Pauline

Merci pour la suite !
Ca m’a « reveillé » :wink:

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Super merci !! On ne s’en lasse pas … encore !

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Ouiiii encore

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L’été 2008… commence sur les chapeau de roue…

Ce matin là, je tourne en rond… Je fais le bilan de ma nuit… Il est onze heure… pas de nouvelle de Céline… D’abord les toilettes du bar… cette jeune fille… sa main sur ma queue… le toit… Pauline… Elle me suce… je la baise dans les escaliers… Nous nous faisons surprendre… J’envoie un texto à Pauline : « Tu es réveillée ? »… Pas de réponse… Non bien sûr… Et Tiphaine… 10 ans de plus que moi… mais une matinée de sexe torride… une connexion entre nous… Je m’allonge sur le lit et je glisse la main dans mon boxer… je suis dur… Tiphaine… Mes doigts se crispent sur mon sexe… Tiphaine… J’aimerais… mmm… Mon prépuce coulisse naturellement sur sa tige… Pauline… Je monte… Céline…

Rien à faire… Je suis fou d’inquiétude pour Céline… Je suis fou d’excitation en pensant à Tiphaine… J’ai besoin de parler à Pauline… Que se passe-t’il ? J’étais un instant jaloux d’avoir surpris Pauline avec ce mec. Puis désintéressé totalement l’instant d’après… Il faut que je dorme… impossible avec cette érection…

Je me fais couler un bain… Je le fais très chaud même s’il fait déjà chaud… Je plonge mon corps nu et fatigué… mon téléphone à mes côté… Je commence à me branler fébrilement… repensant à tout ça… je suis trop troublé pour pouvoir jouir… Mon téléphone vibre…

J’interromps mes gestes. Je sursaute presque et empoigne ma serviette pour me sécher les mains. Je prend mon téléphone, enfin des nouvelles de Céline… Non… réponse de Pauline : « Oui… » Oui elle dort… J’aurais pu attendre une réponse de Pauline plus que de toute autre personne… mais pas cette fois… Céline… ou pourquoi pas Tiphaine… Mais là Pauline, pour une fois, je m’en moque… Changement de stratégie… J’éteins mon téléphone… Je m’enfonce dans l’eau chaude… Je me masturbe sans jouir… Et je m’assoupis…

La peau des doigts fripée… je me réveille, l’eau est tiède… Je sors de mon bain… Me sèche… Je bande encore… Mon téléphone…

Je sors nu, m’écroule sur le canapé… Allume mon téléphone… Il est midi passé… Deux messages… Céline : « Coucou, j’ai essayé de t’appeler mais tu ne répond pas, je déjeune avec les copines, on se vois en fin d’après-midi… désolé pour hier soir, je n’avais plus de batterie, j’ai dormi chez Lucie, elle m’a prêtée son chargeur, j’espère que tu ne m’en veux pas… Bisou »

J’ai envie de la croire… mais je ne la crois pas… Je l’ai trompé deux fois cette nuit… trois si on compte les toilettes du bar… Je n’ai rien à dire. Je lui répond : « Pas de soucis. A toute. Bisou. »

Pauline : « Je me réveille, dis-moi tout, comment elle s’appelle déjà ? Celle dans la sueur de qui j’ai passer la nuit :p »

Je souris, ça me fait rire et en même temps ça m’excite…

Moi : « Céline n’est pas rentrée cette nuit »

P : « Aïe »

Moi : « Je peux passer chez toi ? »

P : « Vas-y, je lance le café »

C’est une journée magnifique. De retour chez elle. L’appartement a été nettoyé, aéré.

P : « Alors tu t’inquiète ? »

Moi : « Bah un peu… je sais que je ne devrais pas lui en vouloir… »

P : « Vu ton comportement tu veux dire ? »

Moi :« Euh… mon comportement ? »

P : « Ben oui… là tu flippes mais tu ne te soucis pas de ce qu’elle aurait ressentis si elle était rentré hier ? »

Moi : « T’es gonflée de me parler comme ça, t’étais avec moi sur le toit je te rappelle »

P: « Ah d’accord c’est de ma faute si tu la trompe ! »

Moi : « J’ai pas dis ça mais t’es une complice, et en plus c’est ton amie… »

P : « T’es vraiment hypocrite… Moi je suis libre, c’est mon mode de vie… mais toi tu mens à ta nana, et tu ne supportes pas qu’elle puisse aller voir ailleurs… »

On s’est enguelé pour la première fois ce jour là. Jusque là je me voyais comme un mec cool, avec une vie sexuelle libérée, qui pouvais séduire sans difficulté… mais je me rendais compte que je ne supportais pas que l’on puisse se comporter comme ça de l’autre côté… Pur instinct de possession, misogyne… Je me sentais misérable… de plus Pauline ignore complètement que j’ai pu ressentir un tel sentiment à son égard quand elle était avec ce type dans le cagibi… Je me sentais con… Pauline m’avais remis à ma place…

P : « Tu te souviens, je te l’ai déjà dit… tu ne peux pas être libre… tu vis dans le mensonge… on ne peut pas se voir comme on l’a fait cette nuit, ou encore l’été dernier. C’est dommage parce que j’adore être avec toi, on baise bien, on rigole bien et tu es un super pote… mais t’es pas clair… Moi je suis libre et j’assume… »

M : « Tu assumes avoir baisé le mec de ton amie Céline… »

J’étais trop con… J’essayais de la faire culpabiliser pour atténuer la mienne de culpabilité…

P: « Tu sais quoi ? Laisse moi tranquille, va ruminer dans ton coin et arrête d’essayer de faire porter le chapeau de ta connerie aux autres… »

Avant de quitter son appartement… J’entrevoyais une lueur dans ses yeux… Je ne pensais pas qu’elle était du genre à pleurer… Mais ça m’a fait de la peine… Et elle a fermé la porte.

J’étais seul, ayant trop peu dormi… Triste… Je rentre chez moi…

Céline est rentrée vers 17h. Je mourrais d’envie de la questionner sur sa soirée… mais j’avais réfléchis et ce qui était le plus dur c’est que Pauline avait raison… Je pouvais pas blâmer Céline. Je devais lui laisser son mensonge. Elle est comme moi, comme beaucoup de gens, des désirs et des fantasmes à assouvir, elle est jeune… comme moi. Et je devais m’excuser auprès de Pauline…

Céline s’assoie près de moi sur le canapé… S’effondrant sur mon épaule…

C: « Je suis crevée… j’ai fini tard j’ai préféré rester chez Lucie… désolé de ne pas t’avoir prévenue… ».

Moi : « T’inquiète pas ça arrive… »

C : « Tu as fini tard ? Tu es rentré quand ? »

A mon tour de mentir…

Moi : « Vers 4h du matin »

Un instant de silence…

Céline : "Bon je file prendre une douche… "

Elle se lève… Passe devant la commode près de la porte d’entrée, où j’avais laissé mon téléphone… qui vient de vibrer… Elle me regarde… Je la regarde… elle fait quelque chose qu’elle n’aurait sans doute pas fait il y a 24h… elle regarde mon portable… Le repose… me regarde… me sourit… et file vers la salle de bain…

Dans l’attitude, vous n’auriez sans doute pas remarquer. Si ce n’est qu’en d’autre circonstance, elle m’aurait sans doute dit de quoi il s’agissait… Mais quand on connait par coeur quelqu’un, une simple démarche en dit long.

Je me lève et m’approche de cette commode. Je saisi mon téléphone… Un message : Tiphaine…

T : « Coucou toi… Mon mec est suspicieux concernant mon excuse de cette nuit… et pour cause… en cette fin de journée radieuse avec mon homme… j’ai une grosse envie… celle de sentir ta grosse queue entre mes seins… »

Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me recontacte si vite… et de cette façon… Je suis de nouveau très excité… J’en oublie que Céline a probablement lu ce message…

Je file à la salle de bain… Céline est nu devant le miroir au dessus du lavabo, elle s’attache les cheveux avant d’entrer dans la douche… J’enlève mes vêtements et pour éviter toute discussion… Je la prend dans mes bras avec force… nous nous embrassons… elle est face à moi et ses bras autour de mon cou me tiennent fermement… Je la prend, ses jambes autour de ma taille, dépose ses fesses sur le lavabo… elle écarte les jambes… je tend mon sexe… et la pénètre… Je baise virilement… D’un même mouvement, d’un même rythme, je lui prend la chatte avec vigueur… et elle crie, je grogne… Et bientôt… Je jouis… Je me déverse en elle dans un long spasme puissant… Le coït aura durer peut-être 1 min 30… mais elle en redemande…

« Je sais que tu peux encore jouir… » Elle me connait bien… elle s’agenouille et prend ma queue entre ses lèvres… elle me branle en même temps, elle me pompe si fort que je ne tarde pas à lui éjaculer au visage une seconde fois… Le sperme gicle dans tous les sens… Elle en a sur le visage mais il y en a sur le miroir, le lavabo et sur le sol… Mes jambes tremblent… Elle continu d’asperger la pièce de mon sperme… on dirait qu’elle jouit de me voir jouir…

Elle reprend son souffle, moi aussi… et je la contemple, à genoux, ma queue qui faiblit lui traverse le visage… Comme mon sperme, sous ses yeux et sur son front… Elle se relève doucement… Me prend dans ses bras pour me souffler à l’oreille… « Je te raconterai comment je me suis faite baiser… si tu me racontes ta nuit d’abord… Je ne veux pas que tu mette ta grosse queue entre les seins de n’importe qui… »

A ces mots… je frise… Elle entre dans la baignoire et tire le rideau…

Mes sentiments sont… partagés…

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J’adore ton écriture la suite vite !

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Superbe comme a chaque fois ! La suite

Très belle cette lecture

J’ai un thé chaud entre les doigts… Elle boit un café… D’habitude j’aime plutôt le café mais là, je n’en ai plus envie. Nos sommes face à face… Céline a l’air très sérieuse… Malgré tout, il y a moins de deux heures, nous étions en train de copuler comme des animaux…

J’ouvre la bouche, prend une inspiration… et me ravise… je ne sais pas quoi dire… Je réitère l’opération plusieurs fois… Elle ne dit rien…

On est sensé s’expliquer…

La situation semble compliquée… pourtant c’est simple… Elle a couché avec un autre cette nuit… Elle est sensé me l’avouer… voir me le raconter… Je ne suis pas sûr d’avoir envie de savoir… Mais j’ai fais pareil… et elle m’a fait comprendre qu’elle voulait que je l’admette également… Je dois lui dire…

Oui Tiphaine, je lui raconte… oui… elle avait l’air ouverte et puis elle est aussi passé à l’action…

Mes sentiments ? Mitigés. Je suis assez nerveux quant à l’idée qu’elle en ai vu un autre… Mais je suis un bel hypocrite… mon comportement de cette année passée ne me permet pas de lui en vouloir vraiment. Je me rend compte que je ne veux qu’on me fasse ce que je fais aux autres… Une bonne leçon pour moi…

Enfin…

Céline : « Tu commences ou je commence ? »

Moi (toujours pas prêt à l’entendre) : Je commence… je crois que je préfère…

C : Ok…

Elle semble de plus en plus énervée contre moi.

Moi : Voilà. J’ai passé la nuit avec cette fille… dont tu as lu le message… Je suis désolé.

C : C’est la première fois que tu la vois ?

Moi : Oui.

C : tu comptais la revoir ?

Moi : Euh… (inutile de mentir)… oui.

C : c’est la première fois que tu me trompes ?

Moi : non.

Des larmes lui montent aux yeux… C’est pas un moment marrant.

C : combien ?

Moi : Combien quoi ?

C : combien il y en a eu ?

Moi : … trois… qu’est-ce que…

C (me coupant la parole) : Je les connais ?

Un instant… je dois mentir… je ne peux rien dire à propos de Pauline… Elles sont amies…

Moi : Non… Des coups d’un soir, rien de plus…

C : et cette fille alors, tu veux la revoir ?

Moi : je… c’est pas… enfin… je m’en fous de cette fille…

C : mais tu comptais la revoir ?!

Inutile de répondre…

C: Je te suffis plus ? pourtant je te fais encore bander ?!

Moi (à mon tour de la couper) : ah non ! ça va, tu vas pas me la jouer… tu m’as pas encore raconter ta soirée…

M’énerver ainsi permet de quitter un instant le registre émotionnel de la situation…

C : Je m’en voulais beaucoup… Je me suis dis… je suis vraiment une belle salope… Et puis… ce texto… Tiphaine c’est ça ?

Moi : Bon c’est à ton tour maintenant… Tu vas le revoir ?

C : … Je sais pas… Après ce que tu viens de me dire…

Moi : Non non ! arrête d’essayer de m’enfumer… tu l’as pas fait parce que je te trompais, tu l’as fait par envie, égoïstement, tout comme moi.

Je perdais mon calme. Puis c’était parti…

C (très calme) : Je l’ai rencontré chez mon amie, il s’appelle Florian, il m’a dragué, je me suis laissé séduire… j’étais un peu ivre… et très excitée après l’épisode des toilettes hier… (elle sourit)… Je l’ai emmené dans les toilettes… Et je… je l’ai… enfin…

Moi : Je ne crois pas que j’ai envie de…

C (elle me coupe de nouveau… elle veut me faire mal) : Je l’ai sucé… Il a adoré… Puis je suis sorti des toilettes… Puis vers 4h, il m’a proposé de me ramener… J’ai dis oui… mais il ne m’a pas ramener chez moi… mais chez lui… J’ai passé la nuit avec lui…

Je n’aurais pas plus de détail… Et curieusement j’en étais déçu… La colère, la jalousie… l’émotion, l’excitation… Sentiments mitigés…

C : je suis pas fière tu sais…

Moi : moi non plus qu’est-ce que tu crois…

Je souris à mon tour…

Moi : tu as sûrement besoin de réfléchir… Je veux te dire que j’ai envie d’être avec toi… j’ai envie de toi… Et tout ça ne change rien…

C (me coupant encore) : je crois que je vais le revoir…

Moi : … bon… ok.

C : Moi aussi je veux être avec toi… mais cette nuit… je… enfin…

Je comprend… je comprend bien plus que ce qu’elle n’est capable de comprendre… Je ne répond rien. Cette discussion ne sera pas plus productive…

Moi : Ok je vais appeler un ami, je vais aller dormir chez lui. On se retrouve demain et on en parle… Ok ?

C : OK. Tu ne vois pas Tiphaine ok ? Je ne vois pas Florian non plus.

Moi : Promis.

Et la première personne que j’appelle, c’est Pauline… Pas de réponse. Je vais passé la nuit chez un ami. Marc. Il m’accueille chez lui. Curieusement je ne veux rien lui confier. Marc est marié et n’apprécie pas ce genre d’histoire. Je dis juste que nous avons eu une dispute. Il ne pose pas de question. Je ne peux même pas dire qu’il me connait, je ne suis pas comme ça aux yeux des autres… à cette époque du moins…

Je n’arrive pas à joindre Pauline, ça me rend triste. Je lui envoi un message : « Je suis désolé, je sais que les excuses par sms ça craint, mais si tu ne répond pas, je n’aurais jamais l’occasion de te les faire… »

Je me couche… Je saisi mon portable… Pas de nouvelles de Pauline… Je me dis que je pourrais répondre à Tiphaine : « Hello ! Je serai ravi de ce comité d’accueil… si tu y consens, ce serait avec joie… »

Il n’aura fallut que quelques instants avant qu’elle ne se manifeste…

T : « Aah, te voilà… ça veut dire bientôt ? »

M : « Si tu veux… »

T : « Je suis seule chez moi mercredi »

M : « Envoie-moi ton adresse »

Je la reçu avec ce mot…

T : « Parfait… trois nuits à rêver de ce que tu vas me faire… »

Et cette nuit à dormir péniblement avec un braquemart infernal…

Petit déjeuner avec Marc et sa femme… Je reçois très tôt un message de Céline… « On se rejoins maintenant ? ».

Je file…

Nous nous retrouvons dans un café.

C : « Je commence cette fois ? »

Moi : « Ok »

C : "J’ai réfléchis et je ne veux pas que ça s’arrête… entre nous… "

Moi (souriant) : Ok… super…

C : « Mais je dois revoir Florian… »

Moi : « … ok… je comprend »

C : et si tu veux revoir Tiphaine… je t’en empêcherais pas… mais à une condition…

Moi : « Qui est ? »

C : on ne se dira rien…

Moi : Ok.

Céline sourit enfin : " C’était trop bon dans la douche hier, je ne veux pas perdre ça"

Je souris… Nous buvons nos café puis elle part, s’occuper de ce qu’elle a à faire… Et me laisse songeur… Finalement, me dis-je, notre relation est en train de s’ouvrir… nous venions de mettre en place les premières conditions pour une relation libre… Puis je me dis que étrangement, cette relation était basée sur le sexe, bien plus qu’auparavant… C’était mauvais signe… trois après cela, notre relation allait s’arrêter… Mais nous n’y sommes pas…

Pauline me répond enfin: « Hey Ivan, si tu veux passer, on pourra parler… bisou »

Je fonce chez elle…

Elle m’accueille en peignoir… Je ne lui laisse pas le temps…

M: " Je voudrai m’excuser j’étais super con hier… vraiment… excuse-moi… je devrais te remercier en fait… pour…"

P : « Pourquoi ? »

M : pour ce que je suis aujourd’hui… Pour ce que je vis… tu as fait de ma vie… une aventure… merci…"

Je suis ému… elle aussi…

P : "Merci de dire ça… (elle sourit)… allez vient par là… (elle retire son peignoir et dévoile son corps pulpeux, s’allonge sur le ventre, bombe sa croupe ronde et majestueuse…) et fais moi jouir avec ta langue… J’ai envie…

Quand Pauline exige ce genre de chose… vous vous exécutez…

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ah oui , la dernière phrase résume très bien l’histoire

J’adore , vite la suite

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Nous sommes allongés Pauline et moi côte à côte, elle reprenant son souffle d’un orgasme récent et moi reprenant le mien car il était court, le souffle, affairer comme je l’étais, le visage dans son intimité…
Je viens de lui décrire la situation…

Pauline : « Oh là là, je baise le mec d’une copine… c’est pas très cool quand même »

Moi : " Mais ça t’excite…"

Pauline, un sourire montant doucement : « C’est clair… bon mais alors elle ne saura pas pour nous deux ? tu le promets ? »

Moi : « Oui promis »

P. : « Je sais que je dois me méfier des mecs maqués… ils savent pas tenir leur langue… »

M. : « Oui mais tu continue pourtant à te les taper… »

P. : « Parce que sinon je m’assoies sur un paquet de mecs baisables ! »

M : « Mais… tu t’assoies… sur un paquet de mecs baisables… »

Nous éclatons de rire… Je suis heureux d’avoir dissiper nos différents. Je suis heureux d’avoir retrouvé mon amie, ma maitresse… Sexfriend comme on dirait maintenant. Et je dois rentrer.

L’été s’annonce torride.

Même si nous sommes ouvertement infidèle depuis ce week-end, le fait de cacher à l’autre ce qui se passe ailleurs nous oblige à mentir. Ainsi je dois trouver une excuse pour me rendre chez Tiphaine ce soir. Et j’imagine toutes les fois où Céline me dira qu’elle va voir ses copines, et que je serai bien obligé d’imaginer ce qu’elle fait « en vrai ». Car la perspective de savoir Pauline étreinte par une meute de bonhommes en rut… m’excite… beaucoup… mais Céline… mais je me suis assez rendu coupable d’hypocrisie ces derniers jours et maintenant que j’ai obtenu ce que je voulais, je ne crache pas dans la soupe.

« Je sors avec des potes ce soirs ». Je ne précise pas lesquels, elle a l’élégance de faire comme si de rien n’était. Dissimuler un adultère n’est pas si simple et je préfèrerai être complètement transparent mais tant pis. J’ai envie de revoir cette fille.

Il est 19h45 et je suis en avance. Mais elle est prête… mais son mec est encore-là…

Elle porte une robe noir, courte (en haut des cuisses), remontée jusqu’aux épaules, on ne voit pas sa gorge… Et un large ceinturons pour souligner ses formes. Elle ouvre :

« Ah Ivan, tu es le premier, viens entre, Steph, je te présente Ivan, un copain »

Moi : « Enchanté » (je souris pas du tout crispé)

Stéphane : « Salut mec »

Stéphane est assez petit, bien bâti, grisonnant, assez beau mec. il semble se désintéresser de moi, comme d’elle. Mais nous bavardons un moment. Puis il doit partir. Il est sensé revenir le lendemain soir… Bon ben je sais ce qui m’attend… Stéphane se lève, Tiphaine le suit dans le couloir et moi je suis derrière elle, et dans le dos de Stéphane, Tiphaine soulève sa robe… Elle ne porte pas de culotte, elle me montre son cul nu et svelte… puis rideau. Il se retourne et l’embrasse avant de nous souhaiter à tous les deux une bonne soirée.

Mon sang n’a fait qu’un tour… Et s’est aggloméré en bas… Elle referme la porte… Je suis derrière elle… L’envie est trop forte… Je la plaque contre la porte… Je passe une main sous sa robe pour lui toucher la fesse droite… L’autre main sur sa taille, je l’assaille de baisers… L’impact a raisonné dans l’escalier, et son mec qui semble ne rien voir a forcément entendu ce bruit. Mais qu’elle me montre sa croupe alors juste dans le dos de son homme… je suis remonté…

De ma main gauche, j’entreprends de défaire mon pantalon, la ceinture puis les boutons… Et je sors mon sexe déjà tendu… Je décalotte doucement… Tiphaine se laisse faire… Je passe mon gland entre ses fesses… J’avance mon bassin… Et mon gland caresse sa vulve… Elle n’est pas encore assez humide… je l’ai prise par surprise… Mais je m’aide de mon corps pour la plaquer contre cette porte… La position pour elle est sans doute très inconfortable… Mais de mes mouvements de bassin j’opère un mouvement qui fait office de massage, de mon pieu contre son entre-jambe… Et l’effet se fait sentir… Je sens ce liquide chaud se propager doucement… Je le sens le long de ma queue… Je continue… Elle se détend… Serre un peu les cuisses pour maintenir mon sexe là il est… C’est très bon… Mon visage dans son cou, sous ses cheveux… J’empoigne ma verge pour la guider… Je trouve son trou… Mouvement du bassin… Me voilà en elle… Elle pousse un soupir… que j’imagine « de reconnaissance »… Même si le langage corporel dit « pas maintenant », il ne fallait pas me provoquer… Mon sexe est en elle… profondément immiscé dans son être… Et les vas et viens commencent… mais des pas dans le couloir se font entendre… Et on sonne à la porte… Je me dégage, elle se rajuste, les toilettes sont juste en face, je m’y met. Un quart de seconde était passé depuis que je la pénétrais…

Stéphane a oublié ses clefs… Un coup de vent… Nous sommes à nouveau seuls… Je sors… Elle m’attend dans le salon… Un regard un peu dur mais à la fois troublé… Je me suis aussi rajusté… Mais je bande dur… Elle me propose à boire, je dis ok. La situation : elle venait de manquer de se faire grillé par son mec pendant qu’elle se faisait prendre par un autre. Je dois trouver les mots.

Moi : « Il en faut peu pour réaliser l’impact de nos actes… Je sais… je connais cette sensation… c’est pas très agréables… en fait tu culpabilises… »

Tiphaine : « … pas toi ? »

Je secoue la tête pour lui répondre que non… plus maintenant…

Elle se colle contre moi, sa tête dans mes épaules. Elle est assez grande (moi je suis très grand) et elle porte des talons hauts (ce qui a facilité la scène contre la porte). Puis elle s’assois devant moi sur le canapé… Elle devait s’attendre à ce que je la rejoigne… Mais je suis rester devant elle… j’ai déboutonné mon pantalon (encore une fois mais cette fois-ci pour la dernière fois de la soirée…) Elle me regarde faire, la mâchoire béante… Mon sexe maintenant sous ses yeux… Je dépose mon gland sur ses lèvres… elle ferme les yeux… Je lui parle…

"Suce-moi… je vais m’occuper de toi toute la nuit… Tu vas jouir et moi aussi… tu vas oublier… tu vas t’oublier… tu vas… hmmmm… tu vas prendre… je vais te prendre… "

Au fur et à mesure que je lui parle… elle ouvre plus grand la bouche… elle passe de caresse à baiser… et de baiser… elle fini par me dévorer la queue… passant délicatement une main autour de mon sexe et l’autre sur le sien… Je lui caresse les cheveux… Elle me suce doucement mais avec appétit…

« Je suis là pour te baiser… et si j’ai bien compris… nous avons toute la nuit… »

Tiphaine n’est pas Pauline, vous l’aurez compris. Alors c’est vrai que de parler d’elle parait hors sujet, et ça l’est un peu. Mais dans l’été qui démarre, Tiphaine est un personnage principal.

Voici un spoiler : Tiphaine c’est mon ex. Pour le moment nous nous voyons en dehors de nos relations respectives, avec Stéphane et avec Céline. Et oui la nuit chez Pauline marque le début de notre relation. Une entente sexuelle rare. Presque autant qu’avec Pauline (oui j’ai de la chance) mais j’ai de suite senti avec elle… comment dire… des sentiments… Du moins cette nuit là… Je l’ai senti en la baisant…

Si Pauline est le titre de cette histoire c’est qu’elle est tout à la fois la cause, la conséquence, l’actrice et la figurante de ma nouvelle sexualité. Je me suis découvert infidèle et je me suis découvert un peu séducteur, menteur. Dans mes travers les plus sombres ou dans mes aspects les plus flatteurs. Et oui, autre spoiler, ce n’est pas une histoire qui finit forcément très bien. Bon ça finit pas non plus mal, je vous rassure, tout le monde est en vie.

Tout ça pour dire, si je suis chez Tiphaine ce soir, c’est grâce à Pauline. Cette soirée du week end passé a marqué un tournant. J’avais fait un trait sur les autres filles, et sur Pauline. Et me voilà à avoir deux maitresses. En l’espaces de quelques heures, je suis retomber dans ce schéma qui ne s’arrêtera plus.

Ce soir là donc, Tiphaine avait joué la carte de la provocation, en me présentant son homme. Vivre le fantasme. Elle en avait besoin… La baise contre la porte… Pas de culotte… j’ai des flashs de cette soirée… Sa façon d’être… Une belle femme, plus âgée que moi, élancée, sveltes, élégante… Posséder et découvrir son aspect le plus intime… sa façon de baiser, de sucer… C’est un fantasme en soi de vivre cela. Tout simplement posséder cette femme là.

La nature m’a donné une particularité pas si fréquente apparemment. Je peux jouir plusieurs fois sans même débander… ça ne fonctionne pas à chaque fois mais c’est vrai que quand ça m’arrive, et que la fille avec qui je partage un moment se sent d’attaque… ça donne lieu à de bons moments. Et surtout ça me libère…

L’épisode précédent m’a mis dans tous mes états. Céline m’avait donné une permission nouvelle, Tiphaine un motif pour la tringler sans retenu. Quand elle est là assise, mon sexe dur en bouche, moi qui suis debout devant elle à lui présenter… mes hommages… Je me dis… Je vais marquer le coup pour qu’elle comprenne…

Je la laisse me sucer… visiblement, se régaler… Et puis ça monte… et puis ça me trotte… « la souiller »… Je voulais que ce soit sale… Rien de forcément trop trash… juste inélégant… Elle me suce avec douceur pour le moment… elle savoure mon sexe et l’excitation qu’elle me procure… Elle ne s’attend pas à ce que je lui attrape ces cheveux blonds, que je lui baise le visage… Puis que je sorte ma queue en me branlant frénétiquement face à son visage pour qu’en fin, fatalement je finisse pas jouir… fatalement… giclant jusque sur les murs, le canapé… et bien sur son visage… ses cheveux… Des trainer blanchâtres, balafrant ses joues, ses lèvres.

Il y avait dans son regard de la surprise, de l’excitation, de la déception… Je crois même que je l’ai biflé, avant de savoir que ça s’appelait comme ça. C’est pourtant pas mon trucs à priori. Et puis pour ne pas montrer sa déception elle me sourit… Mais elle comprend que quelque chose ne se passe pas comme prévu… Le sexe qui étale le sperme contre sa joue ne faiblit pas… Au contraire… Elle pose sa main dessus… Le caresse… L’empoigne le branle… Et son sourire disparait, laissant place à de la tension… petite ride entre les yeux… Je place mon gland sur sa lèvre… Et elle ferme les yeux… elle me pompe à nouveau…

Mon éjaculation m’a rendu ultra sensible… et je commence à gémir… Et elle me suce avec force maintenant… Elle n’est plus vexée… ni déçue… elle est en chaleur… elle n’a qu’une envie… c’est que je la déglingue… mais on ne peut pas m’offrir plus de plaisir qu’en me suçant la bite… alors je savoure…

Puis elle quitte en vitesse sa robe… Je quitte mes vêtements … Nu je m’assois à ces côtés, elle m’enjambe et attrape mon sexe… Se le cale entre les cuisses… Et je me sens disparaître dans les vapeurs de ses entrailles… Je lui prend les fesses avec mes mains, mes avants bras, et les têtons entre mes lèvres, elle se met à rebondir sur mes cuisses. La pénétration est franche… elle mouillait abondamment quand elle s’est empalée sur moi.

L’odeur de nos fluides corporels envahissent désormais la pièce… Je sens glisser sa chatte le long de ma verge… Et son têton tout dur que je mordille comme un enfant… Et sa voix qui s’élève… ça dure… ça dure… sa forme physique lui permet de tenir cette cadence… et c’est bon… Sa chatte est musclée et la baiser me provoque beaucoup de plaisir… Elle se cale sur moi, commence à danser, balançant son bassin en tout sens… S’écartant, me laissant le chant… Je glisse ma main sur son ventre… mon pouce… sur son clitoris… la tête en arrière… elle crie… elle jouit…

Essoufflée elle s’écroule dans le creux de mon épaule… Je suis en elle mais nous ne baisons plus. Elle prend mon visage entre ses mains… sa joue brille, mon sperme à séché mais persiste sur son visage… J’ai commencé à comprendre à ce moment là.

Puis elle s’est levé, pour chercher de l’eau… Je remarque que la fenêtre est ouverte… de la rue, on a du nous entendre mais… on s’en moque… Puis elle passe nue, souriante devant moi… et file… dans le chambre où je la rejoint…

Elle est à quatre pattes sur le lit… Je me positionne derrière elle… lui caresse son cul de sportive… Lui administre une bonne claque… A moi de mener les débats…

Je me branle face à sa croupe… Elle s’impatiente… « Allez vas-y… prend moi »… Je passe un doigt sur sa raie… son petit trou… sa vulve… gonflée… moite… chaude…

« Allez vas-y… met-la moi »… c’est un chuchotement, je le discerne à peine… Puis elle cri « BAISE-MOI ! »…

Je m’enfonce en elle et la prend vigoureusement lui volant son souffle… Je m’accroche à son cul et je la déglingue comme ce que je m’étais promis de faire… Sa voix s’élève au dessus du claquement de chair provoqué par mes assauts… J’admire la pénétration et les lèvres qui s’écartent au maximum pour laisser le passage à ma large queue… Et je ne retiens rien… je prend le pari que ce ne sera pas fini…

Quand je sors ma bite de sa chatte pour me répendre sur son cul… elle frôlait le second orgasme… Mais mon second orgasme était fulgurant… J’ai éjaculé tant de sperme que je sentais mes testicules se rétracter… J’en avait des frissons… Elle s’allonge doucement sur le ventre… Et moi j’en termine… Je m’allonge sur elle… Je dépose un baiser… Une main sur son épaule et des caresses, simple et délicate… Et mon sexe encore dur… S’enfonce en elle dans cette simple position… la meilleur selon moi… Et la voilà surprise… pour un nouveau tour… Ma main s’immisce entre son corps et le matelas… La meilleur façon de la faire jouir… c’est de lui caresser le clitoris en la pénétrant virilement… et ça je l’avais compris la dernière fois… Alors elle a jouis, dans l’oreiller… Et dans cette position où je sens tout son corps épouser mon torse… J’ai senti des choses très forte… Et j’ai éjaculé pour la troisième fois… en elle… Cette fois j’ai senti la fatigue…

Allongés, côte à côte… Notre jeu durait depuis une heure et demi… Je la regardais en sueur… ses seins pointaient, sa peau hérissée… son ventre mouvant… ses lèvre ouvertes et pulpeuse… J’admirais sa beauté… et je pensais à elles… Pauline, Céline… Dieu que j’aime les femmes…

Au cours de cette nuit… De coït en coït, de pénétration en pénétration, j’ai non as appris à aimer son corps… Mais à le comprendre… Et j’ai compris ce soir là… Je plais beaucoup à Tiphaine et elle me plaît beaucoup…

Ce qui fait naître ce sentiment c’est la complicité…

Quelques jours après cette soirée, je me confiais à Pauline.

"Tu es la seule personne à qui je peux parler de ce qui se passe en toute transparence.

Tiphaine et moi avons passé la nuit ensemble mercredi… Et c’était vraiment très chouette… Maintenant Céline sait… Mais sans vraiment savoir et je sais qu’elle revoit ou va revoir son gars… Mais le pire c’est que je suis OK."

Bien sûr je ne lui épargne aucun détail. Nous sommes chez elle un après midi.

" il s’est passé un truc pendant la nuit…

  • un truc de quel genre ? Me demande-telle…

  • Nous avons fait l’amour…

  • Oui ben ça je m’en doutais, t’y allais pas pour jouer aux cartes …

  • Non tu comprend pas :

Un moment dans la nuit je me suis réveillé dans le noir… Elle était à mes côtés… Endormie sans doute… Je me suis laisser tomber sur elle… Comme attiré… Plongeant mon visage sur son cou… Elle écartant les jambes… Et je me suis enfoncer en elle sans m’aider de mes membres… Simplement glissant… Entre ses cuisses… De mon membre dur… Pénétrant sa chair… Et nos respirations se sont emballées subitement… En lieu et place de son mec…

Elle m’a soufflé à l’oreille le temps du coït des Ivan suave intense… « prend moi comme ça ». Chaque pénétration était intense et j’en tremblais… Les caresses de son sexe autour du mien… Je les sentais dans ma poitrine… Fourmillements… Caractéristiques… Elle s’est mise à jouir… La tête en arrière… Longuement… Lentement… Intensément… Elle gémissait de soulagement… Et moi j’ai ejaculé à sa suite… Poutrant son vagin… Et mon sperme dévalant les méandres… La tête me tournait et les caresses de ses mains sur mes flans me faisaient l’effet de doux chocs électriques prolongeant l’orgasme jusque sous ma peau…

L’abandon total… Ses seins écrasés contre mon torse… Nous ne pouvions pas être plus proche…

  • à part faire mouiller ma culotte toute propre… Ou tu veux en venir ?

  • Pauline… Lis ça…"

Je lui montre un texto de Tiphaine.

" J’ai parlé à Stéphane… C’est. Mieux comme ça… "

Pauline : ah…

Moi : elle ne me demande pas de quitter Céline… Mais bon c’est bizarre…

Pauline : mais toi… Tu la kiffes ?

Moi : je ne sais pas…

Pauline me regarde… J’ai la sensation que me donner des conseils est pas dans ses intentions…

Pauline : Elle en a de la chance cette Tiphaine… Tu sais Ivan… J’aimerais…

Ivan : Pauline… Tu… Enfin… Oui quoi ?

Pauline : baise-moi comme tu l’as baisé elle et je te dirais si tu la kiffes ou non…

Ah Pauline… Tu me manques.

À ma grande surprise, j’étais un peu refroidi à sa proposition. J’avais besoin qu’on m’écoute. J’étais troublé et dépassé par la situation. Tout cela m’échappait et j’étais bien orgueilleux de penser que je pourrais ainsi papillonner sans faire d’irrémédiables dégâts. Et ce jour là je n’avais pas envie.

Mais Pauline insiste et finit même par m’engueuler :

"Écoute, ça fait des mois qu’on ne se touchait plus toi et moi et le jour où on remet ça, tu perds les pédales et tu es prêt à tout remettre en question avec Céline. Tu ne comprend pas que je ne suis pas la bonne personne Ivan. Je suis ton amie mais pour l’instant tu ne m’appelles que pour baiser ou pour me balancer tes états d’âme. Je crois que j’en ai marre… Tes histoires… Franchement… "

Elle n’avait pas besoin de m’en dire plus… Nous restions un moment en silence. Je me sentais con.

Je lui souris :" tu voulais vraiment… Que je… " elle me coupe…

  • ce que je veux Ivan c’est que tu m’éjacule au visage… Tes histoires je m’en tape…

Je comprend donc que cet épisode de ma nuit l’avait émoustillé et ces simples paroles m’avait fait grandir… Dans mon boxer…

Je me levais soudainement et sortais ma bite de mon pantalon… Et face à son visage, je me branlais frénétiquement… Elle attendait patiemment que je vienne… Me souriant à peine…

Je lui pris les cheveux comme pour Tiphaine… Et Pauline déposait ses lèvres sur mon sexe… Mais Pauline impatiente dégagea mes mains, posa les sienne sur ma verge et se mis à me pomper gouluement… Me branlant des deux mains… Me sentant venir… Elle se stoppa net…

Elle m’a administrée une gifle sur le sexe en se levant et me montrant la porte…

Pauline : « Je ne suis pas ta chose… Tu règles tes petit soucis et tu viendras me voir quand tu te soucieras un peu plus des miens. »

Je me rajustais interloqué… Sans rien dire je sortais de son appartement…

M’a relation naissante avec Tiphaine et celle qui me liait à Pauline prenaient des tournures similaires… De sentiments étaient en train de naître…

J’ai revu Tiphaine plusieurs fois dans l’été. Toujours dans le dos de ma copine pendant qu’elle expérimentait une relation adultère… L’été est le meilleurs moment pour ce genre d’expérience. Et pendant presque deux mois je ne voyais plus Pauline.

Elle m’a beaucoup manqué car je vivais deux relations assez similaires. Deux amourettes parallèles. Les sentiments avaient fini par gagner notre relation librement érotique et dénuée de promesses.

Jusqu’au jour de septembre où je suis rentré chez moi et ai retrouvé Céline en pleure…

Dans sa main : une lettre de Pauline…

(PS : le retard est fait, je dois donc écrire la suite désormais)

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Ca ne s’arrête plus !!! J’adore

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Pareil !!!

Une giffle sur le sexe :joy:… jamais eu le droit a ca lol

Je me souviens très bien. L’attente au café, interminable. Les trois cafés n’ont pas aider à décolérer. Il faisait encore beau, à vrai dire c’est la période que je préfère, la fin du mois de septembre. Il fait beau, l’été a fini par me lasser doucement, j’ai hâte de me couvrir à nouveau.

Pauline arrive en retard, sans doute vient-elle à reculons, sans doute s’attend-elle à une confrontation.

Elle s’installe en face de moi. Je pose la lettre sur la table. Elle commande un perrier. Elle ne la regarde pas, aucune considération pour cette lettre qu’elle a écrite elle même et qu’elle a envoyé à Céline.

L’avant veille j’ai été mis à la porte de chez Céline. Elle n’a pas accepté cela, elle n’a pas accepté le mensonge et ces long mois/années de relation cachée avec Pauline et le reste… Pauline a tout dit. Elle tient son regard sombre, une jolie robe à fleur et une veste en jean, couvre le corps de cette fille que je ne connais que trop bien mais aujourd’hui il me paraît si inaccessible. Allais-je perdre Pauline aussi ?

  • Tu m’expliques ?

Elle prend la lettre et me la jette au visage.

  • J’ai rien à expliquer, sur cette lettre, c’est la vérité qui est marquée alors si elle te fait peur tu la brûles.
  • Pauline ? Pourquoi ?

Elle me regarde dépité l’air de dire « tu comprends vraiment rien ».

  • C’est tellement évident que même avec des mots ça rendrait les choses plus compliqué. Je pense que tu voulais voir si j’allais être enclin à m’excuser mais tu es en train de comprendre que je ne m’excuserai pas. Les relations libres, les aventures, les cachoteries, j’adore ça, ça m’excite comme toi. Mais les mensonges et les gens-objets ça me dégoûte. Aujourd’hui j’en ai marre, je détruis ton jolie puzzle.

Sans voix… Quoi dire. Avec le recul, l’évidence, la vérité craché à mon visage, comme j’ai craché aux visages de mes conquêtes me paraît douce et juste. Mais sur le moment, j’étais envahi de tristesse. J’ai perdu ces jours de septembre que je chérie tant, mon amour de jeunesse et une amie chère, une amante exceptionnelle.

Je fais ce récit simple, cours et sans concession car il n’y a en fait pas grand chose à dire. J’ai laissé Pauline partir, je ne l’ai pas revu tout de suite. Je suis retourner voir Tiphaine, et lui ai annoncé que j’étais libre et naturellement, elle était heureuse, je ne pensais pas que ça la rendrait heureuse et donc, puisque j’avais fait une heureuse, nous nous sommes mis en couple.

Je ne savais pas comment reprendre cette histoire. Je pense qu’une bonne histoire contient des élipses, voici donc une élipse, la plus importante.

Printemps 2009, je m’ennuie avec Tiphaine depuis un moment, je songe à la quitter. Mais je n’ose pas comme un fardeau que je tiens à endurer. Le sexe est de moins en moins torride et je vis des changements professionnellement qui me tiennent un peu tout le temps, toute ma vie. Et un jour je rentre un peu à l’improviste, espérant faire l’amour avec elle de manière surprenante, pourquoi pas sortir du lit ? Et je la trouve avec Stéphane, sur la table du salon chez elle, vautrée en avant et lui la poutrant de toutes ses forces.

La vision est tellement clichée. Je me la repasse régulièrement en m’imaginant les rejoindre et aider Stéphane, le cocu à le venger, lui infligeant des sentence sexuellement dégradante, dans la limite du plaisir qu’elle aurait à être souillée. Mais la réalité c’est que je ne me suis jamais senti aussi con et impuissant de ma vie, je suis parti simplement, ils m’ont très bien vu. Le pire c’est qu’ils n’ont pas pris la peine de s’arrêter. J’ai appris par Tiphaine que ça durait depuis plusieurs mois.

J’en étais là. A l’été 2009, célibataire, nouvellement instruit d’une leçon qui a duré un an. Esclave de mes pulsions et de mes fantasmes. Je suis parti cet été là. Je n’arrivais plus à séduire. Et fin août, une personne a fait la différence.

Prochain chapitre en approche.

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Vivement le prochain chapitre :grin:

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Waouhhhh j’adore ta façon de raconter, on s’y croirait, on ressent toute l’excitation et l’envie aussi :yum::yum:
Vivement la suite :yum:

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