile électrique, une grosse dose de bonne humeur et surtout comme je ne vais pas tarder à le découvrir, une absence totale de langue de bois. Ah et la tenue ? Un t-shirt de mec (pas le mien) et une petite culotte bleue. « ça va beau gosse ? » grand sourire, ses seins sous le t-shirt…

Elle : Bien dormi ?

Moi : Très bien et toi ?

Elle : Oh oui, c’était trop bien… mais trop court

Je prend connaissance de l’heure, il est vraiment trop tôt… bref. Pauline s’allonge sur moi…

Elle : « Ouh… grande forme matinale… c’est pas pour me déplaire » rire… j’ai envie d’elle, je passe mes mains autour de sa taille.

Moi : « Chris ? »

Elle : « Ils sont dans la piscine, il fait beau, ils profitent, ça te dit ? »

Moi : « La piscine ? … Oui bien sûr »

Elle : "Tu veux que je te débarrasse de ça ? " Elle pose sa main sur mon sexe, seul le drap nous sépare elle et moi… puis elle s’allonge à mes côtés. Et entame la conversation. « Ok, discutons. qu’est-ce que Chris t’a dit sur moi ? »

Moi : « Rien de spécial » feignant ne pas savoir de quoi elle parle…

Elle (tout sourire) : « ok » Elle lèche sa main goulument, la passe sous le drap et m’attrape le sexe, pris en flagrant délit d’excitation soutenue… « Je reprend, qu’est-ce qu’il t’as dit sur moi ? » Elle soupire en sentant mon sexe gonfler entre ses doigts…

Moi (sans concession comme souvent quand j’ai le sexe serré entre les doigts d’une fée…) : « Que tu étais bonne… qu’il aimait tes gros seins… qu’il t’a prise en levrette et étouffé tes cris en mettant ses doigts dans ta bouche… » Ces mots l’ont fortement excité, tandis que ces mouvements sur moi s’amplifiait au fur et à mesure que je prononçais cette phrase, elle entamait des mouvements dont la nature est différente mais qui poursuivent les mêmes objectifs… J’aime resté vague… comme le mouvement de ses mains… M’entendre parler (ou à travers moi entendre Chris parler) et de surcroit parler d’elle en des termes qui ne sont pas les miens, crus donc, mais de les prononcer m’excite énormément aussi, et je me prête au jeu…

Elle : « il t’a dit comment il avait jouit ? »

Moi (timidement) : « Oui… »

Elle : « Comment ? »

Moi : « Dans ta bouche… »

Elle : « Et… »

Moi : « … que tu avais avalé »

Elle : « hummm, et… est-ce qu’il t’as dis… que j’avais deux doigts en moi quand il l’a fait… parce que ça m’a rendu folle d’excitation ? » A ce moment, j’entendait les battements de ma queue se faire masturbé par cette fille sublime et que je découvrais totalement délurée… mais aussi le bruit de sa fente qu’elle astiquait frénétiquement… Je me laissais faire car c’était trop bon, trop beau.

Moi : « Non il ne l’a pas mentionné… »

Elle (riante) : « … parce qu’il était trop occupé à déverser son sperme… »

Elle n’a jamais finis sa phrase… Je lui ai attrapé les cheveux pour la guider vers mon membre qu’elle a tout de suite gober… J’ai posé ma main sur la sienne, celle qui me branlait depuis un moment pour accompagner son mouvement… Je sens encore l’humidité de ses lèvres se poser sur mon gland puis manger avec appétit l’objet de son désir et le témoin de ma passion naissante pour cette petite effrontée… C’est un peu ringard comme mot mais qu’importe… Je ne tarde pas à lui donner ce qu’elle veut, une main sur sa main sur mon sexe, une autre dans les cheveux, et à l’autre ouverture du t-shirt, une autre main s’affole sous le tissus probablement trempé qui lui couvre (mal) ses attributs intimes… J’explose… je gémis… je rend pour la première fois mon sperme dans la bouche d’une autre… que dis-je… dans une bouche… tout court… C’est l’été des premières (et c’est pas terminé…).

Pauline de nouveau tout sur moi, son visage près du mien, sperme en bouche, un petit effort et pfiou… disparu les graines de papa… Et puis ses lèvres qui s’écrasent contre les miennes… Elle a mon goût… et loin de me dégouter ça m’excite…

Je pose mes mains partout où il est possible de les poser sur ce corps de rêve… Je la retourne dans le lit, je l’embrasse, je la chérie… On ne m’a jamais fait jouir comme cela. Elle est toute joyeuse… Après le câlin post-pipe du matin… j’aurais pu rester au lit et lui faire l’amour encore quelques heures durant, possiblement, mais des réminiscences du gars sérieux que j’étais me poussent à me lever et affronter la belle journée qui s’annonce.

Je vais à la douche. Une douche froide pour bien me réveiller et me ragaillardir de mes cochonneries. Puis plouf dans la piscine, rejoignant Chris et Agathe sans visiblement réconciliés. Moi je fais le coq si bien qu’il est difficile de cacher aux autres ce qui s’est passé… Enfin Agathe s’en moque bien mais Chris… c’est autre chose. Le flirt a continué pendant la semaine avant l’arrivée d’Agathe et ni Pauline ni Chris n’a semblé se soucier de le cacher aux autres. Pour l’instant, je ne me soucie pas de ça. Je ne sais même pas si Pauline et moi allons continuer à batifoler (ringard aussi… j’avoue).

Et Pauline débarque, bikini ultra sexy comme hier (mais un autre), petits pas de courses, bons de seins, plouf, les yeux des bonhommes hagards, les yeux d’Agathe fou de jalousie. Elle est pourtant très belle cette fille, « bien foutue » je me dis. Mais ce n’est pas là le problème. Elle se lève et part se rhabiller d’un air plus qu’énervé. Chris se tourne vers Pauline.

Chris : « A quoi tu joues ? »

Pauline : « Comment ça ? »

Chris : « Arrête ! » haussant le ton soudainement…

Pauline baisse les yeux et a déjà perdu la lueur joyeuse qu’elle avait dans les yeux. Elle se sens coupable… Elle se sait coupable. Chris quitte à son tour les lieux. Il est peu avant midi. Nous sommes seuls maintenant, discutant au bord de la piscine.

Elle sait que le jeu auquel elle jouait était puéril, la compétition entre femmes, Agathe de 6 ans son ainée… Et maintenant Pauline éprouve l’envie de rester seule. Je la comprend, je ne m’oppose en rien à ses souhaits. Je rentre.

Je me sens… bien… mitigé… triste car cette journée s’annonçait… grandiose. J’ai la sensation d’avoir été l’objet de « vengeance » ou sinon de cette concurrence entre fille… enfin je ne sais pas trop. Et bien sûr, j’ai été infidèle. Au coeur de mes pensées je cherche un moyen de ne pas porter ce fardeau qui à ce moment me pèse. Céline m’a offert ce carnet bleu, je vais baptisé ces pages pour m’apaiser et garder au fond de moi ce qui semble être un mensonge gros comme une montagne. Oui ! C’est pas rien. J’étais assez sensible.

Certains d’entre vous doivent penser que j’exagère, d’autres que je mérite bien ça. Précisons donc. Je pense comme à l’époque que tromper c’est « mal », oui c’est le mot. Et comme à l’époque, je trouve que le mensonge est la meilleurs solution. Prendre sur soit comme un adulte qui a eu une faiblesse d’adulte. Mais ce à quoi j’avais goûter dans les 24 heures que je venaient de vivre… J’en voulais encore…

Pauline m’appelle, rendez-vous 19h à la plage. J’avais hâte…

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Hate aussi de lire ce rdv de 19h…

J’ai passé l’après-midi à rêvasser, notant les choses sur mon carnet tout neuf pour ne pas oublier, écrivant pour revivre ce qui s’était passé. Je sais que Pauline avait besoin de réfléchir et le fruit de sa réflexion restait obscure jusqu’à notre conversation du soir.

Elle m’attend sur la plage, un peu à l’écart même s’il y a beaucoup de monde à cette heure. Elle porte une jupe à fleur, une veste en jean et un haut blanc que j’aurais du mal à décrire mais qui, et c’est le plus important, donne un relief saisissant à sa poitrine. A ce moment, plus rien dans sa beauté ne me paraît vulgaire, ou que sais-je, je trouve son corps très beau, je la trouve très belle. Je m’assois à côté d’elle.

Pauline tout sourire… soulagement. Elle parle. Voici un résumé de ce qu’elle m’a dit (je ne me souvient pas de tout le détail mais en gros) : « Je sors toujours avec des mecs maqués et du coup tout le monde pense que je suis une salope. Cette conne d’Agathe qui prend son mec pour un objet, pas étonnant qu’il aille voir ailleurs. Un jour je me trouverai un mec tout mignon, je me marierai avec, rangée, deux enfants, une maison. Mais là j’ai envie de m’amuser, j’ai le droit non ? »

Évidemment qu’elle a le droit, et ce n’est pas à elle de culpabiliser. Après-tout, elle est libre et ne fait de mal à personne. Tandis que j’évalue l’empathie que je porte à Pauline, je me rend compte que je n’éprouve (plus) aucune jalousie, aucun sentiment d’appartenance ni de possession. Avec ma petite amie oui, mais pas avec Pauline. Ça semble logique mais ça ne l’ai vraiment pas. Je me dis « j’adore cette fille, je la désire certes mais c’est aussi une amie ou du moins nous connectons et c’est une amitié naissante ». Deux sentiment (le désir et l’amitié) qui se rejoignent là où je ne pensais pas qu’il était possible de se rejoindre. J’ai toujours penser, en amitié, tu ne désires pas. Et c’est comme ça que je m’étais préparé à ce que rien ne se passe ce soir là… Naïf que j’étais.

Je lui répond donc : « Tu n’as rien à te reprocher sur ton attitude, si ce n’est, la prochaine fois, reste loin des copines de tes amants. »

Elle : « Ta copine va venir te voir je suppose ? »

Moi : « C’est prévu oui »

Elle : « Et il se passera quoi ? »

Moi : « Rien je suppose, j’éviterai de me retrouver dans la situation dans laquelle s’est retrouvé Chris hier et ce matin »

Un temps de silence…

Elle : « Pourquoi moi et pas Julie ? »

Pourquoi j’ai craqué avec elle et pas avec Julie ? Bonne question…

Moi : « Je sais pas,ça s’est pas passé pareil… »

Je vois qu’elle ne prend pas mes mots pour argent comptant et je crois qu’elle a raison. Je la désire tout simplement plus que Julie voilà tout. Mais je me refuse de le luis dire, elle s’en rendra compte toute seule si ce n’est déjà le cas. Et je la soupçonne d’en tirer une satisfaction d’ailleurs…

Elle : « Ecoute, je vais être claire. Ce qui s’est passé, ça va recommencer, j’en ai envie, t’en as envie, bon. Mais sache que je reste libre, et d’ailleurs tu l’es aussi… ok ? »

Moi (sans réfléchir) : « Ok »

Sourire.

Elle : « Si tu es ok alors suis-moi ».

Je m’exécute.

Elle me conduit à une voiture, la sienne ? je ne pose aucune question. Elle se met au volant, je suis le passager. Nous sortons de la zone urbaine. « Je t’emmène dans un coin secret ». Elle nous a conduit sur un sentier en forêt un peu sombre, une petite piste peu fréquentée à quelques km de la ville. Le soleil couchant traverse la cime des arbres pour nous donner un tissu de lumière et d’ombre à couper le souffle. Il n’y a personne aux alentours, nous sommes assis sur le capot. Je ne fais rien, elle s’en agace…

Elle : « il faut que je te dise… »

Elle se lève se met face à moi, m’embrasse du bout des lèvres sur les miennes, agrippe la fermeture de mon pantalon pour le déboutonner… et reprend en me regardant droit dans les yeux…

« J’adore sucer… »

Interloqué d’abord, je me dis que j’avais remarqué mais je le garde pour moi…

Elle a sorti mon sexe et est allé tellement vite que je n’ai pas eu le temps de bander… J’ai un peu honte de présenter une verge molle au regard de cette bombe sexuelle mais elle ne se dégonfle pas… (vous pouvez rire à cette blague) Et elle plonge mon sexe frileux dans sa bouche humide et chaude. Je pose mes mains sur le capot derrière moi et je la regarde s’affairer comme une déesse. Elle opte pour une position jambes tendues, penchée en avant sur mon entre jambe et me laisse le loisir de voir son cul bombé. Langue contre gland, main sur mes couilles et me branlant un peu, vu sur sa croupe… Je monte en pression sanguine… Les forces me quittent et je me laisse aller savourant cette pipe qui m’amène une puissante érection. Ma queue pousse dans sa bouche et elle semble apprécier.

L’air est frais, la lumière est sublime, un courant de plaisir me traverse de part en part, je prend de grandes inspirations, je ne me suis jamais sentis aussi relaxé… Pauline travaille désormais au corps. Mon érection est vive maintenant et elle doit s’affairer en de larges vas et viens sur mon sexe usant de ses épaules, de son cou, de tout son corps… C’est pourquoi elle éprouve le besoin de faire une pause.

Elle se redresse, ne lâche pas l’emprise de sa main sur ma verge, ni le mouvement d’aller et retour. Elle me sourit et nous nous embrassons, je pose alors les mains sur ses fesses. Elle rentre son visage dans mon épaule, je lui embrasse le cou et elle continue de me masturber. Je lui tiens les fesses pour la maintenir contre moi… Mais son mouvement est en train de me rendre animal et de caresses en étreinte, j’ai soulevé sa jupe fleurie. Je descend du capot et je passe derrière elle. Je soulève sa jupe en fleur, elle porte un string rouge, j’écarte l’élastique brulant et trempée, elle tend sa croupe, je tend mon bout tout dur, j’arme. Et sous sa jupe en fleur, je pose mon gland entre ses pétales de chair. Le contact me provoque des râles de plaisir, comme à elle. Mains sur chacune de ses fesses rondes, j’avance mon bassin et me projette à l’intérieur…

Elle a les deux mains sur le capot et reste redressée, offrant simplement sa courbe à ma besogne… je réalise que je réalise un fantasme, prendre une fille en levrette sur un capot de voiture. Fantasme commun, métaphore sexuelle oblige de la courbe, de la puissance, de l’acte sexuel. Comme j’y pense mes coups deviennent puissant et cette petite Pauline n’a plus les forces de maintenir son poids bras tendus contre le capot. Elle se penche petit à petit vers la carrosserie et je pose ma main entre ses épaules pour qu’elle épouse de son torse sublime, la courbe de sa voiture. Je veux qu’elle se sente confinée entre mon étreinte et la taule… Puis pour la chevaucher encore, je lui attrape les cheveux, tire sa tête en arrière, elle crie, je crie, je jouis en elle…

Un instant sur elle pour reprendre mon souffle, je réalise qu’elle éprouve sans nul doute le même besoin… Je m’écarte.

J’apprends à ne pas trop me poser de question quand il s’agit de sexe, mais je suis encore jeune à ce moment et je me demande si ça lui a plu, si je ne lui ai pas fait mal etc… Mais elle se redresse toute pimpante, sourire, elle m’enlace, elle me susurre à l’oreille alors que j’ai toujours la bite à l’air et qu’elle ne manque pas d’attraper pour m’extirper mes dernière goûte de semence… « merci ».

Ma joie est à son comble, je vis le fantasme qui me gonfle d’orgueil… Je me sens « mâle », animal, primate… je m’abandonne en fait. Et c’est exactement l’effet qu’elle fait aux hommes. Elle remonte dans la voiture et une fois rajusté, je la rejoint au siège passager. Nous quittons la piste alors que le soleil coule derrière l’horizon.

Elle : « On va chez moi »

Et non ce n’est pas une question.

Elle (comme elle me cerne à la perfection) : « C’est l’été de tes premières fois ? »

Moi : « Ça se voit tant que ça ? »

Elle : « Oui »

Je me sens plus humble d’un coup.

Moi : « Et toi il te reste encore des premières fois ? »

Elle : « Bien sûr ! (sans transition) Tu te branles souvent ? »

Moi : « Euh »

Elle : « Allez, tu peux me dire, je veux dire malgré ta nana, tu te branles ? tu mates des films cochons ? »

J’ai l’impression d’être dans un traquenard… Mais dans ce genre de situation, il faut être honnête… même si ça me fait honte (à l’époque).

Moi : « ça m’arrive oui »

Elle : « Ça veut dire que madame ne comble pas tous tes désirs ? (je reste sans réponse) Pardon, c’est pas mes oignons… Alors qu’est-ce qui te fait fantasmer ? »

Moi : « je sais pas… »

Elle : « Mais si tu sais, le truc que tu vois faire dans ces films et où tu te dis, je lui ferai bien la même chose à cette salope ? »

Des centaines de choses me viennent à l’esprit et aussi décontenancé que je suis, cette conversation m’excite énormément…

Elle : « Ivan… Je me suis touché la chatte devant toi hier, j’ai avalé ton sperme ce matin. Tu crois que je te juge ? Et tu viens de me prendre sauvagement sur le capot d’une voiture… »

Un instant…

Moi : « Éjaculer… dehors… »

Elle : « Éjaculer sur mon corps ça te plairait ? »

Moi : « …Beaucoup… »

Elle : " Tu seras exhaussé ce soir… heureux ?"

Elle continue de regarder soigneusement la route mais moi je regarde sa gorge et j’imagine des choses…

Elle : « Moi j’aimerai bien me faire prendre par deux mecs… c’est ça que je recherche quand je regarde du porno… »

Moi : « Je suis désolé, j’ai qu’une bite… » Elle rit aux éclats…

Je suis très fier de cette blague… non mais faut voir le contexte…

Nous arrivons chez elle. Toujours personne dans cette grande maison… Elle me dit de me mettre à l’aise… Je m’attable dans la cuisine. La lumière est allumée, Pauline est devant moi et retire tous ses vêtements. Elle est nue dans la lumière. Je la contemple pour la première fois sous cette angle. Le pli des seins, la ligne de son ventre, le duvet presque roux sur son pubis et sa petite chatte qui semble gonflée, elle pose une main entre ses cuisses, son bracelet argenté accompagne son mouvement…

Elle : « Ça va être ton moment mon grand »

Je me lève, elle s’installe sur la table de la cuisine en pleine lumière. Je retire mes fringues, je me branle devant elle pour me donner de la vigueur mais c’est inutile, je suis dur et dressé comme un piquet… Elle écarte les cuisses, un pieds sur la table, l’autre sur une chaise… Sa main quitte son sexe, elle lève le petit doigt et le pli deux fois… le message est clair : « viens ici »

J’approche, sexe tendu, je pli les genoux, et je retourne où j’étais il y a quelques instants. Elle pose délicatement ses mains autours de mes épaules et me regarde en souriant… Je n’oublierai jamais ce regard… Je me jette en elle, entre ses cuisses, elle jouit d’une voix aigüe. Je jette un œil et regarde mon sexe la pénétrer vaillamment, comme ses lèvres épousent le contour de mon membre, comme il lui écarte l’entre-cuisse, je savoure le frisson que provoque nos frottements mutuels… Nous communions.

Lorsqu’il m’arrive de baiser deux fois d’affiler, la deuxième, je suis bien plus endurant. Et là c’est le cas. Nos peaux se nappent de sueur, elles deviennent brillantes, je vois sa sueur perler entre ses seins, je m’amuse à la bourrer violemment pour faire rebondir ses formes. Puis elle se retourne et pose ses coudes sur la table, penchée en avant, le cul présentable, les genoux légèrement pliés. Me revoilà derrière elle, mon pieux battant la mesure dans sa chatte bouillante et son cul vibrant de mes assauts… Sueur perlant cette fois entre ses fesses et que vois-je ? son petit anus tout serré… En voilà un autre de fantasme… mais ce ne sera pas pour cette fois…

Je sens que ça monte… je sens que je ne vais plus tenir longtemps à besogner cette blonde généreusement pourvue par le nature. Je n’ai pas peur de demander mon dû…

Moi : « J’ai envie de jouir Pauline »

Elle : « Mmmmmm… ça va être bon ça… Tu as choisis ? »

Moi : « Comme tu sens… »

Elle sourit, se retourne, me caresse le torse et un peu le sexe qui pointe durement, il vibre comme une flèche plantée dans le bas ventre…

Elle : « Ouuuhh… tu es à point… Suis-moi »

Et encore je m’exécute… On se croirait dans un film X. Elle aime visiblement jouer des rôles et là elle prend une voix douce et très sensuelle pour me parler. Nous sortons rejoignons la piscine… Un air frais fort agréable pour effleurer nos peaux humides… Elle s’allonge sur un transat’. Elle lève les genoux, écarte les cuisses, se frotte le clitoris vivement, et se caresse les seins, la gorge, le ventre… Je suis debout devant elle… Légèrement au dessus de son sexe, mon sexe pointe au delà de son nombril. Je me masturbe et remarque que je ne m’étais jamais branler après un coït.

Point technique que j’ai pris soin de relever dans mon journal à l’époque (ce qui m’a fait rire en me relisant), je cite : « D’habitude quand je me branle seul, j’utilise mon prépuce pour le faire coulisser sur mon sexe pour le garder humide, là impossible de faire coulisser quoi que ce soit, mon sexe est trop tendu, trop gonflé… Je me suis contenter de frotter mon sexe, mon gland, de serrer les doigts et la jouissance était sans commune mesure avec ce que j’ai toujours connu lorsque je me masturbe… C’est cool de découvrir son corps, encore après toutes ces années »

Je me suis donc secouer la tige devant elle, les yeux dans les yeux et plus j’allais vite, plus elle se branlait vite et je l’ai sentis s’exciter plus que de raison. Cette situation l’excite… Je senti mon sperme me traverser, entre mes doigts ma verge gonfla et pfuit’, un éclat de cette trainée blanche expulsée du bout de mon gland plongeant à vive allure sur la tendre chair de mon amie, ravie de cette petite pluie estivale, épaisse et brulante.

Son souffle s’emballe alors que je grogne de plaisir et expulse les giclées suivantes. Une larme de sperme sur sa joue, une autre sur sa gorge, près de son téton, et les dernières gouttes font ploc sur son ventre et sur son bas ventre, un peu sur son avant bras qui surmonte sa main qui détient les doigts qui vacillent entre ses cuisses…

J’ai les genoux en coton, j’ai chaud, je la regarde, elle est joyeuse, satisfaite… je le suis aussi, à peu près autant que je suis rompu… Le transat’ d’à côté, je m’allonge…

Elle : « C’était comment ? »

Moi : « Parfait, mieux que ça même »

Elle : « Ça t’as bien plu me gicler ton foutre sur moi »

irrévérencieuse. Provocatrice. Le petit minet que j’étais commençait tout juste à y prendre goût… « Mon sperme sur sa peau »… Les derniers mots sur cet épisode écris dans mon journal. Nous avons finis dans la piscine à nous bécoter. Elle aurait sans doute bien aimé que je sois encore d’attaque mais ce n’était pas le cas. Et le lendemain nous retournions au travail.

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J’adore toujours autant ! Merci de reposter cette histoire … vraiment hyper excitante

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Merci. Cool que ça te plaise. Oui je me suis dis qu’il fallait lui donner une seconde vie. Et puis en effet je ne l’ai jamais terminé parce que c’est une histoire compliquée et que je suis compliqué… bref. Mais je vais voir si je me sens de la continuer.

Honnêtement c’est l’histoire que j’ai lu qui m’a donné le plus de plaisir et de loin… les personnages, les situations, les fantasmes… je lirais avec tout autant de plaisir la suite

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Merci pour ce récit, il est excellent ! Je suis jaloux de ne pas avoir connu la même adolescence :wink:

Excellent, j’adore toujours autant !

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Je m’en souviens de ce récit toujours aussi excitant

Je vais faire un bon dans le temps car je ne vais pas consacré un récit à tous les jours de cet été, et même de cette histoire car elle s’étend sur plusieurs années… quand même. Alors je fait ce petit aparté.

Je vous ai présenté tant bien que mal cette fille que je connais depuis quelques jours au moment où de la dernière ligne du dernier post. Ce sujet parle d’une relation largement centrée sur le sexe mais qui implique bien autre chose cela va sans dire. Il va se passé quelques jours voire semaines avant que ma petite amie ne vienne me voir pour une petite semaine. C’est de cette période dont je vais vous parler.

J’ai appris avec Pauline sur le sexe, sur mon corps, sur les relations humaines en règles générales, bien plus qu’en 5 ans de relation avec Céline. Ce n’est pas être dure avec Céline (sans jeu de mot) que de dire cela. Je veux dire qu’il en serait de même pour elle si elle avait fréquenté le pendant masculin de Pauline durant notre relation. La raison ? Nous sommes allé doucement mais surement l’un vers l’autre durant tout le temps qu’a duré jusque là notre relation… Et c’est normal. Bien entendu, et la nature aventurière de Pauline veut qu’avec elle ça va très vite. Elle va au fond des choses (sérieux restez concentrés), elle est directe… tout ça.

Bon je dis ça avec beaucoup de recul. Quand je relis mon journal, les pages suivantes sont un mélange de récits de cul, de sentiments variés, de culpabilité, de n’importe quoi non daté… Bref c’est le bordel. Il est logique de penser qu’il en était de même dans ma tête.

Alors pour résumé (entre mes souvenirs et les écrits du journal) :

Nous nous sommes beaucoup vu avec Pauline durant cette période. Mais… plusieurs choses faisaient que nous faisions cela en cachette. D’abord l’amie de ma mère… Je n’assume pas forcément cette relation et je n’ai pas envie que cela se sache du côté de ma famille… oui ben j’ai 21 ans à l’époque et pour moi… c’est compliqué quoi. Et puis Chris et puis Julie et puis les ragots qui peuvent aller bon train d’autant qu’à la base, tous les 4 nous étions assez bien entendu… Donc on se la joue copain copain avec les autres et si un moment, il nous est possible de nous retirer, nous nous retirons.

Alors ça donne une pipe dans les toilettes, un cuni sur la plage, un petit coup dans la voiture, une levrette dans les toilettes aussi, branlette espagnole… ouai ça j’aurai pu vous le raconter mais bon… dans les toilettes, dans la voiture, sur la plage… J’en passe. Et bien sûr, souvent, c’est la première fois pour moi, la plage, les toilettes, la voiture, la branlette espagnole… Bref on kiffe !

Chez elle, les parents sont souvent là. C’est une maison de vacances mais on est en pleine saison et ce sont des bordelais donc ils n’ont pas long à faire. Mais quand il nous ai possible, on passe du temps là-bas et justement, on prend notre temps.

Ça peut durer longtemps, ça peut être doux. Elle est capable de branler une queue avec une délicatesse rare… je le précise car pas évident à trouver… Ce genre de caresse peut durer des heures… je lui rend la pareille… et puis des fois c’est brutal, c’est bruyant… c’est n’importe quoi… mais bon… c’est sympa aussi.

Le fait est que pendant cette période, nous étions exclusifs. Nous avons parlé beaucoup de nos vies, de nos envies dans la vie… ça fait beaucoup de vie. Tout ça pour dire, ce serait devenu sans doute bien confus pour nous deux si Céline n’était pas venu me voir cette semaine.

Il n’est pas dur pour nous de feindre l’amitié, nous sommes potes, nous rions ensemble. L’idée c’est si on se voit tous les trois (Pauline, Céline et moi), c’est en terrasse, éventuellement sur la plage en pleine journée et bien sûr au resto. Pas de teuf, pas de soirée dîner ou que sais-je… Nous sommes tous les deux d’accord et elle accepte avec plaisir d’être complice. Elle sait qu’elle peut être assez vite en compétition avec Céline (comme avec toutes les filles), j’essaie de lui faire confiance pour se contenir, et elle me donnera raison. Même, cette semaine, je resterai quasiment toute la semaine avec Céline, profitant au maximum du temps qui nous était imparti tous les deux, le seul moment de l’été passé ensemble.

Céline est très belle… vraiment. Mais c’est l’anti-Pauline, elle petite aussi mais toute fine, brune, des yeux bleus absolument sublime, peu de poitrine mais beaucoup de sensualité… (et je sais pas pourquoi je dis mais, une petite poitrine c’est souvent très beau et très sexy, et je le pense). Durant cette semaine, je vais prendre plusieurs jours où nous allons traîner tous les deux sans voir personne. Et ce sera vraiment un très beau moment, une belle parenthèse d’été passé avec l’amour de ma vie (du moins je devais le penser puisque je n’arrête pas de le répéter dans les pages de mon journal). Alors marche, ballade, dîner chandelle et le soir nous avons fait l’amour.

Et oui je ne vais pas vous laisser comme ça sur votre faim…

Je redoutais ce moment car j’avais peur de ne pas en avoir envie… mais j’en avais envie en fait… et même très envie… Comme une sensation de changement. Comme si je me lassais de Pauline. un sentiment un peu obscur mais le résultat était saisissant. Nous nous sommes glissé dans le lit doucement sous un drap inutile avec presque pas de vêtements… Et quand j’eu retiré sa simple étoffe qui lui tenait le bassin je me suis plonger amoureusement entre ses jambes, celles de la fille que je n’ai pas vu depuis longtemps et je l’ai tellement aimé contre ma bouche, tellement choyé de baiser entre les cuisses qu’elle a jouit à gorge déployée et prise de spasme, elle n’a plus contrôlé ses gestes recroquevillée sur elle-même. J’ai l’habitude de lui donné ce genre de plaisir mais en général, je la laisse décidé de me rendre le bonheur en retour. Mais pas là.

Cette fois je me suis levé du lit et j’ai présenter ma queue à son visage… Elle a adoré, elle s’est mise à quatre pattes et elle me la dévorer, son derrière bien dressé pour m’exciter et m’endurcir… et je lui ai tenu les cheveux et quand elle n’en pouvais plus d’attendre, elle s’est simplement retourné, croupe tendue et ses faveurs acquises, elle était à ma merci…

Petite caresse sur ses fesses, entres ses fesses, puis entre ses cuisses… Et je la pénètre, la traite comme un animal et la prend virilement, battant sa chair comme un cavalier chevauchant sa jument… je l’entend crier encore, je me sens fier, je la sens perdu, elle n’a pas l’habitude de ça… Et j’en rajoute quand je lui attrape sa chevelure fine, l’enroulant dans ma main pour ne pas qu’elle m’échappe et elle ne m’échappera pas… Et bientôt c’est à moi de subir des spasmes de jouissance et dans un élan… mon sexe se retrouve hors de son fourreau et viens joncher contre le sillon de ma belle croupe possédé par le plaisir. Je serre de mes mains ses fesses et m’en serre pour me donner la joie de me faire coulisser entre elle… Et très vite mon jus blanc se répond sur son dos comme une traînée laiteuse…

Elle est surprise… mais pas conquise… Elle trouve ça étrange… Mais alors que je m’allonge à ses côtés, elle saute dans la douche… Puis discussion.

Ça ne se passe pas trop mal, elle aurait aimé que je la prévienne mais…si ça me plait. De mon côté, « il y a longtemps que je voulais essayer » « tu me manquais »… Elle a répondu « j’ai vu »… Sourire, bisous, et elle m’a dit cette chose : elle a eu l’impression ce soir que je ne lui faisais pas l’amour, non… mais plutôt que je la « baisais »… et aussi qu’elle aimerait que je la baise plus comme je l’ai baisé ce soir là… Voilà.

Elle me manquait, mais ce n’est pas que ça… Et je me suis alors mis à penser que cette histoire avec Pauline me faisait du bien, mais aussi faisait du bien à mon couple et à Céline… Cette semaine là, nous avons beaucoup baisé…

Puis elle est rentré à Paris, et j’avais hâte de reprendre les hostilité avec Pauline… et aussi bizarre que ça puisse paraître, de lui raconter…

PS : la description de notre étreinte est tirée du journal (que j’ai un peu remodelé quand même) mais je me suis trouvé… inspiré… c’est vraiment étrange de se relire après tout ce temps.

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Dans la foulée la suite…

De nouveau libre de retourner fricoter avec Pauline, j’étais impatient de la retrouver. Non pas parce que j’avais envie d’elle (bon ok un peu), mais parce que j’avais envie de partager ce que je vivais. D’abord cette double relation devenait de plus en plus intéressante, excitante et, de manière inattendu, inspirante pour mon couple. Et puis Pauline est la seule et unique personne à part moi à être au courant de tout ça.

L’occasion de la revoir ne se présenta pas tout de suite. La raison est qu’elle et Chris se revoient, un peu en douce. Depuis la semaine que j’ai passé avec Céline. Et voilà… Je me suis senti un peu doublé, comme si je devais payé ce moment d’absence. Mais je n’ai pas forcé les choses et même, j’ai compris. Pourquoi m’attendre alors que je passe une semaine de rêve ma compagne. Je les ai laissé. Je ne ressentais aucune animosité. Nous avons même pu en parler durant une pause. Elle était contente de ma réaction, j’étais moi-même assez content de ma propre réaction. Et puis au bout de quelques jours, je me suis mis à avoir vraiment trop envie de la voir. Alors j’ai tenté le texto suivant : « J’ai envie de toi, trouverais-tu un moment pour qu’on se voit ? ». Et dans la foulée, elle répond « Après le boulot, on ira chez moi, ok ? »… « OK ! »

Nous arrivons chez elle, il est tard, ses parents sont là donc pas de bruit et hop… dans la chambre de Pauline. Ce n’était pas notre fort la discrétion mais là… on a du faire un effort.

La porte se ferme, elle commence la première à m’assaillir, bavarde comme d’habitude… « Alors comme ça on ne peut plus se passer de moi ? ». Elle m’a sorti le sexe de mon pantalon en un rien de temps, me masturbant énergiquement… Mon érection était déjà bien entamé tant sa tenue de travail m’excite, jupe noire et chemisier blanc… tout simplement. De grands sourire et puis je commence par son chemisier puis je m’arrête là… je lui remonte sa jupe et extirpe sa petite culotte qui lui sert la taille… je l’en débarrasse et je l’allonge sur le lit, je passe au dessus, je plante ma queue toute dure sur son con tout humide… je la pénètre… nous gardons les vêtements… oui j’avais envie d’elle et quelques coups de reins, quelques minutes plus tard, elle recevait ma semence dans un éclair silencieux de jouissance intériorisée… Et elle essoufflée, en sueur, chuchotant… « ça va mieux ? »… ça allait mieux…

Bon, c’est pas un évènement très intéressant, un petit coup vite fait comme on dit, à la discrète… mais voilà comment avait commencé notre soirée. Et comme nous n’aimons pas faire les choses dans l’ordre, nous nous sommes déshabiller, mis nu sur son lit. Je revoyais ses formes et j’étais de nouveau aux anges. Nous nous racontons notre petite vie.

Nous commençons par Chris. Elle voulait s’assurer que tout allait bien, et je le lui confirmait. C’est marrant de se voir et de se raconter nos vies comme cela, puis après baiser, rire ensemble, passer du temps. Voilà la situation, elle revoit Chris et elle le reverra encore cet été. Il est au courant pour nous deux, bref je dois la partager… ça m’enchante moyen mais ok, je l’accepte et même, je me dis que… enfin j’y viendrais au prochain chapitre. Et puis les détails : comment elle le suce, comment il aime venir dans sa bouche, le plus souvent, ils ne font que ça, c’est qui lui plaît et ça lui convient. Lorsqu’il baise c’est dans la voiture, une fois dans le lit celui dans lequel nous sommes nu, et dans lequel je suis en train de bander et dans lequel je la soupçonne de se rendre humide à me raconter tout ça. Je l’écoute, apprécie de voir comment le sexe peut être différent mais ça ne dépend pas des gens, ça dépend des couples, entendez de l’entende entre les partenaires. Elle n’est pas la même Pauline avec Chris qu’avec moi, et je ne suis pas le même Ivan avec elle qu’avec aucune autre… Enfin à ce moment de ma vie je n’ai connu que deux filles… mais ça se confirmera très bientôt…

Toutes ces histoires me donne envie de le faire, mais aussi d’en entendre plus. Je me surprend à poser des questions du genre « comment elle est sa bite ? »… oui oui je me suis intéressé à cette question… mais surtout parce que je voulais l’entendre décrire le sexe de Chris… Du coup pour info, pas trop grande, ni trop petite, courbée vers la droite et surmontée d’un large gland rose aplati… Voilà. Et puis c’est mon tour…

Je lui raconte tout… et elle veut tout savoir et tout comme moi, elle pose les questions dont les réponses m’échappent dans mes récits… Et nous sommes allongés sur le côté face à face et pendant que je parle, elle enroule ses doigts autour de mon sexe comme 5 serpents sur leurs proies… Et je la laisse faire en souriant et j’adore ce qu’elle me fait maintenant. De beaux vas et viens effectuées avec douceur… Et je continue et elle ponctue mes récits de « Ah bon ? », « tu lui as fais ça ? chanceuse », « hmmm quelle chaudasse alors, j’aurais jamais cru »… Et c’est de plus en plus confus, plus en plus fort… Nous nous sommes rapproché sans s’en apercevoir, et les yeux dans les yeux, nous continuons à parler, mes lèvres à deux doigts de siennes… et mes doigts maintenant entre ses cuisses… et nous nous masturbons mutuellement… et ça commence à être vraiment intense… Puis plus un mots si ce n’est « comme ça c’est bon…3 " ah ouai vas-y »… J’attends qu’elle vienne pour la rejoindre… mais nous ne jouirons pas ensemble car son orgasme lui fait tout lâcher… Et mes doigts sont imbibés de son plaisir juste consommé… Puis elle m’embrasse fort… Puis je l’enlace, et sa poitrine s’écrase contre mon torse, ce qui est encore aujourd’hui une de mes sensations préférées au monde… Et je parle de tous les seins qui ont un jour croiser mon torse mais surtout de ses seins à elle… magnifiques…

« Comment tu veux faire ça mon Ivan ? Dis-moi, je ferais ce que tu veux… » C’est tout décidé… « J’ai envie de jouir entre tes seins Pauline »… Je la bascule dos contre le lit et me redresse… Je passe une jambe puis l’autre de part et d’autre de son buste… A genoux je laisse tomber mon sexe turgescent entre ses mamelles… Mes deux mains pressent ses seins de part et d’autre de mon membre pour commencer les doux vas et viens… Elle rit… « je sens tes petites boules me chatouiller sous les seins »… Elle me caresse les jambes, le torse, les abdos, le bas de moi, un peu le queue, le gland… J’accélère car c’est en train de monté… elle s’emballe comme si j’étais en train de la pénétrer… je sert fort sur ses seins il faut dire et enfin… je sens mon sexe se gonfler et je le vois rendre mon sperme sur gorge moite, un peu sur son visage car les premiers jets sont puissants… et pour finir, elle me met dans sa bouche… sa bouche chaude… sa bouche humide… j’ai lutté pour ne pas crier…

Voilà le genre de moment qu’on aime passer avec Pauline, c’est un peu les prémices de ce que sera notre relation durant toutes ces années.

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Excellent comme toujours

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C’est trop bien !!! Merci pour le recit

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La suittttteeeee :grin:

Il est temps de conclure le récit de cet été 2007

La dernière soirée passée avec Pauline avant que je ne rentre sur la capitale, chez elle, seuls elle et moi, dans cette grande maison. Au programme : piscine, dîner et compte rendu des tribulations de la jolie nymphette qui m’accompagne depuis le début de l’été.

Comme elle se partage entre moi et Chris, je me contente de l’écouter, de la regarder s’agiter et de cueillir le fruit de son excitation. Elle aime que ça m’excite et j’aime l’entendre me raconter les détails de ses ébats ce qui rend notre relation spéciale puisqu’elle ne fait pas ça avec Chris… Du moins c’est ce qu’elle prétend et jusqu’ici j’ai choisi de la croire… mais peu importe pour le moment.

Depuis que Céline est rentrée, je vois Pauline de temps en temps, souvent chez elle où nous pouvons vivre un peu reclus, nus le plus souvent et où nous pouvons créer un espace de liberté totale… oui la réclusion et la liberté… c’est paradoxal… Bref.

Nous sommes sur le canapé, assis à moitié en tailleurs, chacun à une extrémité, de trois quarts face. Elle porte son maillot de bain, enfin seulement sa culotte (elle préfère se baigner seins nus… je préfère aussi), et un pull épais… elle est frileuse. Moi je ne porte que mon short de bain ridicule gris et jaune (oui j’ai bon goût), torse nu. Vous visualisez la scène ? C’est bon ? Alors je continue.

Pauline sourit. Elle commence son petit exposé. Chris et elle ont fait l’amour dans le restaurant où nous travaillons. Il était de fermeture, elle est resté avec lui puis il a éteint les lumières, de sorte qu’à travers les rideaux de fer, ils ne puissent pas être vus de l’extérieur. Mais de l’intérieur, l’extérieur reste visible bien sûr.

Elle adore ce genre de situation et je n’ai pas eu vraiment le loisir durant cet été d’expérimenter cela avec elle. Moi j’étais l’amant du salon, Chris l’amant de la rue. Mais pas de soucis, je souris moi aussi et l’invite à poursuivre.

Elle s’est d’abord agenouiller, lui debout, elle l’a sucé ainsi comme il aime. Personnellement, je préfère être assis, et elle entre les jambes, à genoux également… mais chacun son truc…

Avant de poursuivre, elle tend sa jolie jambe pour venir de la plante des pieds, me tâter l’entre jambe, s’assurer de ma vigueur naissante. Et comme elle sens que… tout va pour le mieux, elle continue.

Chris la prise debout en levrette contre le bar, ce qui est plus évident pour lui car il est plus petit que moi, Pauline n’étant pas bien grande. Elle ne manque aucun détail. La position de ses jambes, la place des mains de son amant qui la prend sauvagement dans la pénombre de notre lieu de travail commun. Mon sexe contre son pied, sous sa pression commence à enfler sérieusement. Puis il l’a basculé sur la table pour la prendre face à face sur une table et a jouit sur elle, sur ses vêtements, encore un truc que j’aimerai bien lui faire…

Fin du récit, je souris, la taquine… « Petite cochonne ». Et comme, d’habitude, je n’ai rien à raconter, nous nous retrouvons dans cette situation, nous allons faire l’amour elle et moi. Vous vous en doutez n’est-ce pas ? Mais cette fois, j’ai quelque chose à raconter.

  • J’ai baisé avec Julie.

Oui Julie, vous vous en souvenez, celle dont j’avais refuser les avances. Pauline remet son pied en place, puis sourit. A mon tour.

Après le service, nous sommes allé nous balader, plage, nuit, fraicheur salvatrice. Elle porte une robe bleue foncée qui épouse ses jolies formes longilignes.

Je n’avais pourtant pas pour projet de la séduire. Mais elle avait envie de me séduire, je le sentais. Je pense que je n’aurais jamais remarqué cela si je n’avais pas fréquenter Pauline, si je n’avais pas eu ce surplus de confiance en moi. Et puis je n’aurais rien tenté si je n’avais pas penser au moment où je l’aurais raconter à Pauline. Et ben voilà. C’est le moment. Et c’est jouissif. J’ai moi aussi ma petite aventure à raconter.

Comment ça s’est passé. Une petite discussion assis sur la plage dans l’intimité. Puis elle m’a posé cette question : « C’est pas trop dur d’être fidèle ? »

Pauline me confirmera qu’elle était au courant pour Pauline et moi et donc de mon infidélité. Cette question ressemblait à un test pour jeter au visage mes contradictions, puisque c’est la raison avancé pour l’avoir repousser la première fois. Et Pauline me demande justement :

  • Tu lui as répondu quoi ?

  • Rien, je l’ai embrassé.

Pauline est de plus en plus intéressée. Oui, je l’ai simplement embrassé, elle a laissé faire et même elle m’a embrassé en retour. Un vrai baiser durant lequel nos bras s’enlacent, nos mains se baladent par delà le tissu de nos vêtements. Je ne parle pas de nos langues qui se débattent, l’une dans la bouche de l’autre, les yeux fermés. Et quand j’eus l’initiative de passer ma main sur sa jambe puis sous sa jupe, elle me repousse, pour me prendre la main et m’emmener dans un coin plus tranquille de la plage. Il est tard donc nous n’avons pas long… J’ai une grande érection et j’ai un doute sur ce que Julie me laissera faire avec elle ce soir.

Pauline à poser sa main sur sa culotte, à l’endroit où elle peut commencer à se faire du bien, juste en pressant légèrement son index et son majeur entre ses cuisses. Et moi je la regarde faire puis je continue.

Nous nous sommes d’abord repris en bouche. Et puis les caresses, et puis la jambe et cette fois sous sa jupe, elle me donne l’accès par un signe très clair en deux temps. D’abord elle me touche le sexe à travers le pantalon, et puis elle écarte gentiment sa jambe au fur et à mesure que je glisse ma main. C’est simple. L’étreinte elle même n’aura rien d’extraordinaire si ce n’est qu’elle se déroulera sur la plage, sous les étoiles. Pauline a glisser ses doigts sous l’élastique de sa culotte. Je sens son odeur de là où je me tiens. Je ne fait rien d’autre que de continuer mon histoire. Et puis vient le détail qui tue.

Julie ne portait pas de culotte. Et Pauline : « Oh la salope ». D’un ton qui me fait doucement rire… C’est quand même le comble du jugement, mais Pauline le sait bien. Oui une fois sous sa jupe, pas de culotte… Pour ma grande surprise et mon grand plaisir. Je me dis « oh toi tu avais envie de te faire niquer ce soir » mais je me suis abstenu, j’avais pas envie de tout gâcher par ce genre de remarque. Et pendant que je commence à lui fouiller l’entre jambe, elle s’affaire avec difficulté à sortir mon sexe de sa prison de boucle de ceintures et de tissus serré. Mais quand elle y arrive, c’est pour me la saisir avec force.

Le tableau, sa main m’agrippe le membre dur, et la mienne caresse son minou tout chaud… et de doigt en doigt, je lui extirpe des gémissements couverts par nos baisers.

Pauline se lève, s’agenouille devant moi, entre mes jambes, elle n’a qu’à écarté l’élastique de ce short ridicule et mon sexe se dresse droit sous ses yeux et Pauline toujours aussi curieuse :

  • Est-ce qu’elle t’a sucé ?

  • Et non, nous craignions le sable je pense, elle comme moi…

  • Oh dommage mon beau loup (oui c’était mon surnom), alors vous avez fait quoi ?

Pauline me prend dans sa sublime bouche, et commence sur moi une fellation intense. J’ai de plus en plus de mal à parler… Mais je continue.

  • Je l’ai basculer sur le dos face à moi… et je l’ai pénétré… ça a été tout seul… elle a poussé un long gémissement dés que je commençais à m’enfoncer en elle…

Pauline se lève, enlève sa culotte, gardant son pull, enlève mon short et vient s’assoir sur ma queue… elle aussi se fait coulisser aisément sur mon sexe dressé… Puis elle s’affaire comme elle sait s’affairer, mes mains sur sa cuisses, c’est moi qui gémit… mais je poursuit…

  • Elle a levé ses pieds vers le ciel, et plus je la baisais… oohh… plus elle écartait les cuisses… mmmm… et plus mes pénétrations… étaient… profonde et intense…

Pauline se fait basculer de bas en haut et sa respiration est pressante, puis elle gémit… « Continue… continue ». Comme c’est elle qui me baisait, je me suis dis qu’elle devait parler de mon histoire… mais la vérité c’est que l’histoire est presque fini… Alors je meuble…

  • Elle se tenait les pieds à la fin, j’ai finis par la baiser si vite et si fort qu’on a du nous entendre depuis les coins les plus fréquentés de la plage, je sentais mes couilles taper contre elle et surtout sa mouille abondante me faisait faire de grands allers retours, large malgré l’étroitesse de sa petite chatte…

Impossible de retenir Pauline qui devient incontrôlable et se met à trembler et son pull qui me donne chaud… je le lui retire lorsqu’elle se calme, lorsque son orgasme est passé… Je sue à grosse goûte mais ce n’est rien comparé à Pauline… Je revois son torse en sueur, ses seins brillant et les goûtes de transpiration dévalant leur pente… Puis elle reprend me collant son sein contre mon visage, son tétons dans ma bouche… Je le titille, le mordille, elle tremble, je tiens l’autre fermement dans ma paume, tandis que mon autre main lui caresse la fesse, la raie elle aussi trempée… Je joue avec son petit bouton… Puis elle se relève… Et se place à quatre pattes sur le canapé… Je me lève, me place derrière elle… cale ma queue bien entre ses lèvres, m’enfonce un peu, saisi sa croupe à pleine poigne, la regarde suer, le sillon de son dos qui se tortille… je la bourre virilement et je finis mon histoire…

  • Je me suis enfin retirer… oooh… puis elle ma saisi la queue…

  • Oh oui… c’est bon ça…

  • Et elle m’a branler… mon gland appuyé sur sa vulve… (mes mouvements deviennent de plus en plus intense)

  • Et ensuite…

  • J’ai éjaculé sur sa chatte chaud et trempée…

Quelques mouvements de plus et je n’en pouvais plus… je suis sorti et j’ai caler ma colonne contre sa raie, toujours empoignant ses fesses, j’ai envie de venir entre ses fesses… Elle s’est alors allongé droite sur le ventre, ainsi me donnant plus de chair pour me masturber entre ses deux magnifiques pommes… Bien calé, je me suis secouer vivement pour enfin avoir cet orgasme dément… Mon sperme a traversé ma queue comme un geyser et j’ai éjaculer généreusement sur son dos et entre ses fesses alors qu’elle avait passer un bras sous son ventre pour se toucher le sexe… Elle remuait ainsi pour mon plus grand plaisir son sublime bassin, réceptacle de mon désir durant cet été chaud et intense.

Allongé l’un contre l’autre désormais, Pauline ne perd pas le nord :

  • Du coup, ton sperme devait lui couler entre les cuisses vu qu’elle ne portait pas de culotte ?

  • … Sûrement… (ça l’a fait rire)

  • Et tu l’a raccompagné ?

  • Oui, nous échangé une bise puis je suis rentré chez moi… j’avais hâte de te raconter…

  • Et t’as pensé à moi pendant que… ? (un petit mime du bassin pour me faire comprendre ce que j’avais de toute façon compris)

  • … Tout le temps (j’ai hésité à l’avouer, mais c’était vrai alors…)… et toi ? Tu penses à moi quand tu… ? (mouvement de bassin)

  • Parfois… oui…

Nous avons dormi sur le canapé une partie de la nuit… Et elle m’a réveillé pour que l’on remonte dans la chambre, finir la nuit. Une fois dans le lit, nous avons refait l’amour, pour la dernière fois de l’été, face à face, entremêlé… L’un dans l’autre, dans le noir, nous ne nous sentions que l’autre dans la pièce, la peau, l’odeur, le sexe, le goût de ses joues, de sa langue… Un souvenir flou, juste quelques sensations extraits de notre demi sommeil…

Le lendemain, nous nous promettons de garder contact. Mais l’un comme l’autre pensions qu’il s’agirait sûrement de notre dernière nuit. C’est la raison pour laquelle elle fût si intense. Et voilà.

Je suis rentré chez moi, heureux de revoir Céline mais nostalgique. J’ignorais que je reverrai Pauline aussi vite à ce moment là.

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